vendredi 26 janvier 2018

Articles sur l'islam et l'islamisme - liens et extraits (Sauvegarde Brisons le mythe 07)


Extrait:
"En Grande-Bretagne, les mutilations génitales féminines – excision, etc – sont illégales depuis 1985.
Or, personne n’a jamais été poursuivi pour ce crime. Plus de 6 000 cas ont été rapportés aux autorités médicales en 2015 et les experts croient que des dizaines de milliers de cas passent sous le radar chaque année.
(...)
La chroniqueuse tire la conclusion que c’est la peur de passer pour raciste qui immobilise le gouvernement et les autorités. Et ce n’est pas la première fois.

Exploitation sexuelle
Prenez le scandale de Rotherham, dans le nord du pays. Pendant des années, un gang d’hommes britanno-pakistanais a torturé, violé et préparé des centaines de très jeunes filles blanches pour la prostitution. Ce phénomène s’appelle ‘grooming’.
Environ 1 400 fillettes ‘de souche’ auraient été ainsi exploitées sexuellement entre 1997 et 2013.
La police le savait, les services sociaux le savaient mais ils ne sont pas intervenus, de peur d’être accusés de racisme. Un premier rapport a été publié en 2006 mais les choses ont continué. Tout le monde marchait sur des œufs."


Extrait:
"Jean-Louis HAROUEL. - En affirmant que la loi islamique - la Charia - passe avant la loi française, plus d'un musulman sur quatre exprime très clairement sa non-appartenance à la France, ce qui s'explique par la nature même de l'islam. Celui-ci n'est que secondairement une religion, au sens que l'on donne à ce mot en Europe. Il nous faut cesser de penser l'islam comme une religion. L'islam est par nature politique et juridique. Les musulmans disent volontiers que le Coran est leur constitution (destour ou dustûr), et les textes saints de l'islam sont dans une large mesure un code de droit (civil, pénal, commercial). Incluant le politique, le juridique, la civilisation et les mœurs, l'islam est un système total qui prétend régir par des règles affirmées divines toute la vie individuelle et collective.
L'islam a produit une civilisation ayant présenté à travers l'histoire divers visages (arabo-musulman, ottoman, moghol, etc.). La civilisation musulmane est une grande civilisation mais qui est marquée par un antagonisme millénaire avec la civilisation de l'Europe occidentale. En conséquence, l'islam fonctionne nécessairement en France (et généralement en Europe) comme une force englobante contraire à la civilisation française dans le but de substituer la loi musulmane à la loi française, de soumettre la France à la civilisation musulmane. L'islam implanté massivement en France peut devenir l'entreprise conquérante d'une civilisation hostile. Ce plan est exprimé ouvertement par certains dirigeants, tel le cheikh Yousouf al Quaradawi, haute personnalité de l'UOIE (Union des organisations islamiques européennes), proche des Frères musulmans, qui a clairement annoncé aux Européens qu'ils allaient être dominés et soumis aux lois coraniques."


Extrait:

"Karim Akouche blogue au Huffington Post. Il écrit pour des médias français prestigieux comme Le Monde et Marianne. Le mois dernier, il a donné 12 conférences en Algérie – suivi à la trace par les autorités –, où son roman­­ tragi-comique Allah au pays des enfants perdus est un bestseller.

«Je n’y étais pas allé depuis cinq ans. J’ai remarqué que le salafisme (l’islam fondamentaliste) a repris de l’épaisseur», rapporte celui qui a grandi pendant­­ les années noires en Algérie quand 200 000 hommes, femmes et enfants­­ ont été massacrés entre 1991 et 2002 par des fous de Dieu.
(...)
«Ici, ce sont les bien-pensants, que j’appelle aussi les mieux-disants car souvent, ils ne croient pas à leurs propres discours, qui m’effraient le plus» dit l’homme, révolté par le port du niqab­­ lors du serment de citoyenneté. «En Algérie, un pays musulman, les femmes ne portent même pas de niqab!»
(...)

«Le pire, c’est d’être traité d’islamophobe par des Québécois. Suffit­­ le sanglot de l’homme blanc. Je m’oppose aux accommodements raisonnables­­ parce que personne ne devrait imposer sa foi.»

Que faire alors quand l’intégrisme gagne du terrain, même en Occident ? «Nos élites médiatiques et politiques doivent démontrer du courage. Il faut bien nommer les choses. Sortir de la bien-pensance. Réexpliquer la laïcité. Rejeter le racisme. Et surtout, proposer des rêves, des aventures, dit l’écrivain qui se désole de notre addiction au consumérisme."


Extrait:

"Grâce à ces relations, Khan était lui-même dans les bonnes grâces de la scène islamiste londonienne. En 2003, il a donné une conférence aux côtés de Sajeel Abu Ibrahim, membre du même groupe interdit al-Muhajiroun.
Sajeel dirigeait un camp d'entraînement au Pakistan, où a été formé le terroriste du 7/7 Mohammad Sidique Khan. Un dénommé Yasser al-Sikri était aussi l'un des orateurs à cet événement ; il avait été condamné en Égypte relativement à une tentative d'assassinat politique au cours de laquelle une jeune fille avait été tuée.
En 2004, Khan a témoigné à la Chambre des communes en qualité de président du comité des affaires juridiques du Muslim Council of Britain (MCB). Ce même MCB avait choisi de fermer les yeux sur l'assassinat récent d'un Ahmadi à Glasgow, en déclarant que les Ahmadis ne sont pas musulmans.
En sa qualité de représentant du MCB, Khan a soutenu à la Chambre des communes que le Dr Yusuf Al-Qaradawi, religieux des Frères musulmans, «n'est pas l'extrémiste que l'on dépeint».
Or Qaradawi est l'auteur d'un livre intitulé Le licite et l'illicite dans l'islam où il justifie la violence conjugale et examine la question de savoir si les homosexuels devraient être tués.
Qaradawi est également connu pour sa fatwa répugnante préconisant les attentats-suicides contre les civils israéliens, ce qui lui a valu de se voir refuser d'entrer au Royaume-Uni à l'instar d'individus comme Omar Bakri Mohammad.
En fait, les relations de Khan avec des extrémistes étaient si approfondies qu'il a participé à des événements pour Cage (groupe de défense des jihadistes) et a écrit la préface d'un de leurs rapports. Depuis lors, Cage a déclaré en direct sur les ondes de la BBC que le bourreau 'Jihadi John' de l'État islamique était un homme admirable.  
Khan justifie son flirt prolifique avec l'islamisme en disant qu'il était avocat des droits humains. Or, ce n'est pas du tout en tant qu'avocat qu'il a participé à la plupart de ces événements. On peut soupçonner qu'il essayait simplement de gagner des votes.
(...)
Les Ahmadis sont probablement la secte minoritaire la plus persécutée parmi les musulmans sunnites.
Khan le savait, et pourtant cela n'a pas empêché sa campagne de collaborer étroitement avec la mosquée de Tooting pour attiser la haine sectaire anti-Ahmadis afin d'obtenir le vote sunnite pour assurer sa victoire. Pour beaucoup de mes compatriotes musulmans sunnites, le fait que Nasser Butt était un Ahmadi constituait une «faute» doctrinale dont il était personnellement responsable, tandis que Khan était un député trop junior à l'époque pour avoir eu quelque chose à voir avec l'invasion de l'Irak. À ce moment, la mosquée portait clairement la signature religieuse de Khan."


