Discours de Jean-Yves Le Gallou, Président de la Fondation Polemia, sur les mensonges des médias sur l’immigration et le remplacement de population.
3e fête du Pays Réel organisé par Civitas, le samedi 30 mars 2019 à Rungis.
Belloubet : grossier mensonge historique pour justifier le multiculturalisme et l’invasion
Non, non, Nicole Belloubet, la France ne s’est pas constituée comme vous le prétendez, autour d’un multiculturalisme complètement inventé pour l’occasion, pour mieux enfumer les naïfs autour de votre nuisible idéologie.
Vous dites « La France s’est toujours constituée, agrégée, autour d’un multiculturalisme séculaire, le nier ce n’est pas comprendre notre histoire ».
C’est au contraire proférer un tel mensonge maqué au politiquement correct qui est travestir ignominieusement la réalité. C’est non seulement ne pas comprendre, mais ne pas connaître notre histoire. Vous ne vous êtes pas penchée un seul instant sur cette histoire et votre affirmation ne tient pas un instant.
C’est au contraire proférer un tel mensonge maqué au politiquement correct qui est travestir ignominieusement la réalité. C’est non seulement ne pas comprendre, mais ne pas connaître notre histoire. Vous ne vous êtes pas penchée un seul instant sur cette histoire et votre affirmation ne tient pas un instant.
Ce mensonge éhonté peut s’écouter ici : http://www.fdesouche.com/1186493-belloubet-la-france-sest-toujours-constituee-agregee-autour-dun-multiculturalisme-seculaire-le-nier-ce-nest-pas-comprendre-notre-histoire
Il y avait peut-être depuis la fin du XIXe siècle un peu de multiculturalisme dans notre pays mais c’était… un multiculturalisme franco-français. C’est à dire que les Aveyronnais montant à Paris pour mieux gagner leur vie, on pouvait trouver autour de la gare d’Austerlitz quelques bons petits restaurants où manger de l’aligot. Ou autour de la gare Montparnasse, quelques crêperies de Bretons montés à Paris pour la même raison.
On pouvait manger de la choucroute alsacienne à Paris, aussi. Mais toute cette diversité restait purement française, ne vous en déplaise.
Ces Alsaciens, ces Bretons, ces Aveyronnais n’avaient qu’un but, s’intégrer à la France et non la conquérir. De plus ils y étaient obligés, ils devaient par exemple parler français, et les langues régionales étaient interdites, pourchassées. Combien de fois ai-je entendu des paysans provençaux abandonner la belle langue provençale au profit du français dès lors qu’ils se sentaient écoutés, par crainte irraisonnée de sanctions comme celles que leurs pères avaient subies autrefois ? (on est loin aujourd’hui de ces sanctions avec l’arabe qui partout hurle et provoque).
Il y avait des échanges, des voyages de gens faisant du négoce, il y avait des mariages entre diverses régions, mais pas beaucoup. Jusqu’à la première guerre mondiale au moins, il n’y avait pas de mélanges. La France était constituée de Français de souche. Elle l’est encore majoritairement.
J’ai, comme d’autres Français, une petite manie bien innocente et très instructive : quand je passe, partout en France, devant un monument aux morts de la Première Guerre mondiale, je m’arrête et je compte les noms. Cela a été une véritable hécatombe. Mais surtout, je prends le temps de lire les patronymes des morts pour la France. Ils ont tous des noms français. Ce sont des litanies de noms français, bien de chez nous. Pas ou si peu de patronymes étrangers dans ces longues listes.
Et même s’il y a eu quelques Italiens, ou quelques Polonais, ils étaient déjà tellement semblables à nous : même religion catholique, mêmes caractéristiques physiques, mêmes traditions familiales, même si l’accueil au début n’avait pas été parfait (dans le midi les migrants italiens étaient parfois chahutés…) ils se sont intégrés rapidement.
Il y a une autre « manie » montante chez les Français, c’est la généalogie. C’est tellement facile, depuis que sur internet on peut consulter des archives numérisées. On peut ainsi à partir de chez soi consulter des kilomètres d’archives concernant certains petits villages de la France très profonde. On peut y remonter très loin une généalogie. Pourquoi ? Parce que jusqu’à la Première Guerre mondiale les gens n’ont pas, ou très peu, bougé de chez eux. Et les patronymes là aussi sont presque exclusivement… français.
Alors Nicole Belloubet, malgré l’adage « plus c’est gros plus ça passe » couramment appliqué par votre gouvernement, il faut arrêter de prendre les Français pour des imbéciles. Car l’histoire, les faits et les chiffres vous donnent totalement tort.
Non la France ne s’est pas construite sur le multiculturalisme, mais au contraire sur une seule culture, celle du bien commun français, celle des traditions judéo-chrétiennes même si notre pays est devenu plus ou moins athée, celle de notre histoire commune unifiée qu’on le veuille ou non par des gouvernants qui n’avaient certes pas toujours les mêmes idées politiques mais qui avaient jusqu’à ces dernières quarante années, un seul amour : celui de la France de toujours.
La France, en réalité, s’est construite sur le refus du multiculturalisme et avec ce principe : une seule culture, une seule âme. Un seul creuset, une seule langue. Même le régionalisme a été longtemps refusé. Et on voudrait maintenant nous imposer un mondialisme de migrants plus ou moins analphabètes, impossibles à intégrer, impropres à travailler, et violents ?…
Ce concept de multiculturalisme ancien est un concept fabriqué tout récemment pour nous faire avaler l’invasion qui cherche à nous remplacer.
Prenez garde, Nicole Belloubet. Réécrire l’histoire d’un pays pour la falsifier et la rendre conforme à une idéologie, c’est le propre des régimes totalitaires. Staline, Pol Pot l’ont fait. On sait comment cela s’est terminé : dans la honte.
La falsification de l’histoire est un négationnisme, un abus de pouvoir, un délit.
Vous êtes, Nicole Belloubet, dans la droite ligne de votre petit maître prétentieux Macron, qui prétend qu’il n’y a pas de culture française, qu’il ne l’a jamais rencontrée. On se demande où il a vécu jusqu’à maintenant.
Tous les vrais Français descendent des Gaulois et le revendiquent, ne vous en déplaise. D’ailleurs partout en France on peut voir, – si on en a envie – des restes de l’époque gauloise. Et tant pis pour vous, mais nous n’avons pas la plus petite intention de renoncer à nos origines pour nous noyer dans une sorte de conglomérat indécis, indistinct, informe, générateur de la dissolution de la France.
Sophie Durand
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