lundi 15 avril 2019

Un gamin de 15 ans fait une blague sur La Mecque, la musulmanie le menace !

Fallait Pas Supprimer  📸@FallaitPasSuppr
Pour ceux qui se demandent ce que fout le HT #JeSoutienHugo #JeSoutiensHugo en TT
C'est au sujet du twittos @Hug_pat, un ado menacé après avoir twitté ceci :



Un gamin de 15 ans fait une blague sur La Mecque, la musulmanie le menace !
Pour une blague bien anodine sur La Mecque, un gamin menacé de mort !
La plus fausse des religions qui se prétend la vraie s’enflamme pour une blague :





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C'est quand qu'on calme les mahométans ???

Un gamin de 15 ans fait la blague la plus anodine du monde (il compare la Kaaba à un jeu télé sur Gulli...) et t'as toute l'islamie qui débarque pour sa tête ?!

Mais envoyez l'armée nom de Dieu !



Y’a du monde In The Boite ptdr, au dessus de l’image de la Kaaba !
Tel est le blasphème qui fait rugir les modérés comme il se doit de les présenter !

Je ne reproduis pas les extraits des twitts les plus ignobles…
Désignation de son établissement…
Appel pour le moins à l’agression…
Insultes !
C’est ce que nos politiques, nos média, nos bobos appellent l’enrichissement et qu’ils appellent à venir toujours plus nombreux menacer nos enfants, nos familles, nos concitoyens !
Si ce gosse a effectivement des problèmes, même de « simple » harcèlement, la responsabilité est sur eux !
.
Pour les tenants de la plus fausse des religions, ils devraient plutôt s’inquiéter de l’arnaque de La Mecque ! Rien ne s’y trouvait avant le 9ème siècle… Une construction deux siècles postérieure à l’histoire (théorique) de l’origine de l’iSSlam et du prétendu prophète Momo !
Dan Gibson, historien canadien spécialiste des Nabatéens, affirme d'après ses recherches que les musulmans prieraient en fait dans la mauvaise direction. Selon lui, la ville des origines de l'islam ne serait pas La Mecque mais Pétra, en Jordanie.
Il a détaillé ses recherches dans ses livres ("Quranic Geography," , Independent Scholar's Press, 2011 et "Early Islamic Qiblas: A survey of mosques built between 1AH/622 C.E. and 263 AH/876 C.E"., Independent Scholar's Press, 2017). Il propose avec le documentaire "La Ville Sacrée" une présentation de certains arguments en faveur de sa thèse : archéologie, photographie satellite, manuscrits anciens...
Site associé au documentaire : http://thesacredcity.ca/  On y trouve les données sur lesquelles Gibson s'est appuyé pour son travail, qu'il met régulièrement à jour. En particulier, on y trouve un outil permettant de visualiser les qiblas de ces mosquées anciennes : http://thesacredcity.ca/data/index.html
Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=ZkzZU... où elle présentée comme "gratuit pour copier, afficher, publier en ligne, mais ne pas modifier ou modifier le contenu"

Un gamin de 15 ans fait une blague sur La Mecque, la musulmanie le menace !
Photo aérienne d’un lieu breton (Une double enceinte circulaire de fossés et autres).

Hugo, adolescent, menacé de mort pour une blague sur l’islam

Le délit de blasphème a-t-il été restauré en France?
Par Anne-Sophie Chazaud  - 15 avril 2019

Le délit de blasphème a-t-il été restauré en France ? La mésaventure connue ce week-end par un adolescent sur Twitter laisse songeur : Hugo a été menacé de mort par une horde d’internautes… pour une simple blague sur La Mecque.