Extraits:

"Des femmes voilées qui décident d’enlever leurs voiles au Maroc, j’en rencontre de plus en plus. Mais c’est la première fois qu’on accepte de m’en parler à cœur ouvert.
Ce dialogue représente trois entretiens avec Hanaa, Khaoula et Fatim-Zahra. Les trois femmes sont autonomes financièrement et n’habitent plus chez leurs parents.
(...)
Dans cette ville la hchouma (un mot dont le sens varie entre pudeur et honte) détermine les comportements des filles.  Mes parents ne savent pas que la sainte qu’ils voyaient en moi a souffert pendant 12 ans. Qu’elle a joué la comédie, qu’elle a porté le voile surtout pour gagner leur satisfaction, leur bénédiction, leur fierté. Ils ignorent que la sainte a dû consulter un psy pour remettre de l’ordre dans sa tête. Sainte, je ne le suis plus, je ne l’ai jamais été.  Je ne suis pas pour autant devenue une fille facile. Je n’ai pas renié ma religion.  Je suis toujours une croyante pratiquante. Je sais maintenant que ma spiritualité et ma foi ne dépendent pas d’un voile. J’ai  appris  qu’un véritable respect de la femme n’a pas besoin de voile pour se manifester. Si certains hommes ne voient dans la femme qu’un objet sexuel, c’est leur problème. Pas le mien.
(...)
Je l’ai porté pendant cinq ans. Un jour je me suis vue dans une vitrine juste en face d’un arrêt de bus. Nous étions plusieurs femmes à attendre, toutes voilées. Tout d’un coup, dans cette vitrine, mon voile m’est apparu comme un uniforme. À côté de ces femmes, j’ai eu l’impression d’être au service d’une mission dont j’ignorais le sens et l’origine.  À travers cette vitre, je me suis amusé à imaginer ce bus comme un convoi de femmes jihadistes qui allaient accomplir une mission secrète.  J’ai arrêté de m’amuser quand une part de la réalité a rattrapé mon imagination. En montant dans le bus, j’ai découvert un chauffeur avec une barbe longue et une tête rasée, signes de sa tendance salafiste.  J’ai pris ma place dans le bus et aussitôt, sans trop réfléchir, j’ai retiré le voile devant toutes les autres femmes.  Je te laisse imaginer leurs réactions.
(...)
Un soir, je regardais la télé avec mes parents. Aux nouvelles, on parlait d’une visite de Lalla Selma au Qatar.  Elle a été reçue par Chaikha Mouzah (la mère du roi du Qatar). Tout le monde a bien remarqué le petit détail qui distingue les deux princesses. La nôtre ne porte pas le voile. La leur le porte. Mes parents ne cachaient pas leur fierté.  Lalla Selma faisait briller l’étoile du Maroc. Et c’est ma mère qui a lancé la phrase magique « Quelle beauté, quelle élégance et quel courage! ». À partir de cet instant, j’ai décidé que moi aussi j’allais être courageuse. Princesse, je l’ai toujours été aux yeux de mon père. La semaine d’après, je suis rentrée au village sans voile. J’avais en main le portrait de Lalla Selma que j’ai accroché au milieu du salon.


Extrait:
"On peut aussi creuser et parler de troubles: l'Islamiste n'aime pas la vie. Pour lui, il s'agit d'une perte de temps avant l'éternité, d'une tentation, d'une fécondation inutile, d'un éloignement de Dieu et du Ciel et d'un retard sur le Rendez-vous de l'éternité. La Vie est le produit d'une désobéissance et cette désobéissance est le produit d'une femme. L'islamiste en veut à celle qui donne la vie, perpétue l'épreuve et qui l'a éloigné du paradis par un murmure malsain et qui incarne la distance entre lui et Dieu. La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l'âme.
L'islamiste est tout aussi angoissé par la femme parce qu'elle lui rappelle son corps à elle et son corps à lui. L'islamiste aime oublier son corps, le laver jusqu'à le dissoudre, le rejeter et en soupirer comme on soupire sous un gros cabas, l'ignorer ou le mépriser. En théorie seulement. Cela crée justement un effet de retour violent de l'instinct et la femme devient coupable non seulement d'avoir un corps mais d'obliger l'islamiste à en avoir et à s'y soumettre ou à composer avec la pesanteur et le désir. L'islamiste en veut à la femme parce qu'elle est nécessaire alors que lui déclare qu'elle est accessoire.
L'islamiste se sent mal dans son corps et la femme le lui rappelle. Il a un rapport trouble avec le vivant et la femme qui donne la vie lui rappelle que lui l'islamiste donne la mort. L'islamiste veut voiler la femme pour l'oublier, la nier, la désincarner, l'enjamber. Et cela le piège car il trébuche et retombe sur terre et en veut à la femme pour cette impossibilité d'enjamber la vie pour étreindre le ciel. Elle est donc son ennemie et pour pouvoir la tuer, il la déclare ennemie de Dieu.
L'islamiste est angoissé par la femme parce qu'il est aussi angoissé par la différence: lui, il rêve d'un monde uniforme, unanime; elle, elle incarne l'altérité nette et irréductible, la liberté de n'être pas un homme et la faculté de diversifier le monde.
En dernier? La femme rappelle à l'islamiste sa profonde et plus forte faiblesse: le désir. Le désir de vivre, toucher, s'éterniser dans la vie. Le désir qu'il ne peut ignorer, qu'il veut ignorer et qu'il ne peut vaincre en lui-même sans tuer la femme en face de lui. Solution meurtrière à l'ancien verdict: Adam est "tombé" du paradis à cause de la femme qui lui a offert un fruit, dit le mythe.
Selon l'islamiste, pour rejoindre à nouveau le paradis, il suffit de tuer/voiler/ignorer/chasser/lapider la femme, ce qui tuera le fruit."



Extrait:
"Dans ses Chroniques de la révolution égyptienne (Actes Sud, 2011), l'écrivain Alaa El-Aswany explique : «Les wahhabites ne voient en la femme qu'un réceptacle sexuel, un instrument de tentation ou un moyen d'avoir des enfants. Ce qui les préoccupe le plus, c'est de recouvrir le corps de la femme et de l'isoler autant que possible de la fréquentation de la société, pour repousser le mal qui peut venir de sa séduction.» La femme qui est perçue uniquement comme un corps, source de tentation, devient ainsi un butin sexuel. […]
«Le harcèlement est un rapport de pouvoir, une manière de signifier que la rue appartient aux hommes», affirme Evine Naga, une militante féministe qui a créé en Egypte une société développant... les énergies nouvelles. (...) Elle dénonce «un pouvoir islamiste, obscurantiste, qui, sous prétexte de charia et de traditions, veut emmurer les femmes et anéantir la révolution.»"


«La victimisation, ça suffit!» - Nadia Remadna, fondatrice de la Brigade des mères, dénonce l’inaction des élus français quant à l’islamisme


Extrait:
"Aujourd’hui, lorsqu’elle voit la grande noirceur qui opprime tant de femmes algériennes gangrener son propre pays, elle ne le supporte pas. C’est pourquoi elle a écrit un livre en forme de coup de poing (Comment j’ai sauvé mes enfants, Calman-Lévy) dans lequel elle dénonce l’inconscience des dirigeants politiques français qui s’accommodent des islamistes et ne cessent de victimiser les jeunes des banlieues françaises.

À l’époque, dit-elle, « il n’y avait pas la ghettoïsation ethnique et religieuse qu’on voit maintenant. On était peut-être pauvres, mais il y avait un mélange. Il y avait les Italiens avec les Algériens et les Portugais. Aujourd’hui, les enfants sont enfermés dans la culture de leurs parents alors même qu’ils ne connaissent ni le pays de leurs parents ni leur propre pays, la France. Même que souvent, ils ont la haine de la France, une haine qu’on a soigneusement cultivée chez eux en leur disant sans cesse que les Français étaient racistes et méchants. Avec le temps, ils se sont enfermés dans cette haine. Moi, j’en veux aux politiques qui ont fait de nos enfants des gens qui sont toujours en train de revendiquer au lieu de se sentir français. J’en veux à ces politiques qui ont victimisé nos jeunes. »"


Extrait:
"Certaines musulmanes voilées par choix réclament le droit de porter le voile en tout lieu et en toute situation et ce au nom du féminisme. Selon elles, étant donné que le mouvement féministe encourage les femmes à vivre en fonction de leurs choix et qu’elles-mêmes font celui de se voiler, sans y être contraintes par la loi, leur famille ou leur mari, elles sont féministes. Suivant le même raisonnement, des féministes non-musulmanes les soutiennent.
Le mouvement féministe s’est effectivement toujours battu pour que les femmes puissent faire leurs propres choix sans avoir à se conformer à un idéal défini par la religion, la tradition, la culture ou la mode.  Cependant, il ne suffit pas de clamer «C’est mon choix»  avant de poser un geste pour en faire automatiquement un choix féministe.
Traditionnellement, le féminisme s’oppose à la discrimination basée sur le sexe. Or le voile est discriminatoire puisqu’il est exclusivement réservé aux femmes qui, dans la culture musulmane, doivent se conformer à des critères de pudeur et de conduite différents et plus sévères que ceux des hommes."

