mercredi 3 avril 2019

Islamophobie : victimisation et sentiment de persécution

Au coeur du nationalisme: Mensonge sur l’islamophobie

A : On en a un très bon exemple ici avec B, qui essaie de faire passer notre rejet de l'islam, pour un rejet des musulmans.

S : ​c'est une technique appliquée par le dieu Allah, faire croire que refuser de croire à l'islam c'est commettre une agression contre les musulmans 

A : On leur parle de la maison qui brûle devant leurs yeux et ils nous disent "Regardez là-bas, il y a un chaton malade". Faire diversion pour ne pas répondre et pour ne surtout ne pas répondre aux questions qui font mal, tactique classique des muzs mais on n'est pas dupes.

Le terme islamophobie est une diversion qui a en plus d'autres avantages. 

La critique de l'islam est transformée en une haine des musulmans, ce qui permet tout de suite de changer le statut de l'échange. L'utilisateur du terme islamophobie joue la carte de la victimisation. 

Si tout le monde tombe dans le panneau de ce terme foireux, alors on fait passer le message que ce n'est plus une discussion entre deux points de vue qui s'opposent à l'aide d'arguments rationnels et appuyés sur des faits précis et dont l'un critiquerait une idéologie, l'islam. C'est une attaque, une insulte, une tentative de rabaisser un groupe de personnes, les musulmans, qui n'ont rien fait de mal, qui ont leurs croyances comme tout le monde. Et qu'ils soient "agressés" par des gens qu'on fait passer pour des racistes, des haineux, des intolérants tend même à vouloir montrer que eux ils sont du côté des gentils, des victimes. 

A
Mais nous on s'en fout des musulmans, c'est un monde à part. C'est l'islam qu'on peut pas blairer, les musulmans en sont victimes quand ils  sont  pas sympathisants d'un islam fasciste qui pense qu'à s'imposer aux autres, sinon on en as rien à foutre des musulmans.C'est de l'islam le sujet, pas les musulmans.

A
Pourquoi tout le temps cette mauvaise foi et ces diffamations constantes ? Ce que tu fais semblant de ne pas comprendre, c'est que les musulmans, on les calcule pas, c est l'idéologie qu'on blaire pas, la source. On s'en fout que vous croyez à cette idéologie, tant que vous ne nous faites pas chier avec.Tant qu il y aura des gens qui contestent, insultent, rejettent notre façon de vivre, notre constitution, notre façon de penser parce que c'est pas la leur à cause d'une doctrine religieuse, on blaireras pas la cause de leur rejet, qui est ici en l’occurrence l'islam.
Le sujet ici, c'est pas que vous partiez d'ici parce que vous êtes musulmans, c'est les fondements de l'islam. Le fait que tu me répondes à côté en déviant le sujet systématiquement prouve que tu es malhonnête intellectuellement ou qu'il te manque des facultés mentales.
La laïcité, c'est comme les impôts, tu n'aimes pas ça, mais tu es bien obligé de la respecter.

A : On en a un très bon exemple ici avec B, qui essaie de faire passer notre rejet de l'islam, pour un rejet des musulmans.

S : ​c'est une technique appliquée par le dieu Allah, faire croire que refuser de croire à l'islam c'est commettre une agression contre les musulmans 

Ce  "dieu" veut imposer l'islam par la force, il a envie se venger contre les mécréants et apostats  et veut la faire triompher sur toutes les autres religions mais pour se trouver des combattants, il présente les mécréants comme des agresseurs, jaloux des musulmans, et cherchant à les détourner de leur propre religion 

Alors que les mécréants ne font que SE DÉFENDRE CONTRE LA PRIVATION DE LIBERTÉ puisque Allah et Mohammed cherchent à  leur imposer l'ISLAM quelle que soit  leur répulsion*

Coran 9- 33.  C'est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, AFIN QU'ELLE TRIOMPHE SUR TOUTE AUTRE RELIGION, QUELQUE RÉPULSION QU’EN AIENT LES ASSOCIATEURS 

Coran 2- 109. Nombre de GENS DU LIVRE aimeraient PAR JALOUSIE de leur part, pouvoir VOUS RENDRE MÉCRÉANTS après que vous ayez cru

Coran 9- 14. COMBATTEZ-LES. Allah, PAR VOS MAINS LES CHÂTIERA, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et GUÉRIRA LES POITRINES d'un peuple croyant

Coran 32- 22.  Qui est plus INJUSTE que celui à qui les versets d'Allah sont rappelés et QUI ENSUITE S'EN DÉTOURNE ? Nous nous VENGERONS certes des CRIMINELS.