Plus de 4 ans après la tuerie islamiste qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo, la liberté d’expression et notamment de caricature ou d’humour au sujet de l’islam ne semble pas avoir beaucoup progressé en France et dans le monde, loin s’en faut.
On se souvient de l’esprit paranormal du 11 janvier au cours duquel s’étaient rassemblés autour de François Hollande tant de Français émus mais aussi tant de responsables politiques qui n’avaient, aux responsabilités, rien fait pour endiguer un phénomène aisément prévisible depuis des années et contre lequel de nombreux lanceurs d’alerte étaient alors systématiquement traités de Cassandre et de fascistes.
Sur les cendres de Charlie
Paradoxalement, la tuerie de Charlie, au lieu de marquer une prise de conscience durable,  autoritaire et volontariste du problème posé à la société démocratique et à ses libertés fondamentales au premier rang desquelles se trouve la liberté d’expression, a marqué un tournant de régression sur ce sujet.
Après les « Je suis Charlie » consensuels et émus sont très vite venus les « oui mais ». Oui mais ils l’avaient bien cherché. Oui mais on heurte la sensibilité des croyants et cela, c’est mal. Oui mais on ne peut pas rire de tout et pas avec n’importe qui. Oui mais on ne peut pas offenser sans risquer sa vie.
Puis sont arrivés, très vite et sans vergogne, les pervers « Je ne suis pas Charlie », dont on sait très bien quelles accointances et quels accommodements idéologiques leur déclaration venait révéler.
L’islam victime, forcément victime…
Curieusement, après chaque attentat islamiste, le curseur bienpensant a été mis non pas sur le danger représenté par une conception fondamentaliste,  hystérique et vindicative de la religion au nom de laquelle ces crimes étaient systématiquement commis, mais sur le fait que ces attentats allaient aboutir à stigmatiser la communauté musulmane dans son ensemble. C’était en somme encore l’islam la victime.
Pourtant non. La victime c’est la démocratie occidentale et en l’occurrence française.
Un ami iranien, Hamid Reza-Vassaf, dessinateur de talent et exilé en France, auteur du magnifique roman graphique Au pays des Mollahs, me confiait en 2015 ses craintes devant la cécité des Français face au phénomène en cours. Il tentait alors de faire publier une bande dessinée sur le prophète Mahomet. Me confiait ses difficultés, l’autocensure à laquelle il se confrontait, les refus, les peurs, les lâchetés, les pudibonderies. Il me disait que si nous ne réagissions pas immédiatement, ce serait bientôt trop tard.
Hugo et la boîte noire de l’islam
Nous voici en 2019 avec un jeune adolescent blagueur sur Twitter, plutôt drôle, faisant une plaisanterie amusante sur une image du pèlerinage à La Mecque et la circumambulation qui la caractérise autour de la Kaaba, en la rapportant à un jeu de la chaîne de télévision pour enfants Gulli, « In Ze Boîte », dont la partie finale se déroule dans une boîte noire.
Cette blague n’est même pas méchante, elle est juste drôle. Et quand on est ado, on aime rire car l’on n’a pas encore tout à fait conscience qu’on ne vit plus en temps de paix.
Aussitôt sont arrivées les insultes, les menaces de mort, les dénonciations de son lieu de scolarité. Bref, toute la petite panoplie du harceleur en meute que tous les esprits libres d’Occident se coltinent comme des boulets plus ou moins dangereux jour après jour.
Officiellement, « le blasphème n’existe pas »
La réaction de la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et des Discriminations Marlène Schiappa a été tout à fait claire et tranchée en soutien au jeune homme : « La France est une république laïque où chacun peut critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela ! Le blasphème n’existe pas. En revanche, le cyberharcèlement en meute est puni depuis cet été par la loi. »

La France est une République laïque où chacun peut critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela !
Le blasphème n'existe pas.
En revanche, le cyber-harcèlement en meute est puni depuis cet été par la loi.#JeSoutiensHugo
cc @TwitterFrance

Le jeune homme a ensuite publié un tweet dans lequel il demande le droit de rire et qu’on le « laisse en vie » (nous sommes donc en France, en 2019, et un jeune homme demande le droit de rester en vie pour avoir fait une blague sur l’islam : nous en sommes là).
Pour ceux qui se demandent ce que fout le HT #JeSoutienHugo #JeSoutiensHugo en TT
C'est au sujet du twittos @Hug_pat, un ado menacé après avoir twitté ceci :
Officiellement, en effet, le délit de blasphème n’existe plus. Mais cette liberté formelle d’expression et de caricature religieuse est devenue un trompe l’œil tant les attaques et l’entrisme islamistes sont virulents, à l’affût de toute forme d’offense qui servira de prétexte. Car, face au droit positif, s’oppose de plus en plus le paradigme anglo-saxon et victimaire de l’offense. Celui au nom duquel on asphyxie la démocratie. Donc, certes, sur le papier, on a le droit de blasphémer et de caricaturer, mais dans les faits, si quelque communauté que ce soit se sent offensée, c’est la prise en compte de ce ressenti qui sera valorisée, au détriment d’une liberté qui se réduit sous l’effet de la terreur à peau de chagrin.
Tout est haram
Une forme dessinée sur du papier toilette chez Marks & Spencer ? Qu’à cela ne tienne, c’est une injure blasphématoire ! Une blague sur un pèlerinage ? Une insupportable offense ! Les émois deviennent parfois si grotesques que, si des vies n’étaient pas en danger, on ne pourrait qu’en rire à gorge déployée. Tout est prétexte à semer la terreur et à faire pression pour étouffer le regard critique, qu’il soit analytique ou ironique, sur une religion dont de nombreux adeptes activistes ne semblent pas avoir compris l’indispensable nécessité du second degré, qui est le contraire du pied de la lettre, et qui seul permet d’éviter l’hystérie religieuse. L’exégèse comme l’humour est ce qui sauve les religions contre elles-mêmes. Toutes doivent l’accepter, sous peine de basculer dans le ridicule ou le totalitarisme, ou les deux, ce que le Tartuffe de Molière manifestait avec génie et humour…
L’invocation incessante du concept fumeux d’islamophobie et le djihad des tribunaux qui se  livre aussitôt que l’occasion en est fournie par quelque prétexte aussi oiseux que grotesque et à tout propos, revient, de fait, à réimposer le délit de blasphème dans la sphère publique française.
Les pouvoirs publics ne pourront pas se voiler indéfiniment la face sur ce sujet en tournant éternellement autour du pot comme d’autres autour d’une boîte noire fût-elle sacrée.
Il serait bon de se souvenir que le Chevalier de la Barre, brûlé puis décapité pour blasphème et sacrilège en 1766 et dont Voltaire prit plus tard la défense ne fût pas mort pour rien. Car c’est comme cela, aussi, que la France s’est construite : en bâtissant des cathédrales, en châtiant les blasphémateurs puis en libérant les esprits et la parole de toute forme d’intervention religieuse.


