vendredi 16 février 2018

Sauvegarde Le blog de Mahomet page 10

L’Islam et le Mensonge

Auteur : Abdullah Al Araby

Comme la plupart des religions, l’Islam, en général, interdit le mensonge. Le Coran dit : «Dieu ne dirige pas les transgresseurs et les menteurs» (Sourate 40, Verset 29). Dans le Hadith, on trouve la citation de Muhammad : «Soyez honnetes parce que l’honnêteté conduit à la bonté et la bonté conduit au Paradis. Méfiez-vous de la fausseté parce qu’elle conduit à l’immoralité et l’immoralité conduit à l’enfer.»

Cependant, à l’opposé de la plupart des religions, il y a certains cas, dans la religion musulmane, dans lesquels le mensonge est non seulement toléré, mais, en fait, recommandé. Le livre de l’érudit musulman Afif A. Tabbarah intitulé «L’Esprit de l’Islam» a pour but de promouvoir cette religion. À la page 247, Tabbarah déclare : «mentir n’est pas toujours une mauvaise chose, bien sûr ; il y a des occasions dans lesquelles dire un mensonge est plus profitable, meilleur pour le bien-être général et pour la réconciliation entre les gens que dire la vérité. C’est pour çà que le Prophète dit que celui qui (à l’aide du mensonge) amène les gens à la réconciliation, fait le bien ou dit une bonne parole, n’est pas coupable de fausseté.»

Pour explorer cette duplicité troublante dans la religion musulmane, nous examinerons d’abord quelques exemples de l’histoire récente aussi bien qu’ancienne. Ces exemples montrent que le mensonge est une tactique commune parmi les membres du clergé et les hommes d’État musulmans.

En Juin 1 967, l’Égypte fut vaincue par Israël et perdit la péninsule du Sinaï lors de la « Guerre des 6 Jours ». Après cela, le but essentiel de l’Égypte devint de regagner le territoire perdu. Le Président Nasser, et ensuite, le Président Sadat, adoptèrent le slogan : « aucune voix ne s’élèvera au dessus de la voix de la Bataille ». Les soldats appelés en 67 furent gardés en état d’alerte dans l’armée en prévision d’une « bataille » proche. Néanmoins, les années passèrent et les Égyptiens devinrent mécontents de ces vaines promesses et de cette situation « ni paix, ni guerre ». Sadat proclama enfin solennellement que 1 972 serait l’année de la Bataille tant attendue. Tout au long de l’année, il répéta : « Je vous jure sur mon honneur que cette année ne passera pas sans que nous declenchions la Bataille ». On le crut parce qu’il risquait, par serment, sa réputation et son honneur. À la stupéfaction générale, l’année passa sans un seul coup de feu. Beaucoup donc, à l’intérieur de l’Égypte comme à l’étranger, commençèrent a le traiter de bloffeur. Opinion confirmée d’ailleurs par ce qui se passa l’année d’après, en 1973 où il ne fit aucune mention de son serment sur la Bataille. De nombreux conscrits furent renvoyés chez eux et beaucoup d’officiers obtinrent des permissions. C’est alors que, sans avertissement, en octobre 73, Sadat lança l’attaque et ce fut le début de la guerre du Yom Kippour.

En tant que chef militaire, Sadat était censé user de surprise pour duper l’ennemi. En tant que Musulman pieux, il n’avait pas à se préoccuper d’un serment non tenu. Il comprenait que l’histoire et l’enseignement de l’Islam l’exemptaient de toute responsabilité spirituelle quand il basait une manœuvre de stratégie militaire sur des mensonges.

On trouve la preuve de cela dans beaucoup d’exemples tirés de la vie même de Mahomet. Souvent il mentit et ordonna à ses adhérents d’en faire de même. Les chances de succès des missions ayant pour but de répandre l’influence de l’Islam annulait, à son avis, le commandement initial d’Allah contre le mensonge. Un bon exemple de mensonge approuvé par Mahomet est fourni par le récit de l’assassinat de Kaab Ibn al-Ashraf, membre de la tribu juive des Banu al-Nudair. Il lui avait été rapporté que Kaab s’était montré favorable aux Kusaishites lors de la bataille que ceux-ci avaient montée contre lui. De plus (et ceci le rendit encore plus furieux), on disait que Kaab avait récité des poèmes d’amour à des femmes musulmanes. Mahomet demanda donc des volontaires des volontaires qui le debarrasseraient de Kaab Ibn al-Ashraf. Selon lui, Kaab avait « nui à Allah et à son Apôtre ». À l’époque, Kaab Ibn al-Ashraf et sa tribu étaient puissants et il n’était donc pas façile pour un inconnu de s’infiltrer et d’exécuter cette tâche. Un Musulman nommé Ibn Muslima se porta volontaire pour ce projet meurtrier à condition que Mahomet lui permette de mentir. Avec le consentiment de celui-ci donc, Ibn Muslima alla trouver Kaab et lui raconta des histoires, prétendant avoir du ressentiment contre Mahomet. Une fois qu’il eut gagné la confiance de Kaab, il l’invita un soir, par la ruse, à quitter sa maison et, dans un endroit sombre et désert, le tua.

Le récit du meurtre de Shaaban Ibn Khalid al-Hazly offre un exemple semblable. On disait que Shaaban était en train de monter une armée pour combattre Mahomet. En représailles, celui-ci ordonna à Abdullah Ibn Anis de tuer Shabaan. Encore une fois, le futur assassin demanda au prophète la permission de mentir. Celui-ci donna son accord et commanda au meurtrier de prétendre qu’il faisait partie du clan des Khazaa. Quand Shaaban vit arriver Abdullah, il lui demanda : « de quelle tribu es-tu ? » Abdullah répondit « celle des Khazaa ». Il ajouta alors : « j’ai entendu dire que tu es en train de lever une armée pour combattre Mahomet et je suis venu vous joindre. » Abdullah commença à se promener avec Shaaban, lui racontant que Mahomet prêchait l’hérésie, critiquait les patriarches arabes et détruisait leur espoir. Tout en continuant à parler, ils arrivèrent à la tente de Shaaban. Les compagnons de celui-ci s’éloignèrent et Shaaban invita Abdullah à venir se reposer à l’intérieur. Quand tout devint silencieux et qu’il sentit que tout le monde dormait, celui-ci trancha la tête de Shaaban et la porta en trophée à Mahomet. Quand il aperçut Abdullah, Mahomet s’écria en jubilant : « Ton visage a triomphé (aflaha al-wajho) ». Abdullah retourna son salut en disant : « C’est ton visage, apôtre d’Allah, qui a triomphé (aflaha wajhoka, ye rasoul Allah) ».

Les conditions du mensonge dans la religion musulmane

La plupart des Musulmans connaissent les principes de l’Islam qui justifient le mensonge quand il leur paraît nécessaire. Parmi ceux-ci, on trouve :

La guerre est une tromperie

La nécessité justifie ce qui est interdit

Entre deux maux, choisir le moindre

Ces principes dérivent de passages du Coran et du Hadith.

Dans le Coran, Allah est censé avoir dit :

« Il ne vous châtiera pas pour un serment inconsidéré, mais il vous châtiera si vous manquez à un engagement réfléchi. L’infraction commise coûtera la nourriture de dix pauvres, nourriture de qualité moyenne et telle que vous la donnez à vos familles, ou bien leur vêtement, ou bien l’affranchissement d’un esclave. Celui qui sera hors d’état de satisfaire à cette peine jeûnera trois jours. Telle sera l’expiation de votre serment si vous avez juré. Observez donc vos serments. C’est ainsi que Dieu vous manifeste ses signes, afin que vous soyez reconnaissants. » (V, 91)

« Dieu ne vous punira point pour une parole inconsidérée dans vos serments, il vous punira pour les œuvres de vos cœurs. Il est clément et miséricordieux. » (II, 225)

« Quiconque, après avoir cru, redevient infidèle (à moins qu’il ne soit pas contraint et que son cœur ne reste ferme dans la foi) ne sera point coupable ; mais la colère de Dieu s’appesantira sur celui qui ouvre son cœur pour l’infidélité, et un châtiment terrible l’attend. » (XVI, 109)

Le célèbre commentateur musulman, Al-Tabary explique que ce dernier verset a été révélé après que Mahomet ait appris qu’Ammar Ibn Yasser, kidnappé par la tribu des Banu Moghera, avait été forcé de renier sa foi en Mahomet. Celui-ci le consola en lui disant « s’ils ont tourné, tu tournes » (explication : s’ils te capturent de nouveau, il t’est permis de me renier de nouveau).