Minona – Lettre d’une mécréante aux musulmans modérés

Extrait:
"Femme de gauche et plutôt idéaliste, j’ai défendu les causes les plus diverses.  J’ai notamment participé à des manifestations pour l’environnement, pour les droits des femmes, pour la paix, pour le logement abordable, pour l’éducation et la santé, pour la laïcité, contre la pauvreté, à l’occasion de différents sommets, etc.  
J’ai longtemps cru que toutes les religions étaient basées sur la paix et l’amour, (même si je n’en pratique plus aucune depuis que j’ai abandonné la religion catholique, faute de foi).   J’ai évidemment cru qu’il en était de même pour l’islam et j’étais bien trop paresseuse pour vérifier si j’avais raison.  Dans mon esprit, les musulmans violents étaient de mauvais musulmans qui ne respectent pas les principes de leur religion, contrairement aux musulmans à côté desquels je marchais pour protester contre l’embargo américain en Irak et la guerre en Afghanistan. 
Il y a environ 6 ans, lorsque je me suis mise sérieusement à l’étude de l’islam, cette conviction que je croyais inébranlable avait résisté au régime taliban, au 11 septembre 2001, à tout les attentats terroristes musulmans qui ont suivi et à toutes les flagellations, amputations, décapitations et autre lapidations commises au nom d’Allah.  Elle a pourtant finit par être ébranlée au point de s’écrouler comme un château de cartes et c’est aux textes fondateurs de l’islam eux-mêmes que je dois le séisme psychologique dont j’avais besoins pour m’ouvrir les yeux."


Le Coran et moi

Mieux connaître Mahomet et le premier islam grâce aux méthodes historiques modernes

Présentation:
Ce site a été rendu possible par un certain nombre de travaux universitaires récents qui ont complètement renouvelé les connaissances sur les premières années de l’islam. (...)  Ces avancées dans les résultats de la recherche historique ont permi de fonder plusieurs constats solides, dont ce site se fait non pas le découvreur mais le rapporteur.

Le Grand Secret de l'Islam


Présentation:

Notre chroniqueur Olaf de Paris travaille depuis deux ans sur un livre intitulé Le Grand secret de l'islam. Il s'agit d'une synthèse des recherches historiques pointues sur le processus de formation long et complexe de l’islam.
Ce livre (87 pages) est publié en avant-première sur Poste de veille sous la forme d'un feuilleton découpé selon les cinq épisodes suivants :
1 - Que dit l'islam de lui-même ? 2 - Les origines réelles du messianisme musulman 3 - Histoire de l'invention de l'islam : La conquête de Jérusalem par les messianistes arabes 4 - Histoire de l'invention de l'islam : De la religion des premiers califes à la création de l'islam d'aujourd'hui 5 - Comment retrouver dans le coran et dans le discours musulman les traces des origines réelles de l'islam ?

L'extrémisme au nom de l'islam rejeté par les musulmans

Pourquoi l'islam créé des jihadistes? (traduction)

Extrait:

Personne ne naît meurtrier de masse, ou violeur ou criminel violent.  Alors comment la culture musulmane arrive-t-elle à influencer ses enfants, au point de pousser un nombre relativement élevé de musulmans à nuire à d'autres personnes?

Le triomphe planétaire de la violence religieuse (partie 1):

Extrait:

"Cette conception selon laquelle c'est l'obéissance à la supposée volonté de Dieu qui est importante, et non pas le contenu de cette volonté, a réussi à traverser jusqu'à nous des siècles de folle théologie, bien intentionnée ou pas. Même les philosophes indépendants, ceux qui ne sont pas fanatisés par une religion, ont fini par adopter  durablement l'attitude religieusement correcte : on n'embête pas les institutions religieuses avec de telles aberrations, ça ne se fait pas, le religieux est un domaine particulier qui a ses propres lois, on ne doit pas toucher à ce privilège acquis, même quand il est manifestement criminogène. 

Par exemple, chaque fois qu'après un massacre revendiqué par des islamistes Benoît XVI affirmera haut et fort qu' "on ne peut pas commettre des crimes en se réclamant de Dieu", ni les théologiens en malaise (plus honnêtes et plus humains que le pape), ni les philosophes ni les journalistes dominant les médias ne relèveront la flagrante hypocrisie papale que constitue la belle affirmation pacifiante quand, dans le même temps, Benoît XVI continue d'enseigner que Dieu a bien commandé les pires massacres qui lui sont attribués dans l'Ancien Testament."

Le triomphe planétaire de la violence religieuse (partie 2):

Extrait:
"Dans les partis de gauche et d'extrême-gauche c'est d'une active complicité dont bénéficient les islamistes. On pourrait s'attendre à ce que le pire des obscurantismes y soit considéré par les militants comme une « valeur » d'extrême-droite ajoutant à la misère et à l'injustice engendrées par l'économisme. Ils le considèrent au contraire comme un allié dans leur lutte contre ce maléfique système économico-politique. N'ajoutons pas : comprenne qui pourra ! C'est parfaitement compréhensible : ces militants « communistes » et « socialistes », voire « écologistes », n'ayant toujours pas reconnu la nature réelle du fascisme stalino-maoïste (qu'ils ne nomment toujours pas par son nom) sont toujours prompts à rallier tout ce qui se présente comme « anti-impérialiste », surtout si la présentation se fait dans la violence (censée garantir l'authenticité du caractère révolutionnaire de l'objectif). "


La Valse à trois temps du djihad, par Olaf de Paris:

Extrait:
"Lorsque les musulmans sont très minoritaires, que toute tentative de faire prévaloir l’islam par la force, l’intimidation ou la confrontation physique semble vouée à l’échec, ils se doivent, à l’imitation de Mahomet, de prôner la paix et la tolérance avec les infidèles. C’est ce que faisait Mahomet et ses premiers adeptes, lorsqu’ils vivaient à la Mecque et y formaient un groupe religieux ultra minoritaire au milieu des païens, des Juifs, des judéo-nazaréens et de tous ces Mecquois d’alors. Ils avaient beau critiquer les croyances des infidèles, ils étaient réputés prêcher la tolérance ; ils laissaient à Allah le soin de les punir tous plus tard, un jour, après leur mort, et en attendant, ils vivaient en paix avec eux. Les versets du coran à cette époque le reflètent bien :
« Dis : Ô vous les infidèles !  Je n’adore pas ce que vous adorez ;  pas plus que vous n’adorez ce que j’adore ! Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. À vous votre religion, et à moi la mienne » (S109).
Ne voilà-t-il pas une vraie religion d’amour, de paix et de tolérance, hein ? C’est ce que nous disent les musulmans établis en occident, en citant précisément ce verset. Et pourtant, alors même que Mahomet prêchait ce verset de pur amour, nous savons qu’en secret, il conspirait à conquérir tous les infidèles. Il tentait de se gagner des adeptes en leur promettant la victoire sur les non-arabes. Al Tabari, historien de l’islam du IXème siècle le rapporte dans ses chroniques..."
(...)
"...il a donc été frappé et chassé de la Mecque. (...) notons bien à quel point les Mecquois païens d’alors se sont montrés tolérants si longtemps envers Mahomet, si tolérants envers sa conduite indigne vis-à-vis d’eux et si tolérants envers sa nouvelle religion. Et surtout notons bien que Mahomet n’a pas été persécuté pour sa foi mais pour avoir dépassé dans l’insulte et le sacrilège tout ce que les Mecquois étaient prêts à entendre, s’attaquant à ce qu’ils avaient de plus cher..."
(...)
Lorsque les musulmans à Yathrib ont eu disposé de suffisamment de fidèles, de troupes, de forces pour défendre la communauté contre les attaques, les persécutions, ou mêmes les simples critiques, Mahomet s’est vu révéler de nouvelles sourates engageant les musulmans à combattre ceux qui pouvaient poser une menace physique ou intellectuelle à l’islam et à son développement. Et que voilà de la révélation tombe à pic :
« Toute autorisation de se défendre est donnée aux victimes d’une agression, qui ont été injustement opprimées, et Dieu a tout pouvoir pour les secourir. Tel est le cas de ceux qui ont été injustement chassés de leurs foyers uniquement pour avoir dit : Allah est notre Seigneur ! » (S3 : 39-40, datée des premiers temps suivant l’hégire).
Et le coran de réécrire l’histoire, puisqu’il stipule ici que les musulmans auraient été chassés de la Mecque pour leur foi en Allah, alors que nous avons vu clairement qu’ils l’ont été pour leur conduite insultante envers des Mecquois pourtant très tolérants. Et l’on voit avec cet extrait du coran (la parole incréée de Dieu, tout de même, ne l’oublions pas) à quel point le statut de victime revendiqué à tort est capital : il justifie au nom de Dieu « l’autorisation de se défendre », ce qui en langage clair, après étude des actes du prophète, veut tout simplement dire le terrorisme. Effectivement, qu’a alors fait Mahomet ? Il a entraîné ses adeptes et ses alliés dans une guerre de harcèlement contre les caravanes des Mecquois, les attaquant de nombreuses fois sans que les Mecquois ne répliquent. Mais lors de la septième attaque, qui se soldera par force tueries, pillages et rafles de butin et d’esclaves, certains de ses suivants vinrent questionner le Beau Modèle : celui-ci les avait en effet menés au combat en plein mois saint (et non, Mahomet n’a pas inventé le ramadan, il existait avant lui) ce qui pouvait grandement fâcher Dieu (sans parler des conventions de la guerre de cette époque, que respectaient entre autres les Mecquois – puisqu’on vous dit qu’il s’agit de terrorisme !)."