Coran 47 -4.  Lorsque vous rencontrez (au combat) CEUX QUI ONT MÉCRU frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car SI ALLAH VOULAIT-IL SE VENGERAIT LUI-MÊME CONTRE EUX, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres.

Ce "dieu" veut encourager un sentiment de victimisation chez les musulmans, ce qui lui permet alors de  justifier le combat contre les mécréants.

C'est ce dieu qui est repoussant, il se régale à parler de l'enfer et des tourments qu'il fera goûter à ceux qui ne se soumettent pas à sa religion 
il ne sort de sa bouche que des insultes, du mépris, des menaces, des ordres criminogènes, des mensonges, des incohérences, de l'ignorance, du stratagème, de la manipulation, des contradictions, et j'en passe car cela ne compte plus... mais comment font les musulmans pour ne pas se rendre compte qu'il appartient aux Forces du Mal ?


L’islamisme, une réponse à l’islamophobie ? Même en pays musulman qui interdit la critique de l’islam ?


L’islamisme, une réponse à l’islamophobie ? Même en pays musulman qui interdit la critique de l’islam ?
Vous trouverez ci-dessous un article très important, publié en allemand sur la  page Facebook du 2 avril 2019, du célèbre écrivain germano-égyptien,Hamed Abdel Samad, parue suite à des élucubrations de soi-disant « experts » dans la presse allemande, qui m’avaient fait hurler de rire jaune, tant l’ignorance de ces « experts » auto-proclamés est immense.
Je rappelle que Hamed est l’auteur de l’ouvrage traduit en français chez Grasset en mars 2017 : « Le fascisme islamique », dont seul, Valeurs Actuelles, rendit compte sur 6 pages, à l’époque.  I
Il y a encore 2 ans seulement, les « esprits d’influence » restaient fermés comme des huîtres sur le sujet. Je note que depuis, les esprits critiques de l’islam sont de plus en plus audibles sur les plateaux. Un progrès tardif, mais progrès. Tout cela, à cause de l’agression antisémite qu’a dû subir Finkielkraut, en rentrant chez lui, un samedi de gilets jaunes. Cet incident a subitement réveillé ceux qui se trouvaient profondément sous Rohypnol. Il y en a encore, comme Plenel ou Askolovitch. On se rendait compte avec effarement, que l’antisémitisme ne venait pas de l’extrême droite. Que c’était le fait de ces « autres », qui composent le « multikulti » et/ou les sociétés parallèles musulmanes de France depuis des décennies. Pourtant, nom de Dieu, il suffit d’ouvrir le coran et de lire ! Ce que grand nombre ne fait pas, comme Ali Juppé qui avouait sur le plateau de Canal + à Michel Onfray qui lui demandait s’il avait déjà lu le coran …, ne jamais l’avoir ouvert !  Mais, laissons la parole à Hamed-Abdel Samad(1) que je traduis.
(1)Pour en savoir plus sur Hamed-Abdel Samad, fils d’imam, passé chez les Frères musulmans qui, se dit à présent athée :
Collonia Agripinensis

Texte en allemand, tiré de la page Facebook de Hamed-Abdel Samad, du 2 avril 2019.


