Notre-Dame : pourquoi je ne crois pas à un "accident" ! (16.04.2019)
Au lendemain de l'incendie dramatique de Notre-Dame de Paris, Pierre Cassen explique pourquoi il ne croit pas à la thèse de l'accident, que le pouvoir et les journalistes s'empressent évidemment de mettre en avant, alors que l'enquête n'a même pas débuté.
Dans un contexte de multiplication des vandalisations d'églises, le premier jour de la Semaine Sainte, cela lui paraît un peu gros.
Par ailleurs, il ne croit pas davantage à la sincérité de l'émotion feinte par Macron, et encore moins à celle de Mélenchon et de ses "Insoumis", qui passent leur vie à cracher sur notre civilisation, sur l'histoire de notre pays, et sur ce qu'il reste de catholicisme en France.
Il appelle nos compatriotes à en finir avec les collabos, et à voter enfin pour des candidats qui aiment vraiment la France. -------------------------------------------------------------
Plus de 1000 églises profanées par an, soit presque 3 tous les jours, mais Notre-Dame, c’est accidentel… Mais bien sûr ! Antifas, musulmans, services secrets (attentat sous faux drapeau : faire incriminer les deux premiers), pyromane sont les premières pistes à privilégier. Petit rappel : L’église Saint-Sulpice (Paris 6e) a été incendiée le 17 mars, l’église Saint-Jacques à Grenoble le 16 janvier 2019. Des centaines d’actes de profanation d’églises sont passés inaperçus en 2018 https://lislampourlesnuls.blogspot.com/2019/04/des-centaines-dactes-de-profanation.html
Incendie de Notre-Dame de Paris : le drame de notre nihilisme, Par Hélios d’Alexandrie
Notre-Dame brûle et le peuple de Paris regarde, se recueille, prie et chante des cantiques à la Vierge Marie.
Ferveur endormie, piété refoulée qui jaillissent soudain au spectacle du malheur ; car il s’agit bien d’un malheur et non d’une simple catastrophe. Paris frappé au cœur, Paris en deuil de lui-même, de son être profond, Paris égaré, Paris perdu comme le fils prodigue, découvre enfin le mal qui le dévore et le détruit comme ces flammes dévorent et détruisent Notre-Dame.
Mais c’est la chrétienté entière, même cette part d’elle-même, imbue de son succès et entichée de ses plaisirs qui découvrent soudain sa vérité profonde, le genre de vérité que seul un grand malheur est à même de révéler.
Oui il fut un temps où des gens simples, pieux, humbles mais grands, pouvaient rêver à quelque chose de très beau, de plus grand qu’eux et de plus durable, rêver et bâtir, non pas une simple cathédrale, mais une offrande en pierre à Notre-Dame et une leçon pour les hommes des siècles à venir. Cette offrande, qui se voulait également une prière, a traversé les siècles et nous l’avons reçue, non pas pour ce qu’elle est, mais pour ce que nous nous sommes contentés d’y voir : un chef-d’œuvre architectural, un bien culturel dont nous sommes fiers comme on peut être fier d’une pièce de musée. L’édifice a été conservé, les pierres ont été ravalées, les sculptures restaurées, les cloches remplacées, pour que Paris reste Paris et pour nourrir le plaisir de nos yeux.
Nous voilà à présent frappés au cœur, car les flammes qui dévorent Notre-Dame de Paris nous révèlent l’étendue de notre orgueil et le drame de notre nihilisme. Nous réalisons tout d’un coup la paralysie de l’âme que nous nous sommes infligée ; cette offrande en pierre qui brûle nous révèle le bois mort qui gît en nous, et cette prière qui a traversé les siècles nous dit l’étendue de nos lâchetés et de nos abandons.
Nous qui jetons un regard méprisant sur le Moyen-âge, comprenons à présent le pourquoi de notre mépris. Notre-Dame de Paris a été construite par des hommes de foi, et nous n’avons plus de foi ou si peu. Nous sommes tellement satisfaits de nous-mêmes de ne pas en avoir, qu’il ne nous reste qu’à mépriser ceux qui en ont eu en abondance et qui ont bâti de l’abondance de leur cœur.
Il ne nous reste qu’à contempler les ruines du brasier et rentrer en nous-mêmes pour découvrir les ruines qui encombrent nos âmes, nous voir tels que nous sommes mais aussi tels que nous pouvons être, car seule la foi profonde peut rebâtir nos âmes, générer l’amour et sauver le monde.
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Le 15 avril serait-il le 9 Ab 3949 des catholiques ?
Publié le 16 avril 2019 - par Charles Dalger
Sur Dreuz, un texte magnifique d’Hélios d’Alexandrie va dans le sens de la question en titre. Pour le monde entier, l’incendie de la cathédrale de Paris va très au-delà d’une simple catastrophe. L’accumulation des dates et des symboles est plus que troublante. Or, nous, Juifs, nous avons déjà vécu cela, en pire, à deux reprises. Et nous sommes toujours là, plus forts que jamais. Jamais, il n’y a eu plus de Juifs qui étudient et se rapprochent de la Torah, en Israël et dans le monde. Pour poursuivre l’analogie, nous sommes nombreux à voir dans l’effondrement de la gauche israélienne, et dans la montée du « populisme », un peu partout, le début de la fin du nihilisme mortifère, dont parle Hélios d’Alexandrie. Mais aujourd’hui, combien de Français de moins de trente ans savent-ils qu’on appelait la France, la « fille aînée de l’Église » ?
