http://naibed.blogspot.com/2007/01/comment-les-mdias-franais-contribuent.html
31 JANVIER 2007
Comment les médias français contribuent à entretenir l'Irénisme en France. (1)
L'affaire "Al Doura"
Media-Ratings est une agence connue pour le sérieux de ses analyses, et qui s'est donné pour objectif de faire un travail de veille systématique afin de repérer les dysfonctionnements médiatiques des principaux médias français, à l'aune de sept critères regroupés sour le vocable PHILTRE
Dans un article fouillé, publié sur son site le 22 novembre 2004, MR se livre à un examen minutieux des incohérences du document de France 2 à propos de la (soi-disant) mort de l’enfant (Mohamed Al Doura) au cours d'une «fusillade» dont toute une série d'éléments indiquent clairement que les images ne sont que le fruit d'une mise en scène (1) et établit que rien ne prouve la mort de l'enfant le 30 septembre 2000.
Au terme de l'analyse, la conclusion de Media-Ratings tombe, implacable, pour France 2 : Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement
Peu avant le procès, le Figaro fut le seul média français à résumer les éléments de l'affaire sous le titre L'image choc de l'intifada en procès qui souligne le caractère modéré et dénué de tout aspect partisan de l'analyse du directeur de Media-Ratings. Il rapporte aussi l'avis du parquet, qui estimait que le prévenu présentait «des preuves relativement convaincantes» au terme d'une enquête «ni bâclée ni partiale» et que «le contexte autorise une certaine liberté de ton».
Pourtant, le 19 octobre 2006, malgré que le procureur de la République, Mme Alimi-Uzan ait requis la relaxe, MR est condamné, à la stupéfaction générale de ceux qui avaient suivi les débats, pour diffamation à l’encontre de France 2 et de Charles Enderlin par le tribunal, présidé par Joël Boyer.
Une caricature de jugement, dont la victime, Media-Ratings n'hésite pas à décortiquer impitoyablement les éléments dans un article au titre évocateur : peut-on encore faire confiance à la justice française ? Ce jugement inique et indigne (contre lequel MR s'est déjà porté en appel) reproche cyniquement à MR une prétendue unicité des sources(2), de se nourrir « d'affirmations péremptoires »(3) et, enfin, prétend (sans qu'aucun élément au dossier ne l'établisse) qu' «aucune autorité israélienne, ni l'armée, pourtant concernée au premier chef, ni la justice, n'ont jamais accordé le moindre crédit à ces affirmations » (4).
A noter que Media-Ratings reconnaît ne jamais avoir reçu de soutien des autorités officielles israéliennes (ce dont elle se targue comme preuve d'indépendance).
Souci des officiels d'Israël de ne pas réactiver la polémique autour de ce reportage, quitte à renoncer à dénoncer une supercherie, tant l'effet de celle-ci avait été désastreux pour l’image d’Israël ? Souci de ménager la France (et sa télévision nationale) et de ne pas aggraver d'avantage les vives tensions qui règnent entre les deux pays ? Toujours est-il que, six ans après ce «reportage» bidonné, Israël a sans doute dû se rendre à l'évidence : sa retenue face aux mensonges de France 2 et des médias français en général ne lui a pas servi à grand chose, ...bien au contraire !
Aujourd'hui, de hauts responsables israéliens commencent à dénoncer cette ignoble supercherie médiatique de France 2, et semblent vouloir faire pression pour que la lumière soit faite sur les agissement de la chaîne. Vont-ils, comme l'espère Media-Rating, contribuer à faire éclater la vérité dans l’affaire Enderlin-France 2?
NB : pour ne pas allonger exagérement ce fil, la suite, à partir du jugement de la cour d'Appel du Le 21 mai 2008, et de ses effets continue donc ici : Affaire Al-Dura : derniers développements.
Media-Ratings est une agence connue pour le sérieux de ses analyses, et qui s'est donné pour objectif de faire un travail de veille systématique afin de repérer les dysfonctionnements médiatiques des principaux médias français, à l'aune de sept critères regroupés sour le vocable PHILTRE
Dans un article fouillé, publié sur son site le 22 novembre 2004, MR se livre à un examen minutieux des incohérences du document de France 2 à propos de la (soi-disant) mort de l’enfant (Mohamed Al Doura) au cours d'une «fusillade» dont toute une série d'éléments indiquent clairement que les images ne sont que le fruit d'une mise en scène (1) et établit que rien ne prouve la mort de l'enfant le 30 septembre 2000.
