mardi 1 mai 2018

Le groupe Bilderberg (Berserker)

Création : Il a été constitué en 1952 de manière informelle, et appelé, lors de sa première réunion de constitution en mai 1954, sous le nom de "Bilderberg Group", réunion convoquée sur invitation du prince Bernhard des Pays-Bas à l'hôtel Bilderberg à Oosterbeek en Hollande (d'où son appellation). Sa réunion de constitution regroupait une centaine de banquiers, d'universitaires, de politiciens et de fonctionnaires internationaux. Ses membres s'appellent les Bilderbergers. 
Objet officiel : Construire l'unité occidentale contre l'expansion soviétique. 

Fonctionnement secret : Ses délibérations restent rigoureusement secrètes et ne donnent lieu à aucun compte-rendu. La presse en est exclue et d'ailleurs il n'existe dans la salle aucune possibilité d'enregistrement manuel, mécanique, électrique ou électronique. 
Publié le par Berserker



Instigateurs et participants : 

Jusqu'en 1976 la présidence était exercée par le prince Bernhard de Lippe, ami des industriels les plus puissants comme le notait Philippe Bernert (L'Aurore, 27 Août 1976), qui ajoutait que le prince regroupait ceux-ci "au sein de l'association "Bilderberg", extraordinaire "franc-maçonnerie" du monde international des affaires", le terme "affaires" devant être pris dans son acceptation la plus large. Le scandale des pots-de-vins de Lockheed et le mea culpa du prince Bernhard contraignirent le mari de la reine des Pays-Bas à quitter la présidence du Bilderberg Group; mais l'organisation n'en poursuivit pas moins ses activités, son "patron" véritable n'étant pas le prince, mais le milliardaire David Rockefeller

Ce financier américain mondialement connu est en effet à l'origine du Bilderberg Group. Son nom figure sur les premières listes de participants, notamment sur celles des personnalités présentes à la conférence de St Simons Island, en Géorgie (USA), à côté d'autres noms prestigieux : Retinger, l'instigateur, naturellement ; F.D.L. Astor, éditeur du London Observer; Georges Ball; Pierre Commin, de la S.F.I.O.; Allen Dulles, ancien directeur de la CIA ; le sénateur américain Fulbright; Robert Murphy, Dean Acheson et Henry Kissinger, hommes d'états américains ; Robert Oppenheimer, le père de la bombe d'Hiroshima et de Nagasaki; et Nelson Rockefeller, futur vice-président des USA. 

Losqu'il prit la tête du Bilderberg Group, David Rockefeller venait de créer la Trilatérale. Il en est aujourd'hui (2006) le chairman pour l'Amérique, tout en présidant le Council on Foreign Relations (C.F.R. ou Conseil aux relations étrangères), organisme considéré comme le promoteur du Bilderberg Group et de la Trilatérale (mais le CFR ne regroupe que des affiliés américains). 


Relations avec les 2 autres groupes secrets : 

Les liens qui unissent les trois sociétés secrètes sont si étroits qu'on s'est souvent demandé si lesdites sociétés n'étaient pas les tentacules d'un même monstre... ce qui expliquerait la présence de nombreux affiliés du Bilderberg Group au sein du C.F.R. ou de la Trilatérale. 

Nous avons vu que le financier Rockefeller animait les trois organisations. D'autres personnes sont affiliées, en même temps, à deux ou trois de ces sociétés. Par exemple : George Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Henry Kissinger (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trilatérale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale, Bilderberg); Baron Edmond de Rothschild (Trilatérale, Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de l'Institut Français des Relations Internationales (Trilatérale, Bilderberg); Jean-Claude Casanova (Trilatérale, Bilderberg), homme de confiance de Raymond Barre (Trilatérale) et le dernier en date : Lionel Jospin (Bilderberg) ; etc. 


Influence : 

La grande presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et des financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux. 

La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21, 22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home). 

Le Daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'Estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le Canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la Canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient : Helmut Schmidt ; Niarchos, le célèbre armateur grec ; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique ; le président de la Chase Manhattan Bank ; etc. Coïncidence : la réunion de Torquay précédait de quelques jours seulement deux sommets de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN. 


Que complotent les participants : 

Ainsi, en dépit du secret dont le Bilderberg Group entoure ses réunions, celles-ci sont l'objet d'indiscrétions qui, confirmées par les événements, ont permis de connaître les principaux sujets proposés aux délibérations des Bilderbergers. 

Jacques Bordiot résume ainsi, dans son livre "Une main cachée dirige", les principaux sujets proposés au cours de ces dicrètes délibérations : 
- les problèmes financiers internationaux 
- la liberté d'émigration et d'immigration 
- la libre circulation des produits sans entraves douanières 
- l'union économique internationale 
- la constitution d'une force de police internationale avec suppression des armées nationales 
- la création d'un Parlement international 
- la limitation de la souveraineté de états déléguée à l'ONU ou à tout autre gouvernement supranational 

"C'est, comme on le voit, le processus vers la constitution d'un Gouvernement mondial", conclut Jacques Bordiot. 

