jeudi 7 novembre 2019

Non à la discrimination ! Non au racisme ! Non à la remigration !

Plus il y a de musulmans et plus il y a d'attentats au cri d'Allah Akbar, d'égorgements de kouffars et d'agressions de "sales putes blanches" même quand les trottoirs sont assez larges. 

Y a-t-il un rapport ? Bien sûr que non, mais c'est assez inquiétant et certains intolérants pourraient en conséquence vouloir inverser les flux de l'immigration et renvoyer les adorateurs du prophète pédophile dans leurs bleds afin d'inverser la tendance criminogène. 


Ce serait une grave erreur et voici pourquoi. D'abord, la France a toujours été une terre d'immigration. Charlemagne était sans doute arabe et Louis XVI était sénégalais, sinon de peau, du moins de cœur. 

Et de plus, ce serait une injustice que de vouloir comme Charles Martel rapatrier dans leur patrie d'origine tout ces braves gens venus d'Afrique pour occuper notre pays, car les musulmans et les immigrés extra-européens souffrent beaucoup en France. 

D'après plusieurs études récentes relatées par les médias les plus sérieux, leur situation serait même catastrophique. 

Les musulmans sont davantage victimes de discriminations et d'agressions que les autres personnes (C News, 06.11.2019). On ne dit pas si "Nique ta mère la pute" serait l'insulte la plus fréquente. On ne précise pas le nombre de tournantes dont ont été victimes les filles musulmanes dans les caves des quartiers contrôlées par les petits blancs. L'étude n'est donc certes pas assez détaillée, mais elle est révélatrice tout de même d'un grave problème au pays des droits de l'homme.

On dirait que malgré toute la richesse apportée par la diversité, que ce soit la marijuana, les prières de rue, le rap, le raï, la chicha, les mosquées, les kebabs sauce blanche-harissa-ketchup, le coupé-décalé ou le twerk, les Français restent incapables de saisir la valeur de toute cette merveilleuse diversité. 

L'étude de C News est confirmée par une autre recherche relatée dans Le Parisien : « Les testing le confirment : les musulmans sont surexposés aux discriminations ». Il faudrait que cela change et vite. Leur réputation indue de violence, de victimisation et de consanguinité leur jouent des tours. Ce n'est pas parce que dans le Coran il est écrit qu'il faut persécuter, piller et combattre les non-musulmans que tout musulman va le faire. Tous les musulmans ne lisent pas le Coran à la lettre et certains ne lisent même pas le Coran. Les propriétaires et chefs d'entreprise qui refusent de prendre des risques sont vraiment mal intentionnés. Il suffit pourtant de demander au musulman ce qu'il pense vraiment et il vous dira la vérité sur son opinion réelle à l'égard des kouffars. Respecte-t-il les commandements du Coran qui demandent de persécuter, agresser, terroriser, chasser, soumettre les non-musulmans ? S'il vous répond que le Coran ne dit pas ça, peut-être est-il sincère. Il faut que la discrimination à l'égard des musulmans cesse !

Certains ont l'impression également que les frontières de la France sont d'immenses passoires. Ils pensent que l'Hexagone est le réservoir choisi de toute la misère et de toute la criminalité venues d'Afrique et d'Orient et que les élites de droite comme de gauche font tout pour laisser la France être envahie jusqu'au trognon par des populations allogènes inassimilables. 

Détrompez-vous ! Le Monde a balayé cette propagande d'extrême-droite dans son article sur les 100 réformes qui ont durci la condition des immigrés en France.

Enfin, malgré la présentation de toutes ces études et de toutes ces recherches par des médias de qualité, il y en a encore qui répondront quand même des choses excessives du genre : "Malgré ce racisme, cette souffrance, ces discriminations, ils veulent venir en France toujours plus nombreux !!!! Ne nous prendrait-on pas encore une fois pour des idiots? 250 millions d'Africains, 20 millions de Turcs, 3 millions d'Albanais, 30 millions de Pakistanais et 10 millions d'Afghans sont prêts à venir s'installer du jour au lendemain en France, malgré le racisme et les discriminations. N'y a-t-il pas comme une légère contradiction ?" 

Que nenni ! Si vous pensez que l'immigration extra-européenne afro-musulmane n'est pas une chance pour la France, si vous pensez que c'est une invasion-colonisation qui va transformer dans quelques années le pays de nos ancêtres en immense zone du tiers-monde ravagé par la famine, les MST et les guerres tribales et religieuses et où le blanc autochtone sera chassé comme une bête sauvage par l'une ou l'autre des ethnies importées, c'est parce que vous êtes bêtes et racistes. 