- (1) cette mise en scène odieuse et ignoble est l'oeuvre d'un menteur et un manipulateur notoire, le caméraman palestinien Talal Abou Rahma , l'un des spécialistes de la manipulation d'images, dont l'unique souci n'est pas d'informer, mais seulement de diffamer l’Etat d’Israël. Fidèle à la stratégie de l’accusation en miroir, les nazislamistes palestiniens vont utiliser l'image insoutenable de l'enfant juif du Ghetto de Varsovie, marqué de l'étoile jaune, les bras levés, mis en joue par un SS" pour la pervertir et la retourner contre les israéliens, et accuser ceux-ci de perpétrer à leur tour un crime de type nazi.
Mieux encore, la soi-disant mort du petit Mohammed Al-Dura permet d'évacuer la culpabilité de la Shoah et de laver, à bon compte le remords de l'Occident. Pari pleinement réussi ! Quelques jours à peine après la diffusion de Catherine Nay, journaliste à Europe 1, déclare, avec un cynisme révoltant : « avec la charge symbolique de cette photo, la mort de Muhamad annule, efface, celle de l'enfant Juif ».
Comme le remarque avec justesse Emmanuel Brenner, dans l'imaginaire d'une Catherine Nay, et avec elle, de millions de ses semblables, cette mort "effaçait" celle de l'enfant du ghetto de Varsovie. « Enfin "ces gens-là" [les juifs] se conduisent aussi mal que nous. La honte de la Shoah n'a plus lieu d'être! La mort de Mohamed a supprimé l'enfant du ghetto.». On mesure la perversion diabolique du montage palestinien, et son impact sur la "psychologie" de l'occidental moyen !
Au terme de l'analyse, la conclusion de Media-Ratings tombe, implacable, pour France 2 : Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement
Peu avant le procès, le Figaro fut le seul média français à résumer les éléments de l'affaire sous le titre L'image choc de l'intifada en procès qui souligne le caractère modéré et dénué de tout aspect partisan de l'analyse du directeur de Media-Ratings. Il rapporte aussi l'avis du parquet, qui estimait que le prévenu présentait «des preuves relativement convaincantes» au terme d'une enquête «ni bâclée ni partiale» et que «le contexte autorise une certaine liberté de ton».
Pourtant, le 19 octobre 2006, malgré que le procureur de la République, Mme Alimi-Uzan ait requis la relaxe, MR est condamné, à la stupéfaction générale de ceux qui avaient suivi les débats, pour diffamation à l’encontre de France 2 et de Charles Enderlin par le tribunal, présidé par Joël Boyer.
Une caricature de jugement, dont la victime, Media-Ratings n'hésite pas à décortiquer impitoyablement les éléments dans un article au titre évocateur : peut-on encore faire confiance à la justice française ? Ce jugement inique et indigne (contre lequel MR s'est déjà porté en appel) reproche cyniquement à MR une prétendue unicité des sources(2), de se nourrir « d'affirmations péremptoires »(3) et, enfin, prétend (sans qu'aucun élément au dossier ne l'établisse) qu' «aucune autorité israélienne, ni l'armée, pourtant concernée au premier chef, ni la justice, n'ont jamais accordé le moindre crédit à ces affirmations » (4).
- (2) contrairement au dossier, qui compte plusieurs témoignages, et de nombreuses pièces déposées par la défense, ce qui contraste d'ailleurs avec le fait que France 2 n’a apporté aucun témoignage sérieux et indépendant sur les faits, et n'a surtout pas fourni au tribunal l'intégralité des 27 mn de reportage qui confirmerait, selon elle, les propos de son caméraman et ceux de Charles Enderlin.
- (3) affirmations péremptoires dont ce tribunal ne se prive pas, comble d'ironie, en tripatouillant les faits tout en leur faisant dire l'inverse de ce qu'ils veulent dire, au mépris de la plus élémentaire logique et de la plus élémentaire bonne foi, comme le démontre la partie défenderesse en passant au crible les mensonges plus évidents et plus navrant les uns que les autres de cette « justice » française qui, après les médias, se déconsidère.