Que la pourriture à détruire, occupant le pouvoir en francekipu ait immédiatement déclaré, sans preuve, qu’il s’agit d’un accident, ne change rien. Que cet incendie soit prétexte aux simagrées et circonvolutions latérales, de la macronette des merdias, non plus. Que cet incendie survienne sous son règne destructeur, c’est une consécration !
L’incendie intervient alors que déjà plusieurs centaines d’églises (875) ont été profanées, dans une quasi-indifférence. Alors que la basilique de Saint-Denis, tombeau des fondateurs de la France, a subi non pas une, mais plusieurs dégradations volontaires, dont la plus récente, il y a quelques jours.
L’incendie intervient, alors que le web est envahi de photos du pape François baisant les pieds de musulmans. Ce comportement honteux de François 1er est opposé à celui de Benoit XVI. D’où les idées tout à fait naturelles, (surtout, pour ceux qui ont vu le « Parrain »), sur la cause réelle de l’étrange démission de Benoît XVI.
Tout de suite, les dons ont commencé à affluer pour la reconstruction de l’édifice. Certes. Mais à quoi bon reconstruire le monument, sans se poser les questions sur le pourquoi profond de la destruction ? Dans son texte publié sur Dreuz, Hélios d’Alexandrie fait déjà, une première réponse très pertinente.
Pour ceux qui ne le savent pas, le 9 du mois de Ab, (ou Av), c’est le jour d’été où chaque année, les Juifs pleurent la destruction des deux temples de Jérusalem. Le premier édifié par le roi Salomon et détruit en -535 par Nabuchodonosor, celui dont parle le célèbre opéra de Verdi, et le second, construit par Hérode et détruit par les Romains en l’an 70. L’une des fonctions du Temple c’était les sacrifices expiatoires d’animaux, mais aussi de végétaux. Pour les Juifs, Dieu contient l’univers tout entier. Il ne réside donc pas seulement dans le Temple. Depuis la destruction du deuxième temple, les Juifs jeûnent et se lamentent le 9 Ab. Tant et si bien que durant sa campagne d’Égypte, Napoléon 1er de passage à Jérusalem ce jour-là s’enquit des lamentations qu’il y voyait. Quand on lui eut répondu, il eut cette réplique superbe et prémonitoire : « Un peuple capable de pleurer la perte de son pays pendant dix-huit siècles mérite de le retrouver… » Les lamentations et le rappel des très nombreuses persécutions endurées, jusqu’à la Shoah, tout au long de l’Histoire, sont aussi une introspection. La Torah, c’est-à-dire la Loi juive, est explicite. À plusieurs reprises, Dieu dit : « Observez mes préceptes et Je vous bénirai. Abandonnez-les, et Je vous laisserai sans Ma protection. ». Chaque Juif doit réfléchir à ses fautes.
Mais c’est l’une des forces puissantes du peuple juif, dès le milieu de l’après-midi, les lamentations laissent la place au rappel des promesses divines positives. Car si Dieu est féroce quand Il le décide, Il a aussi juré à Son peuple non seulement de ne jamais l’abandonner, mais aussi de lui faire retrouver toute sa gloire. Notre génération, pas seulement les Juifs, a le bonheur inouï de vivre et de voir la concrétisation de cette promesse divine, malgré les inévitables péripéties.
C’est naturel que le présent texte paraisse sur Riposte Laïque. Car l’adjectif « laïque » est utilisé ici, dans son sens le plus noble. C’est-à-dire, non fermé, non sectaire, ouvert à toutes les idées non hégémoniques. Et comme le développe longuement Rav DYNOVICZ, ce que les Juifs appellent la « Guéoula », ce sera le règne des gens de bien. La tradition juive n’est ni hégémonique, ni même prosélyte. Selon elle, au temps de la Guéoula, (temps messianiques), les nations resteront les nations. Les « rites juifs bizarres », n’incombent qu’aux seuls Juifs. Il n’est jamais question de les imposer à qui que ce soit. Les Juifs sont très peu nombreux (0,2 % de la population mondiale) et nous avons le devoir d’être discrets. Donc, aux tordus extrémistes, de toutes confessions, nous opposons que : une société saine et responsable peut tolérer quelques exceptions ne causant de préjudice à personne, pour une infime minorité discrète, mais jamais, les extravagances gênantes d’une foultitude.
Quoi qu’on dise, l’Église catholique a officiellement et formellement commencé à regretter ses fautes envers les Juifs, avec le Concile Vatican II. Même si, encore, de nombreux catholiques ne sont pas d’accord. Durant l’Histoire et dans presque tous les pays, l’Église catholique a souvent persécuté la minuscule minorité juive, entre des moments plus paisibles. Par exemple, l’Histoire de France occulte l’antisémitisme féroce de Louis IX, l’un des bâtisseurs de la cathédrale. Ce regret officiel est donc fondé. Par contre, l’Église catholique n’a rien à se faire pardonner par l’islam hégémonique et nombreux. Si des catholiques ont été en guerre contre des musulmans, l’église catholique n’a jamais persécuté les musulmans parce qu’ils étaient musulmans. Ce n’est pas la même chose. Pour cette raison, l’auto humiliation du pape François est abjecte.