Non, Emmanuel Macron n’a pas repris la main



«#JeSoutiensHugo»: Marlène Schiappa défend l’adolescent menacé de mort


Un jeune internaute menacé de mort après une blague sur La Mecque
Cet adolescent ne s'imaginait pas que sa blague prendrait de telles proportions et encore moins que des membres du gouvernement lui apporteraient leur soutien: le jeune Hugo a été menacé de mort le weekend du 13 avril après une blague sur La Mecque.


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LE SCAN POLITIQUE - Sur Twitter, un jeune homme a reçu des menaces de mort après avoir comparé la Kaaba de La Mecque à la boîte noire d’une émission pour enfants. Plusieurs cadres de la majorité sont montés au créneau.
C’est une petite blague qui a pris des pris des proportions invraisemblables. Dimanche matin sur Twitter, un adolescent prénommé Hugo, 15 ans, poste une photo du pèlerinage à La Mecque la comparant à la boîte noire d’une émission de Gulli, chaîne pour enfants. «Ptdr («pété de rire», ndlr) y’a du monde à InZeBoite», publie-t-il. Les réactions qui suivent sont extrêmement violentes, et parfois haineuses. Certains internautes vont jusqu’à insulter l’adolescent, quand d’autres le menacent carrément de mort. Le nom d’un collège où il serait scolarisé fuite même sur le réseau social. Face à ces messages, Hugo - qui n’a pas effacé le tweet - s’excuse: «Je ne savais pas que ça allait prendre autant d’ampleur, encore désolé, laissez-moi en vie».

«Le blasphème n’existe pas»

L’adolescent a rapidement reçu le soutien du gouvernement. «La France est une République laïque où chacun peut critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela! Le blasphème n’existe pas. En revanche, le cyber-harcèlement en meute est puni depuis cet été par la loi», a souligné Marlène Schiappa, reprenant le hashtag «#JeSuisHugo». La secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les Femmes et les Hommes et de la Lutte contre les discriminations avait œuvré au printemps dernier pour que les «raids» en ligne soient inclus dans la loi contre les violences sexuelles et sexistes.
Elle a rapidement été rejoint par Cédric O, le secrétaire d’État chargé du Numérique, qui est lui aussi monté au créneau sur le réseau social. «La foi des intégristes est bien fragile pour se sentir menacée par l’ironie d’un adolescent. Je rappelle que le cyber-harcèlement est puni par la loi», a-t-il indiqué.

La France est une République laïque où chacun peut critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela !
Le blasphème n'existe pas.
En revanche, le cyber-harcèlement en meute est puni depuis cet été par la loi.
cc @TwitterFrance

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Certains députés de la majorité se sont également montrés solidaires. «Cher Hugo, je sais que c’est difficile mais ne renoncez pas, gardez votre humour. Vous le voyez depuis hier nous sommes nombreux derrière vous», a affirmé Lætitia Avia, porte-parole de La République en marche. La députée de Paris porte notamment une proposition de loi - voulue par Emmanuel Macron - visant à mieux sanctionner les propos haineux en ligne. «Le délit de blasphème n’existe pas en France. Celui pour cyber-harcèlement oui. À bon entendeur», a également tweeté Aurore Bergé, députée des Yvelines, autre porte-parole de LREM.