- (4) comme le signale un observateur sagace de la façon dont la France(mal)traite Israël, Mr Victor PEREZ, on se demande bien où le tribunal, sur le mois qui séparait l’audience du jugement aurait trouvé le temps d'accomplir les vérifications nécessaires auprès des autorités israéliennes, l'armée, la Justice, ou d'autres organes de l’état d’Israël, pour s'assurer que personne ne s'est intéressé« de près ou de loin, à ce qui s’est transformé, au fil du temps, en une étoile jaune portée par tout israélien, voire également par tout juif ? » (*)
A noter que Media-Ratings reconnaît ne jamais avoir reçu de soutien des autorités officielles israéliennes (ce dont elle se targue comme preuve d'indépendance).
Souci des officiels d'Israël de ne pas réactiver la polémique autour de ce reportage, quitte à renoncer à dénoncer une supercherie, tant l'effet de celle-ci avait été désastreux pour l’image d’Israël ? Souci de ménager la France (et sa télévision nationale) et de ne pas aggraver d'avantage les vives tensions qui règnent entre les deux pays ? Toujours est-il que, six ans après ce «reportage» bidonné, Israël a sans doute dû se rendre à l'évidence : sa retenue face aux mensonges de France 2 et des médias français en général ne lui a pas servi à grand chose, ...bien au contraire !
Aujourd'hui, de hauts responsables israéliens commencent à dénoncer cette ignoble supercherie médiatique de France 2, et semblent vouloir faire pression pour que la lumière soit faite sur les agissement de la chaîne. Vont-ils, comme l'espère Media-Rating, contribuer à faire éclater la vérité dans l’affaire Enderlin-France 2?
NB : pour ne pas allonger exagérement ce fil, la suite, à partir du jugement de la cour d'Appel du Le 21 mai 2008, et de ses effets continue donc ici : Affaire Al-Dura : derniers développements.
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Mes meilleurs voeux à tous et toutes, pour commencer cette année nouvelle, sans irénisme, mais en conservant l'espoir, la lucidité, et la détermination voulue pour faire de cette année 2007 une année meilleure que l'année précédente, hélas encore trop souvent marquée par les lâchetés et les reculades de toutes sortes devant la barbarie. En exigeant de nos médias qu'ils cessent de faire de l'autruchisme et dénoncent le caractère inacceptable de cette théocratie totalitaire qui menace de plus en plus nos libertés individuelles, nos valeurs occidentales et universelles et notre charte des droits de l'homme. Et en exigeant de nos gouvernements qu'ils prennent leurs responsabilités, et qu'ils combattent enfin cette lèpre qu'est l'islam, principale source d'injustices, de violences et de terrorisme dans le monde.
Il est grand temps que, grâce à notre détermination retrouvée, l'Occident cesse de se culpabiliser de façon injustifiée face aux barbares, retrouve sa légitime fierté et montre enfin les dents face à tous ceux qui osent se permettre de bafouer nos droits, notre liberté, et nos libertés démocratiques, tout en cherchant à nous imposer leurs moeurs claniques, machistes et barbares d'un autre âge, leur communautarisme abject, et leur infâme théocratie sectaire. Quitte à mener enfin une guerre totale, implacable et sans pitié aux crapules et aux terroristes qui, de toutes parts, et y compris à l'intérieur de nos démocraties, en Europe, aux Etats-Unis, et en Israël, cherchent à détruire la civilisation et à imposer l'obscurantisme!
Aujourd'hui, je lève mon verre en l'honneur des américains, à qui nous devons hier de ne pas nous être retrouvé sous le joug nazi, et qui luttent pour que demain, le monde libre ne se retrouve pas sous celui de l'islam ! Je lève également mon verre en l'honneur de toutes celles et tous ceux qui, malgré les risques qu'ils encourent, dénoncent avec beaucoup de courage, comme Wafa Sultan, Talisma Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chahdortt Djavann, Parvin Darabi, Salman Rushdie, Ibn Warraq, Irshad Manji, Aziz Nessin, Younus Shaik, Salim Mansur, Itamar Marcus, Khaleel Mohammed, Khaled Abu Toameh, Tashbih Sayyid, Walid Shoebat, etc. etc. la dangerosité intrinsèque de l'islam pour la démocratie, les droits de l'homme, et la liberté, à commencer par celle des femmes. Et qui n'ont pas de mots assez dur pour dénoncer l'hypocrisie de ceux qui cherchent encore à minimiser et à édulcorer le caractère mortifère et névrogène de cette secte. Ainsi qu' à tous ceux qui ont compris qu'il n'y a rien à gagner à encore transiger avec les musulmans et les gauchistes et autres idiots utiles qui soutiennent l'obscurantisme !