"Le Coran sans le voile"
http://atheisme.free.fr/Contributions/Loi_du_plus_fort.htm


Extrait:


"Al-Lah est l'artifice qui va permettre à l'auteur de présenter son livre comme une révélation divine. En réalité, Al-Lah n'est autre que le commanditaire du Coran lui-même, c'est-à-dire Mahomet. On comprend alors que les louanges des versets 2 et 5 s'adressent en fait à Mahomet lui-même. Dans le Coran, Allah désignera aussi bien ses intérêts, ses ambitions, ses armées ou son trésor de guerre. Le "messager d'Al-Lah" a ainsi exploité à fond cette ruse antique de l'invocation divine. En se présentant comme l'unique interprète du divin, il devient le seul à pouvoir imposer sa propre opinion, c'est-à-dire le seul à pouvoir s'exprimer tout court. Le Coran servira d'instrument à Mahomet pour imposer sa dictature. Le texte coranique sera ainsi rédigé au fur et à mesure des besoins du parrain de Médine, pour justifier les crimes commis par la secte naissante et ses associés ou ansar, pour satiriser ses ennemis, pour intimider les superstitieux, pour inciter au combat les fidèles ou pour organiser le partage du butin et des captives, en réservant bien sûr la part du lion au chef de guerre."


"Mahomet - prophète guerrier", tiré de "Le Guide Politiquement Incorrect de l'Islam (Traduction collective du livre de Robert Spencer "The Politically Incorrect Guide to Islam (and the Crusades)
Extrait

Mahomet avait déjà l’expérience du combat avant d’assumer le rôle de prophète. Il avait participé à deux guerres locales opposant sa tribu de Koreish et leurs voisins rivaux, les Banu Hawazin. Mais ce n’est que plus tard qu’il adoptera son rôle spécifique de prophète guerrier. Après avoir reçu la révélation d’Allah par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, en 610, il commença à prêcher dans sa tribu le culte du Dieu unique et sa mission de prophète. Mais il fut accueilli fraîchement par les Mecquois koreishites, qui réagirent avec dédain à sa vocation de prophète et refusèrent de renoncer à leurs dieux. La frustration et la rage de Mahomet grandirent jusqu’à devenir manifestes. Et lorsque même son oncle, Abou Lahab, rejeta son message, Mahomet le maudit, lui et son épouse, en des termes violents qui ont été conservés dans le Coran, le livre saint de l’Islam: «Que périssent les deux mains d’Abou Lahab! Et que lui-même périsse! Ni sa fortune ni ce qu’il a acquis ne lui serviront à rien. Il brûlera dans un feu ardent, de même que sa femme, chargée de bois, une corde autour du cou.» (Coran 111:1–5).
Mahomet allait finalement passer de la parole aux actes, et devenir violent. En 622, il fuit La Mecque, sa ville natale, pour rejoindre une cité voisine, Médine, où une bande de guerriers tribaux l’accepta comme prophète et lui promit sa loyauté. À Médine, ces nouveaux Musulmans commencèrent alors à attaquer les caravanes des Koreishites – des expéditions dont Mahomet prit lui-même la tête à plusieurs reprises. Ces razzias permirent au mouvement musulman naissant de rester solvable et contribuèrent à forger la théologie islamique – comme lors d’un incident resté fameux au cours duquel une bande de Musulmans attaqua une caravane Koreishite à Nakhla, une colonie non loin de La Mecque, pendant le mois sacré de Rajab, c’est-à-dire pendant une période de trêve. » 



"Les combats de Mahomet: escarmouches, grandes batailles et... crimes de guerre?"
http://www.islamisation.fr/archive/2007/06/04/les-combats-de-mahomet-expose-abrege-d-une-serie-terroriste.html

Extrait:

"Présentation synthétique des combats menés ou planifiés par Mahomet, proposée par l' Observatoire de l'islamisation d’après la biographie « Mahomet, contre-enquête » (éd.de l’Echiquier) de l’arabisant René Marchand, se basant sur la Sîra (biographie islamique officielle) et la Sunna. Destinée à vulgariser la personnalité de Mahomet de manière pédagogique, elle est librement utilisable en classe."


"Qu'est-ce que Mahomet ferait?":
http://www.thereligionofpeace.com/French/index.htm

Extrait:

"...il est toujours bon d’améliorer votre connaissance du fondateur de l’islam, quand bien même vous n’êtes pas musulman.

Oubliez toutes les réponses évasives de ceux qui font l'éloge de Mahomet, le comparant à un « Jésus numéro 2 », en se basant sur quelques obscures anecdotes. Le prophète de l’islam n’était surement pas du genre à tendre l’autre joue ou à refreiner son appétit pour les choses de ce monde.

Voulez vous la vérité? Pensez vous que vous serez en mesure de supporter le choc? Alors accrochez vous, la voici…

Qu’est ce que Mahomet ferait?"


"Aux islamo-collabos comme Hollande qui osent parler de religion de paix" (lire extrait de "La force de la raison", sous la vidéo):
http://ripostelaique.com/aux-islamo-collabos-comme-hollande-qui-osent-parler-de-religion-de-paix.html

Extrait (de "La force de la raison")

"En 635, trois ans après la mort de Mahomet, les armées du croissant envahirent la chrétienne Syrie et la chrétienne Palestine. En 638, elles prirent Jérusalem et le Saint Sepulcre. En 640, une fois conquise la Perse et la Mésopotamie, l’actuelle Irak, elles envahirent la chrétienne Egypte et débordèrent sur le chrétien Maghreb, en Tunisie et en Algérie et au Maroc. En 668, elles attaquèrent Constantinople une première fois, lui imposant un siège de cinq ans. En 711, après avoir traversé le détroit de Gilbratar, elles débarquèrent dans la très catholique péninsule ibérique, s’emparèrent du Portugal et de l’Espagne, où (…) elles restèrent huit bons siècles." (...) "De l’Espagne, en 721, elles passèrent à la non moins catholique France. Conduites par Abd Al-Rahman, le gouverneur d’Andalousie, elles franchirent les Pyrénées, prirent Narbonne. Elles y massacrèrent toute la population mâle, réduisirent en esclaves toutes les femmes et tous les enfants, puis reprirent leur marche vers Carcassonne. De Carcassonne, elle passèrent à Nîmes où elles firent un carnage de bonnes sœurs et de frères. De Nîmes, elles passèrent à Lyon et à Dijon où elles razzièrent les églises une par une, et sais-tu combien de temps dura leur avancée à travers la France ? Onze ans. Par vagues. En 731, une vague de 380.000 fantassins et 16.000 cavaliers arriva à Bordeaux, qui se rendit immédiatement. De Bordeaux, elle passa à Poitiers, puis à Tours, et si, en 732, Charles Martel n’avait pas gagné la bataille de Poitiers, les Français aussi danseraient le flamenco."