D'ailleurs, Paul Warburg, célèbre financier lié au CFR, déclara le 17 Février 1950 devant les sénateurs américains : "Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s'il sera créé par conquête ou par consentement". 


Les véritables idéologies : 

Cette organisation recrute des membres qui adhèrent aux idées précédentes, mais toutes les personnes ne sont pas au courant des idéologies profondes de certains des membres principaux qui font aussi partie des 2 autres sociétés secrètes (Trilatérale et CFR). 

Ces membres particuliers et qui sont d'ailleurs les plus puissants font partie de ce que nous appellerons le "cercle intérieur", le "cercle extérieur" étant l'ensemble des hommes de la finance et de la politique qui sont séduits par l'idée de l'instauration d'un gouvernement mondial qui régulera tout (au niveau politique et économique), sans être conscient des véritables motifs qui poussent le "cercle intérieur" à mettre en place un gouvernement mondial. Ce sont des "marionnettes" qui sont utilisées par le cercle intérieur parce que ses membres ne peuvent pas tout changer à eux seuls. Ainsi le cercle intérieur et le cercle extérieur agissent en concert mais pas pour les mêmes raisons : le cercle extérieur par désir de s'enrichir ou/et par la croyance qu'un gouvernement unique apportera plus de paix et de cohésion qu'une multitude de petits pays ; le cercle intérieur dont les membres sont déjà riches et puissants et dont les visées sont toutes autres : elles sont idéologiques. On peut avoir un aperçu des idéologies des membres du "cercle intérieur" dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruits, 1979



Plus précisément : 

Le cercle extérieur est constitué par les membres des conférences, comportant à la fois des affiliés et des invités en vue de recrutement ou de paravent. 

Le premier cercle intérieur, dont tous les membres sont des Bilderbergers, est le Steering Committee (Comité de Direction), composé de 24 Européens et de 15 Américains. Ces derniers sont à peu près tous - ou ont été - affiliées au CFR. On y retrouve en effet : George W. Ball, Robert Murphy, David Rockefeller, Arthur Dean, Dean Rusk, etc. 

Certains de ses membres font partie d'un second cercle intérieur encore plus fermé, le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif), dont on sait seulement qu'il comprend des membres européens et américains, ces derniers appartenant tous au CFR, dont le secrétaire général du Bilderberg pour les Etats-Unis, David Rockefeller. 


Quel remède ? 

La brochure de Robert Camman, Les véritables maîtres du monde, dont le succès a obligé Raymond Barre à avouer publiquement (émission "l'heure de vérité" du 4 décembre 1985) qu'il appartenait bien à la trilatérale, a mis en garde les Français contre les puissances politico-financières qui tirent les ficelles de nos politiciens. Nul ne peut ignorer aujourd'hui, malgré le mutisme des média apeurés ou complices, que la plupart de nos politiciens sont tenus en laisse par la Trilatérale ou le Bilderberg group. 

Tous les noms cités à titre de publicité (auquel nous pouvons ajouter Michel Rocard qui a participé à une des réunions du Bilderberg Group) ne sont pas ceux d'agents des forces occultes. Certaines de ces personnalités ont peut-être été trompées (comme par exemple l'ex-député maire radical de La Rochelle, Michel Crépeau qui figurait parmi les affiliés de la Trilatérale en 1977 et qui la quitta lorsqu'il se rendit compte de ce qu'était réellement cette mystérieuse société. Il ne figure plus désormais dans l'annuaire de la trilatérale), elles ne participent que par aveuglement au plan mondialiste de destruction des patries et d'asservissement des peuples. 

Mais nous sommes bien obligés, si elles persévèrent dans leurs erreurs, si elles continuent de pactiser avec l'ennemi et de faciliter sa tâche, de les considérer elles-mêmes comme des adversaires. Un Rocard participant empressé du Bilderberg Group, un Barre affilié influent de la Trilatérale, complices actifs du puissant financier international Rockefeller, seraient impuissants, désarmés, inoffensifs, s'ils n'étaient pas encouragés, épaulés, soutenus, par ces milliers d'honnêtes citoyens de droite ou de gauche qui n'ont pas encore vu le danger qu'ils représentent. Il est temps de se rendre compte que voter la gauche ou la droite, c'est laisser faire le gouvernement mondial !