Ces passages du Coran et d’autres dans la même veine révèlent clairement que, pour le Musulman, le mensonge non-intentionnel est pardonnable et que même le mensonge intentionnel peut être absous si on exécute certaines pratiques supplémentaires. Il est clair aussi qu’un Musulmant peut mentir sous serment et peut même renier sa foi en Allah pourvu que, dans son cœur, il maintienne sa profession de foi.

Dans le Hadith, Mahomet insiste sur les mêmes concepts.

Dans Ehiaa Oloum al-Din, par l,érudit musulman Al-Ghazali, vol.3, nous lisons (Vol. 3 ; p. 284-287) :

« Une des filles de Mahomet, Umm Kalthoum, témoigne qu’elle n’a jamais entendu l’apôtre d’Allah approuver le mensonge, sauf dans les 3 situations suivantes :

1 – pour la réconciliation entre les individus

2 – en cas de guerre

3 – entre les époux, pour préserver la paix familiale

Dans un passage du Hadith, Mahomet déclare « les fils d’Adam doivent rendre compte de tous mensonges sauf ceux commis pour produire la réconciliation entre Musulmans. »

Dans un autre passage, on lit « Aba Kahl, obtient la réconciliation entre les gens. » (Autrement dit, même par le mensonge)

La citation suivante prouve que le prophète permettait le mensonge dans des situations nombreuses et variées… « Les fils d’Adam doivent rendre compte de tous leurs mensonges sauf dans ces cas-ci : pendant la guerre (parce que la guerre est une tromperie), quand il s’agit de faire la paix entre deux hommes qui se querellent, et quand un homme veut apaiser sa femme. »

Le principe d’Al-Takeyya

Le mot arabe « Takeyya » signifie « empêcher » ou « se protéger ». Le principe d’Al Takeyya signifie qu’il est permis à un Musulman de mentir comme mesure préventive quand il prévoit l’avènement de quelque chose de nuisible, soit à lui-même soit à d’autres Musulmans. Ce principe le rend libre de mentir dans les circonstances de vie ou de mort. Il peut même renier sa foi, tant qu’il ne le fait pas du cœur. Al Takeyya est basé sur le verset coranique suivant :

« Que les croyants ne prennent point pour alliés des infidèles plutôt que des croyants. Ceux qui le feraient ne doivent rien espérer de la part de Dieu, à moins que vous n’ayez à craindre quelque chose de leur côté. Dieu vous avertit de le craindre : car c’est auprès de lui que vous retournerez. » (III, 27)

D’après ce verset donc, un Musulman peut prétendre être l’ami d’infidèles (ce qui est interdit par la doctrine islamique) et se montrer d’accord avec leur infidélité pour éviter que ceux-ci ne lui portent tort. Il lui est aussi permis d’agir contrairement à sa foi (à l’exclusion du meurtre) s’il se trouve menacé. Par exemple, les actions suivantes seraient acceptables :
  • Boire du vin, abandonner la prière, ne pas faire le Ramadan
  • Renoncer à sa foi en Allah
  • S’agenouiller devant un dieu autre qu’Allah
  • Prêter de faux serments

Les Implications du Principe d’Al Takeyya

Malheureusement, dans tout rapport avec des Musulmans, on doit se rappeler qu’ils peuvent faire des déclarations apparemment sincères tout en ayant en esprit un but complètement opposé. Il est clair que l’Islam permet à ses adhérents de mentir en toutes circonstances où ils perçoivent un danger aussi bien pour eux-mêmes que pour leur religion.

En matière de politique internationale, la question se pose : peut-on faire confiance aux nations islamiques et s’attendre à ce qu’elles soient fidèles aux traités signés avec des nations non-islamiques ? Il est bien connu que la foi musulmane permet à ses adhérents d’accepter presque n’importe quoi lorsqu’ils sont faibles. Une fois qu’ils ont regagné des forces, ils renient leurs promesses passées.

L’approbation du mensonge quand il a pour but de favoriser la cause de l’Islam est un principe qui a de graves conséquences quand on considère l’expansion de l’Islam en Occident. Les activistes musulmans emploient des tactiques mensongères pour donner à l’Islam une apparence plus attrayante et donc plus à même d’amener à la conversion. Ils évitent soigneusement, cachent, ou omettent de mentionner tout ce qui est négatif parmi les textes ou doctrines islamiques.

Un bon exemple de ce genre de tromperie, c’est que les activistes musulmans citent toujours les passages du Coran datant de la période où Mahomet exerçait son ministère à la Mecque. Ces textes sont pacifiques et exemplifient la tolérance envers ceux qui n’adhèrent pas à l’Islam. Ils sont pourtant tout à fait conscients du fait que la plupart de ces passages ont été abrogés (c’est-à-dire annulés et remplacés) par des passages reçus après l’émigration à Médine. Les versets de remplacement reflètent les préjugés et l’intolérance et souscrivent à l’intolérance envers les incroyants.

En conclusion, il faut absolument comprendre que les dirigeants musulmans peuvent se servir de cette ambiguité dans leur religion pour se dégager en bonne conscience de toute promesse. Il est important aussi de savoir que ce qui est dit dans le but de propager l'Islam n'est pas toujours l'entière vérité. Quand on a affaire à des Musulmans, ce qui compte n'est pas ce qu'ils disent mais leurs intentions réelles, dans leurs cœurs mêmes.
 
