À quelques heures de l’intervention télévisée du "président" Macron, après 3 mois de "Grand Débat" truqué, Pierre Cassen commente la dernière décision de l’ineffable Marlène Schiappa, la secrétaire d'État chargée de "l'Égalité entre les femmes et les hommes".
Cette dernière vient en effet d’annoncer la création d’une brigade anti-discrimination (BADI), censée protéger les "minorités discriminées", selon la version officielle. Pierre Cassen démontre qu'en réalité cette brigade va devenir une milice d’antiracistes, promus fonctionnaires et payés par l'Etat, qui va persécuter les employeurs et les propriétaires de logements qui auront choisi Maurice au lieu d’Abdel, ce qui sera considéré comme de la discrimination, voire du racisme. Pierre Cassen dénonce cette nouvelle avancée vers une société totalitaire, favorisant systématiquement les immigrés au détriment des Français de souche.
Cette dernière vient en effet d’annoncer la création d’une brigade anti-discrimination (BADI), censée protéger les "minorités discriminées", selon la version officielle. Pierre Cassen démontre qu'en réalité cette brigade va devenir une milice d’antiracistes, promus fonctionnaires et payés par l'Etat, qui va persécuter les employeurs et les propriétaires de logements qui auront choisi Maurice au lieu d’Abdel, ce qui sera considéré comme de la discrimination, voire du racisme. Pierre Cassen dénonce cette nouvelle avancée vers une société totalitaire, favorisant systématiquement les immigrés au détriment des Français de souche.
Er Brou : La discrimination positive, c'est du favoritisme anti-Français de souche.
GM : Discrimination positive, le truc débile par excellence, même ceux qui en bénéficient commencent à trouver ça idiot, ça fait deuxième choix qui n'a souvent pas le niveau.
Pierre Mr Chat : En toute objectivité, la démocratie se dilue inexorablement, la censure étirant son voile noir pour castrer ceux qui osent encore dénoncer. Le plus sidérant est que la plupart de nos concitoyens ronronnent au quotidien, peu enclins à ouvrir les yeux, préservant leur confort, aussi relatif que fragile.
Je pensais qu'avec Sarkozy et Hollande, nous avions touché le fond, conjuguant la traitrise à l'incompétence. Macron les surpasse, franchissant un nouveau cap sur l'échelle de l'infamie. Je ne parviens pas à concevoir qu'on puisse saborder ainsi son pays, son peuple, sa civilisation. J'aimerais pénétrer son esprit boueux pour cerner ses motivations qui m'échappent.
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