lundi 15 avril 2019

Foot : "cris racistes" à Dijon, énorme manipulation !


Pierre Cassen revient sur le traitement médiatique d’un fait divers qui fait "la Une" des médias français depuis le vendredi 12 avril. Des "cris racistes" auraient été entendus lors d'un match de football de Ligue 1, lancés depuis les tribunes du stade de Dijon contre le capitaine de l'équipe d'Amiens. Pierre Cassen pose des questions pertinentes sur
cet événement, et rappelle quelques manipulations passées, au sujet du prétendu "racisme" dans le football. Il dénonce ensuite, avec des exemples frappants, la vraie nature du racisme et des violences que subissent les Français de souche, régulièrement insultés, stigmatisés, agressés par des racailles et des immigrés, sans oublier les viols massifs de femmes françaises, dans un énorme silence médiatique, alors que les faits sont autrement plus graves que ce qui se serait passé à Dijon. Halte aux manipulations grossières et aux fake news des médias anti-français !

« Cris racistes » à Dijon : Prince Gouano en fait beaucoup, beaucoup…

Publié le 15 avril 2019 - par 
Trois jours après le match Dijon-Amiens, on continue d’en parler. Le malheureux capitaine Prince Gouano aurait donc été victime de cris racistes. Il est intéressant de regarder ces images, pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé. Parce que je trouve, tout en condamnant, bien sûr, l’auteur (un seul homme, apparemment) que le capitaine d’Amiens en fait vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup, et que cela devrait poser des questions.
On n’a d’abord aucune trace de l’incident, seule la parole du joueur paraît prise en compte. On peut se poser des questions. Ce match entre deux équipes mal classées était capital, et Amiens a tout intérêt à ce que Dijon, rival pour ne pas descendre, soit sanctionné. Mais le plus étonnant n’est pas là.
Comme le signalait Pierre Cassen, dans sa vidéo de dimanche, et que confirment les images télévisées, ce n’est pas l’arbitre qui décide d’arrêter le match durant cinq minutes, mais c’est le capitaine en personne qui fait sortir ses joueurs. C’est ni plus ni moins un abus, qui, normalement, doit être sanctionné. On voit par ailleurs les images compassionnelles de nombre de joueurs qui se comportent en petits Blancs honteux, prêtant le flan à la thèse du racisme, alors que seulement une personne, conspuée par le stade, aurait proféré des propos dont on n’a pas la preuve.
Ensuite, toujours dans la série Prince Gouano en fait beaucoup. Il nous fait le coup du joueur qui a beaucoup voyagé, professionnellement, dans cinq pays (dont la Belgique, la Turquie, les Pays-Bas, l’Italie, la Hollande), et qu’il faut que cela en France où, pour la première fois, il entende cela. Autrement dit, la France, qu’il appelle son pays, serait plus raciste que la Turquie. Ben voyons !
Au centre du scandale, bien sûr, il reçoit des soutiens de partout, de celle qui sert de ministre des Sports, du président de la Ligue, et de tout le monde du football. Et il la joue grand seigneur, expliquant qu’il pardonne à l’homme qui l’a insulté, qu’il envoie un message d’amour, au nom de sa foi, et qu’il ne déposera pas plainte.
Sa foi, c’est quoi ? Un catho qui a été joué en Turquie, je n’y crois pas trop. Quand je vois son physique et sa barbe, je me dis qu’il y a 9 chances sur dix que Prince Gouano soit musulman. Et le moins qu’on puisse dire est que, pour les antiracistes en pleine déroute idéologique, et pour ce régime qui institue des méthodes dignes d’une dictature pour faire taire les patriotes, cette affaire tombe à point.
Donc, tout en réprouvant les 0,01 % d’attitudes qui n’ont pas leur place dans un stade, je trouve que le nommé Prince Gouano, dont je n’avais jamais entendu parler avant cette affaire, en fait vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup…
Paul Le Poulpe

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