Laurence Gauchot-Trouduc
Sociologue et féministe intersectionnelle.
Professeure à l'université de Paris-Barbès. 
Militante associative et auteure de nombreux ouvrages. 







Les pouvoirs publics encouragent l'implantation de communautés ethniques allogènes avec toutes leurs coutumes. L'État a totalement abandonné l'idée d'unification "citoyenne" et républicaine, submergé par l'ampleur de la colonisation de peuplement. 

Incapable de choisir la voie de l'expulsion, de la reconquista, incapable aussi d'intégrer et de franciser culturellement des populations qui ne le veulent pas, l'État, croyant avoir la paix, favorise à grands frais le communautarisme. 

Nous assistons à un véritable Munich ethno-culturel. Mais comme l'écrivait Ibn-Rush (Averroès) : « Celui qui recherche la paix à tout prix n'aura que la guerre. Celui qui ouvre les portes de sa ville à l'ennemi pour éviter le pillage et l'incendie sera pillé et incendié encore plus cruellement que s'il avait courageusement combattu pour se défendre ».

Parmi le florilège de coûteuses mesures officielles pour encourager le communautarisme et favoriser l'implantation et l'expansion de communautés ethniques allogènes, en voici quelques-unes, parmi les plus voyantes, qui bénéficient, évidemment, en majorité à l'islam.

1) L'expulsion des jeunes filles voilées est très minoritaire et le Conseil d'État donne tort à cette pratique peu répandue mais très médiatisée. Le tchador à l'école est encouragé par le pouvoir parisien. Seuls quelques proviseurs laïcards font de la résistance.

2) En dérogation complète des lois, les écoles coraniques (madhrassa) où officient les tahlebbs qui n'enseignent pas les programmes français officiels sont autorisées dès que la proportion de musulmans dépasse 50% dans une agglomération. Elles se comptent aujourd'hui par centaines, et des milliers d'enfants, de plus en plus nombreux, ne fréquentent plus l'obligatoire et laïque "école républicaine", par ailleurs en pleine décomposition. Ces écoles coraniques sont subventionnées (illégalement car elles ne respectent pas les programmes) alors qu'on n'autoriserait et ne subventionnerait pas d'autres écoles religieuses qui feraient de même.

3) Dans une centaine de communes de France, où les autochtones européens sont devenus minoritaires, les juges coraniques ont droit de cité et le Code civil n'est plus respecté. La polygamie est autorisée et les familles polygames touchent toutes les allocations familiales. L'État a donné instruction de fermer les yeux. Évidemment, un Européen de souche ne bénéficierait pas de ces largesses.

4) L'État, les Conseils régionaux et un grand nombre de municipalités participent financièrement à l'édification de mosquées ; on va même plus loin : à Strasbourg, la municipalité tente de mettre sur pied un "conseil musulman unifié" et d'apaiser les querelles entre les diverses organisations islamiques concurrentes. C'est formidable : on fait le travail à leur place. Le ministère de l'Intérieur et des Cultes, pourtant entre les mains de jacobins laïcards et anticléricaux, a réussi à faire voter (budget de 1998), sous divers chapitres répartis et quasi invisibles, un total de 1,3 milliard de francs en faveur de l'implantation de l'islam : mosquées, centres culturels, associations subventionnées, etc.

Citons simplement cette remarque étonnée de Sembène Ndago, journaliste catholique au Soleil, le grand quotidien de Dakar : « En Europe, l'Arabie Saoudite, aidée par les gouvernements, finance l'édification de mosquées. Dans les pays musulmans, on ferme les églises, on ne les entretient pas ou on les interdit, on décourage le culte. [...] On se pose des questions devant cette passivité de l'État français face à l'implantation de l'islam » (2/09/1998).