 
10 AOÛT 2013
  1. ISLAM, CORAN, HADITHS ET SUNNA
L’islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au 7ème siècle après Jésus-Christ par Mahomet, qui se déclare être le dernier prophète et donc LE prophète à qui Allah aurait transmis ses préceptes par l’entremise de l’ange Gabriel.Ces préceptes sont compilés dans le Coran.
Le Coran, fixe, immuable, non interprétable est formé de 114 chapitres appelés sourates et chaque sourate est formée d’un nombre variable de phrases appelées versets. Les sourates et les versets sont numérotés de manière standard depuis 1923, par exemple [4:34] désigne le verset 34 de la sourate 4.
Il est à noter que Mahomet entendait les paroles de l’ange Gabriel pendant des crises : « Les témoins disent qu’il (Mahomet) avait des syncopes au cours desquelles il avait de l’écume aux lèvres et des rugissements analogues à ceux d’un jeune chameau » (Mizanu’l Haqq, p. 345).
En plus du Coran, livre saint, l'islam prend aussi pour modèle Mahomet en s’inspirant de ses actes et paroles rapportés entre le 8ème et le 10ème siècle par les traditionnistes Bukhari, Muslim, Daoud et d’autres encore dans les hadiths (les dires), qui forment la sunna (tradition).En parcourant les hadiths et le Coran (ici traduit en français par Hamidullah, version largement acceptée), nous constatons que l’islam est violent dès ses origines, qu’il est inégalitaire et discriminatoire envers les femmes, les non-mahométans, les homosexuels... et qu’en fait, l’islam rejette et combat tout ce qui n’est pas lui-même.
C’est une idéologie qui instrumentalise une religion dans le but de soumettre par la persuasion ou la violence tous les non-mahométans du monde. D’ailleurs "islam" signifie "soumission" en arabe et "musulman" signifie "soumis".Bien des personnes ne veulent pas, par méconnaissance ou mauvaise foi, accepter cette réalité ; d’où cette présentation qui expose le Coran tel qu'il est et montre ainsi que l’islam est incompatible avec le respect des êtres humains.
2. TACTIQUE DE L’ISLAM
a) Un point fondamental. Ne soyez jamais étonné qu’un propagandiste de l'islam mente par omission ou par action, dissimule ou falsifie car c’est une presciption coranique. Quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La taqqya, qui s’écrit aussi takia (dissimulation), est un devoir pour les mahométans en situation d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse, alors les mahométans peuvent envisager l’agression :Coran 47:35"Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais du mérite de vos oeuvres."
b) Quand on s’oppose à un propagandiste de l'islam qui affirme que l’islam est une religion de tolérance, de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes ou antijuives et qu’il est à court d’arguments, il finit toujours par dire au bout du compte "Oui, mais le Coran, pour le comprendre, il faut le lire en arabe."Si tel est le cas, alors tous les convertis et tous les mahométans qui ne lisent pas l'arabe, sont des personnes qui ont adopté unereligion sans comprendre le Coran !Il existe des traductions du Coran acceptables, ne serait-ce que celles utilisées dans les pays non arabophones par les propagandistes de l'islam, traductions qu’on ne peut pas soupçonner d’être islamophobes.
c) Il faut aussi réfuter l’argument récurrent utilisé par des mahométans qui souvent n’ont jamais lu le Coran, ainsi que par des non-mahométans ignorants en islamologie qui jouent les idiots utiles à l’islam et qui affirment que l’islam est une religion comme les autres. Il faut objecter cette affirmation. De nombreux versets incitant au meurtre figurent dans le Coran (aller au paragraphe 4 pour des exemples ou encore lire les hadiths où Mahomet lui-même commandite de nombreux assassinats). Donc l’islam n'est pas une religion comme les autres.
d) A la longue liste de versets du Coran appelant clairement au meurtre des mécréants, les propagandistes de l'islam rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer, que se défendre face aux attaques des "méchants" polythéistes.
On reconnaît déjà à cette époque la posture victimaire des mahométans. Il faudrait donc croire que les mahométans ont conquis d’immenses territoires au nom d’Allah, uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient.
Pour se convaincre au contraire de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre Mahomet, il suffit de lire certaines lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents chefs ou rois, pour les "inviter" à embrasser l’islam : aux chefs des tribus d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie... Voici la "lettre d’invitation" au peuple d’Oman :"Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l'islam. Acceptez mon appel, et vous serez indemne. Je suis le messager de Dieu envoyé l'humanité, et l'annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l'islam, j'accorderai la puissance sur vous. Mais si vous refusez d'accepter l'islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l'étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume. Signé : Mahomet, messager de Dieu."
e) Il faut aussi savoir que 2 versets peuvent se contredire, mais Allah, étant omniscient et infaillible, a tout prévu. Dans un tel cas, il a développé la doctrine des versets abrogeants (nasikh) et des versets abrogés (mansukh) qui consiste à décider que le verset le plus récent annule le plus ancien et donc qu’un versetmédinois ou post-Hégire peut annuler, en cas de contradiction, un verset mecquois ou pré-Hégire. L’Hégire désigne la période où Mahomet a été chassé de la Mecque pour aller se réfugier à Médine. Pour preuve de ce qui précède, on peut citer les deux versets :Coran 2:106"Si nous abrogeons un verset quelconque ou que nous le faisons oublier, nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est omnipotent ?"Coran 16:101"Quand Nous remplaçons un verset par un autre – et Allah sait mieux ce qu'Il fait descendre – ils disent : "Tu n'es qu'un menteur". Mais la plupart d'entre eux ne savent pas." Donc ne vous laissez pas désarçonner quand un propagandiste de l'islam vous cite un verset tolérant car il est vraisemblablement abrogé par un verset médinois. Si l’islam était pacifique, il ne devrait pas y avoir un seul verset violent dans le Coran... or des mots tels que "tuer", "combattre" ou "jihad" y apparaissent des centaines de fois.
3. CHOIX DU CORANNous avons déjà signalé tout l’intérêt que représente pour nous de choisir une traduction du Coran agréée par les propagandistes de l'islam eux-mêmes. C’est donc le Coran d’Hamidullah qui servira de référence dans la suite.Remarque importante : le Coran ("récitation" en arabe) est moins un texte que la récitation de ce texte en arabe. C’est donc, pour les non-arabophones, une longue suite de sons appris par coeur, dans des "écoles coraniques" (madrassa, où les mahométans apprennent à haïr l’Occident). Il s’agit donc d’un véritable bourrage de crâne auquel des enfants sont soumis souvent dès l’âge de 4 ans !
4. AU FIL DU CORAN
Dans ce qui suit, quand les mots "les" ou "ils" ne seront pas précisés, ils désigneront tous ceux qui ne sont pas soumis à Allah : les juifs, les chrétiens, les hérétiques, les infidèles, les associateurs, les polythéistes et les mécréants.
a) Appels au meurtre Coran 2:191"Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d'où ils vous ont chassé : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants." Coran 4:89"Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur." Coran 4:91"Vous en trouverez d'autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu'on les pousse vers l'association (l'idolâtrie) ils y retombent en masse. Par conséquent, s'ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné une autorité manifeste." Coran 5:33"
La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment." Coran 8:12"Et ton Seigneur révéla aux anges : "Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous (décapitation) et frappez-les sur tous les bouts des doigts." Coran 8:17"Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient." Autrement dit c’est l’absolution par avance pour un meurtrier pour peu qu’il tue un infidèle au nom d’Allah. Coran 9:5"Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat (prière) et acquittent la Zakat (aumône), alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux." Coran 17:33"Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu'Allah a rendu sacrée. Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche parent. Que celui-ci ne commette pas d'excès dans le meurtre, car il est déjà assisté par la loi."
Selon le Coran, il existe des raisons tout à fait valables, conformes à la loi islamique (charia), de tuer. Coran 33:61"Ce sont des maudits. Où qu'on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement." Coran 47:4"Lorsque vous rencontrez au combat ceux qui ont mécru, frappez-en les cous (décapitation). Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions."
b) Haine contre les juifs, les chrétiens et les infidèles Coran 5:51"O les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes." Coran 9:30"Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s'écartent-ils de la vérité ?"Coran 5:14"Et de ceux qui disent : "Nous sommes Chrétiens", Nous avons pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Nous avons donc suscité entre eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour de la Résurrection. Et Allah les informera de ce qu'ils faisaient." Dans les hadiths, on peut facilement faire une moisson de propos antijuifs et antichrétiens parfois très violents comme : "Un groupe des Banu Israel (fils d’Israël) était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats." Récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524
c) Les inégalités fondamentales de l’islam
Le mahométan est supérieur au non-mahométan Coran 3:110"Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre (chrétiens et juifs) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers." L’homme est supérieur à la femme Coran 4:34"Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes à leurs maris, et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !"Le maître est supérieur à l’esclave.
L’islam n’a pas encore abrogé l’esclavage, encore pratiqué en Arabie saoudite et au Soudan où la traite des noirs est encore d’actualité, comme l’atteste le témoignage poignant d’un Soudanais noir et chrétien, nommé Simon Deng, réduit en esclavage par le régime arabe islamiste de Khartoum, témoignage recueilli par la journaliste Caroline Fourest, que l’on peut trouver sur le site Internet :http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2738.Si l’islam n’a pas aboli l’esclavage (le peut-il ?) c’est tout simplement que son objectif est d’établir le califat mondial où les non-mahométans auraient le choix entre la conversion, la mort ou, dans le meilleur des cas, la dhimmitude pour les Gens du Livre (juifs et chrétiens), qui est un statut de sous-homme.
d) Peine de mort pour celui qui quitte l’islam" Mais sans aucun doute je les aurais tués puisque le Prophète a dit : si quelqu’un (un mahométan) s’écarte de sa religion, tuez-le." Récit d’Ikrima, Bukhari LII 260 Connaissez-vous beaucoup de religions qui appellent à tuer celui qui désire les quitter ?
5. MAHOMET, LE "BEAU MODELE"
On ne peut pas terminer sans parler de Mahomet. Quelques traits du caractère de celui que tout mahométan doit imiter, trouvé dans les hadiths ou le Coran :
Mahomet et torture"
Quand l’apôtre d’Allah eut coupé les pieds et les mains de ceux qui avaient volé ses chameaux et qu’il leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés au feu, Allah le gronda et il révéla : la punition de ceux qui font la guerre à Allah et à son apôtre et qui les affrontent avec toutes leurs forces pour semer la discorde sur la terre sera l’exécution (par décapitation) ou la crucifixion." Récit d’Abu Zinad, Dawud XXXVIII 4357
Mahomet et meurtre"
L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam, un Juif et sa femme." Récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216
Mahomet et pédophilie"
Khadija (première femme de Mahomet) est morte 3 ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aïcha qui était une fillette de 6 ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage." Récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236
Mahomet et pillage"
Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage, (ghazw ou ghazwa en arabe, ce que l’on traduit en français par razzia – dans le cas du Prophète, un tel pillage constituait un aspect du jihad) il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction." Récit de Ka’b ibn Malik, Bukhari LII 197Coran 8:1" Au nom d'Allah le Très Miséricordieux. Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants." Tel est l’islam depuis quatorze siècles.
 