De son côté, le monde musulman est empêtré dans ses propres dogmes. En effet, les deux principales composantes actuelles de l’islam, sunnisme et chiisme, interdisent de s’écarter du sens littéral des versets du Coran. Cela aboutit à d’énormes contradictions. En particulier, à propos de toutes les injonctions sanguinaires qu’on y trouve, à l’encontre des non-musulmans. Aujourd’hui, le musulman croyant est forcé de faire siennes ces injonctions sanglantes. Quand il prétend le contraire, il fait « taqîya », c’est-à-dire, il ment par opportunité. Mais dans l’islam, comme partout ailleurs, tous les musulmans sont loin d’être orthodoxes. De plus, il a existé des périodes durant lesquelles les versets du Coran pouvaient être interprétés. De nos jours, il existe des branches minoritaires de l’islam pratiquant cette interprétation dans un sens paisible. Les Ismaéliens par exemple. L’Église catholique a mis près de vingt siècles pour commencer à reconnaître ses fautes envers les autres. Devrons-nous attendre aussi longtemps pour que l’islam actuel se réforme lui-même ? Et pourtant, l’islam reconnaît le christianisme et le judaïsme. Mieux, même maintenant, les érudits musulmans confirment que la terre d’Israël a été donnée aux Juifs. Sauf que la plupart contestent que les Israéliens soient les Juifs en question.
Dans tous les cas, l’incendie de N.D. de Paris fait ressortir ce que le matérialisme avait tenté de faire disparaître, c’est-à-dire le besoin inné de transcendance chez les humains. Les chrétiens appellent cela la foi. À notre modeste niveau, c’est exactement ce qu’exprime notre ami, le très athée Pierre Cassen, dans son coup de colère d’aujourd’hui. J’ai beaucoup d’autres amis agnostiques de cette qualité. C’est à ce titre que j’exprime ma sincère compassion à mes nombreux amis catholiques et chrétiens. Que notre confiance totale en l’Éternel les inspire.
Le reste de liberté du web permet de voir des milliers de déchets nazislamistes se réjouir et fêter l’événement, en francekipu, et partout où cette engeance nuit. Les antijuifs primaires, accusent les « sionistes » de l’incendie. Nous voyons aussi des réactions vengeresses de Juifs. Quoique ces réactions individuelles de Juifs soient fondées sur l’histoire réelle. Or par définition, l’Histoire appartient au passé, pour les faits. Car le conflit de fond, celui des idées, perdure. Et la sagesse doit l’emporter, pour que ce conflit ne soit plus jamais sanglant. Un geste profond et fort serait de reconstruire Notre-Dame de Paris en y supprimant les allégories antijuives, en particulier, les statues de la façade.
Charles DALGER, le 16 avril 2019
L’incendie de Notre-Dame ne peut-il être qu’un hasard malencontreux ?
Ce matin, Notre-Dame de Paris est en état de désolation après l’incendie qui l’a en grande partie ravagée. Les catholiques sont atterrés, ils sont tristes et ils pleurent. Les Parisiens se sentent dépossédés et les Français sont abasourdis et incrédules devant cette catastrophe sans précédent dans notre pays. Les Occidentaux (de Paris à New-York en passant par toutes les capitales européennes) ressentent avec effroi l’amputation d’un des symboles les plus emblématiques de leur civilisation. Et je demeure prostré devant ce spectacle cruel, face à cette blessure qui me paraît être irréparable, une perte abominable.
Ailleurs, sur les réseaux sociaux (je les ai consultés avec stupéfaction mais sans toutefois trop d’étonnement) mais aussi dans les cités (l’écho m’en a été fait par des amis fiables), les muzz se réjouissent de ce qu’ils croient être une punition d’Allah contre les infidèles et les mécréants. Leurs messages, dont on a du mal à lire et saisir la signification, tant ils sont écrits dans le charabia des incultes ignares et crédules qu’ils sont, sont l’expression de la haine qui émane de leur démon intérieur. Ce démon intérieur qui chuchote en permanence à leur oreille complaisante et niaise les sourates belliqueuses et menaçantes du Coran sur les kouffars au corps desquels je revendique mon appartenance.
Avez-vous lu cela dans un organe de presse national ou régional ? Non bien entendu !
Pour ma part, j’ai peine à croire qu’un édifice aussi imposant et aussi emblématique que cette cathédrale, neuf fois centenaire, puisse être abattu par une étincelle, un simple accident de chantier. Je ne peux croire qu’un incident initial mineur provoqué par une négligence insouciante et coupable ait pu provoquer un tel chaos. Cela me paraît simplement improbable et d’ailleurs si le hasard avait pu faire cela ici, il l’aurait déjà fait des milliers de fois ailleurs, ce qui n’est pas le cas.
Pourtant, les jacasseurs encartés et institutionnalisés, tous ceux qui sont chargés de relater l’événement, paraissent accréditer, sans le moindre doute, la thèse de l’accident. C’est une fois de plus le flot de la pensée unique qui s’impose et tente d’imposer « sa vérité » dans l’esprit de ce peuple méprisable car trop souvent rebelle et curieux. Ne cherchez pas, il n’y a rien à trouver. Contentez-vous de vous lamenter, accessoirement d’abonder à la contribution pour la reconstruction.
Le bon sens commanderait pourtant de s’interroger sur la vélocité de l’embrasement, sur la rapidité avec laquelle le foyer, forcément limité au commencement, a abouti au désastre en moins de 3 heures. D’ailleurs, n’y eut-il qu’un seul départ ? Ou bien l’incendie en a-t-il eu plusieurs ?
Or, de tout cela, il n’est pas question sur les ondes officielles. On n’y entend que les habituelles jérémiades et pleurnicheries aussi coutumières que vaines, qui, si elles sont légitimes chez les croyants blessés au cœur, le sont beaucoup moins chez les « officiels » dont nous serions en droit d’attendre une attitude plus cohérente, responsable et courageuse.
