Pierre Cassen énumère un ensemble de faits accablants pour le régime de Macron, qui se prétend "progressiste" et se réclame des "droits de l’homme".
Il évoque la multiplication des agressions commises par les gauchistes et couvertes par le pouvoir. Il dénonce l’accumulation de procès grotesques contre les patriotes, intentés par des associations qui n’ont d’antiracistes que le nom.
Il expose les méthodes soviétiques de la commission d'enquête parlementaire sur "l'extrême-droite", dirigée par la députée "Insoumise" Muriel Ressiguier.
Il accuse enfin les journalistes (appelés "journaleux") d’être complices, par leur silence, de ces pratiques dignes de celles des pires dictatures.
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