Extrait:
"Selon la définition usuelle,la charia est définie comme l'ensemble des règles morales et pénales qui régissent la vie d'un musulman.
Ces règles proviennent du Coran et de la sunna (ensemble des actes et paroles du Prophète). Si certaines d'entre elles sont écrites comme les hudud (peines et incriminations fixées dans le Coran), d'autres sont laissées à l'interprétation des théologiens et à l'appréciation du cadi, le juge musulman.
«Il y a souvent une confusion avec la loi religieuse musulmane. La charia n'est pas un code, comme le code civique  en France. C'est l'ensemble des interprétations que les théologiens ont donné de la loi révélée» (...)"




"L’islam et la sanctification de la violence, par Hélios d'Alexandrie"
http://www.postedeveille.ca/2012/09/lislam-et-la-sanctification-de-la-violence-par-helios-d-alexandrie.html#more

Extrait:

"Christianisme et islam sont fondamentalement différents; le fossé qui les sépare ne peut être comblé ni par la bonne volonté ni par l’œcuménisme. Cette réalité, nul ne la connaît aussi bien que les chrétiens vivant en pays à majorité musulmane; ayant subi depuis quatorze siècles la domination islamique, ils sont les mieux placés pour parler de ce qui distingue l’islam du christianisme. Il faut également mentionner les ex-musulmans dont le nombre est en constante augmentation ; ceux parmi eux qui se sont convertis au christianisme connaissent du dedans les deux religions et sont par conséquent bien placés pour en parler. Forts de leur expérience, ces chrétiens et ces ex-musulmans s’étonnent de la propension qu’ont les chrétiens occidentaux à minimiser les dangers de l’islam en tant qu’idéologie. Car il s’agit bien d'idéologie politico-religieuse, non de foi individuelle, comme en témoigne la déclaration publique des frères musulmans à l’effet que leur constitution ce n’est, ni plus ni moins, que le coran, la sunna de Mahomet et la charia qui en découle."


"L'islam est le gagnant du relativisme des valeurs" (traduction)
http://www.postedeveille.ca/2010/12/lislam-est-le-gagnant-du-relativisme-des-valeurs.html

Extrait:

"[...] Curieusement, les relativistes actuels sont issus des campus, essentiellement de tendance gauchiste, alors que cette gauche avait, jadis, invoqué le caractère inaliénable des droits pour lutter contre les vieux systèmes absolutistes ou féodaux. De plus, ces relativistes représentent les mêmes forces qui, en 1949, avaient voté contre le caractère universel de la charte de l’ONU. Sans exception, les Etats qui finalement se sont abstenus de voter furent les dictatures totalitaires, telles que l’URSS, le Bloc de l’Est, l’Arabie Saoudite et l’Afrique du Sud.

Le point de vue des relativistes est que les valeurs absolues n’existent pas, que les valeurs ne sont valables que dans le cadre d’un mode de vie particulier, dans un type de société donné. Aucune culture, prétendent-ils, n’a le droit d’imposer ses valeurs aux autres en se réclamant d’une validité universelle. [...] Les problèmes liés à cette posture deviennent évidents si l’on propose un exemple qui se veut délibérément extrême. Supposons qu’une culture qui fait partie d’une alliance globale est obligée de pratiquer des sacrifices humains comme rite fondamental de ses obligations religieuses. Cette situation poserait un problème logique insoluble aux tenants du relativisme des valeurs."



"Le Hijra. Un cheval de Troie moderne: la doctrine islamique de l'immigration"
http://pointdebasculecanada.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=1173&catid=7&Itemid=102


Extrait:


"Dans un livre fascinant intitulé Un cheval de Troie moderne: la doctrine islamique de l'immigration, Sam Solomon, ancien professeur de droit musulman qui s'est converti au christianisme, et Elias Al Maqdisi, un spécialiste de l'islam, expliquent comment fonctionne cette stratégie de conquête vieille de plusieurs siècles, comment s'effectue la migration des musulmans dans les territoires non musulmans: territoires que la doctrine musulmane définit comme «territoires de la guerre». Ils précisent chacune des étapes de cette immigration stratégique dont l'objectif fondamental est de répandre l'islam et de préparer le djihad. Ce petit livre sur l'Hégire montre clairement que la conquête militaire est au cœur de l'expansion musulmane." (...) "Et l'arme principale de cette stratégie de conquête est le mensonge et la désinformation. L'objectif est de transformer la culture hôte de façon progressive et insidieuse et d'y imposer la charia. La première étape de l'islamisation consiste à faire accepter des activités caractéristiques de l'islam et à établir sa présence physique et visible: par exemple des lieux de prière, la fondation d'écoles coraniques, de bibliothèques et de centres de recherches, l'enseignement de l'arabe - autant d'activités qui semblent de prime abord raisonnables pour établir l'infrastructure nécessaire au soutien d'une foi. À cette étape-ci, les musulmans peuvent accomplir des actions qui leur sont généralement interdites, car l'objectif majeur est d'établir et de fortifier les communautés musulmanes. L'injonction coranique interdisant de former des liens avec les infidèles est suspendue pendant qu'on s'affaire à mettre en place les instruments de l'islamisation. À cette étape initiale, l'Hégire peut tromper la vigilance des Occidentaux portés à croire que les musulmans qui émigrent, le font essentiellement pour des raisons économiques - pour améliorer leur sort."


"L’islam, c’est la peur (partie 1): la violence et la peur"
http://www.postedeveille.ca/2011/11/lislam-cest-la-peur.html

Extrait:

"J’ai élaboré la théorie que je vous présente après avoir lu près de 50 livres, et des milliers d’articles sur l’Islam. En fait, je n’arrivais pas à comprendre comment on pouvait croire à cette histoire de l’islam.

Je n’arrêtais pas de penser à ces histoires de musulmans qui avaient réussi à quitter l’Islam. Ils disaient tous la même chose - ils avaient peur des autres musulmans. Et c’est là que j’ai compris : l’Islam est un système gigantesque qui contrôle littéralement un cinquième de l’humanité par la peur, par la violence, et par une sorte de lavage de cerveau. Le cycle de la violence et de la peur que je décris est le ciment, la loi fondamentale, le filet, qui fait tenir tout l’édifice. Et malheureusement, ce cycle s’auto-entretient."


"L’islam, c’est la peur (partie 2): les tueurs"
http://www.postedeveille.ca/2011/11/l-islam-c-est-la-peur-partie-2.html

Extrait:

"Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.

Imaginons une société à 100% musulmane, une société musulmane où des tueurs religieux indécelables au sein de la population, comme Bouyeri [meurtrier de Théo Van Gogh], rôdent littéralement partout. (...) Cette impossibilité d’une critique de l’Islam issue de la société islamique elle-même est une des raisons principales qui expliquent pourquoi l’Islam est coincé dans ce cycle sans fin de la violence. Les musulmans perçoivent très bien ce climat de violence autour d’eux. Mais ils savent trop bien que toute tentative d’en discuter de façon critique pourrait attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. Avec donc comme résultat que la plupart des musulmans vivent dans la terreur, terreur d’un système qui les maintient dans la soumission, vivent enfermés dans ce système sans rien pouvoir y faire."


L’islam c’est la peur (partie 3 ) : le système
http://www.postedeveille.ca/2011/11/lislam-cest-la-peur-partie-3.html


"L’islam n’est pas qu’une religion. C’est un système social complet (de nombreux auteurs l’ont qualifié de système totalitaire). La charia, la loi islamique, comprend des règles pour presque tout, de la naissance à la mort. Et une bonne part de ces règles travaille à perpétuer l’Islam lui-même.

Une règle clé stipule que tous les enfants de musulmans sont automatiquement musulmans. Cela signifie qu’aucun musulman (sauf les convertis) n’a son mot à dire quand à sa propre participation à l’islam. Cela veut dire aussi qu’aucun parent n’a son mot à dire sur le fait que ses enfants soient ou non musulmans. (...) Une autre règle importante énonce que « l’Islam est plus important que la famille ». Et comme les familles élargies islamiques sont généralement plutôt grandes, on n’imagine difficilement qu’elles ne comportent pas en leur sein soit un croyant très très pieux (un fidèle dévot, un tueur potentiel), soit un sympathisant. 