Des experts se répandent à affirmer, que l’islamisme et l’antisémitisme seraient une conséquence directe à l’islamophobie en Occident.
 Vraiment ?
 Alors, l’islamisme et l’antisémitisme au Pakistan, en Iran, au Maroc ou en Indonésie et dans le reste des 54 états islamiques devraient disparaître, car comme chacun sait, il n’existe pas d’islamophobie dans ces pays.
Ces phénomènes y existent pourtant depuis toujours. Bien avant que les migrants musulmans se mirent en route pour l’Europe.
Nous vivons un développement très dangereux dans la science et grand nombre de journaux. D’un côté, le Qatar, des milliardaires saoudiens, la Turquie, financent grand nombre d’études et même des instituts de recherche en Occident, afin de rendre présentable le sujet « islamophobie ».
Ils ne font pas cela, pour seulement protéger les musulmans qui se trouvent en Occident de la haine et de la discrimination, ce qui serait un but légitime en soi, mais afin de propager les projets douteux de l’islam politique sans rencontrer de résistance. Un grand nombre de journalistes se prête volontiers à ce projet. De l’autre côté, nous avons des activistes et intellectuels juifs qui font des alliances bizarres avec des associations islamiques et le groupe Al-Ahmadiyya, ainsi qu’avec des thuriféraires d’Erdogan, afin de paraître tolérants et ouverts au dialogue. Ou alors, ils ont d’autres motifs que j’ignore. Peut-être croient-ils sincèrement qu’ils protègeront ainsi les juifs de l’antisémitisme. Je participerais immédiatement à cette campagne sur l’islamophobie, si dans les faits, des musulmans normaux pouvaient en profiter. Sauf que c’est le contraire qui se produit.
Le processus de chantage derrière la signification d’islamophobie veut éradiquer toute critique de l’islam, afin que les acteurs de l’islam politique puissent continuer leurs plans sans être dérangés. Ce qui ne protège pas les musulmans de la haine contre eux, mais l’exacerbe.
Et au troisième côté, des experts et journalistes socialisants, règnent dans les chaires et rédactions d’un grand nombre de médias de gauche et propagent le discours postcolonial de l’idéologie multiculturelle et la culpabilité de l’Occident face au tiers monde, comme base de leurs travaux.
Nous observons que le terme « islamisme » disparaît lentement, pour être remplacé par « extrémisme motivé par la religion » ou « religieusement motivé ».
Grand nombre de rédactions refusent désormais le terme, quand de plus en plus, le terme « islamophobie » est utilisé pour expliquer un nombre de phénomènes avec lesquels il n’a rien à voir. En revanche, la critique de l’islam dans les sciences ou les journaux a presque totalement disparu. Pourtant, dans les universités, les étudiants sont prêts à échanger avec les critiques de l’islam. Cependant, les universités leur refusent d’organiser de telles rencontres. C’est la même chose dans les écoles. Pareil pour la Centrale Fédérale des Sciences Politiques, ainsi que dans les fondations politiques. La critique de l’islam est un tabou, quand les Frères Musulmans et autres thuriféraires de Erdogan sont chaleureusement invités à présenter leurs perles …
Facebook et Twitter sont très rapides pour effacer les contenus critiques de l’islam, et extrêmement lents, lorsqu’il s’agit de commentaires islamistes haineux et de sa propagande.
Où donc pourrait-on aborder ces sujets controversés, si ce n’est dans les universités, les écoles, la Centrale Fédérale de Sciences Politiques et autres fondations politiques ?
Où donc pourrait-on écrire, si ce n’est dans les journaux de gauche, toujours prompts à publier des critiques contre l’église ou des caricatures de Jésus ? Et même, dans les réseaux sociaux qui promettaient jadis plus de liberté d’expression, où cela devient de plus en plus problématique.
La liberté ne se perd pas en une nuit, mais pas à pas. Il est temps de résister ! Ne dites pas plus tard que vous ne saviez pas !

Hamed-Abdel Samad
Traduction : Collonia Agripinensis.