 
23 JUIN 2013

"L'islam n'a RIEN APPORTE à l'humanité : c'est un poids mort qui pèse sur elle"

par Mokrane Amazigh (Articles), samedi 8 juin 2013, 01:50 
Un universitaire égyptien prédit l’effondrement du monde musulman

Hélios d'Alexandrie a traduit de l'arabe cet article paru le 1er décembre 2010 dans le journal Al Marsd au sujet d'un livre du politologue allemand d'origine égyptienne, Abdel-Samad.

Abdel-Samad avait prédit, avant le déclenchement des révolutions arabes, l'effondrement du monde musulman sous le poids d'un islam incapable de prendre le virage de la modernité, et l'immigration massive vers l'Occident qui s'en suivrait.
L'Occident a intérêt à soutenir les forces laïques et démocratiques dans le monde musulman. Et chez nous, il faut encourager la critique de l'islam au lieu de la réprimer sous prétexte de discours de haine.

En apaisant les islamistes et en accommodant leurs demandes obscurantistes dans nos institutions, on ne fait que retarder un processus qui serait salutaire pour les musulmans eux-mêmes, et pour l'humanité. 

L’auteur ne ménage pas ses critiques à l’égard des musulmans : «Ils ne cessent de se vanter d’avoir transmis la civilisation grecque et romaine aux Occidentaux, mais s’ils étaient vraiment porteurs de cette civilisation pourquoi ne l’ont-ils pas préservée, valorisée et enrichie afin d’en tirer le meilleur profit ?»

Et il pousse le questionnement d’un cran : «Pourquoi les diverses cultures contemporaines se fécondent mutuellement et s’épanouissent tout en se faisant concurrence, alors que la culture islamique demeure pétrifiée et hermétiquement fermée à la culture occidentale qu’elle qualifie et accuse d’être infidèle?»
Et il ajoute : «le caractère infidèle de la civilisation occidentale n’empêche pas les musulmans de jouir de ses réalisations et de ses produits, particulièrement dans les domaines scientifiques, technologiques et médicaux. Ils en jouissent sans réaliser qu’ils ont raté le train de la modernité lequel est opéré et conduit par les infidèles sans contribution aucune des musulmans, au point que ces derniers sont devenus un poids mort pour l’Occident et pour l’humanité entière.»   


L’auteur constate l’impossibilité de réformer l’islam tant que la critique du coran, de ses concepts, de ses principes et de son enseignement demeure taboue ; cet état de fait empêche tout progrès, stérilise la pensée et paralyse toute initiative.

S’attaquant indirectement au coran. l’auteur se demande quels changements profonds peut-on s’attendre de la part de populations qui sacralisent des textes figés et stériles et qui continuent de croire qu’ils sont valables pour tous les temps et tous les lieux.

Ce blocage n’empêche pas les leaders religieux de répéter avec vantardise et arrogance que les musulmans sont le meilleur de l’humanité, que les non-musulmans sont méprisables et ne méritent pas de vivre !

L’ampleur de la schizophrénie qui affecte l’oumma islamique est remarquable.

L’auteur s’interroge : «comment l’élite éclairée dans le monde islamique et arabe saura-t-elle affronter cette réalité ? Malgré le pessimisme qui sévit parmi les penseurs musulmans libéraux, ceux-ci conservent une lueur d’espoir qui les autorise à réclamer qu’une autocritique se fasse dans un premier temps avec franchise, loin du mensonge, de l’hypocrisie, de la dissimulation et de l’orgueil mal placé.

Cet effort doit être accompagné de la volonté de se réconcilier avec les autres en reconnaissant et respectant leur supériorité sur le plan civilisationnel et leurs contributions sur les plans scientifiques et technologiques.

Le monde islamique doit prendre conscience de sa faiblesse et doit rechercher les causes de son arriération, de son échec et de sa misère en toute franchise afin de trouver un remède à ses maux.

Le professeur Abd el Samad ne perçoit aucune solution magique à la situation de l’oumma islamique tant que celle-ci restera attachée à la charia qui asservit, stérilise les esprits, divise le monde entre croyants musulmans et infidèles non-musulmans ; entre dar el islam et dar el harb (les pays islamiques et les pays à conquérir).

L’auteur croit qu’il est impossible pour l’oumma islamique de progresser et d’innover avant qu’elle ne se libère de ses démons, de ses complexes, de ses interdits et avant qu’elle ne transforme l’islam en religion purement spirituelle invitant ses adeptes à une relation personnelle avec le créateur sans interférence de la part de quiconque fusse un prophète, un individu, une institution ou une mafia religieuse dans sa pratique de la religion ou dans sa vie quotidienne.

Source : أستاذ جامعي مصري يتنبأ بسقوط العالم الإسلامي خلال 30 سنة, Al-Masrd, 1 décembre 2010. 
 
 
13 MAI 2013

Lettre ouverte à la sénatrice socialiste Bariza Khiari, qui ose parler d’un bon islam