"Syndrome de Stockholm: l'islam, une gigantesque prise d'otages ?"

http://www.philo-conseil.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=29&Itemid=55

Extrait:


"Dans la réaction musulmane à la critique et à l’exposition publique des aspects les plus odieux de l’islam, il y a une violence disproportionnée qui intrigue le psychologue de comptoir qui gît en chacun de nous. Les fidèles d’une religion qui se donne pour l’achèvement de toutes les autres, pour la manifestation de la dernière volonté de Dieu, se montrent étrangement vulnérables en s’émouvant aussi facilement à la moindre pique ironique qu’on leur lance. La susceptibilité est toujours suspecte, car elle trahit un doute intellectuel qui se réconcilie mal avec l’affirmation de détenir la vérité ultime. Quand on est sûr de son fait, on n’a pas une telle susceptibilité, mais une indifférence, voire une compassion infinie envers ceux qui ne sont pas éclairés des mêmes lumières. Alors pourquoi les musulmans sont si susceptibles ? Eux qui sont si sûrs que tous les autres êtres humains iront en enfer, pourquoi réagissent-ils aussi violemment à des attaques aussi bénignes que des caricatures ou un court métrage qui ne fait que reprendre des images diffusées par les musulmans eux-mêmes ? Pourquoi condamnent-ils leurs apostats à mort, au lieu de les plaindre et d’essayer de les ramener dans le droit chemin pour leur éviter les « peines de l’enfer » ?

Je crois que la clé pour comprendre la réaction violente des musulmans à la critique est ce que les psychologues ont baptisé « le syndrome de Stockholm ». Dans cet article, je vais essayer de montrer dans les grandes lignes en quoi l’islam dans son ensemble pourrait être décrit comme un gigantesque syndrome de Stockholm." 






"Réflexions autour de « L’islamisme vrai visage de l’islam », d’Hamid Zanaz"
http://www.postedeveille.ca/2012/05/reflexions-autour-de-l-islamisme-vrai-visate-de-l-islam-d-hamiid-zanaz.html

Extrait:


Hamid Zanaz vient de publier aux Editions de Paris-Max Chaleil un court essai (79 pages), « L’islamisme, vrai visage de l’islam ». Il s’y interroge dans un style clair et incisif, comme d’autres avant lui, sur la nature réelle du lien entre islam et islamisme, avec force argumentation et références. Il nous appelle à une très grande vigilance : l’islamisme n’est pas ce que le grand public en croit … Il n’est pas une déviation de l’islam, il ne relève pas d’une mauvaise compréhension de l’islam tel qu’il existe aujourd’hui, comme on nous le rabâche à longueur de temps. Il ne s’oppose pas au gentil islam de paix, censé être le vrai islam, que de vilains islamistes viendraient pervertir. Bien au contraire, l’islamisme participe de l’islam tel qu’il existe aujourd’hui, il lui est consubstantiel, et, sans cette dimension, l’islam n’aurait certainement pas pu se développer et ne saurait perdurer. Et même, il en constitue le vrai visage, pour reprendre le titre de son livre, ce qui doit nous appeler à la plus grande des circonspections dans notre façon de considérer l’islam.


"Aberrations de l'islam (Kabyles.net)"
http://www.kabyles.net/aberrations-de-l-islam,8754.html

Extrait:

"Doit-on penser, au vu de la tradition islamique, que la doctrine islamiste est une déviance de l’islam et, de ce fait, considérer que les terroristes islamistes, par leurs actions, sont en contradiction flagrante avec le contenu des textes qu’ils considèrent comme sacrés, ou alors sont-ils des croyants dévoués appliquant à la lettre les enseignements de leur religion ?

Pour apporter une réponse claire à ces interrogations, un regard rétrospectif sur l’idéologie islamique primitive et traditionnelle s’avère nécessaire. Regard qui, tout en permettant de savoir si l’islam authentique prône la violence, ou s’il la désapprouve, ne devra pas se limiter aux seuls textes coraniques, mais nécessitera également de s’appuyer sur un vaste corpus de traditions attribuées à Mahomet. Car les idées fortes qui caractérisent l’idéologie musulmane classique, et dont les islamistes se sont toujours fait écho, n’ont pas été tirées exclusivement du Coran."




"Djihad en Inde - leçons pour l'Occident" (NDLR: Traduction d'une entrevue avec Moorthy Muthuswamy):
http://pointdebasculecanada.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=145&catid=7&Itemid=102

Extrait:


"Muthuswamy fait un constat accablant: durant les soixante dernières années, dans toutes les régions à majorité musulmane en Asie du sud – sans exception – les non-musulmans ont été massivement chassés vers l’Inde. Ces données démontrent que les musulmans de ces régions ne croient pas en la coexistence.

-*L’étude du djihad en cours en Inde et dans son voisinage fournit la réponse à la question de savoir ce qui va probablement arriver à l’Europe et d’autres nations dont les populations musulmanes augmentent plus rapidement que les infidèles.

-*Notre ennemi est l'islam politique et un mouvement fondé sur lui : le mouvement islamique politique. L'Islam politique considère que l'islam devrait exercer une influence dominante dans la direction des affaires du gouvernement. Il y a de bonnes raisons à cela, qui remontent aux écritures islamiques qui mettent en évidence la domination politique et la conquête par opposition à la spiritualité. "




"L'abrogation dans le Coran":
http://www.notredamedekabylie.net/Dialogueislamochr%C3%A9tien/R%C3%A9ponseschr%C3%A9tiennesauxobjectionsmusulmanes/tabid/81/articleType/ArticleView/articleId/514/LABROGATION-DANS-LE-CORAN-par-le-Pere-Zakaria-BOUTROS.aspx

Extrait:

"Le Coran contient un certain nombre de versets contradictoires. Cette difficulté est résolue par les exégètes et théologiens musulmans, avec le système des versets "abrogés" (mansukh) et "abrogeant" (nasikh). La règle générale est alors "Quand deux versets se contredisent, le verset révélé en dernier abroge (supprime) le verset révélé en premier". Ce principe est contenu dans le Coran même"



"Le manifeste en cinquante points de Hassan al-Banna":
http://pointdebasculecanada.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=1375-le-manifeste-en-cinquante-points-dhassan-al&catid=9&Itemid=103

Extrait:

"La Muslim Association of Canada (MAC) déclare sur son site vouloir appliquer l'islam « tel qu'il a été compris dans le contexte contemporain par le regretté imam Hassan al-Banna ». Pour faire comprendre les implications dangereuses de cette profession de foi, Point de Bascule vous présente une traduction française du programme en cinquante points rédigé en 1936 par le fondateur des Frères Musulmans, Hassan al-Banna. Ses propositions de réformes sont très spécifiques et elles touchent tous les domaines de l'activité humaine: politique, juridique, administratif, social, éducatif et économique."



Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ?
http://www.lefigaro.fr/debats/2006/09/19/01005-20060919ARTFIG90134-face_aux_intimidations_islamistes_que_doit_faire_le_monde_libre_.php

Extrait:


"Comme jadis avec le communisme, l'Occident se retrouve sous surveillance idéologique. L'islam se présente, à l'image du défunt communisme, comme une alternative au monde occidental. À l'instar du communisme d'autrefois, l'islam, pour conquérir les esprits, joue sur une corde sensible. Il se targue d'une légitimité qui trouble la conscience occidentale, attentive à autrui : être la voix des pauvres de la planète. Hier, la voix des pauvres prétendait venir de Moscou, aujourd'hui elle viendrait de La Mecque ! Aujourd'hui à nouveau, des intellectuels incarnent cet oeil du Coran, comme ils incarnaient l'oeil de Moscou hier. Ils excommunient pour islamophobie, comme hier pour anticommunisme.

Dans l'ouverture à autrui, propre à l'Occident, se manifeste une sécularisation du christianisme, dont le fond se résume ainsi : l'autre doit toujours passer avant moi. L'Occidental, héritier du christianisme, est l'être qui met son âme à découvert. Il prend le risque de passer pour faible. À l'identique de feu le communisme, l'islam tient la générosité, l'ouverture d'esprit, la tolérance, la douceur, la liberté de la femme et des moeurs, les valeurs démocratiques, pour des marques de décadence.

Ce sont des faiblesses qu'il veut exploiter au moyen «d'idiots utiles», les bonnes consciences imbues de bons sentiments, afin d'imposer l'ordre coranique au monde occidental lui-même."