Mensonge sur l’islamophobie

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(NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Isabelle Kersimon, auteur du livre Islamophobie : la Contre-Enquête dénonce les chiffres falsifiés du collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). En effet, il semble que le rôle de ce collectif soit « D’alimenter le sentiment de persécution des musulmans par les non-musulmans et de faire entériner le concept d’islamophobie pour imposer l’interdit de “diffamer les religions, surtout l’islam”. Cette affirmation de la journaliste suit la déclaration de Bernard Cazeneuve qui affirme que les actes antimusulmans ont triplé en 2015. Le porte-parole du CCIF évoque des chiffres beaucoup plus élevés, ce qui semble étrange.
Mais qu’est-ce qu’un acte islamophobe pour le CCIF ? 
Une question posée à une jeune femme voilée pendant un entretien à l’ANPE, des infractions relevant du simple droit commun, des propos jugés insultants voire des expulsions de prédicateurs violemment antisémites et appelant au djihad contre l’Occident : voilà ce qu’est un acte islamophobe selon le collectif. Le CCIF voudrait accréditer la théorie selon laquelle l’islam serait plus touché que les deux autres religions monothéistes. On assisterait ainsi à une sorte de “concurrence victimaire”.
Qu’advient-il des Chrétiens et des Juifs ? 
La journaliste constate que les chiffres sont aveugles et ne prennent pas en compte la gravité des infractions, toutes mises sur un même pied d’égalité. Le ministre de l’Intérieur note que les attaques antisémites ont diminué de 5 % en 2015. En revanche, les attaques chrétiennes ont augmenté de 20 % et les chiffres n’ont pas été falsifiés ! Derrière ces statistiques et ces mensonges se cache cependant une réalité inquiétante : l’État est incapable de répondre aux attaques antireligieuses quelles qu’elles soient et trouve pour seule réponse une laïcité utopique.
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Schizophrénie islamiste (1ere partie)

D’après wikipedia, « la schizophrénie est une maladie psychiatrique se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui aboutit à des comportements et des discours bizarres, parfois délirants. Elle se manifeste principalement, au départ, par un sentiment d’étrangeté, d’implication extrême, voire un sentiment de persécution. Un délire se construit alors, qualifié de « paranoïde ».