Tout d’abord, excusez mon audace, car j’ai beaucoup hésité avant de vous écrire, pour soulever le problème de l’Islam et pour répondre aux déclarations que vous avez faîtes sur la chaine de télévision parlementaire. En effet, vous avez dit qu’il y a une grande différence entre votre Islam et celui qui fait débat actuellement à travers le monde. Sachez Madame la Sénatrice, que je ne partage pas vôtre point de vue. Je crois savoir, si mes sources sont fiables, que vous avez les mêmes origines que moi : berbères. Eh bien, ouvrons les manuels d’histoire. L’Islam s’est propagé en Afrique du nord par l’épée et il a soumis nos ancêtres communs par la terreur, en appliquant à la lettre le Djihad. Sinon comment m’expliquer que Okba le conquérant était devenu le libérateur et Koceyla, le patriote, était devenu l’ennemi de son propre pays, passant aux oubliettes de l’histoire ? Qui se souvient du prince Koceyla en Algérie ? Personne, parce qu’il était Chrétien ! Mais une ville du sud algérien porte le nom d’Okba pour le glorifier. Qui dit mieux ?
Ce ‘valeureux’ chef musulman Okba, pour mieux humilier et rabaisser plus bas que terre nos ancêtres amazighs, à son retour dans son pays, emmena dans ses bagages 25.000 adolescentes berbères comme butin de guerre, séquestrées au cours de ses razzias qui furent vendues comme esclaves sexuelles sur les marchés de Damas. Et j’en passe mais sans oublier la diabolisation bien orchestrée de la Reine Kahina, par les envahisseurs de la Numidie qui perdure jusqu’à nos jours.
Quant au Coran, c’est l’auberge espagnole, on peut y faire le marché à la carte, suivant le goût et l’odeur du moment. La religion islamique est une vraie lessiveuse des esprits…
Madame la Sénatrice, et avec votre permission, évoquons le sort réservé à la femme en Islam. Et commençons par Mahomet, lui-même, ne s’est-il pas marié avec Aïcha, la gamine de neuf ans, alors qu’il en avait cinquante deux ou cinquante trois ? N’avait-il pas pris comme épouse Zineb, la femme de son fils adoptif Zaïd, après l’avoir contraint à se séparer d’elle, par un verset coranique ? Et combien d’épouses et de femmes esclaves, avait-il possédé durant sa vie ?…C’est une question que je me pose et que je vous pose et j’attendrai votre réponse pour aérer mon esprit embrouillé. Quant au statut de la femme, l’Islam a scellé son sort depuis 14 siècles. Il n’y a qu’à voir ce que les versets coraniques ordonnent en ce qui concerne le témoignage, l’héritage, la polygamie, le mariage, le divorce à son sujet…. N’est-il pas écrit dans le Coran : « les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la désobéissance de leurs femmes, peuvent les châtier : abandonner leur lit et même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme. »
Arrêtons de nous voiler la face et de radoter que c’est un complot ourdi par nos ennemis que nous avons appris à ânonner haut et fort pour dédouaner l’Islam de la situation d’infériorité qu’il a infligé à nos mères, à nos épouses, à nos sœurs, et à nos filles depuis 14 siècles. Mais pour ma part, je crois que nous parlons de l’Islam sans connaître sa matrice, la bédouinité.
Je pourrai soulever d’autres questions qui fâchent, à l’exemple de l’esclavage qui est codifié par l’Islam, le sort des juifs et des chrétiens qui deviennent des dhimmis. Quant au sort du renégat, il est vite expédié, car il est du devoir de chaque musulman de lui couper la tête. On devient musulman par héritage et pour l’éternité… Où sont passés les droits de l’homme et où passée la liberté de conscience, de confession en territoires islamiques dont se gargarisent les intellectuels musulmans confortablement installés en Occident, terre par excellence des Infidèles, qui squattent à longueur d’année certains plateaux de chaînes de télévisions avec la complicité des journalistes en quête d’audimat ?
Mais moi, j’ai des trous de mémoire, excusez-moi, j’ai oublié qu’il y a une vraie douceur de vivre en terre Chrétienne mille fois mieux qu’à la Mecque. Alors de grâce, ces censeurs de conscience qui croient dur comme fer que l’Islam est humaniste, pourquoi s’accrochent-ils contre vents et marrées à demeurer en Occident alors qu’ils seraient mieux lotis en terre d’Islam pour adorer Allah en toute quiétude sans qu’ils soient gênés par le comportement immoral des Occidentaux comme ils ne cessent de le radoter, aux pays du porc et du vin? Quant à moi, je les invite à me rejoindre dans l’enfer de l’arabo-catastrophisme, je les y attendrai avec du lait et des dattes tout en leur souhaitant la bienvenue au club des damnés de la terre, car de Tanger jusqu’à Djakarta, je n’aperçois qu’aliénation culturelle, haine, sous-développement, misère et désolation.
J’arrête de divaguer mais pas avant de vous avoir dit, Madame la Sénatrice, que la femme n’a pas le droit de fouler le paradis où elle sera remplacée par les houris. Heureux le musulman qui accédera au ferdaous, le jour du jugement dernier, car il aura à sa disposition soixante douze houris et des rivières de vin ( verset coranique).

Et je vous défie de m’apporter les arguments contraires. Arrêtez de faire de la manipulation, car tôt ou tard la vérité éclatera et les Français de gauche découvriront le vrai visage de cette religion basée sur les mensonges, l’exclusion et la barbarie quand ils seront devenus des dhimmis mais ce jour-là, il sera trop tard.

Veuillez agréer, Madame la Sénatrice, l’expression de ma haute considération.
Hamdane Ammar
 
 
16 DÉCEMBRE 2012
Beaucoup de musulmans se vantent du prétendu Miracle Numérique du Coran. Essayant de prouver que le texte coranique contient des formules mathématiques cachées qui révèlent son authenticité, à l’exemple de la Bible.
Cependant, et après vérification minutieuse, on découvre que les personnes qui soutiennent cette thèse ne sont pas d’une grande honnêteté. Les chiffres sont falsifiés et les formules détournées. Les résultats sont surprenants, toutefois.
En appliquant les règles de la Gématrie, en tant que système de comptage numérique des textes, on arrive à des résultats intéressants pour les musulmans. La Gématrie est appelé en arabe : Système de Comptage des Phrases (Nidham Hissab El Djoumel).
Prenons, par exemple, le nom (Mohammed), dont la valeur numérique est de 92 (M=40 + H=8 +M= 40 d = 4. Total 92). 92, c’est 9+2 = 11 Dans le Coran, le nom qui apparaît 11 fois est celui du Diable (Ibliss).
Y aurait-il un lien entre les noms du Diable et de Mohamed ? Vérifions.
Si On additionne 92 qui est la valeur numérique de Mohamed, avec le chiffre 11 qui est le nombre d’occurrences du mot Diable dans le coran, on obtient le somme de 103. 103 est la valeur numérique du mot Ibliss, le Diable : A=1, B=2, L=30, Y=10, S=60. Total = 103. Il y a donc, un lien étroit entre le nom MOHAMED et le nom IBLISS.
Ce sont les chiffres qui parlent. Libre à chacun d’interpréter comme il veut.
On peut aller un peu plus loin.
Si on veut vérifier la nature du lien entre les noms de Mohamed et de IBliss, on opère comme suit :
Est-ce que Mohamed EST Ibliss ?
Vérifions :
Ibliss = 103, nous l’avons déjà vu. Mohamed = 92. Est (Houwa) = 11
Mohamed est (103) Ibliss 103. L’expression Mohaed est Ibliss (MohamedHouwa Ibliss) contient 11 lettres. C’est le nombre d’occurrences du mot Ibliss dans le Coran. Vérifions, dans le Coran le nombre de fois ou le nom de Mohamed est mentionné. Mohamed, 4 fois, et Ahmed (qui est son autre nom), 1 fois. Soit un total de 5 occurrences. Justement, le chiffre 5 est le total du nombre des lettres composant le nom Ibliss.
Mais, avançons.
Si nous cherchons un verset du Coran qui commence par un mot de 5 lettres, on en trouve un seul, et qui est resté longtemps mystérieux. Il existe ainsi, toute une série de versets coraniques qui commencent par une série de lettres sans relation apparente entre elles, formant des mots sans aucun sens. On les appelle « les lettres coupées ». D’ailleurs, Mohamed lui-même a avoué ne pas les comprendre. Ils ne se lient pas comme des mots entiers, mais s’éppellent lettre par lettre.
Ce seul mot curieux de cinq lettres qui ouvre un verset coranique se trouve dans la sourate dite de Mariam. Ces lettres sont K,H, Y, Ain, C. Leur valeur numérique est de K=20, H=5, Y=10, Ain=70, C=90, soit un total de 195.
Or, 195, c’est la somme de la valeur numérique de Mohamed, 92 + celle d’iBliss, 103.
Le nombre de versets contenus dans la sourate de Mariam est de 98. Si on ajoute le chiffre 5 qui est le nombre de « lettres coupées », ou du total du nombre de lettres composant le mot Ibliss, oubien encore du nombre d’occurrences du nom de Mohamed dans le Coran, on obtient le total de 103.
Encore une fois, c’est la valeur numérique du nom Ibliss.
Si on prend l’expression « l’imposteur de la Mèque », on trouve une valeur numérique de 103.
Si on met : l’imposteur de la Mèque est Mohamed, on obtient 103+103 = 206.
Le total du nombre de lettres de Mohamed est l’imposteur de la Mèque est de 11. C’est le nombre d’occurrences du nom Ibliss dans le Coran.
La valeur numérique du mot Satan (Chaytan) dans le coran est de 401. Si on soustrait la valeur numérique de Ibliss de celle de Chaytan, 401-103= 298.
Encore une fois, 298-103 =195. C’est la valeur numérique des 5 mots coupés, et c’est le total de Mohamed + Ibliss (92+103). 401-195=206 206-195 =11.
Décidément, Ibliss n’est jamais loin de Mohamed.
Si on calcule la valeur numérique du mot Satan, 401 comme suit : 4+0+1=5. C’est le nombre d’occurrences du nom de Mohamed dans le coran.
Si on additionne le nombre de lettres de Mohamed et de Satan, on trouve le chiffre 11, encore une fois.
Mais il y a plus. Plus fort encore :
La racine du mot Ibliss est BLS. Sa valeur numérique est de 92 (2+30+60), c’est-à-dire, la même que celle de Mohamed.
Cette racine figure 16 fois dans le texte coranique, dont 11 fois sous la forme de Ibliss. Si on y ajoute le nombre d’occurrences du nom de Mohamed, 5, on obtient le nombre 16.
A méditer.
Cette étude n’est pas de moi. J’ai traduit et adapté de l’arabe, un texte signé seulement par « un ex musulman ». Je lui rends hommage.
 