"Hafid Ouardiri, pourquoi nier les contenus dérangeants de l’islam?":
http://www.lesobservateurs.ch/societe/hafid-ouardiri-pourquoi-nier-les-contenus-derangeants-de-lislam#comment-3222


Extrait:


"Peut-être devriez-vous lire attentivement le chapitre 2 de mon livre et écouter davantage les musulmanes réfugiées dans nos démocraties, qui savent ce qu’est le statut des femmes dans leurs pays d’origine. Des femmes qui luttent, parfois au péril de leur vie, pour que cette vision islamique archaïque ne s’inscrive pas dans les sociétés libres. Vous devriez lire l’un des plus grands amoureux – et formidable connaisseur – de l’islam, Abdelwahab Meddeb. Vous découvrirez ce qu’est un humaniste musulman. Un humaniste qui ne nie pas le contenu des textes, mais invite à leur exégèse, adore la rencontre des cultures, appelle à la reconnaissance par les musulmans de tout ce qu’a apporté l’Occident à l’humanité. Un humaniste désespéré par l’islam des ténèbres propagé aujourd’hui en Occident.

Les populations n’en peuvent plus de cet islam - le vôtre hélas - qui prétend les obliger à s’adapter à lui plutôt que s’adapter à elles, qui étend son emprise dans les écoles, les entreprises, les hôpitaux. Un récent sondage du Figaro souligne ce ras-le-bol."


"La femme dans l'islam: une déesse opprimée":
http://www.philo-conseil.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=46&Itemid=55

Extrait:

Dans l’islam, le voile est pensé comme la solution à un problème anthropologique fondamental : le désir humain. Il faut remonter aux sources de l’injonction musulmane de voiler les femmes pour le comprendre. (...) Dans cette vision, le voile n’est pas un « signe religieux ostentatoire », c’est au contraire la dissimulation du corps de la femme en tant que celui-ci est en lui-même une source de fascination, un signe (anti)religieux ostentatoire. Lorsque les musulmans revendiquent le fait de respecter la femme parce qu’ils la voilent, il faut comprendre qu’ils voient dans la dissimulation de son corps la reconnaissance même d’un pouvoir quasi divin de la femme en tant que corps. [/i]




"Le Coran revisité, par Patricia Briel"(NDLR: le dernier paragraphe du premier texte):
http://www.sami-aldeeb.com/articles/view.php?id=166&action=french-le-coran-revisite-par-patricia-briel

Extrait:

"Le Coran de Sami Aldeeb propose une nouvelle traduction d'un célèbre verset qui intime aux femmes l'ordre de porter un voile: «Dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur sexe, de ne faire apparaître de leur ornement que ce qui est apparent et de rabattre leurs voiles sur leurs fentes.» «Fente» est ici un synonyme de «sexe» selon le chercheur. Le terme arabe «juyub» est utilisé dans une variante d'un verset du Coran «dans le sens de la fente du corps de la femme», précise la note qui accompagne la traduction. D'autres traductions du Coran proposent poitrine, échancrures, gorges, seins.

«A l'époque du Prophète, les femmes portaient des vêtements flottants qui n'étaient pas fermés devant, explique Sami Aldeeb. En marchant, il arrivait qu'elles découvrent leur sexe. C'est pourquoi il m'a semblé plus vraisemblable que Mahomet ait demandé aux femmes de couvrir leur sexe plutôt que leur poitrine.»"



"Le Coran demande de voiler la tête ou le sexe?" (NDLR: il s'agit de deux articles avec le même titre):
http://www.agoravox.fr/actualites/religions/article/le-coran-demande-de-voiler-la-tete-63143

Extrait:

"J’ai utilisé dans cette traduction le terme "fentes" pour rendre le mot arabe juyub. D’autres traducteurs traduisent ce terme par poitrine (Hamidullah, Abdelaziz et Chiadmi), échancrures (Berque), gorges (Blachère), seins (Kasimirski). Le terme juyub est utilisé par le Coran au singulier (jayb) à propos de Moïse (27:12 ; 28:32) dans le sens de la fente de la chemise, et dans une variante du verset 66:12 dans le sens de la fente du corps de la femme, comme synonyme de sexe. D’où ma traduction. Ce verset est à rattacher probablement à une pratique arabe préislamique de tourner nu autour de la Pierre noire, voire de frotter les organes génitaux contre cette pierre ; il demande aux femmes qui participaient au pèlerinage de couvrir le sexe, et non pas la tête, le visage ou la poitrine."

http://www.forum-religion.org/islamo-chretien/le-coran-demande-de-voiler-la-tete-ou-le-sexe-t23150-60.html

Extrait:


"La traduction littérale du texte arabe de ce passage de la sourate 24.31 serait, selon Luxenberg : “Elles doivent rabattre leurs khoumour au-dessus de leurs poches”. Les lettrés coraniques ont toujours eu du mal à interpréter ce passage difficile, si bien qu’ils se sont entendus pour en donner une réadaptation unitaire, que l’on peut traduite comme suit : “Elles doivent (...) tirer leur foulard au-dessus de la fente de leur vêtement (à partir de la découpe du cou descendant vers le bas)”. Cette phrase est étrange, sonne drôle, ce qui a induit Luxenberg à s’interroger sur sa signification, surtout en se penchant sur trois mots problématiques dans le texte originel, “khoumour”, “poches” et “rabattre”.

Le mot “khoumour” était totalement inconnu des lettrés coraniques du 10ième siècle. Pourtant, il existe en arabe un mot similaire, qui signifie “recouvrir” et dont ils se sont aidés. Luxenberg, en revanche, a réussi à prouver que la signification originelle, syro-araméenne, du mot “khoumour” était “ceinture”. Cette découverte est corroborée par le fait que le mot “rabattre” dans les textes syro-araméens est toujours lié à “ceinture”."


"Le voile islamique, c'est du pipeau":
http://ripostelaique.com/le-voile-islamique-cest-du-pipeau.html

Extrait:

Les propagandistes du « voile islamique » se basent sur le « hidjab » du verset 53 de la sourate 33.

Ce verset concerne en réalité non pas les femmes mais des hommes, invités chez le Prophète pour manger -et qui ne doivent pas entrer chez lui avant ce moment-là-, au cas où ils auraient, après le repas, quelque chose à demander à ses femmes. Ils doivent alors s’adresser à elles « de derrière un rideau » (MIN OUARA HIDJAB) … car « vous ne devez pas faire de la peine au Messager d’Allah ni jamais vous marier avec ses épouses après lui ; ce serait, auprès d’Allah, un énorme péché»…

Des compagnons du Prophète avaient-ils des visées sur ses femmes ?

Ce sont donc bien des hommes qui doivent se mettre derrière un rideau (hidjab) pour parler aux femmes du Prophète et non de ces femmes qui doivent se voiler la face devant les hommes. Par ailleurs, il s’agit ici des femmes du Prophète, qui ont un statut spécial, élevé et protégé, et non des femmes en général."


"Le Coran, l'orthographe et le savant":

Extrait:
""Al-tanzil", "la descente" : c'est par ce même mot que les nomades des tribus d'Arabie désignent la "révélation" et "l'averse abrupte" qui fait reverdir la terre en quelques heures. Le Coran serait ainsi le "verbe de Dieu" descendu comme une pluie sur la Terre. Intouchable et à peine retouché depuis des siècles. Cette version poétique ne résiste pas à l'analyse. La meilleure preuve en serait un amas de parchemins rongés par l'humidité mis au jour dans une cache de la grande mosquée Jama'a al-Kabir, à Sanaa, au Yémen, en 1972.


La tradition juive connaît bien ces tombes de papiers destinées à ensevelir des textes religieux dont on a plus l'usage mais qu'on ne peut détruire en raison de leur caractère sacré. Invité à examiner ces feuillets, le philologue Gerd-Rüdiger Puin, de l'université de Sarrebruck découvre qu'il est en présence de manuscrits arabes du coran parmi les plus anciens connus : "il s'agit d'un Coran de style hedjazien, qui correspond à la graphie en vigueur à la fin du VII° siècle dans le Hedjaz, la région de La Mecque et de Médine." Le manuscrit daterait de 680 environ".

"L'innocence de l'Occident":

Extrait:
"Voilà plus de dix ans que l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), basée en Arabie saoudite et regroupant 57 pays musulmans, présente chaque année des résolutions devant la commission des droits de l’homme de l’ONU pour faire reconnaître le concept de «diffamation des religions», dans le but exprès de criminaliser le blasphème et de l’inscrire dans le droit international.