5) Si vous êtes Corse, Alsacien, Basque, Flamand ou Breton, vous aurez peu de chance d'obtenir une subvention pour une association culturelle, une école qui enseigne votre langue ou votre culture, une initiative qui enrichisse votre patrimoine ethnique européen (voir à ce propos le combat pour la reconnaissance des écoles Diwan en Bretagne) ; mais si vous êtes Chinois, Sri-Lankais, Malien et - surtout - Arabo-musulman, l'administration sera attentive à vos sollicitations financières, à Paris comme à Bruxelles. À Paris, les fêtes rituelles asiatiques, les journaux "communautaristes" sont en partie financés par les services de M. Tibéri. L'association des Auvergnats de Paris, comme celles des Basques ou des Bretons ne peuvent compter, elles, que sur leurs propres ressources. M. Tibéri, qui a sans doute oublié qu'il était Corse avant d'être RPR ou citoyen du monde, a refusé d'aider les associations d'enseignement de la langue corse. C'est subversif, vous comprenez... En revanche, les centres d'enseignements de l'Arabe ont reçu en 1988 123 millions de Francs, afin de pouvoir dispenser un enseignement gratuit. À Paris, apprendre l'Arabe ou le Chinois, c'est gratuit. Apprendre le Néerlandais, l'Italien ou le Breton, c'est payant.

6) Un fait mineur mais significatif, un "détail parlant" comme on dit : pour organiser une procession religieuse, une fête traditionnelle dans le domaine public, il faut une autorisation préfectorale. Sauf pour la prière musulmane sur la voie publique (sahlat) couramment pratiquée à Barbes, Villeurbanne, Roubaix, Créteil ou ailleurs.

7) L'Institut du Monde Arabe édifié par Jean Nouvel sur les bords de la Seine absorbe 7% du budget du ministère de la Culture. L'Arabie Saoudite concourt à boucler le budget de cette institution dont l'objectif avoué est l'arabisation et l'islamisation.

8) À France-Télévision, les émissions religieuses musulmanes vont probablement accroître leur volume horaire. Elles sont subventionnées.

9) Dans le domaine économique maintenant, il faut savoir, ce dont bien peu se doutent, que des milliers de petites ou de micro-entreprises tenues par des musulmans ou d'autres immigrés ne paient ni TVA, ni assedics, ni charges sociales. Parfois elles ne sont même pas déclarées du tout dans les registres de commerce. Il s'agit par exemple d'épiceries, de boucheries, d'abattage et de fourniture en gros de viande hallal, d'imprimeries, de fabriques de vêtements et de bijoux, d'importateurs de produits des pays d'origine, d'entreprises d'affichage, etc. Elles ne sont jamais contrôlées et jamais sanctionnées, surtout quand elles se situent dans les "quartiers sensibles". L'État ne veut pas de vagues et croit acheter ainsi la paix sociale.

Bien entendu, ces entreprises concurrencent férocement les entreprises françaises équivalentes durement contrôlées, fiscalisées et sanctionnées. Comment expliquer par exemple que, dans maints endroits, les petits commerçants alimentaires français ferment les uns après les autres alors que les épiceries arabes et les traiteurs chinois profilèrent (cas du XVe arrondissement de Paris) ? Pourtant, les commerçants français sont meilleurs et moins chers ! Tout simplement parce que ces derniers sont assommés de charges sociales et fiscales alors que les premiers s'en auto-exemptent sans craindre de sanctions. Les commerçants de bouche arabes vont jusqu'à faire travailler dans la boutique des enfants de 8 ans, en toute impunité, ce qui relève pourtant de la correctionnelle, et obtiennent des autorisations d'ouverture nocturne refusées aux autres.

Autre fait connu, mais tu : dans les quartiers sensibles, les jeunes Afro-maghrébins qui roulent - par quel miracle ? - dans de coûteuses berlines de provenance douteuse ne sont jamais contrôlés et ne se voient jamais infliger de contraventions. La police a ordre de fermer les yeux "pour éviter les incidents".

Au total, en 1998, on peut estimer, toutes interventions confondues, à 10 milliards de francs (en provenance de l'État ou des instances décentralisées) l'aide apportée au "communautarisme" arabo-musulman, sous ses formes civiles ou religieuses. On appelle les immigrés "populations défavorisées", alors qu'ils bénéficient de 4,5 fois plus d'aides que les populations autochtones (Bulletin de la FAS, août 1999, pages 87-88) : aides à l'emploi, vacances gratuites, zones franches dans les "cités", emplois-jeunes. Ce sont des populations favorisées, privilégiées.

On pourrait multiplier les exemples à l'infini. Les pouvoirs publics encouragent et financent sur vos deniers les ghettos ethniques extraeuropéens en expansion, leur culture ainsi que l'islamisation. La raison de ce favoritisme, de cette acceptation de dérogation aux lois est le résultat d'une politique de l'autruche. II s'agit d'éviter l'explosion ethnique et sociale. Mais on ne l'évitera pas : on l'encourage au contraire, par tous ces privilèges communautaristes, et on en accroîtra l'ampleur. Payer le voleur ne l'empêche pas de voler.

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