Si ce n’est pas là la description d’un islamiste, ça y ressemble fort ! Prenez n’importe quel ministre islamiste du gouvernement Jebali, observez son comportement à la télé, ou ailleurs, et concluez vous-mêmes.
En effet, quoique bien pourvus en argent (Qatar, Arabie) et en moyens techniques, les islamistes souffrent d’une schizophrénie caractérisée par :
  1. L’ambivalence à l’égard de l’occident, une relation amour-haine où la haine est verbalisée et l’amour refoulé.
  2. Leur autisme, c’est à dire un repli anormal sur soi accompagné d’une perte de contact avec les valeurs de son temps.
1- Les islamistes sont fascinés par la civilisation occidentale, c’est l’objet de leur désir; comme Tartuffe, ils ne peuvent s’empêcher de dire « couvrez-moi ce sein que je ne saurais voir». Leur rage est décuplée de la conscience qu’ils ont de leur désir, c’est pourquoi ce désir est soigneusement refoulé. On lui permet cependant de s’exprimer dans certaines limites permises, et c’est pourquoi ils se lancent à corps perdu dans certains domaines techniques, tel l’informatique, dont la maîtrise leur donne l’impression de s’approprier la civilisation occidentale honnie. Une caractéristique du bon islamiste est la dissimulation : fais ce que tu veux, pourvu que les autres ne le voient pas. Ainsi, à titre d’exemple, la première mesure que le gouvernement islamiste a voulu imposer, a été l’interdiction d’accès aux sites X sur Internet. Or, les champions du monde de consommation de sites X sont justement les bons musulmans, là où se recrutent les « bons » islamistes ! Ainsi, selon les derniers sondages  qui classent, par pays, les 100 sites les plus visités par les internautes, on trouve que les pays musulmans, et surtout arabes, caracolent en tête. Ils appartiennent à une zone où les internautes se gavent de sites X ! Le hit parade est le suivant : Irak 7 (c'est-à-dire qu’en Irak, les sites les plus visités sont 1) FaceBook, 2) Google.iq, 3) YouTube, 4)Yahoo, 5) Google.com, 6)Koora et 7) Le site XNXX, le plus prisé des Arabes), Maroc 12, Palestine 13, Jordanie 14, Mauritanie, Algérie, Tunisie et Egypte 16, Libye 22. Les surprises ne s’arrêtent pas là car, contrairement à ce que les islamistes prétendent, en Occident et en Israël (chez les Croisés et les Juifs), on ne se dope pas tant que ça de sites X. Ainsi En Allemagne, le premier site X le plus visité arrive à la 88 e place ! Au Danemark 77 ! Aux USA 72 ! En France 58 ! En Italie 56 ! En Espagne 30! Et en Israël 54. Naturellement, comme dans la plupart des pays arabo-musulmans, il n'y a pas de citoyens, mais uniquement des sujets minorés et soumis (islam = soumission), la navigation sur Internet est strictement contrôlée. Mais les statistiques ci-dessus sont parlantes.
2- Vis-à-vis de l’Occident, les islamistes éprouvent aussi un énorme complexe d’infériorité, qui cache mal une envie pathologique. Le complexe d’infériorité fait appel à des mécanismes de compensation. En voici un exemple. Alors que 80% des échanges commerciaux se font avec l’Union Européenne, que plus de 10% de la population tunisienne vit en Europe, et que la France est notre premier partenaire dans tous les domaines (économique, commercial, culturel, humain, etc.), les islamistes nomment comme ministre des Affaires Étrangères, une personne qui ne connaît ni la géographie, ni la langue française. C’est comme si, pour colmater les brèches  d’une économie tunisienne en déshérence, on faisait appel à un plombier comme premier ministre (on prétend que Jebali a été plombier).
Les islamistes disent « nous sommes arriérés soit, mais nous avons l’islam qui est supérieur à toutes les autres religions», d’où le slogan des politiciens islamistes «l’islam est la solution», entendez par là l’islam est la solution à nos sentiments d’infériorité et à notre sous développement. L’envie (assaisonnée de haine), qui est le pendant du sentiment d’impuissance, est un moteur tournant à vide. Il finit par caler ou exploser.
3- Les vrais malades sont ceux qui tiennent absolument à leur maladie. Face à la civilisation occidentale, les islamistes savent dans leur for intérieur qu’ils ne peuvent relever le défi. Le monde islamique n’est pas prêt à franchir les étapes de l’humanisme et des lumières. Pour franchir ces étapes, la religion doit être, comme chez les non musulmans, reléguée à la sphère privée. Situation particulièrement dramatique pour 20% de la population musulmane qui vote islamiste : ne pas rejeter l’islamisme, c’est se mettre en dehors de la civilisation humaine, c’est tourner le dos au mouvement irréversible et irrésistible de l’évolution de la civilisation.
Des méthodes sectaires
La confrérie islamiste a pour méthode des discours méthodiques progressifs et manipulatoires qui ne vous font pas seulement adhérer aux irréalités de leurs croyances, mais aussi rejeter le concret, les sciences, les connaissances acquises, tout ce qui vous positionne dans le réalisme de la vie. Vous ne lisez plus que leurs documentations, lesquelles font votre nouvelle référence en laissant de côté toutes autres informations. Cette manipulation à pour but de faire la scission avec votre culture acquise, vos coutumes, de manière, un jour, à vous mettre en totale opposition avec tout lien affectif et social, principalement familial.
