En Afrique du Sud, le 27 avril 1994, il y a donc 25 ans, se tinrent les premières élections multiraciales. Grâce à elles, l’enfer de l’apartheid allait être oublié et le paradis sur terre allait advenir puisque, des fontaines de la démocratie non raciale allaient couler le lait et le miel. Alléluia !
– Taux de chômage officiel : 27,7% (taux officieux 40%).
– Chômage des jeunes âgés de 15 à 34 ans : 38,8% selon le taux officiel.
– PIB en chute libre : 3,5% en 2011 ; 2,6% en 2012 ; 1,9% en 2013 ; 0,6% en 2016 ; 1,3% en 2017 et 0,8% en 2018, alors qu’il faudrait 7% durant plusieurs décennies pour simplement stabiliser la pauvreté.
– Économie entrée en récession technique depuis 2018.
– Revenu de la tranche la plus démunie de la population noire inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994.
– Un habitant sur trois survivant grâce aux aides sociales, le Social Grant.
– À l’exception de l’agriculture, branche encore contrôlée par les Blancs, tous les secteurs économiques sud-africains sont en recul ou en faillite […]
– Les mines ont sombré. […]
– L’industrie minière est pénalisée par les coupures de courant à répétition […]
– La criminalité fait de l’Afrique du Sud un des pays les plus dangereux au monde.
– L’exceptionnel maillage médical a disparu.
25 ans après les premières élections multiraciales, et comme l’a dit avec justesse Julius Malema :
« En Afrique du Sud, la situation est pire que sous l’apartheid : la seule chose qui a changé, c’est qu’un gouvernement blanc a été remplacé par un gouvernement de Noirs »
Avec une différence cependant : avant 1994, les Noirs ne mouraient pas de faim, ils étaient gratuitement soignés et éduqués, l’électricité fonctionnait, les pénuries d’eau étaient inconnues et la police faisait son travail.
Mais tout cela appartient au passé car, entre 1994 et 2019, l’ANC, le mouvement de Nelson Mandela, a conduit l’Afrique du Sud vers un naufrage. Selon la Banque Mondiale, et bien que réalisant ¼ du PIB de tout le continent, le pays est aujourd’hui devenu un des 5 pays « les moins performants » d’Afrique, juste devant les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland…
En 25 ans de pouvoir, l’ANC a donc ruiné un pays prospère, le transformant en un État du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences.
(Merci à Philippe)
Compléments :
L’africaniste Bernard Lugan lance un concept de cours en ligne25 ans après les premières élections multiraciales, l’Afrique du Sud est devenue l’enfer sur terre
Face à ce désastre, regardons en arrière.
En 1994, quand, après avoir menti à son peuple, le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela bien incapable de le conquérir par les armes, il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine.
Libérée de l’ « oppression raciale », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement. Caricature du corrompu, le président Zuma fut évincé par un coup d’Etat interne à l’ANC qui mit au pouvoir le vice-président Cyril Ramaphosa. A cette occasion, le monde médiatique entonna son habituel péan: débarrassée du « maffieux » Zuma remplacé par le « vertueux » Ramaphosa, l’Afrique du Sud allait pouvoir renouer avec l’héritage de Nelson Mandela.
Or, comme je l’ai dit à l’époque, en dehors du fait qu’un Venda allait remplacer un Zulu, cette révolution de palais n’allait rien changer au pays. A un Jacob Zuma lié au gang indien Gupta, succédait en effet l’ex syndicaliste Cyril Ramaphosa qui avait trahi ses camarades mineurs en se vendant au patronat blanc. C’est en effet dans les conseils d’administration des sociétés minières au sein desquels il fut adoubé pour contrer les revendications des mineurs dont il avait été le représentant avant 1994, qu’il édifia sa colossale fortune !!!
Pris entre les pressions des milieux d’affaires pro-occidentaux dont il était la créature, et celles des tendances radicales-racialistes lourdes qui constituent le fonds de commerce de l’ANC et des partisans de Julius Malema, le nouveau président se trouva vite paralysé. Et, comme d’habitude, il utilisa l’habituel joker des politiciens de l’ANC aux abois, à savoir la dénonciation du bouc-émissaire représenté par les fermiers blancs.