Qui voudra bien rappeler que ce drame atroce survient après une année qui aura connu d’innombrables profanations d’églises dans notre pays ? Il y en eut 104 au cours du premier trimestre de 2019. Certains organes spécialisés avancent le chiffre de 3 par semaine depuis 5 ans. Cela a fait bien moins de bruit que les vétilles adresser à l’islam, la nouvelle « coqueluche » de nombres de nos pressentis intellectuels chroniqueurs ou politiciens… July, Cohn-Bendit, Joffrin, Askolovitch, tous convertis à une espèce d’islamo-libéralisme…
Il y a 3 ans à peine, trois femmes muzz furent empêchées de faire exploser une voiture piégée précisément devant la cathédrale de Paris.
Un événement grave passé quasiment inaperçu, et en tous cas oublié par beaucoup. Imaginez, ne serait-ce qu’un instant, quel bruit un tel acte aurait produit si, au lieu de Notre-Dame et de trois muzz, il s’était agi de trois Gaulois devant la grande mosquée de Paris.
Alors, certes, en l’état actuel des choses, il n’est pas possible de conclure avec une certitude absolue que la mise à terre de Notre-Dame de Paris soit un fait terroriste plutôt qu’un banal accident de chantier. Cependant rien ne permet non plus d’exclure totalement une telle hypothèse, laquelle n’aurait rien de surprenant compte tenu du contexte. Les ordres qui seront donnés aux officiers de la DRPJ permettront- ils à ceux-ci d’investiguer sans tabou ? Et en admettant que cela soit, la vérité sera-t-elle divulguée avec la publicité qui conviendrait ?
Compte tenu des précédents parfois évoqués aujourd’hui mais tus, cachés au moments des faits (il y a 25 ou 30 ans), je crois que nous avons le droit d’en douter. Nos pouvoirs publics sont passé maîtres dans l’art de dire certaines choses et de faire l’inverse. Ils ont, par exemple, fustigé la polygamie importée par des muzz d’origine subsaharienne, mais ils lui ont permis, de fait, de devenir coutumière sur le territoire de la République et de plomber les comptes de la Sécurité sociale.
Ils ont longtemps affirmé avec morgue et assurance que les seules lois prévalant en France étaient celles de la République et on se rend compte aujourd’hui que d’autres lois, pourtant illégitimes, ont droit de cité au prétexte du droit à la différence. Qui se souvient que le 19 septembre 1981, à Paris, la déclaration islamique universelle des droits de l’homme a été proclamée en contradiction de la déclaration universelle des droits de l’homme ? Nos hommes politiques ont autorisé cette infamie. Un mensonge de plus ou un mensonge de moins, ils ne sont pas économes de ce genre d’extravagance.
Alors, aujourd’hui, je ne sais pas si l’incendie de la cathédrale de Paris est dû à un hasard satanique mais je n’exclus pas la possibilité qu’il soit le fait des pires ennemis de notre République, de notre culture et de notre civilisation. Je cite ceux qui font passer les lois de leur conviction avant celles de la France. Je pense en avoir le droit.
Jean-Jacques FIFRE
Je ne donnerai pas un sou pour reconstruire Notre-Dame de Paris
Le soir même où le président Macron allait expliquer aux Gilets jaunes encore valides ou éborgnés comment ils doivent se passer de ce dont ils ont un besoin vital, Notre-Dame de Paris s’est enflammée. Il n’a pas fallu longtemps pour que l’Élysée voie dans cet incendie l’opportunité d’allumer son contre-feu à la révolte du bas peuple.
Promptement, le chef de l’État a donc en grandes pompes annulé sa grand-messe devant les caméras de télévisions et la presse, à ses pieds prosternées. Le même qui nie les racines et l’Histoire de France s’est métamorphosé en re-bâtisseur de cathédrale. L’édile de la capitale, Notre Drame de Paris (1), Anne Hidalgo, a aussi versé quelques larmes de crocodile. Les deux tartuffes qui ne sourcillent pas lorsque depuis des mois des églises de France sont vandalisées, souillées, profanées et essuient des départs de feu inexpliqués, se font tout à coup les ardents défenseurs du mythique monument catholique de Paris. Et de la foi qui va avec, pour mieux fourguer leurs programmes de mai, tels des camelots de foire. Le silence dont ils ont fait montre face à ces exactions les accable mais n’étouffe pas leurs jérémiades :
Au plus fort de l’incendie filmé et commenté dans la soirée, la presse-relais se faisait déjà l’écho d’une cause accidentelle. Commode. Mais à prouver. À expliquer surtout comment un chantier pareil ne faisait pas l’objet d’une surveillance accrue.
J’ai été agent de sécurité dans une grande manufacture et chaque fois que des travaux avaient eu lieu dans la journée, notre responsable de la sécurité (un ancien capitaine des pompiers de Marseille, habitué à des gigantesques incendies de navires et de pinède) adaptait les heures de passage de nos rondes. Il fallait passer plusieurs fois mais laisser le temps de repérer un feu qui couve. Un registre de tous ces ordres et leur exécution était tenu. On veillait particulièrement aux suites de l’usage des chalumeaux et des meuleuses. C’était dans les années 80/85.
À expliquer aussi pourquoi Notre-Dame de Paris ne faisait pas l’objet d’autant attentions que certaines mosquées. Y aurait-il eu deux poids et deux mesures ?
Autant d’éléments que l’enquête devra mettre en lumière. Pour l’heure, selon le procureur : « une piste accidentelle est privilégiée à ce stade ». « Notre-Dame : pour le procureur de la République de Paris, « rien, en l’état, ne va dans le sens d’un acte volontaire » » source BFM TV.
Les attaques d’églises (et de cimetières chrétiens) sont régulièrement dénoncées mais Macron reste sourd.