 
1 DÉCEMBRE 2012
Allah est le mot arabe pour désigner « Dieu ». L’étymologie que rapporte Dalil Boubakeur est la contraction de Al-Ilh, (« le Dieu ») en Arabe.

Le mot Allah est utilisé par les musulmans du monde entier, ainsi que par les arabophones chrétiens, juifs ou autres.
La plupart des musulmans francophones préfèrent utiliser cette appellation plutôt que le mot « Dieu » , car celui-ci peut prendre une forme féminine (déesse) ou un pluriel (dieux), alors qu’Allah est unique, ni masculin ni féminin .
D’un point de vue musulman, Allah est considéré comme le nom le plus précieux, nom qui n’est pas descriptif comme les quatre-vingt-dix-neuf attributs qui lui sont traditionnellement attribués, mais évoque la présence même du Dieu unique.

Pour comprendre qui est Allah, faisons un retour historique sur les débuts de l’utilisation de ce nom…

Le symbole du père des dieux au Moyen-Orient, c’est-à-dire Baal, -l’équivalent de Zeus pour les Grecs et Jupiter pour les Romains-  est, d’après l’archéologie et la Bible, un taureau avec des cornes en croissant de lune.
Le dieu principal de Babylone dans l’Antiquité est le dieu de la lune lui aussi représenté par un taureau avec des cornes en croissant de lune, et plus simplement parfois par un croissant de lune.
ALLAH.jpg

Image ci-dessus : Relief du dieu-lune Sîn, 8ème siècle av. J.-C., Harran, calcaire. Musée d’Alep (Syrie) : Le dieu Sîn disposait à Harran d’un important sanctuaire symbolisé par des hampes surmontées d’un croissant lunaire.


Au Moyen-Orient, le dieu de la lune est Ilah 
Il ne s’agit pas du nom propre d’un dieu spécifique mais d’une appellation générique pour « le dieu ».
Chaque tribu arabe locale se rapportait à son propre dieu tribal local en le nommant Al-Ilah qui est devenu plus tard Allah 
De plus Al-Lât, féminin de Allah est une divinité adorée à la Mecque bien avant la venue de Mahomet 
Nous apprenons ainsi que Ilah (ou Allah) est adoré sur une longue période pré-islamique, parfois sous d’autres appellations de Allah que nous connaissons aujourd’hui, et donc que Allah ne trouve pas son origine dans la Bible, comme essaient de le faire croire les musulmans, mais du paganisme païen .
D’ailleurs, des érudits arabes le reconnaissent puisque Al-Kindi a précisé que l’Islam et son dieu Allah ne sont pas venus de la Bible mais du paganisme des Sabéens

Dans le hadith ] de Sahîh de Bukhari , il est rapporté, au moment où Mahomet reconquit la Mecque en 630, qu’il y avait 360 statuettes représentant autant de divinités.
Parmi ces divinités, il y avait Baal, le seigneur et maître de tous les autres dieux .

Nous savons par ailleurs que les arabes païens de la Mecque adoraient le Al-Ilah, dieu de la lune qu’ils appelaient Hubal.

Ce dieu est présenté par ces habitants de la Mecque comme le seigneur le plus élevé des 360 dieux de kabba , tout comme Allah.
En fait, Hubal est le dieu auquel les arabes païens adressaient leur prières pour Allah.
En d’autres termes, Allah était Hubal  dieu de la lune.

Il est clair que Allah était un dieu païen vénéré à la Kabba avant la venue de Mahomet .

Nous venons de démontrer qui est Allah , le dieu que Mahomet a choisi d’adorer: c’est le dieu de la lune appelé Baal dans la Bible et dans les textes des civilisations sumériennes, raison pour laquelle le croissant de lune  est le symbole universel de l’Islam : il se rencontre sur tous les drapeaux, toutes les mosquées…

Dans la Bible, Baal n’a aucune identité précise mais rassemble toutes les divinités qui peuvent détourner le peuple de Yahvé  (Dieu dans la Bible) du droit chemin.
Nous trouvons à plusieurs reprises dans la Bible:
"Le peuple de l'Eternel se détourna et adora les baals et les Astartés" (Juges 3)

http://www.resurection.org/article-qui-est-veritablement-allah-111387795.html
5 NOVEMBRE 2012

L’Islam est une science... !

"La Terre est plate. Quiconque clame qu'elle est sphérique est un athée méritant un châtiment."
Cheikh 'Abdul-'Aziz Ibn Baaz, autorité religieuse suprême d'Arabie Saoudite, 1993 (édité dans "Les édits musulmans prennent une nouvelle force", New York Times, 12 février 1995).

Le Cheik 'Abdul-'Aziz Ibn Baaz croit ou veut faire croire que la Terre est plate, comme le chercheur en astronomie musulman Fadhel Al-Sa'd, qui a déclaré dans un débat télévisé sur Iraqi Al-Fayhaa TV (le 31 octobre 2007) que la Terre est plate comme cela est affirmé par les versets coraniques et que le soleil est bien plus petit que la Terre et tourne autour d'elle. En tant que musulmans dévots, ils ont de bonnes raisons de conclure que la Terre est plate : les versets coraniques 15:19, 20:53, 43:10, 50:7, 51:48, 71:19, 78:6, 79:30, 88:20 et 91:6 font clairement état de cela et il n'y a pas un seul verset dans le Coran qui pourrait faire penser à une Terre sphérique. On peut toujours tenté d'expliquer cette incohérence à d'autres musulmans mais ils se basent sur l'ignorance présumée de la langue arabe de leur audience. Il n'y a donc aucune échappatoire au fait que, selon le Coran, la Terre est plate comme une crêpe. D'ailleurs, le Livre est là pour répéter et dispenser de penser.
 
 
1 OCTOBRE 2012

L’Islam : le culte de la pierre


Voici  un article très intéressant sur les Origines de l’islam : ses racines païennes matriarcales - Aujourd’hui encore, les fouilles archéologiques sont quasi-interdites en Arabie Saoudite, à croire que cela en dérangerait certains. 
L’arrivée du patriarcat en Arabie par le site matricien
Le patriarcat s’est installé progressivement par la guerre à partir du IVème millénaire avant Jésus-Christ. Les anciennes déesses matriarcales ont été conquises et assimilées par les nouveaux dieux patriarcaux (Olympiens, Aesirs nordiques…) originaires du moyen orient (Sumer). Il a dû en être de même avec les divinités matriarcales arabes (Allat, Uzza, Manat), conquises et assimilées par les nouveaux dieux conquérants (Hu-Baal), probablement originaires de Babylone. D’après les différents types de mariages arabes pré-islamiques, la patriarcalisation de l’Arabie a commencé bien avant l’islam.
Jérusalem, première direction de la prière islamique
La Mecque était le sanctuaire pré-islamique le plus important de toute la péninsule arabique. A l’origine, la ville n’était pas au centre de la religion musulmane, les croyants se tournant vers Jérusalem. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu millénaire païen. La vénération de la pierre fut une occasion pour Mohammed de ramener vers lui les païens.
Les 3 déesses de La Mecque
A la Mecque (مكة), avant l’Islam, la tribu des Quraïch (قريش) adoraient une triade de trois divinités féminines, il s’agit d’Allat (اللآت), al-’Uzza (العُزة) et Manat (مناة), ils citaient leurs noms au cours de leurs tournées (الطواف) autour du Ka’ba (الكعبة). Selon Ibn al-Kalbi, les Quraysh avaient coutume de faire le tour de la Ka’aba en disant : ”Au nom d’Allat, d’ʿUzza, et de Manat la troisième idole. Elles sont réellement les ”al-gharānīq” (femmes de condition supérieure ) Dont il faut demander l’intercession.” Comme aujourd’hui, les pèlerins se rasaient la tête.