25 ans après les premières élections multiraciales, et comme l’a dit avec justesse Julius Malema: « En Afrique du Sud, la situation est pire que sous l’apartheid la seule chose qui a changé, c’est qu’un gouvernement blanc a été remplacé par un gouvernement de Noirs ».
Avec une différence cependant : avant 1994 les Noirs ne mouraient pas de faim, ils étaient gratuitement soignés et éduqués, l’électricité fonctionnait, les pénuries d’eau étaient inconnues et la police faisait son travail.
Mais, tout cela appartient au passé car, entre 1994 et 2019, l’ANC, le mouvement de Nelson Mandela, a conduit l’Afrique du Sud vers un naufrage. Selon la Banque Mondiale, et bien que réalisant ¼ du PIB de tout le continent, le pays est aujourd’hui devenu un des 5 pays « les moins performants » d’Afrique, juste devant les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland…
En 25 ans de pouvoir, l’ANC a donc ruiné un pays prospère, le transformant en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences.
Mauricette
30 avril 2019 at 10 h 35 min
Si les Africains pensaient à l’avenir de leurs enfants ils ravaleraient leur fierté et redonneraient les clefs du pays aux Afrikaners.
Machinchose
30 avril 2019 at 10 h 34 min
merci a JP St Marc, d’ avoir extrait du silence vertueux , observé par toutes les nations , ce pays qui fut la fierté de l’ AFRIQUE.
Dés que les « Blancs » sont evincés ou partent de ces pays , quel que soit l’ endroit du monde, c’est la faillite, la ruine,
sauf chez les pays « jaunes » dont le QI est trés supérieur , aux blancs eux mêmes
par contre, chaque fois qu un pays peuplé de noirs ou de gris accède a une « independance » qui lui est jetée comme un gros sussucre pour arrêter d’ aboyer, on sait le résultat depuis plus d’ un demi-siècle
on assiste depuis des decennies a ce spectacle désolant de ce que sont devenues ces Afrique Occidentale Francaise et Afrique Equatoriale Française
de nos livres d’ enfance: les géographies Gallouédec et Maurette!!
il est minuit Dr Schweitzer 😆 😆 hahahaha! le Dr Schweitzer a monté la plus grosse concession auto Mercedes du monde !!
ces caricatures de chefs de populations , ethnies parlant 12 dialectes différents, avant tout s’ offrent un parc de Mercédès!, puis ils se fabriquent des « gouvernements, avec ministres, secrétaires d’ état, Premier Bandit plutot….Heu ….non !! le premier Ministre! le premier Bandit étant le « Président » ( c’est qu il y en a de la famille a caser……. caser ! hihihi! humour! dans la case en caca de zébu )
et ! avec une Armée !! dont tous les uniformes sont offerts par la France, avec aussi les munitions!
ça laisse l’ espoir a un obscur (oh! !!) sergent l’ espoir de finir Maréchal, Général, voire même Empereur
bon! assez rigolé! jamais au grand jamais l’ Afrique ne s’ en sortira…..sans les blancs..
quoique, les Jaunes sont en train de s’ y mettre sérieusement, histoire de vampiriser la dernière arachide, parce que les Jaunes, eux sont pas cons, les Dr Schweitzer ils les gardent pour eux
au mieux ils livreront des Dr Mengele pour monter de gigantesques etablissements de prélèvement d’ organe pour fournir la planète entière
que voulez vous faire d’ autres de ces dizaines de millions d’ exclus, de damnés de la terre, de zouloulands et autres sagaiyeurs ou machettistes ?
l’Afrique du Sud est la future ex-Rhodésie devenue lamentable Zim Bam Boum Bwêêêê
dans quelques vingt ? trente ans ? les blancs auront abandonné cette trés probable benne a ordures que sera devenue la région, vers des pays a Blancs : Australie, usa, canada……..
y en a ici qui ont souvenir d’un vrai « vert » en pull rouge: René Dumont ! qui avait prévenu il y a 52 ans avec son livre « l’afrique noire est mal partie »
ben voilà, elle n’est toujours arrivée nulle part !
L'Afrique noire est mal partie est un livre de l'agronome René Dumont paru en 1962.
Il y décrit méthodiquement les handicaps du continent africain, les problèmes de corruption, les conséquences de la décolonisation, et son diagnostic s'est révélé le plus souvent pertinent par la suite.