Évidemment, avec des « penseurs » comme Kropotkine ou Buenaventura Durruti – qui lui a piqué la formule –, pour qui « la seule église qui illumine est celle qui brûle », je m’attendais à ce que les anar…
Visiblement, l’effroyable incendie qui a ravagé, hier au soir, la cathédrale Notre-Dame de Paris, et qui a ému le monde entier – j’ai personnellement reçu plusieurs messages touchants des États-Unis –…
Il s’agit de l’église Saint-Bonnet (paroisse Saint-Joseph-entre-Monts-et-Forêts). Les faits se sont produits à l’abri des regards entre le 12 et le 15 avril, place de l’Abbé-Larue à Écoche, dans le Roan… source : https://christianophobie.fr
Nous Sommes Partout assène :
« L’ennemi est dans la place et protégé par la « République » née du sang de 1789, du martyr de notre peuple.
Chrétiens de France, priez. Vous avez abandonné la foi de vos pères, vous n’avez pas entendu le message de Mgr Lefèbvre « L’islam, je suis désolé, la France est une terre chrétienne », ni celui de la Sainte Vierge.
S’il y a un châtiment ce soir, c’est celui du chrétien dévoyé, des Français pervertis par une République vendue au veau d’or qui accélère la destruction de notre France éternelle.
Encore n’est-ce peut-être pas encore un châtiment mais un simple avertissement. Priez.
« Mais Dieu fit descendre du ciel un feu qui les dévora ; et le diable qui les séduisait fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où la bête et le faux prophète seront tourmentés jour et nuit dans les siècles des siècles. » Apocalypse de saint Jean, 20.
Scandalisé par l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, Pierre Cassen exprime une énorme colère.
Il replace cette catastrophe dans le contexte actuel de multiplication d’actes de vandalisme contre nos églises et nos cimetières. Il énumère un ensemble de crimes antichrétiens, et dénonce le silence des autorités françaises…
Derrière Macron, ils font chorus pour ce grand élan national, le cœur sur la main, toujours prêts à émouvoir le gogo pour lui faire cracher la monnaie, et d’abord en tant que contribuable :
– L’APVF (petites communes de France) invite les communes désireuses d’exprimer concrètement leur solidarité à transmettre leurs dons à la Fondation du patrimoine
– La région Auvergne-Rhône-Alpes débloque 2 millions d’euros
– Dernière minute
Charlie Hebdo a décidé de consacrer sa une à l’incendie de Notre-Dame de Paris, avec sa patte satirique en avançant sa parution.
Liste non exhaustive, et pourquoi pas l’argent des radars tourelles pour Notre-Dame de Paris (pas l’argent qu’il vont racketter aux automobilistes, mais celui de leur facture de fabrication et d’installation).
– Le pape souhaite la « mobilisation de tous » pour reconstruire Notre-Dame et appelle à la « mobilisation de tous » pour que la cathédrale Notre-Dame puisse redevenir « le joyau architectural d’une mémoire collective » (sic).
Notre-Dame : pourquoi le parquet a-t-il délibérément exclu toute piste criminelle ? Publié le 16 avril 2019 - par Jacques Guillemain - 4 commentaires - 25 794 vues
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C’est avec le cœur lourd que le peuple français s’est réveillé ce matin.
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Hier soir, pendant des heures, nous avons assisté, impuissants, à la lente agonie de Notre-Dame, pendant que 400 pompiers tentaient désespérément de la sauver.
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Tristesse infinie, incrédulité, colère et désarroi, tous ces sentiments se bousculaient dans la tête des citoyens médusés, qu’ils soient français ou étrangers, croyants ou athées. Pour des millions de Français, les terribles images qui défilaient sous nos yeux avaient un goût insupportable de fin du monde.
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Car c’est en plein cœur que Paris, la Ville Lumière, a été frappée avec l’incendie qui a dévasté Notre-Dame. Les larmes ont coulé quand la flèche de la cathédrale, culminant à 93 mètres de hauteur, s’est effondrée sur elle-même, enveloppée dans les flammes. Image aussi terrifiante qu’inoubliable.
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On a déjà tout dit sur ce chef-d’œuvre de l’architecture médiévale que nous ont légué nos ancêtres et qui fait partie de notre Histoire, de notre identité, de notre culture, comme aucun autre monument.
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Notre-Dame, c’est 900 ans d’Histoire de France, c’est l’image du savoir-faire inégalé de nos architectes et tailleurs de pierre du Moyen Âge.
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Visité chaque année par 14 millions de touristes du monde entier, cet édifice prestigieux est devenu le symbole de la France, un joyau de la chrétienté.
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Qui, à travers le monde, ne connaît pas Notre-Dame, cette merveille de l’humanité classée au patrimoine de l’Unesco ?
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Dieu merci, grâce au courage et à la ténacité de nos soldats du feu, dont l’un a malheureusement été blessé, ainsi que deux policiers, le monument le plus visité d’Europe a été sauvé et pourra être reconstruit. Hier soir, les pompiers ont fait le maximum et Dieu a fait le reste.
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Le trésor de Notre-Dame, la couronne d’épines du Christ, la tunique de Saint Louis, l’orgue principal et l’essentiel des œuvres d’art ont été mis à l’abri.
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Et si les dégâts sont immenses et que le spectacle de ces ruines fumantes est effrayant, la France avec ses innombrables talents dans tous les corps de métiers, va s’atteler à la tâche et reconstruire cette prestigieuse cathédrale chargée d’histoire.