Hubal, le nouveau dieu-père des déesses

Alors que pour les Nabatéens (Pétra en Jordanie), Allat était la mère de tous les dieux, pour les autres Arabes, Allat, al-’Uzza et Manat étaient les filles d’Allah (الله جل جلاله), et étaient les intermédiaires entre Dieu et les hommes pour obtenir ses bénédictions. Allah (le-dieu) est le titre du dieu lunaire Sîn-Hubal (Baal), pièce rapportée tardivement de Mésopotamie dans le panthéon arabe, qu’il domina par la suite à La Mecque. De ce dieu, très peu de temples, de représentations, et de traces écrites nous sont parvenues jusqu’à aujourd’hui. Le terme Allah est antérieur à l’islam puisque le père de Mahomet s’appelle lui-même Abd’Allah, c’est à dire, ”le serviteur du dieu”.
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Ka’aba signifierait cube en arabe, mais la Ka’aba elle-même serait l’ancienne “Kaabou”, du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l’al-’Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam (jahilya, l’ère de l’ignorance), il y avait 24 ka’bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Ka’bas (tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importants semblent avoir été les ka’abas des déesses Allat à Taif, d’Uzza à Nakhlah et de Manat près de Qudayd.
Les prêtresses d’Allat
A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés ”fils de l’Ancienne Femme”,”fils de Saba”, en arabe ”Beni Shaybah”. La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, “Celle de l’ancienne sagesse”. Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées ”Bathi-Sheba”,”filles de l’Ancienne Sage Femme”. Bethsabée, ”fille de Saba” signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba”. Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.
Ramadan, la grossesse d’Allat ?
Le calendrier musulman ou calendrier hégirien (hijri) est un calendrier lunaire, basé sur une année de 12 mois lunaires de 29 à 30 jours chacun (pour être précis : 29,53059 jours solaires). Une année hégirienne est donc plus courte qu’une année grégorienne d’environ onze jours. Les païens ont souvent fait le rapprochement entre les cycles lunaires et les cycles menstruels féminins, de durée similaire.
Ramadan également orthographié ramadhan ou ramazan, (arabe : رَمَضَان ou Ramaḍān) est le neuvième mois du calendrier musulman. Au cours de ce mois, les musulmans adultes ne mangent pas, ne boivent pas, et n’entretiennent pas de relations sexuelles tant que la lune n’est pas visible. Le début du mois est basé sur l’observation du premier croissant visible après la nouvelle lune.
Est-il possible que le 9ème mois de Ramadan corresponde au 9ème mois de la grossesse de la déesse-mère Allat ? La fête de fin du Ramadan célébrerait alors l’accouchement de la déesse. Pendant le jeûne, il ne serait alors possible de manger et copuler qu’en présence de la lune, c’est-à-dire d’Allat.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de l’hébreu béthel ”pierre sacrée”), et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité. La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle. Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos. En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la “pierre rouge” était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la ”pierre blanche” dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve d’Allat ?
Beaucoup d’occidentaux, surtout des sages-femmes, ont observé que l’écrin de la pierre noire, à l’angle de la Kaaba, a une forme de vulve, avec une tête de bébé qui en sort. Le mot Hajj (pèlerinage islamique à La Mecque) est dérivé de «Hack» qui veut dire friction en langue Arabe car il y avait un rituel païen dans lequel les femmes frictionnaient leur partie génitale sur la pierre noire espérant ainsi augmenter leur fertilité.(Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam» partie 5,page 223). Elle enduisaient la pierre avec le sang des menstrues et tournaient nues tout autour.
Une survivance de culte phallique à La Mecque ?
La Lapidation de Satan (arabe : رمي الجمرات, Ramy al-Jamarat signifiant « lancer [de pierre] sur les cibles [piliers] ») est une cérémonie pratiquée par les musulmans lors de leur pèlerinage ( Hajj ), au cours de laquelle ils jettent des pierres, qu’ils auront collectées durant une phase antérieure du pèlerinage, sur trois rochers qui symbolisent le diable. Ce rite s’effectue le 3e jour du pèlerinage à Mina en Arabie saoudite, à 5 km à l’est de La Mecque. Les trois piliers de pierre (un petit, un moyen et un grand) furent remplacés par les autorités saoudiennes en 2006 par trois murs de pierre, pour prévenir les accidents. Si l’écrin de la Pierre Noire de la Kaaba fait irrémédiablement penser à un vagin, les 3 piliers semblent représenter des phallus, ce qui confirmerait que La Mecque ait été un sanctuaire païen dédié à des cultes de fertilité.
Shiva (hindouisme), culte phallique pré-aryen : des vestiges dans l’islam ? Les piliers de Jamarat
Le soufisme un culte matriarcal pré-islamique ?
Selon certains auteurs, les soufis auraient essayé de maintenir le culte de Fatima, mais ils auraient été forcés de le cacher derrière des mots codés, depuis que le soufisme fait partie de l’Islam. En effet, vénérer le féminin sacré est passible de peine de mort, aujourd’hui encore dans les pays islamiques.
Les racines juives de l’islam
Les usages islamiques (viande sacrifiée halal, interdit du porc, circoncision, voile, lapidation, tabou des menstrues…) semblent totalement incompatibles avec une société arabe païenne semi-matriarcale adorant des déesses-mères, et semblent donc d’origine juive.


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8 MAI 2012
Imran Firasat, un Pakistanais ayant obtenu l'asile en Espagne, a réussi une démarche plutôt surprenante : faire examiner sa pétition demandant l’interdiction du Coran en Espagne par le Comité constitutionnel du Congrès des députés, comme le montre le document publié en exclusivité sur le site Mundo Digital.
Apostat de l'Islam et auteur du site mundo sin Islam (un monde sans Islam), ce réfugié pakistanais a de la suite dans les idées. D'abord il quitte la religion de ses parents et de ses prôches, attitude des plus courageuses puisque les légistes classiques de l'Islam considèrent que l'apostasie doit être punie de mort. Ces légistes se fondent essentiellement sur un hadith d'Ibn Abbas dans lequel il rapporte que le prophète de l'islam aurait dit : « Quiconque change sa religion, tuez-le. ». Même si ce précepte n'est pas toujours appliqué, l'apostasie entraine de toute façon des conséquences sociales irréversibles.
Mais cet homme déterminé ne s'arrête pas là. Persuadé que cette religion prône une idéologie malsaine et totalement opposée aux principes qui gouvernent actuellement l'Espagne, il ose aller jusqu'à demander qu'on l'interdise officiellement. Imran a ainsi soumis au Premier ministre, au Congrès des députés, au ministre des Affaires étrangères et au ministre de l’Intérieur un document dans le lequel il présente les 10 points suivants au soutien de sa pétition :
Le Coran n’est pas un livre sacré religieux mais un livre violent, débordant de haine et de discriminations.
Le Coran est un livre horrible qui incite une communauté appelée « les musulmans » à s’engager dans le djihad, à tuer des innocents et à détruire la paix dans le monde.
Le Coran est responsable de tous les actes terroristes commis ces dernières années dans lesquels des milliers de personnes ont perdu la vie.
Le Coran est un livre infâme qui oblige les croyants à conquérir le monde entier et à imposer un pouvoir absolu coûte que coûte.
Le Coran est un livre qui, en toute légalité, permet et encourage la violence et la haine, ce qui le rend incompatible avec le monde moderne, Espagne comprise.
Le Coran est un livre qui établit des discriminations directes entre les personnes.
Le Coran est un livre qui n’autorise ni liberté d’expression ni liberté de religion.
Le Coran est un livre qui impose des souffrances et tortures aux femmes par ses prescriptions misogynes et injustes.
Le Coran est un livre qui enseigne les divisions plutôt que l’unité : les croyants ne sont pas autorisés à créer des liens d’amitié avec les non musulmans, car le Coran les considère comme des infidèles.
Le Coran est une menace considérable pour la liberté de la société espagnole. C’est un livre qui prêche clairement le djihad, le meurtre, la haine, la discrimination et la vengeance.
Pour ces raisons il ne peut en aucune façon être compatible avec le système espagnol.
Ce livre est totalement contraire aux lois et à la Constitution de l’Espagne et il incite à la haine et à la violence dans notre pays. Et, contre toute attente quand on sait combien il est politiquement peu correct de parler aussi crûment de ce sujet, sa pétition a été acceptée. Peut-être son origine et donc sa connaissance intime du sujet permettent-elles au Gouvernement espagnol de s'emparer franchement de la question, à moins qu'elles ne l'empêchent simplement de rejeter sa demande comme il l'aurait probablement fait si un autre citoyen avait émis la même pétition.
La confusion entre critique d'une idéologie religieuse et racisme est en effet profondément ancrée chez une majorité de gens quand cette idéologie est l'Islam, bien que cette religion, comme toutes les religions, comprenne des fidèles de toutes les origines.
Toujours est-il que sa pétition est acceptée et que le Comité constitutionnel du Congrès va devoir l'examiner. Et surtout devoir y répondre. Car peut-on, dans un pays qui a signé la Charte des Droits de l'Homme, qui garanti la liberté de religion, interdire un livre sacré pour plus d'un milliard d'humains pour le motif qu'il enseigne des valeurs contraires à cette Charte ? Cette question est primordiale puisque, en cas d'acceptation comme de refus, elle obligera le Gouvernement espagnol à exiger la correction de la Charte.
En effet, s'il interdit l'Islam alors il faudra inclure dans la Charte un article précisant que la liberté de religion s'arrête à la compatibilité de celle-ci avec ladite Charte, ce qui laisse peu d'espoir aux autres monothéismes d'être encore permis, et s'il rejette cette pétition il faudra lui ajouter un article précisant que la Charte ne s'applique que pour les citoyens qui ne se soumettent pas à un dogme monothéistes leur donnant d'autres prescriptions.
En tous les cas donc, les membres du Comité ont sur les bras une charge que bien peu d'entre nous souhaiterait porter et leur décision pèsera fortement sur le futur du monde. Si toutefois, comme le feraient la plupart d'entre nous, ils ne trouvent pas une subtilité pour se débarrasser du fardeau.
 