La notion du « temps » chez les islamistes
Bien plus qu’un simple rêve éveillé, le temps vécu par l’islamiste schizophrène est dans tous les cas psychotisant et devient rapidement insoutenable. En particulier la notion de durée se trouve totalement pervertie. Du point de vue du malade, le retour vers le passé apparaît comme un refuge, une issue pour sortir d’un présent dévastateur qu’il subit tous les jours. Il peut être un retour vers un temps meilleur où s’installer. Mais le schizophrène ne voit pas ce retour au passé comme une solution pour retourner vers un présent plus serein, c’est une véritable fuite qu’il effectue, dans une temporalité innocente dans laquelle il voudrait rester, s’enfermer. Pour plus de détail, voir l’article « Temps islamiste,Temps moderniste ».
Le centre de contrôle
Le centre de contrôle est une expression de psychologie qui décrit si les gens ont le sentiment que leur vie est principalement sous l’influence de facteurs internes ou externes. D’un point de vue psychologique, il est clair que, pour nous, « gens normaux », notre vie est principalement sous l’influence de forces internes : nous-mêmes. Cela se traduit dans nos points de vue, notre manière de gérer nos émotions, nos modes de pensée, nos relations avec notre entourage, nos motivations, nos excès et notre manière de communiquer. Toutes les bibliothèques modernes ont plusieurs mètres d’étagères pleines de livres sur les moyens de s’aider soi-même. Tous les kiosques affichent des dizaines de magazines qui nous disent comment nous construire une vie plus heureuse et plus réussie.
Tout cela n’existe pas dans la culture islamiste. Leur littérature est extrêmement monotone et ne traite que d’un sujet : la charia. Les islamistes y apprennent des règles externes strictes, des traditions et des lois qui régissent le comportement humain du « bon musulman ». «Inch’Allah» vient tout de suite après toute déclaration sur des plans pour l’avenir. Ils ont de puissants « cheikhs » et des prédicateurs patentés qui leur fixent chaque jour l’orientation à suivre. Ces religieux leur disent ce qu’il faut penser en politique, comment il faut élever ses enfants, etc. etc.etc. Cette attitude implique que ces gens n’ont que rarement un sentiment de culpabilité, ils se sentent plus libres d’exiger que l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs, car ils sont incapables de s’adapter eux-mêmes à l’environnement.
Cette différence de mentalité est clairement affirmée par un vieux proverbe indien :
« On peut se promener partout en douceur en mettant une paire de chaussures, ou en exigeant que la Terre entière soit recouverte de cuir souple »
Un comportement agressif
Dans la culture islamiste, les comportements agressifs, et en particulier les menaces et les coups, sont le meilleur moyen de traiter les conflits et les tensions sociales. Depuis la prise du pouvoir par les islamistes, on constate que l’agressivité est devenue la règle chez les Tunisiens, alors qu’ils étaient réputés pour leur calme et leur gentillesse. Un proverbe populaire dit « seuls les petits chiens aboient, les gros n'en ont pas besoin». Ce proverbe est l'un des principes de base d'un comportement social civilisé. Pour nous tous, l'agressivité est un signe de faiblesse. C'est le signe que la personne ne se contrôle pas et qu'elle est incapable de gérer la situation. Nous percevons la capacité des gens à rester calmes comme traduisant la confiance en soi et la capacité d'élaborer un dialogue constructif.
La phobie des femmes
La psychologie des islamistes est marquée par la phobie des femmes. La différence sexuelle est vécue comme une honte inavouable. La femme doit se cacher afin de ne pas provoquer l’homme, ce qui causerait en lui un sentiment de culpabilité religieuse. La femme n’est-elle pas responsable du premier péché, commis par Adam ? Ce refus de l’altérité de la femme se transforme en refus de toute altérité, c'est-à-dire de tout ce qui est autre, distinct, différent.
La haine de la vie conduit au terrorisme
Mais si la femme est la source de la vie, la haïr c’est haïr la vie, donc aimer la mort. Vidé de sa libido (énergie vitale), le fanatique devient aisément manipulable. On voit ainsi se former le terreau sur lequel peut se développer une vocation de terroriste et de destructeur de la vie. Nous sommes en pleindélire paranoïaque, délire qui se développe à partir de personnalités rigides, susceptibles, rancunières, vindicatives et cruelles. La conséquence en est un discours haineux non seulement à l’égard des non-musulmans, mais aussi à l’égard des opposants politiques, des laïques, des démocrates, des intellectuels, des minorités, des femmes et des enfants. Le fanatisme amplifie cette tendance générale. 

 Hannibal Genséric

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