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24 MAI 2008
Comment les médias français contribuent à entretenir l'Irénisme en France. (2)
Détails de l'affaire "Al Doura" voir : Comment les médias français ... (1)
Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam
Le « Protocole de Charles Enderlin et de France 2 », ce faux grossier, cette imposture médiatique, cette supercherie établissant un nouveau mythe antijuif, celui du "soldat juif tueur d'enfant palestinien", qui s'inscrit dans la continuité directe du mythe du "Juif tueur d'enfants chrétiens" au Moyen-Age, selon l'expression de Pierre-André Taguieff (dans son dernier livre "La Judéophobie des Modernes" paru cette semaine)a donc définitivement vécu !
Et les dernières contorsions de Charles Enderlin et d'Arlette Chabot, qui se pourvoient en Cassation, n'y changeront rien : leurs intimidations judiciaires ont fait long feu, et la crédibilité de France 2, qui a couvert leur imposture, est fortement ébranlée.
La cour suprême d’Israël statuera bientôt sur la requête de Me Nitsana Darshan-Leitner, directrice de Shurat HaDin-Centre juridique d’Israël, demandant le retrait de l’accréditation, par le GPO de France 2 et de Charles Enderlin pour ’’manquements professionnels et falsifications volontaires ayant entraîné des violences’’, les défendeurs soutenant, quant à eux, que’’l'autorisation de pratiquer le métier de journalisme ne dépend pas de la qualité du travail et de l’honnêteté des professionnels’’ et que le retrait de l’accréditation ne serait possible qu’en cas exceptionnels, telle ’’la diffusion d’informations liées à la sécurité de l’Etat’’. Oui vous avez bien lu : France 2 et Charles Enderlin défendent le droit d'être malhonnête et de fournir un mauvais travail d'information, quels qu'en soient les effets !
A quand une enquête internationale indépendante sur ce qui s'est réellement passé ce 30 septembre 2000, au carrefour de Netsarim, dans la bande de Gaza,
Verra-t'on un jour une condamnation pénale de Charles Enderlin, d'Arlette Chabot, et de France 2 pour incitation à la haine, à la violence, à la suppression du juif, du kafir ?
Naibed,
Par Véronique Chemla pour Guysen International News
Jeudi 22 mai 2008 à 00:20
La Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty dans l’affaire al-Dura.
Le 21 mai 2008, 11e chambre de la Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty, directeur de Media-Ratings, poursuivi pour diffamation par France 2 et son correspondant à Jérusalem, Charles Enderlin, pour avoir qualifié de « faux reportage », de « supercherie » et d’« imposture médiatique » les images controversées de « la mort de Mohamed al-Dura » diffusées par France 2 le 30 septembre 2000.
Les intimés - France 2 et Charles Enderlin - se sont pourvus en cassation.
Présents lors des audiences de visionnage des rushes de France 2, ou de plaidoiries, Charles Enderlin et Arlette Chabot brillent ce 21 mai par leur absence. Comme leur autre défenseur, Me Francis Spziner. Tout comme la foule qui s’agglutinait dans le couloir contiguë lors des audiences précédentes. Comme si tout avait été dit, ou vu, ou compris.
Me Patrick Maisonneuve, avocat de Philippe Karsenty, et Me Bénédicte Amblard lisent avec attention la « copie de travail » de l’arrêt, c’est-à-dire l’arrêt avant sa signature par la présidente et la greffière.
Me Patrick Maisonneuve en résume la teneur à la presse : « La Cour d’appel rappelle qu’il y avait un débat sur les images. Elle indique qu’il était légitime de commenter, d’analyser et de critiquer ces images. Au regard de ce débat, Philippe Karsenty, de bonne foi, a exercé librement son droit de critique par rapport face au pouvoir de la presse ». Même en « termes virulents ».