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Ce sera long, cela va durer des décennies. Seules les jeunes générations reverront Notre-Dame comme elle était avant cette tragédie. Mais ce monument revivra et traversera les siècles futurs comme notre France éternelle.
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Les dons affluent de France et du monde entier. Ce matin, ce sont déjà plus de 300 millions qui ont été annoncés par les généreux donateurs.
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Mais maintenant se pose la question essentielle : Quelle est l’origine de cet incendie ?
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Dès hier soir, le parquet ouvrait une enquête pour « destruction involontaire par incendie », écartant d’emblée la piste criminelle, alors que le feu n’était pas encore maîtrisé et qu’aucun élément ne permettait de privilégier la piste accidentelle.
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Le parquet sait très bien qu’il faudra plusieurs jours d’enquête pour déterminer les causes réelles de cet incendie. Comment peut-il délivrer les conclusions d’une longue enquête qui n’a pas commencée ? C’est hallucinant.
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Mardi 16 avril à 19 h, les 50 enquêteurs désignés n’ont pas encore pénétré dans l’enceinte de la cathédrale, où le feu a pu détruire des preuves. Mais le procureur a déjà rendu son verdict : Seule la piste accidentelle est retenue !
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C’est dire combien la peur de découvrir un acte criminel, un nouvel attentat d’origine islamique, tétanise nos dirigeants. Cette peur est pitoyable.
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Mais cette précipitation du parquet à évacuer la piste criminelle fait craindre que la vérité nous soit cachée si d’aventure l’enquête révélait un acte terroriste.
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Bien des questions se posent et le peuple français, mais aussi le monde entier, doivent connaître la vérité, aussi tragique et dérangeante puisse-t-elle être.
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Politiquement correct oblige, les médias ont aussitôt condamné tous ceux qui penchent pour la piste criminelle et s’interrogent à juste titre.
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Comment un feu a-t-il pu se déclarer à 18 h 50 alors que les ouvriers avaient quitté le chantier à 17 h 30 ?
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Comment un feu peut-il se déclarer alors que tout ce qui est susceptible de provoquer un incendie est interdit sur le chantier ? (câbles électriques, soudures)
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Comment un feu peut-il se propager aussi vite s’il n’y a pas plusieurs foyers simultanés ?
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Comment ne pas avoir de soupçons quand chaque jour deux églises sont profanées, saccagées ou brûlées dans notre pays ?
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« Selon PI-News, un site d’information allemand, 1 063 attaques d’églises ou de symboles chrétiens (crucifix, icônes, statues) ont été déclarées en France en 2018. Soit une hausse de 17 % par rapport à 2017 (878). Le rythme des attaques va croissant. » ( Gatestone Institute )
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« Un article de janvier 2017 a révéléque les « attaques extrémistes islamistes contre des chrétiens » avaient augmenté de 38 %, passant de 273 attaques en 2015 à 376 en 2016”. Continuer l’article.
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Et comment ne pas être intrigué par cet incendie qui se déclenche comme par hasard en pleine Semaine sainte ?
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Il est consternant de voir tous les médias, qui s’empressent d’accabler la sphère identitaire qui s’interroge, passer sous silence les torrents de haine et de joie que déversent de nombreux musulmans sur les réseaux sociaux.
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Ce ne sont pas un ou deux tweets isolés qui ont été évacués, mais des milliers de messages haineux qui ont été ignorés par la presse. C’est gravissime.
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Pour ces fanatiques, l’incendie de Notre-Dame est la vengeance d’Allah.
La presse servile, qui se garde bien de dénoncer ces tweets barbares, ne se grandit pas. Elle est même complice en taisant l’indéfendable.
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Face à un tel déferlement de haine, qui illustre une fois de plus la grande illusion du « vivre- ensemble », comment ne pas envisager la piste criminelle d’origine islamique ?
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D’ailleurs, la polémique commence à enfler. Désaccord total entre la parole officielle et certains experts, sur le lieu de départ du feu et sur sa vitesse de propagation totalement anormale, sauf présence de liquide inflammable.
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De son côté Nicolas Dupont-Aignan souhaite une commission d’enquête pour faire toute la vérité. Preuve que le gouvernement évacue un peu vite la piste criminelle…
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Mais on nous dit déjà qu’il est possible que nous ne connaissions JAMAIS la vérité à 100%. Autant dire que s’il s’agit d’un acte criminel d’origine islamique, il y a peu de chance pour le gouvernement joue cartes sur table.
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Pour conclure, piste criminelle ou pas, les diverses réactions à cette catastrophe prouvent une fois de plus qu’il est grand temps de fermer les frontières, si on ne veut pas connaître des lendemains tragiques et un embrasement de la société.
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Tous les partis en appellent à l’unité nationale pour affronter cette lourde épreuve. Mais soyons lucides, il n’y a plus d’unité nationale depuis longtemps. La France est déjà éclatée, sous les coups d’une immigration de masse qui refuse de s’intégrer. Il est temps de se réveiller.
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Et ne comptons pas sur Macron pour nous protéger. La France, il n’a cessé de la salir et de l’insulter à l’étranger. Seuls les partis patriotes pourront nous éviter le pire.
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Jacques Guillemain
Notre-Dame détruite, à cause de Macron, qui préfère protéger les mosquées !
Ce soir j’avais prévu, couteau entre les dents, de déchiqueter Macron et les mensonges qu’il s’apprêtait à nous servir en réponse aux doléances des Français… du moins les rares qui se sont rendus au « Macron Circus » pompeusement appelé « Grand Débat », alors qu’il s’agissait uniquement d’entendre le pitre élu chef d’État pérorer sur les sujets qui lui tenaient à cœur, après avoir soigneusement éliminé ceux qui lui déplaisent, et évincé les importuns ne pensant pas comme sa grandeur !