« Laissez moi en vie » c’est le cri d’alarme d’un adolescent menacé de mort pour avoir osé faire une blague ?! Cher Hugo, je sais que c’est difficile mais ne renoncez pas, gardez votre humour. Vous le voyez depuis hier nous sommes nombreux derrière vous.

79 personnes parlent à ce sujet
Dans ces soutiens unanimes, une voix s’est tout de même démarquée: celle d’Arnaud Robinet, le maire LR de Reims «Macron-compatible». «Non Madame, la laïcité ce n’est pas se moquer des religions. Nous pouvons les critiquer mais avant tout les respecter comme ceux qui les pratiquent», a-t-il répondu à Marlène Schiappa, sans juger utile d’apporter son soutien à l’adolescent. Le député Les Républicains Éric Ciotti lui a très vite répondu sur Twitter. «Rien ne peut justifier qu’un enfant de 15 ans soit menacé de mort et sûrement pas une blague innocente concernant une religion. Votre réaction est déjà une forme de soumission», a-t-il fustigé.


Un adolescent menacé de mort sur Twitter après une blague sur le pèlerinage à La Mecque

Un jeune internaute menacé de mort après une blague sur La Mecque
Cet adolescent ne s'imaginait pas que sa blague prendrait de telles proportions et encore moins que des membres du gouvernement lui apporteraient leur soutien: le jeune Hugo a été menacé de mort le weekend du 13 avril après une blague sur La Mecque.
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En retour, le jeune homme a reçu de nombreux messages de soutien de la part d’internautes et des membres du gouvernement. La secrétaire d’État Marlène Schiappa a notamment rappelé que le blasphème n’existait pas en France.
L’affaire ressemble à une banale histoire de cyberharcèlement mais plusieurs membres du gouvernement n’ont pas hésité à s’emparer du sujet ce week-end. Un adolescent a été la cible de nombreuses menaces après avoir publié un tweet humoristique sur le pèlerinage à La Mecque. «Ptdr y’a du monde à InZeBoite», écrit-il, en référence à un jeu télévisé diffusé sur la chaîne pour enfants Gulli. Mais la blague ne passe pas auprès de certains internautes. Plusieurs d’entre eux commencent à menacer l’adolescent et à réclamer son nom et son adresse. «Décapitez-le ce fils de pute», enjoint notamment cet anonyme. Le nom d’un collège est également diffusé comme étant celui où Hugo est scolarisé, rapportent plusieurs médias.
Face à cette déferlante de haine, le jeune homme publie un message d’excuse et demande qu’on le «laisse en vie». «Je n’ai jamais voulu offenser quelqu’un dans ce tweet arrêtez de vouloir la violence pour rien , il y a bien pire dans ce monde et sur Twitter», a-t-il ajouté. Ses deux tweets ont depuis été supprimés.

#JeSoutiensHugo

Très vite, Hugo reçoit de nombreux messages de la part d’autres internautes sous le hashtag #JeSoutiensHugo. Beaucoup lui rappellent qu’il n’a pas à s’excuser, étant donné que le blasphème n’existe pas en France. «Et si certains ne sont pas réceptifs à l’humour, ils n’ont aucun droit d’imposer leur point de vue. Et encore moins a fortiori de menacer quiconque», réagit un internaute s’adressant à Hugo. Certains vont même jusqu’à s’indigner en dessin.
Des internautes qui se présentent comme musulmans prennent aussi la défense de l’adolescent.

Le cyberharcèlement puni par la loi

Dans la foulée, le gouvernement s’empare du sujet. La secrétaire d’Etat chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a rappelé que la France était «une République laïque» où chacun pouvait «critiquer et se moquer des religions sans être menacé de mort pour cela» et que le cyberharcèlement de groupe était puni depuis cet été par la loi. Les harceleurs en ligne encourent deux ans de prison et 30.000 euros d’amende mais elle peut être portée à trois ans de prison et 45.000 euros d’amende si plusieurs circonstances aggravantes (la victime est un mineur de 15 ans, une personne vulnérable, a subi un harcèlement entraînant une incapacité totale de travail de plus de huit jours, etc) sont réunies.
Le nouveau secrétaire d’État chargé du Numérique, Cédric O, a lui aussi rappelé que le cyberharcèlement était répréhensible. «La foi des intégristes est bien fragile pour se sentir menacée par l’ironie d’un adolescent», a-t-il ajouté.
Les faits ont été signalés auprès de Pharos, a rapporté pour sa part la police nationale. Cette plateforme en ligne permet de signaler des contenus suspects ou illicites sur Internet.




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