Donc, la critique, l’analyse et l’interrogation des saynètes de guerre de Pallywood sont reconnues légitimes par la Cour d’appel de Paris qui inflige ainsi un désaveu cinglant à la thèse des intimés, professionnels du journalisme arc-boutés sur leur refus indigné de toute interrogation, et exprime des arguments de Sandrine Alimi-Uzan, procureur de la République, dans ses réquisitions de relaxe du prévenu en 2006.
Par Gerard Huber :
Extrait de l'éditorial de M. Macina dans l'UPFJ du 22 mai 2008: il faut rester vigilants. Le fait que France 2 et Enderlin aient décidé de se pourvoir en cassation doit nous alerter. Il n'est que trop clair que les (mauvais) perdants de ce procès feront tout ce qui est en leur pouvoir pour faire casser la décision, courageuse et éclairée, de ce tribunal. Ne donnons pas des armes à ceux qui nous insultent, en nous comportant avec arrogance. Notre ligne de conduite doit être celle qui s'est dégagée au fil des années et que le tribunal a évoquée discrètement dans ses attendus: le droit à la libre expression et à la critique ne doit pas être le privilège exclusif de la presse ; et la situation qui prévaut depuis trop longtemps (au point de s'apparenter à une police de la pensée), qui expose à un véritable chantage juridique, voire pénal, les citoyens et les citoyennes qui osent exprimer leur dissentiment avec la version des faits imposée par des médias omnipotents, ou par des entités politiques et/ou associatives, cette situation doit cesser.Internet, en général, et cette affaire, en particulier, ont révélé des talents de débatteurs et de pourfendeurs de procédés inquisitoriaux, sans ces combats légitimes, ces combattants de la liberté seraient restés inconnus. PhilippeKarsenty en est un cas emblématique, mais il n’est pas le seul. Je pense à Stéphane Juffa, Richard Landes, Gérard Huber, Véronique Chemla, Jean-Pierre Bensimon, et à bien d’autres, déjà actifs, et à ceux qui se manifesteront au fil des années et des événements qui agitent nos sociétés en pleine mutation). Préparons-nous à la prochaine confrontation, qui risque d'être rude et sans pitié. Faisons-le en instruisant notre cause avec honnêteté et perspicacité ; en nous unissant, au lieu de nous concurrencer ; en restant calmes sous les insultes, les intimidations et les tentatives de discrédit dont nous avons déjà été l'objet, épinglés que nous fûmes comme "fanatiques", "sionistes", "islamophobes", "anti-palestiniens", "fascistes" (j’en passe et des meilleures !), car elles ne ne nous seront pas épargnées à l'avenir. Et, communiquons avec modération et discipline. C'est ainsi que notre cause finira par acquérir la légitimité qu'elle mérite.
Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam
Le « Protocole de Charles Enderlin et de France 2 », ce faux grossier, cette imposture médiatique, cette supercherie établissant un nouveau mythe antijuif, celui du "soldat juif tueur d'enfant palestinien", qui s'inscrit dans la continuité directe du mythe du "Juif tueur d'enfants chrétiens" au Moyen-Age, selon l'expression de Pierre-André Taguieff (dans son dernier livre "La Judéophobie des Modernes" paru cette semaine)a donc définitivement vécu !
Et les dernières contorsions de Charles Enderlin et d'Arlette Chabot, qui se pourvoient en Cassation, n'y changeront rien : leurs intimidations judiciaires ont fait long feu, et la crédibilité de France 2, qui a couvert leur imposture, est fortement ébranlée.
La cour suprême d’Israël statuera bientôt sur la requête de Me Nitsana Darshan-Leitner, directrice de Shurat HaDin-Centre juridique d’Israël, demandant le retrait de l’accréditation, par le GPO de France 2 et de Charles Enderlin pour ’’manquements professionnels et falsifications volontaires ayant entraîné des violences’’, les défendeurs soutenant, quant à eux, que’’l'autorisation de pratiquer le métier de journalisme ne dépend pas de la qualité du travail et de l’honnêteté des professionnels’’ et que le retrait de l’accréditation ne serait possible qu’en cas exceptionnels, telle ’’la diffusion d’informations liées à la sécurité de l’Etat’’. Oui vous avez bien lu : France 2 et Charles Enderlin défendent le droit d'être malhonnête et de fournir un mauvais travail d'information, quels qu'en soient les effets !