Mais c’est partie remise, paraît-il… parce que ce soir, la France est en deuil d’un de ses plus beaux fleurons, connu, admiré, respecté dans le monde entier, et pas seulement sur le plan religieux, mais aussi artistique, culturel et historique.
Combien d’événements majeurs se sont déroulés sous ses voûtes ? Combien d’humains de par le monde ont rêvé de venir arpenter un jour ses allées, le nez en l’air et les yeux émerveillés de tant de beauté, songeant au talent et au fabuleux courage qu’il a fallu pour la construire durant tant d’années ?
Notre-Dame de Paris a résisté à tout, a traversé les siècles sans jamais s’écrouler, avec juste quelques toilettages indispensables à une vieille dame de cette valeur.
Mais aujourd’hui, alors que précisément des travaux de rénovation avaient commencé, un incendie ravageur se serait déclaré à 18 h 50 (alors que les ouvriers avaient quitté le chantier à 17 h 30) et s’est propagé à grande vitesse.
Que s’est-il passé pour que cette horreur intervienne ?
Les chaînes télévisuelles ont eu beau se donner un mal fou toute la soirée pour présenter, mine de rien, la version subliminale d’une éventuelle conséquence des travaux en cours… le doute est plus que permis puisque tout ce qui est susceptible de provoquer un feu serait logiquement interdit sur ce précieux chantier ; ni soudures, ni câblages électriques… Alors quoi ?
Bien évidemment une enquête va avoir lieu, mais lorsqu’il nous reste si peu, voire plus du tout, de confiance dans l’équipe gouvernementale actuelle composée de collabos avec les tenants de l’islam qu’ils nous interdisent de critiquer, il n’est pas interdit de nourrir une légitime suspicion selon laquelle, en cas de découverte d’un acte criminel, nous n’en serions pas avertis tout de suite… en tous cas pas avant les très prochaines européennes… si tant est que nous ayons droit un jour à la vraie vérité.
D’aucuns trouveront sans doute que la tristesse et l’amertume me font « déparler » en suggérant des accusations sans preuves, et justement, pour l’instant il n’est question que de suspicion, non d’accusation implacable, mais personne ne m’empêchera de penser que deux et deux font toujours quatre, et qu’il se pourrait donc, en additionnant certains faits récents, que ce curieux incendie ne soit pas le fait du hasard…
Qu’il ait lieu seulement quelques semaines après le saccage de la Basilique de Saint-Denis où reposent certains de nos rois et reines… (*)
En pleine Semaine sainte…
Dans des circonstances pour l’instant très troubles…
Ne sont-ils pas des faits rendant plausible le soupçon d’un éventuel attentat islamiste, puisqu’il est évident qu’il n’y a que dans cette prétendue religion d’amour que l’on trouve tant de haineuses destructions d’édifices religieux chrétiens ?
Écoutez la colère froide de Pierre Cassen formulée dans sa seconde vidéo de la journée :
Et prenez connaissance de quelques manifestations d’amour et de respect de certains musulmans fusant sur les réseaux sociaux ; ces sous-hommes et femmes osant rapprocher l’incendie d’une cathédrale avec l’innocent jeu de mot de l’adolescent qui hier recevait des menaces de mort pour avoir osé « se moquer » (en mot seulement) de leur précieuse Mecque !
À la moindre contrariété « les pauvres innocents » se prétendent victimes, stigmatisés… pour rien… et ce serait nous les haineux, les racistes, les fascistes ????
Mais au-delà de cette rage envers cette « communauté » qui glapit au scandale dès qu’on ose jeter trois lardons devant une mosquée… c’est la terrible envie de hurler face aux vrais responsables de ce « crime » car à ce stade ce n’est plus un drame mais un crime !
Et les vrais responsables sont ceux qui ont permis que l’on puisse s’introduire dans ce prestigieux monument, alors que par ailleurs les mêmes ont organisé avec soin la protection des mosquées !
Ces tordus n’ont jamais levé le petit doigt ni même élevé la voix à chaque saccage des édifices religieux des chrétiens, qui sont pourtant légions… et sont bien plus occupés à poursuivre les méchants Français qui ne cessent de stigmatiser ces pauvres musulmans dès qu’un attentat est commis dans le monde…
Nous avons d’ailleurs ci-dessus un haut exemple de la droiture, de l’humanité et du respect d’autrui, pratiqué par les gentils musulmans… incapables de faire une quelconque différence entre une plaisanterie orale et un acte gravissime…
Et que dire de cette photo où deux d’entre eux se réjouissent sans vergogne au milieu de citoyens atterrés !
Alors oui, devant ces évidentes marques de haine envers les chrétiens, j’estime absolument normal et légitime une telle suspicion !
Et entendre Macron ce soir pérorer devant les caméras, promettant « cette cathédrale nous la rebâtirons » et osant parler de « notre Histoire », lui qui a affirmé il y a peu que la France n’en avait pas(**), m’a jetée dans colère folle contre ce traître qui, dès demain, en fera des tonnes devant les presses mondiales, n’ayant aucun mal à surpasser Hollande avec ses pitreries « je suis Charlie » et la supercherie de sa « marche républicaine » en 2015.
Regardez-les bien tous ces faux culs, autour de lui : ils sont tous responsables (et coupables) de la tragédie qui s’est jouée ce jour, puisque tous, scandaleusement, pratiquent la préférence étrangère poussée à un point effrayant… qui ne peut que leur exploser au nez un jour… que j’espère très prochain !