Publié dans Nouvel ordre mondial

https://explicithistoire.files.wordpress.com/2016/02/moncomble-yann-lirresistible-expansion-du-mondialisme.pdf




La vraie histoire de David Rockefeller que les médias ne racontent pas

Rockefeller-david
Tout en étant célèbre pour sa philanthropie dans les reportages des médias, le dernier petit-fils survivant du premier milliardaire américain est mort il y a deux jours, laissant derrière lui un héritage sombre indiquant comment la noblesse américaine a souvent façonner la politique derrière les coulisses.
(MPN) Personne ne peut encapsuler l’héritage durable des «barons voleurs» de l’ère industrielle tout comme David Rockefeller. Rockefeller, mort il y a deux jours à l’âge de 101 ans, était le dernier petit-fils survivant de John D. Rockefeller, le magnat du pétrole qui est devenu le premier milliardaire de l’Amérique et patriarche de ce qui est devenu l’une des familles les plus puissantes et les plus riches de l’histoire américaine. David Rockefeller, un produit indéniable de la noblesse américaine, a vécu toute sa vie dans les échelons de la société américaine, devenant symbolique de l’élite qui dirige souvent les politiques publiques à un degré beaucoup plus grand que beaucoup le réalisent, bien souvent de l’ombre.
Rockefeller a clairement indiqué qu’il préférait opérer hors du public malgré sa grande influence dans la politique américaine et internationale. En raison de son droit d’aînesse, Rockefeller a servi de conseiller à chaque président depuis Eisenhower, mais quand on lui a offert des positions puissantes telles que le président de la Réserve fédérale et le secrétaire du Trésor ; il a refusé, préférant «un rôle privé».
Comme en témoigne les nombreuses nécrologies déplorant la perte des derniers des petits-fils de Rockefeller, il a largement réussi à cacher ses méfaits les plus importants à la vue du public, comme en témoigne sa caractérisation de généreux philanthrope et banquier influent
Mais comme c’est souvent le cas, le véritable héritage de Rockefeller est beaucoup plus obsédé par la controverse que les grands médias ne semblent vouloir l’admettre. En plus d’avoir été le conseiller de tous les présidents des États-Unis pendant la majeure partie des quelque 70 dernières années, Rockefeller (une fois de plus dans les coulisses) a contribué à façonner les aspects les plus cruels de la politique américaine pendant cette période, il a également été une force majeure dans l’établissement de politiques bancaires qui ont conduit à des crises de la dette dans le monde en développement.
Rockefeller (en tant que chef de la Chase Manhattan Bank de 1969 à 1981) a travaillé avec le gouvernement et les sociétés multinationales dans le monde entier pour créer un «ordre global» sans équivoque dominé par le 1%, dont sa famille faisait partie. Comme le New York Times l’a noté dans les années 1970, Rockefeller est devenu impliqué dans la controverse quand ses voyages constants en outre-mer ont fait perdre des revenus à la banque, comme il a priorisé l’influence de la banque sur la politique étrangère.
Pendant son temps en tant que PDG de Chase, Rockefeller a contribué à jeter les bases de régimes répressifs, racistes et fascistes dans le monde entier, ainsi que l’architecture pour l’inégalité mondiale. En outre, Rockefeller a aidé à faire naître la crise de la dette des années 1980, en partie par une action directe à travers Chase Bank et indirectement par son ancien président de la Réserve fédérale, Paul Volcker. Deux ans avant l’éclatement de la crise de la dette, Rockefeller, Volcker et d’autres grands banquiers se sont rencontrés à la Conférence monétaire internationale dans les années 1980 pour plaider pour la création d’un «filet de sécurité» pour les grandes banques (comme Chase) qui étaient en proie à de mauvais prêts accordés en grande partie aux pays du monde en développement.
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David Rockefeller, (au centre) alors président du Comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank, reçoit le Prix du leadership international de 1983 décerné par Dr Henry A. Kissinger, à gauche, et Ralph A. Pfeiffer, Jr. le 9 décembre 1983. AP / Ron Frehm)
Après la crise qui a entraîné la ruine financière en Amérique latine et dans d’autres régions en développement dans le monde, Rockefeller (avec d’autres banquiers) a créé des programmes d’austérité pour «résoudre» la crise de la dette lors des réunions subséquentes IMC. Cependant, grâce au «filet de sécurité» convenablement établi des années antérieures, Chase a évité les conséquences économiques pour ses actions criminelles.
En outre, Rockefeller a soutenu les dictatures sanglantes et impitoyables du Chah d’Iran et Augusto Pinochet du Chili tout en soutenant également l’apartheid israélien. Rockefeller a ensuite fondé l’influence de la Commission trilatérale tout en servant également de force majeure au Conseil des relations extérieures qu’il, avec son ami intime Henry Kissinger, viendrait à dominer.
Ces deux organisations ont été mises à feu pour user de leur puissante influence pour créer un «gouvernement mondial» dirigé par une élite puissante et ultra-riche, accusation que David Rockefeller a confirmée comme vraiedans son autobiographie. Loin du généreux philanthrope que l’on nous vend, David Rockefeller mérite d’être rappelé pour son véritable héritage ; un membre de l’élitisme, du fascisme et de l’asservissement économique.
Source : MintPress News

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