A quand une enquête internationale indépendante sur ce qui s'est réellement passé ce 30 septembre 2000, au carrefour de Netsarim, dans la bande de Gaza,
Verra-t'on un jour une condamnation pénale de Charles Enderlin, d'Arlette Chabot, et de France 2 pour incitation à la haine, à la violence, à la suppression du juif, du kafir ?
Naibed,
Par Véronique Chemla pour Guysen International News
Jeudi 22 mai 2008 à 00:20
La Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty dans l’affaire al-Dura.
Le 21 mai 2008, 11e chambre de la Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty, directeur de Media-Ratings, poursuivi pour diffamation par France 2 et son correspondant à Jérusalem, Charles Enderlin, pour avoir qualifié de « faux reportage », de « supercherie » et d’« imposture médiatique » les images controversées de « la mort de Mohamed al-Dura » diffusées par France 2 le 30 septembre 2000.
Les intimés - France 2 et Charles Enderlin - se sont pourvus en cassation.
Présents lors des audiences de visionnage des rushes de France 2, ou de plaidoiries, Charles Enderlin et Arlette Chabot brillent ce 21 mai par leur absence. Comme leur autre défenseur, Me Francis Spziner. Tout comme la foule qui s’agglutinait dans le couloir contiguë lors des audiences précédentes. Comme si tout avait été dit, ou vu, ou compris.
Me Patrick Maisonneuve, avocat de Philippe Karsenty, et Me Bénédicte Amblard lisent avec attention la « copie de travail » de l’arrêt, c’est-à-dire l’arrêt avant sa signature par la présidente et la greffière.
Me Patrick Maisonneuve en résume la teneur à la presse : « La Cour d’appel rappelle qu’il y avait un débat sur les images. Elle indique qu’il était légitime de commenter, d’analyser et de critiquer ces images. Au regard de ce débat, Philippe Karsenty, de bonne foi, a exercé librement son droit de critique par rapport face au pouvoir de la presse ». Même en « termes virulents ».
Donc, la critique, l’analyse et l’interrogation des saynètes de guerre de Pallywood sont reconnues légitimes par la Cour d’appel de Paris qui inflige ainsi un désaveu cinglant à la thèse des intimés, professionnels du journalisme arc-boutés sur leur refus indigné de toute interrogation, et exprime des arguments de Sandrine Alimi-Uzan, procureur de la République, dans ses réquisitions de relaxe du prévenu en 2006.
Par Gerard Huber :
Après la récente décision de la 11ème chambre de la Cour d'appel de Paris, une nouvelle péripétie du cauchemar médiatique en quoi consiste l’ « énigme Mohamed Al Dura », est ouverte. Enderlin et France 2 ne manquent pas d'y plonger, puisqu'ils refusent de reconnaître que, de l'investigation de Nahum Shahaf à la critique de Karsenty, en passant par ma contre-expertise, il est légitime de déconstruire l'argument de l'authenticité du meurtre du petit Mohamed, le 30 septembre 2000, à Netzarim, devant la caméra de France 2 et d'elle seule.
Pourtant, depuis bientôt huit ans, c'est le principe de réalité qui est entamé :proclamation d'un meurtre sans balles ni sang, confusion entre un cadavre d'enfant et le corps d'un enfant qui bouge, acceptation qu'un homme criblé de balles puisse, quelques jours plus tard, faire le tour du monde arabe sans manifester la moindre souffrance physique, reconstruction de ce qui est proféré par le caméraman en un oracle qui vaut jugement de réalité, déni du démenti (voire du désaveu) du même caméraman, etc.
Cette fuite devant le traumatisme de la réalité qui a été préalablement remplacée par un cauchemar éveillé est un des phénomènes les plus inquiétants de la morale civilisée dans une société de culture mondialisée comme la nôtre. Ce qui se passe avec l'« énigme Mohamed Al Dura » est, certes, exemplaire, mais ce type de phénomène confusionnel est consubstantiel à la représentation médiatique du monde.Dans ce monde, la réalité n'est jamais spontanée, elle doit correspondre à un scénario. Il y a là une perte de confiance fondamentale dans ce que l'homme, la femme et l'enfant ordinaires ressentent, chaque jour, dans leur propre rapport à l’épreuve de réalité.
Si j’appelle à la constitution d’une commission d'enquête internationale, ce n’est pas seulement pour que la vérité de tous les faits soit établie et que le cauchemar médiatique prenne fin, mais pour renforcer le courage de chacun à se confronter à la déformation traumatique de la réalité.
