lundi 15 avril 2019

Je revendique le droit de discriminer et de haïr, et je vous emmerde ! (15.04.2019)


Je suis commerçant. J’ai bossé dur toute ma vie pour que mon petit commerce (sur lequel je resterai discret) fonctionne au mieux. J’ai commencé tout seul, et à présent, mon affaire s’étant développée, je salarie trois personnes, deux femmes et un homme. Mes conditions de recrutement ont toujours été les mêmes. Je ne suis jamais passé par les bons à rien de Pôle Emploi, j’ai toujours mis en évidence une petite annonce, dans mon magasin, et j’ai discuté avec les personnes qui se présentaient. J’ai toujours décidé selon ma conscience, mon intuition, et je mettais d’abord les personnes à l’essai durant trois mois, avant de concrétiser leur embauche en CDI. J’ai toujours expliqué les choses : quand il y a un coup de bourre, je veux des gens qui bossent, et je sais renvoyer l’ascenseur, quand les choses sont plus calmes, ou que mes salariés ont besoin d’une heure, d’une matinée ou d’une journée. Je les paie correctement, et mon affaire ne peut marcher que si chacun tire dans le même sens. Je suis plutôt généreux en fin d’année, quand la situation de ma boîte le permet.
















Je vais être très clair, je n’embaucherai jamais une personne de confession musulmane, ou d’origine maghrébine, sauf si elle m’est recommandée par une personne en qui j’ai une confiance totale. Cela s’appelle le principe de précaution. J’ajoute qu’il m’est arrivé de ne pas prendre des jeunes Français d’origine, parce que je les sentais plutôt branleurs, et pas tellement capables de taper dans la butte. Je n’ai pas, d’autre part, travaillé plus que de raison, durant plus de vingt ans, pour risquer de voir mon équipe et ma clientèle perturbées par une salariée qui commence à venir avec un bandana, puis avec un voile, et qui appelle le CCIF à la première remontrance. Je ne veux pas d’un mec qui commence à se laisser pousser une barbe rousse, et qui commence à me demander des horaires spécifiques le vendredi. Donc, je n’embaucherai jamais ce genre de personne, sauf, je le précise, si un ami sûr me recommande un jeune salarié d’origine maghrébine qui se comporte en Français, et dont je ne doute pas, faisant confiance à mes relations, qu’il se mettra au diapason de l’entreprise. Et j’emmerde les commissaires politiques de l’antiracisme !
De même, je vais aggraver mon cas auprès de Marlène Schiappa et de sa clique de miliciens des Badi, qui viennent de se mettre en place pour lutter contre les discriminations. Je loue un petit studio. Là encore, uniquement par connaissances. Il est hors de question que je le loue à une personne issue de la diversité, parce que j’ignore si ce seront des personnes qui respecteront le voisinage, respecteront le vivre- ensemble, me laisseront un studio en bon état quand ils partiront. Je sais que tous ne sont pas comme cela, heureusement, mais je sais aussi, par nombre de témoignages amis, que ces choses-là arrivent plus souvent avec ce genre de clientèle. Donc, mon studio, c’est ma retraite, et il est hors de question que j’hypothèque mes vieux jours pour satisfaire à l’idéologie de ces blaireaux ! Donc, jamais un diversité dans mon studio, sauf, encore une fois, si une personne de confiance me recommande quelqu’un de sûr. De même, un crasseux à l’allure gaucho ne sera jamais locataire chez moi, je suis très clair. Je ne louerai qu’à des personnes qui m’inspirent confiance.
J’ai vendu récemment, pour acheter une autre maison, mon lieu de vie depuis dix ans. Je suis passé par une agence. Je suis ami avec tous mes voisins, et il est hors de question que je leur fasse une vacherie en leur collant dans les pattes une famille de musulmans à l’aspect islamiste, djellaba et voiles. J’avais donné, bien sûr verbalement, des consignes très strictes à mon agence, entre quatre yeux, et cela s’est déroulé comme je le voulais. Bien évidemment que si la personne a le profil de Pascal Hilout ou de Salem Benammar, aucun souci, je leur aurais vendu ma maison. Donc, j’assume mon droit à discriminer ceux qui ne me plaisent pas, et à choisir ceux qui me plaisent.
De même, la question de la haine. Je revendique le droit de haïr les disciples d’Adolf Hitler, les staliniens, les islamistes, tous les totalitaires, les gauchos dégénérés, les homosexualistes tarés, les juifs de gauche islamo-collabos, les assassins, les violeurs, les flics qui éborgnent les Gilets jaunes, les antiracistes pourris, les juges vendus, les journaleux soumis au pouvoir, Macron et tout son régime, Schiappa en tête, la grosse Merkel et tous les Allemands qui la soutiennent, les socialauds, les écolos fêlés, Tariq Ramadan, BHL, Attali, Mélenchon et tous ses Insoumis, Plenel et tous les lèche-babouches, Cohn Bendit et les anciens combattants de mai 68, Fourest et les Femens, et tous ceux qui combattent quotidiennement la France. Sans oublier les salauds qui sont responsables de l’incendie de Notre-Dame.
Donc, messieurs les coupeurs de langues, messieurs de la clique à Macron, messieurs les maîtres-censeurs, messieurs les minables policiers du politiquement correct, je revendique le droit de discriminer et de haïr qui je veux, et je vous emmerde !
Martin Moisan 

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