 
8 AVRIL 2012
Le noir, une couleur mahométane? Si aucune couleur ne peut être considérée comme représentante de l’Islam en général; le noir, le blanc (symbole de pureté), le vert et même le rouge (celui du sang des martyrs) ont acquis une certaine notoriété. Utilisées dans les calligraphies ou les habits, comme signes distinctifs de familles dynastiques (les armoiries n’étant apparues chez certaines familles régnantes musulmanes qu’après leur emprunt aux croisés), c’est d’ailleurs sans surprise que certains drapeaux d’Etats arabes et/ou musulmans modernes utilisent ces quatres teintes.
Toutefois, le prophète Mahomet, pour des raisons politiques, était tenu de représenter la communauté musulmane naissante sous un ou plusieurs drapeaux, particulièrement en temps de guerre. Selon plusieurs sources historiques, deux étendards auraient été hissés à diverses occasions, le premier entièrement noir, appelé Al-Raya, et le deuxième intégralement blanc, appelé Al-Liwae. Les deux auraient été frappés de la chahada et auraient remplis un rôle bien défini: Al-Raya n’aurait été utilisé que pour le djihad guerrier, alors qu’Al-Liwae aurait eu un rôle distinctif de la Oumma (la communauté des croyants) musulmane, symbolisant le rassemblement des fidèles unis par la foi.
Le pavillon personnel de Mahomet était connu sous le nom Al-Uqab (L'Aigle). Il était noir, sans symbole ou marque distinctive. Son nom et sa couleur ont été empruntés, dit-on, de celui d’Ali Ibn Hussein, chérif de La Mecque [gardien des Lieux saints, ndlr]. Le drapeau noir est donc perçu comme la reproduction de la bannière des musulmans d’Arabie, à l’aube de l’Islam, celui de la tribu des Qûraysh à laquelle appartient le prophète, bien que Mahomet aurait aussi déclaré, selon des sources théologiques, que le vert était sa couleur préférée… Une référence au fanion abbasside? Ce fut un esclave persan, Abou Mouslim, qui brandit pour la première fois le drapeau noir qui donna naissance à la dynastie des Abbassides (750-1016). Les califes Abbassides ont fondé leur revendication pour le califat en leur qualité de descendants d'Al-Abbas Ibn Abd al-Muttalib (566-662), l'un des oncles de Mahomet. C'est en vertu de cette descendance qu'ils se considèrent comme les héritiers légitimes du prophète de l’Islam, par opposition aux Omeyyades (au blason blanc) qu’ils chassèrent du pouvoir. Leur dessein étaient d’établir un État plus profondément musulman. La dynastie abbasside a donné naissance à d’illustres califes comme Al-Mânsur, Al-Ma’mūn ou encore le légendaire Harun al-Rachid qui étendent la religion musulmane, la langue arabe ainsi qu'une conscience universaliste de l'islam qui caractérise tout le monde médiéval musulman.
Paradoxalement, c’est aussi sous leur direction que commence le lent déclin de la civilisation arabo-musulmane. Ceci dit, leur attachement à un islam salafiste (au sens originel du terme) a toujours séduit les tenants d’un retour aux sources perdues de la religion. Les premiers soldats abassides étaient vétus de noir et auraient inspiré, tout comme leur bannière, la tenue caractéristique des djihadistes d’aujourd’hui. De nos jours, le drapeau Al-Raya est considéré par les chiites duodécimains comme le futur étendard de l’islam, lors du retour du Mahdi. Ce dernier, dont le nom en arabe signifie à la fois «l’homme guidé (par Dieu)», «celui qui montre le chemin » ou le «le bien-guidé attendu» (Al-Mahdi Al-Mountadhar) désigne le «sauveur» des musulmans devant apparaître à la fin des temps. Le Mahdi apparaîtrait durant les derniers jours de l'existence du monde et serait un signe majeur de l’Apocalypse. Sa venue précèderait la seconde venue de Jésus (le Messie) sur Terre.
Pour l'islam chiite, le drapeau noir est l’emblème du douzième martyr, l'imam caché chargé de mener l’ultime bataille contre les infidèles d'établir un jour la loi dominatrice de Dieu sur Terre. L’emblème d’un signe prophétique? Les djihadistes sunnites inspirés par Al-Qaïda font aussi référence à une célèbre prophétie en lien, selon certains avec le Mahdi, relatée par de nombreux hadiths (paroles de Mahomet), qui dit selon les chroniqueurs de l’Islam Tarmidhi et Abu Hurairah: «Du Khurassan (province d’Afghanistan) émergeront les bannières noires que nul ne pourra refouler. Les armées qui les porteront continueront d’avancer jusqu’à ce qu’elles atteignent ‘Illya (Jérusalem) et qu’elles plantent leurs drapeaux dans sa terre». De cette prophétie découlerait donc l’utilisation par des groupuscules djihadistes de drapeaux noirs portant la chahada. On l’a vu à Tunis avec la chute de Ben Ali, sur la place Tahrir, à Bagdad, à Benghazi, à Islamabad, à Kaboul… et même lors de manifestations à caractère identitaire dans les capitales européennes ou aux Etats-Unis.
Certains chercheurs qui remettent en doute certaines sources historiques de l’Islam des origines (selon eux, Mahomet avaient aussi comme drapeau distinctif un fanion blanc ou jaune —la couleur fétiche du Hezbollah libanais—selon les circonstances) établissent une filiation beaucoup plus récente à l’étendard noir. Il ne remonterait qu’aux années 1920 où des groupes islamistes l’ont adopté comme symbole de ralliement après la chute de l’Empire Ottoman.
Ceci dit, les Frères musulmans d’Egypte, dont l’objectif avoué est de rétablir un ordre califal, ont pour emblème un drapeau vert où figurent deux sabres croisés. Au final, il faut croire que le drapeau noir adopté par des djihadistes aux desseins parfois contradictoires (mais aussi par certaines confréries ou mouvements religieux non violents comme les Ahmadis) est tout cela à la fois: une référence à l’Islam sublimé du temps de Mahomet et de ses califes, le signe d’un blason guerrier et révolutionnaire et la promesse de traditions prophétiques orales qui prédisent la victoire finale des fidèles d’Allah contre les impies.
Ali Amar
Slate.fr

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