Extrait de l'éditorial de M. Macina dans l'UPFJ du 22 mai 2008: il faut rester vigilants. Le fait que France 2 et Enderlin aient décidé de se pourvoir en cassation doit nous alerter. Il n'est que trop clair que les (mauvais) perdants de ce procès feront tout ce qui est en leur pouvoir pour faire casser la décision, courageuse et éclairée, de ce tribunal. Ne donnons pas des armes à ceux qui nous insultent, en nous comportant avec arrogance. Notre ligne de conduite doit être celle qui s'est dégagée au fil des années et que le tribunal a évoquée discrètement dans ses attendus: le droit à la libre expression et à la critique ne doit pas être le privilège exclusif de la presse ; et la situation qui prévaut depuis trop longtemps (au point de s'apparenter à une police de la pensée), qui expose à un véritable chantage juridique, voire pénal, les citoyens et les citoyennes qui osent exprimer leur dissentiment avec la version des faits imposée par des médias omnipotents, ou par des entités politiques et/ou associatives, cette situation doit cesser.Internet, en général, et cette affaire, en particulier, ont révélé des talents de débatteurs et de pourfendeurs de procédés inquisitoriaux, sans ces combats légitimes, ces combattants de la liberté seraient restés inconnus. Philippe
14 COMMENTAIRES:
- Naibed sur le blog de Charles Enderlin (enfin, si elle sera publiée)
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Le jugement est disponible ici, Monsieur Enderlin : l’arrêt de la Cour d’appel de Paris (format PDF)
Pouvez-vous me montrer, dans les commentaires de la Cour où elle aurait dit que les propos de Monsieur Philippe Karsenty étaient bien, en l'espèce, diffamatoires ?
En vous remerciant - Je viens de remarquer que je n'étais pas la première à essayer de poser une question de ce genre !
Richard Landes avait déjà essayé avant moi ici ...sans plus de succès ! :)
"try leaving a comment that’s negative and see if it appears.."
[essayez de laisser un commentaire négatif, et voyez s'il apparaît]
Et, à la fin de l'article : "What a wimp !" [quelle poule mouillée !]
:))) - L'im(Monde) tente t'il de se racheter une conscience ?
Toujours est-il que Pascale Robert-Diard prend ses distances avec les désinformateurs islamophiles et palestinophiles patentés.
Charles Enderlin perd son procès en diffamation
Encore Pascale Robert-Diard se tient-elle à cinq pieds en dessous de la courbe de vérité: elle en est toujours à se poser la question de l'origine des tirs...
Hep nunuche ! Ya pas eu de tirs qui auraient "tué" le petit Mohammed". Les seuls tirs qu'il y a eu, c'était pour la frime, pour ne pas risquer d'atteindre les "victimes" théatralisées.
Hope it helps ! - malheureusement cela ne servira pas de leçons aux médias..
qui a les reins assez solides pour attaquer une chaine TV ou un grand journal??le citoyen lambda ne fait pas le poids.
cette affaire sera vite enterrée apr les médias et le ron-ron politiquement / socialement..etc..etc CORRECT pourra reprendre - Des agences comme la MENA (Metula News Agency) et des citoyens comme Philippe Karsentsy ont déjà réussi à démonter le mensonge du reportage truqué. C'est pas rien.
France 2 et Charles Enderlin ont commis l'erreur de penser qu'il suffisait de les poursuivre pour les faire taire : ils ont provoqué tout le contraire !
Aujourd'hui, c'est la justice israélienne qui pourrait retirer l'accréditation de Charles Enderlin, et de France 2. Si ça se passe, ça fera mal.
On pourrait aussi s'acheminer, qui sait, vers une enquête internationale indépendante pour faire la lumière sue ce qui s'est réellement passé. - Quelques articles encore à découvrir :
Sur la page d'accueil de Media-Ratings : Victoire totale de Media-Ratings dans l'Affaire Al Doura : Philippe Karsenty relaxé avec un arrêt très favorable
Dans Les 4 vérités un article de Guy Millière : Un camouflet judiciaire pour France 2
Sur UPFJ :
* La désinfo continue, avec, e.a. David Pujadas, présentateur du JT de France 2
* Un important message à propos de la victoire concernant Al-Dura, Philippe Karsenty
* Arlette Chabot doit démissionner, Freddy Herschkowitz
Dans Desinfos.com :
* un article de Menahem Macina : France 2 affirme (faussement) que la Cour d’appel a reconnu la diffamation dont elle a été victime
* un article de Gérard Huber : Mohamed Al Dura : Fin de partie
En psychiatre, Mr Gérard Huber explique la sujétion terrible dans laquelle se trouve le citoyen lambda à l'égard de l'omnipotente presse, et du gouffre
qui s'ouvre sous lui lorsqu'il se met à douter de cette "réalité médiatique". J'y reviendrais dans un prochain billet.