Ce n’est certainement pas Christine Tasin qui me contredira, puisqu’elle a immédiatement pensé à la même horreur d’un attentat islamiste ; et nous ne sommes sans doute pas les seules, sachant à quel point les musulmans haïssent les chrétiens, au point de s’en prendre toujours à leurs édifices religieux, et ce n’est pas les mômeries que les faux insoumis de Mélenchon(qui déteste les cathos)et tous les sales hypocrites « bien-pensants » nous joueront à coup sûr ces prochains jours, qui me feront changer d’avis.
D’ailleurs, j’emprunte à Christine la conclusion de son ardent article écrit avec le cœur :
« Si c’est ce que l’on craint, ce que l’on croit, au-delà du coup de poignard reçu dans le cœur, c’est la haine à l’état pur qui surgit au fond de nous. S’« ils » ont osé s’en prendre à Notre-Dame de Paris, cela pourrait bien être le début d’une guerre civile terrible. On ne peut pardonner un tel blasphème, une telle attaque au cœur ».
Il y a des monuments qui, à eux seuls, sont notre Histoire. Parmi ces derniers, citons le château de Versailles, le Louvre et… Notre-Dame de Paris, vaisseau-amiral d’une France dont on voudrait oublier qu’elle demeure, de toute éternité, la fille aînée de l’Église.
Il serait vain, dans ces lignes, d’égrener tous les souvenirs qui me lient à « ma » cathédrale. J’y entrais comme on entre chez un ami, déambulant ou priant. Sous cette masse de pierre, je me sentais à l’abri. Je parle de moi, mais nous avons tous une histoire intime à raconter à propos de cette Dame de pierre qui, en 2013, fêtait ses 850 ans.
Pour mémoire, voici quelques noms liés à cet édifice cruellement blessé lundi soir :
– XIIIe siècle : le corps de Saint Louis, après maintes tribulations, est rapatrié de Tunis et veillé dans Notre-Dame. Le même Saint Louis avait fait, de son vivant, l’acquisition de la Sainte Couronne d’Épines (instrument de la Passion du Christ), affectée au Trésor de la cathédrale depuis 1806
– 1572 : Henri de Navarre (futur Henri IV) y épouse Marguerite de Valois (la Reine Margot)
– 1804 : Napoléon y est sacré empereur des Français
– 1944 : le 26 août, après avoir descendu les Champs-Élysées, le général de Gaulle assiste à un Te Deum dans la cathédrale.
Maintenant que les tenants d’un mondialisme – dont ils savent qu’il tue les identités des peuples, à commencer par la nôtre – retiennent leurs larmes pleines d’un fiel souterrain, lequel, tel un acide, ronge le corps de la France. Les chrétiens et leurs sanctuaires importent peu à ces gens-là et, comme le rappelle Pierre Cassen dans la vidéo suivante, les édifices catholiques sont les plus touchés par les profanations, autrement plus graves qu’une tranche de jambon sur une grille de mosquée :
Idem, et par avance, qu’Emmanuel Macron et ses sicaires ultralibéraux ne récupèrent pas cette catastrophe pour exhorter les Gilets jaunes à ne pas manifester samedi prochain : l’indécence a, elle aussi, ses limites, je veux le croire !
Parlons maintenant de ceux qui se sont réjouis de l’incendie de Notre-Dame de Paris ; ceux-là mêmes qui ne dédaignent pas de profiter des bienfaits matériels de notre pays au lieu de retourner là où leur haine est légion !
Parmi ces pourritures – je n’ai pas trouvé de synonyme adéquat ! –, Hafsa Askar, vice-présidente de l’Unef, a ainsi écrit : « jusqu’à les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vs aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs ». Un autre de son acabit, un certain Nadjib Maiche : « J suis très heureux pour vous nchallah plus que ça nchallah tout Paris en feu ». Une autre sortie : « Dommage yavais pas des juif à l’intérieur on aurai pu faire un bon coup » (@majinali7_5).
J’ai respecté la syntaxe de ces sous-êtres… ! Cela dit hors de toute considération raciale car, je le rappelle, il existe des Arabes chrétiens, de moins en moins nombreux, hélas, puisque exterminés par une « religion de paix et d’amour », vous connaissez la chanson ! Quant aux pouvoirs publics, ils comptent faire quoi face à de telles immondices verbales : se taire pour acheter ce qu’ils appellent la paix sociale ?! Nous, nous ne voulons plus nous taire !
Côté médias, le terme « au-delà de la symbolique religieuse » pour désigner la cathédrale martyre, c’est sans doute pour ne pas discriminer ?! Mais à votre avis, bandes d’ânes, la destination de Notre-Dame c’était une salle de sport ?! Oui, c’est un sanctuaire catholique, ne vous déplaise !
Enfin, et après avoir remercié les pompiers pour leur abnégation et leur courage, j’en appelle à toutes les bonnes volontés afin de participer – dans la mesure de leurs moyens, évidemment – à la souscription nationale lancée pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris.
Quoi qu’il en soit, souvenons-nous : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16.18).
Puisse l’incendie de Notre-Dame ne pas être le signe de notre disparition. Il nous appartient d’agir pour que tel ne soit pas le cas…
Charles Demassieux
(Photos : Charles Demassieux)
Notre-Dame : gauchistes dégénérés et pourritures muzz ricanent
Publié le 16 avril 2019 - par Jean Sobieski- 26 350 vues
Le plus puant de tous : l’Unef : Union Nationale des Étudiants de France. La présidente porte voile, mais ce n’est pas celui de Marie. Tu les dissous quand, ceux-là, Choupinet ?
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