L'ouvrage est organisé en quatre thèmes :
- L'afrique inter-tropicale piétine
- Elle pourrait cependant se développer rapidement
- Pour ce développement, l'Afrique doit repenser son école, ses cadres, ses structures
- L'Afrique cliente de l'Europe, ou se développant par elle-même
Antiislam
30 avril 2019 at 11 h 20 min
D’autant qu’il faut savoir que cette région était majoritairement vide de Noirs à l’arrivée des Blancs.
Les Noirs sont arrivés bien après dans ces territoires.
J’avais été à une conférence de Tidiane N’Diaye (l’auteur du « Génocide voilé ») qui l’expliquait très bien.
Vendéenne
Ce qu’écrit JP saint marc, ne m’étonne absolument pas.
Contrairement à la béatitude gaucho lors de l’arrivée de MANDELA au pouvoir, j’étais certaine que le même épouvantable scénario de décadence vertigineuse allait survenir très vite en AS.
Ca n’a pas loupé. C’est comme ça, les africains ne sont pas capables de développer ou de conserver en état un seul de leurs pays .
Ils vivent depuis des lustres sur la base des ethnies, des guerres ethniques , du pouvoir des grigris, des sorciers et des danses pour la pluie, la chasse, la récolte, le troupeau etc..
Ils n’ont jamais quitté cela, hormis une minorité qui ne peut asseoir son « pouvoir » que sur le fric obtenu par fraude sur le dos des autres.
Ce que nous appelons la corruption, n’est même pas ressenti comme un mal pour eux: ce n’est qu’une façon de faire du commerce comme une autre.
Il y a toujours eu dans leurs sociétés, ceux (une petite minorité)qui dominaient et vendaient les autres sans remords et le reste qui étaient soit des « esclaves » soit des ennemis, soit des moutons à deux pattes sur lesquels on s’essuyait les pieds.
L’humanisme, les droits, le citoyen, le pays, l’état, la démocratie, la culture, le progrès, construire, édifier, le peuple, sont des mots qui n’ont aucun sens pour eux . Seuls existent, le guerrier, le danseur, le sorcier, la femelle pour la reproduction ou pire, le berger, et le raconteur d’histoire (souvent futur « politique »)
Imaginer qu’ils étaient comme nous bien que différents, fut l’une des nombreuses erreurs(voulues) de la gauche mondiale (pilotée pas l’URSS) qui les a manipulés à outrance provoquant la décolonisation, les guerres, les famines, le pillage et la descente aux enfers de ses gens qui finalement n’ont jamais connu autre chose.
Le continent africain, c’est le sida, la famine, la guerre, l’esclavage, la deshumanisation permanente depuis des millénaires et ce n’est pas près de changer à moins qu’une nouvelle colonisation ne survienne.
berger
30 avril 2019 at 12 h 00 min
D’où mon idée, contraire à Macron avec sa colonisation qui a été un crime contre l’humanité selon lui, c’est bien la DÉCOLONISATION qui a été un crime contre l’humanité. On a laissé ces gens aux mains de leurs caciques, sans formation supérieure, sans expérience, et ils sont redevenus ce qu’ils sont maintenant, comme bien exposé ici. À notre décharge on peut dire qu’à l’époque on n’avait pas imaginé çà ! Quand je vois mon collègue noir omniscient en informatique ou cet autre dans un magasin de décoration qui est au courant de tout et répond à toutes les questions des clients et de ses collègues, je me dis que c’est vraiment un gâchis d’avoir décolonisé l’Afrique, il fallait plus de temps. (Mais on a bien vécu les golden sixties, forcément, avec la fin du fardeau….).
Sabrauclair
30 avril 2019 at 13 h 35 min
Je connais bien l’Afrique également et cette fâcheuse propension à toujours favoriser le clan ethnique d’où l’on est issu.
Il en résulte que la notion de gouvernement au sens où nous l’entendons n’y est pas possible; il s’agit toujours de la domination d’un clan sur les autres, cette domination se faisant non seulement par le pouvoir et l’argent, mais aussi physiquement, par des tentatives d’éradiquer les populations des clans adverses.
La notion de « bien commun » est totalement exclue chez certains Africains.
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