Ce combat juridique attaque de front la liberté d’expression, reconnue partout en Occident comme étant un droit constitutionnel, un droit fondamental qui est au coeur de toute démocratie. C’est ce droit que l’OCI s’acharne à détruire depuis tant d’années, ce droit issu du combat des Lumières et fièrement proclamé dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948."

Charte du Hamas:

Extraits (les caractères gras des extraits ont été supprimés pour plus de clarté visuelle):


En adoptant l'islam comme règle de vie, le Mouvement revient au temps de la naissance de l'Islam et du message Islamique et des ancêtres vertueux, car Allah est son objectif, le Prophète son exemple et le Coran sa constitution.
(...)

Allah est son but, le prophète son modèle, le jihad sa route et la mort pour la cause d'Allah son plus haut souhait.
(...)
Toute procédure en contradiction avec la Charia islamique en ce qui concerne la Palestine est nulle et non avenue.
(...)

Les initiatives et les soi-disant solutions de paix et conférences internationales sont en contradiction avec les principes de la Résistance Islamique. (...) 
Ces conférences visent uniquement à installer des mécréants comme arbitres en terre musulmane. Depuis quand les mécréants rendent-ils justice aux croyants ?

"80% des textes lus dans les mosquées incitent à la violence et à la haine":

Extrait:
"Une étude (1) de 2011 conduite auprès de cent mosquées au travers des Etats Unis, et qui cherchait à mesurer le lien entre la Sharia et l’incitation à la violence contre les non-musulmans, révélait des informations à « s’en décrocher la mâchoire », selon un journaliste de Fox News.
Plus de la moitié des textes présents et lus dans les mosquées incitent fortement à la violence."


Dossier du site Sisyphe sur le port du voile (articles de divers auteurs):


Compteur d'attentats terroristes commis par des intégristes islamiques:
http://www.thereligionofpeace.com/TROP.jpg


Une histoire du Coran peu orthodoxe 1/2:

Extrait:

"Pour l’immense majorité des Musulmans, le Coran n’a pas d’histoire. Mahomet s’est contenté de retranscrire sans en changer un iota la parole de Dieu transmise par l’archange Gabriel, parole dictée en arabe, bien évidemment… Certains pensent même que le Coran a été directement écrit par Dieu et en arabe, bien sûr… Dans bien des  têtes, oser inscrire le Coran dans les aléas de l’histoire humaine est condamnable. C’est un ‟crime” probablement aussi grave que l’apostasie. On sait pourtant que le Coran (tout comme la Bible des Juifs et des Chrétiens) est le produit d’ajouts et de retraits, avec réarrangements successifs ; bref, les livres saints sont le produit d’un immense ‟bricolage”. Les Juifs et les Chrétiens l’admettent, les Musulmans le refusent (1).



Les récits de Mahomet auraient été compilés une vingtaine d’années après sa mort, sous le troisième calife, Othmân Ibn Affân, une compilation accompagnée de destructions systématiques dans une masse de fragments rédigés sur des supports divers. Pour les fondamentalistes, le Coran est un bloc pur et immuable dans sa pureté. Toute exégèse à son sujet est donc sans valeur, surtout si elle est menée pas un non-Musulman. Dans ce cas, elle sera même regardée comme un blasphème et on sait de quelle manière le blasphème est puni en terre d’islam."



Amil Imani: L'islam n'est pas une religion mais une forme d'esclavage:


Extrait:
"Amil Imani est un Américain d'origine iranienne. Chroniqueur, traducteur, essayiste et militant pour la démocratie et les droits de l'homme, il s'est donné pour mission de sonner l'alarme sur le danger que pose l'islamofascisme expansionniste pour le monde libre. Sur son site Internet, il invite les Iraniens à se libérer du joug de l'islam et de leurs maîtres enturbannés, et à renouer avec le riche patrimoine de la civilisation perse pré-islamique. Dans la chronique ci-dessous, Imani parle de la nature de l'islam."



Manifeste pour la liberté d'expression et la défense des citoyens:

Extrait:

"Nous, citoyens attachés à la démocratie et aux droits de l'homme.

Nous dénonçons la propagande de la "religion de paix".

Nous dénonçons l'auto-censure des médias et les lois qui interdisent l'information critique sur les religions.

Nous exigeons la liberté d'expression et le droit de dire la vérité sur l'islam."



Extrait:


"A partir de Médine, Mahomet organisa alors avec ses partisans trois razzias infructueuses contre les caravanes mecquoises. 
Mais en janvier 624, en un lieu appelé Nakhlah, douze disciples de Mahomet attaquent par surprise une caravane de La Mecque, tuent un homme d'une flèche et font deux prisonniers. L'affaire cause un grand scandale car elle s'est produite pendant le mois de rajab. Il s'agit d'une période sacrée où toute hostilité et tout meurtre étaient proscrits. 
Mais opportunément (!), Allah dicta à ce moment une sourate l’autorisant à rompre la trêve (sourate 2, 217). Allah accorda en plus une large part à son Prophète (il pu s'approprier un 5ème du butin !).

A cette époque Mahomet garde les juifs de Médinee? en haute estime. il s’attendait à ce que ceux-ci fussent les premiers à accueillir favorablement son message monothéiste; mais il fut rapidement déçu par leur méfiance et leur frilosité. En effet, les juifs ne le recevaient pas comme leur prophète et ils critiquaient même les libertés qu’il prenait avec le récit biblique.
Au comble de l’amertume, il se détourna du judaïsme et développa une religion qui tira désormais sa source mystique dIsmaël fils d’Abraham, et non plus de Moïse.
Le 11 février 624, une révélation divine (sourate 2, 138) enjoint à Mahomet et à ses disciples que la prière rituelle se ferait désormais en se tournant non plus vers Jérusalem mais vers la pierre noire de la Kaaba, le sanctuaire des idolâtres de La Mecque. (en fait les chroniques occidentales indiquent que ce changement se serait fait bien plus tard). La rupture avec les juifs avait commencé.

Parallèlement, Mahomet fit peu à peu assassiner, avec l’accord d’Allah, tous ceux qui lui étaient opposés ou qui l’avaient critiqué."

Sur l'islam salafiste: Dr. Yasir Kadhi (traduction de l'anglais):

Extrait:

"Quel est exactement «salafisme»? En l'absence d'un accord à l'unanimité sur la définition, je me propose d'élucider les phénomènes salafistes modernes via un aperçu de ses débuts, une évaluation de ses caractéristiques particulières, les manifestations de ce dans divers groupes contemporains, et une discussion de ses effets positifs et pas si positif contributions à l'islam et notre société mondiale."



Extrait:
"-Cacher : mais ce serait évident que la burqa cache, mais ce qui n'est pas évident, c'est que veut cacher la burqa.  Au-delà des prétentions de vertus sexuelles et derrière la volonté de cacher le corps, qui est en réalité neutre et anonyme, on veut déguiser les vices en vertus, les malaises et les angoisses en valeurs morales, le désir de prédation en volonté angélique.
En plus clair, la burquée et ses prédicateurs donnent à leurs obsessions sexuelles, leur fixation perverse, leurs viletés, le nom de vertus.  Ils veulent donner à leur excès, et leur panique et leur angoisse le nom de morale.  Ils veulent donner à leur chasse de proies et victimes le nom d'angélisme vertueux.  La burqa cache certainement mais pas autant le corps que que leur pêche au corps qui n'est que pêche de domination."


Extrait:

"Je me rappelle ici d’une rencontre à Rome avec  un professeur nord-africain dont je tairai le nom, auteur  d’un grand nombre de livres. Il m’a surpris en disant: « Tant que les musulmans ne cesseront pas de croire que le Coran est la parole de Dieu, il n’y aura aucune possibilité de progrès ». Je lui ai demandé: « Où est-ce que tu as écrit ce que tu viens de dire? » Il m’a répondu: « Tu es fou. Tu veux ma mort? Qui va nourrir mes enfants et ma femme? »
Ce professeur a mis le doigt sur la base du problème. Nous devons d’abord mettre de côté l’idée que le Coran est la parole de Dieu. Deuxièmement, nous devons dépouiller Mahomet de toute sainteté."

11 novembre 2012

Articles sur l'islam et l'islamisme (liens et extraits)

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