(même article sur UPFJ, avec un commentaire intéressant de Menahem Macina sur la métaphore du « surmoi médiatique » et sur le danger du pouvoir de la presse)
Si j’ai bien compris l’intuition sous-jacente au raisonnement de G. Huber, tout se passe comme si le récit médiatique interposait entre la réalité des faits et la perception intuitive que nous en avons, un filtre affectif et cognitif hégémonique, de nature à induire dans notre psyché un refoulement quasi incoercible de la réalité, syndrome dont seule une patiente thérapie de déconstruction de la désinformation peut nous aider à prendre conscience, et peut-être à guérir. L’idée mérite d’être examinée et creusée. En tout état de cause, elle attire opportunément l’attention sur un phénomène dont le grand public commence à peine à mesurer le danger, et contre lequel de grands esprits - voués aux gémonies par l’intelligentsia bien-pensante – avaient depuis longtemps mis en garde. Je veux parler du pouvoir exorbitant qu’ont les journalistes d’imposer leurs convictions, lequel est souvent inversement proportionnel à l’indigence de leur niveau d’expertise des sujets dont ils traitent, avec présomption, voire avec arrogance, et dans la plus totale impunité, sauf rarissimes exceptions . C’est sans aucun doute à ces gens que fait tacitement référence l’arrêt de la Cour d’appel de Paris, en parlant du « danger d’un pouvoir, en l’occurrence, celui de la presse, en l’absence de contrepoids… »
Sur Media-Ratings : Imposture médiatique et propagande « antisioniste » : une adaptation contemporaine de la légende du « crime rituel juif » - Pierre-André Taguieff (directeur de recherche au CNRS, Paris)
Sur le Blog Marcoroz (que je découvre) : L’affaire Mohamed Al-Dura, ou comment déclencher des pogroms dans le monde entier avec la bénédiction de l'Élysée. - Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
- Naibed,
Ce commentaire n'a rien à voir avec l'article en cours, mais je souhaite avoir votre avis sur ce manifeste des menteuses :
http://www.lefestivaldulivre.fr/
Si je vous ai bien perçue ce sujet ne saurait vous laisser indifférente.
Si vous voulez me répondre : xxxxx.xxxxxxx@xxxxxxxx.xx
Merci
(Message original du 04 juin, 2008 23:59 GMT retrancrit ici sans l'adresse e-mail à la demande de l'intéressée) - Bien entendu, le sujet ne me laisse pas indifférente. Je crois qu'il faut faire une distinction entre le cas d'espèce, tel qu'il se présentait et ce que cela peut signifier sur un plan plus général.
Sur le plan du cas d'espèce, il semble que cela arrangeait les deux parties, peu importe qu'il s'agisse d'annulation ou de divorce. Mais ceci est sans importance.
Sur le plan général, il en va tout autrement : je suis atterrée d'apprendre qu'un pays voisin, qui s'autoproclame la (petite) patrie des droits de l'homme, la virginité (à sens unique, puisqu'elle ne concerne, comme par hasard, que celle de la femme) soit encore inscrite dans des textes de lois, comme cause de nullité.
Sur le plan général également, il n'est pas indifférent que ce soit l'annulation, acte unilatéral à la disposition du mari (dans ce cas-ci), et non la demande en divorce, qui peut être actionnée dans les mêmes conditions par les deux conjoints.
Enfin, si un tel cas m'aurait déjà interloqué, s'agissant d'un couple chrétien, il me choque au centuple ici, parce qu'il s'agit de musulmans, et que c'est évidemment pris par la communauté musulmane comme :
1. une avancée sur le Dar-Al-Harb (le territoire à conquérir au nom de l'islam),
2. un signe de plus de dhimittude de la part des occidentaux,
3. une concession à la Charia, comme l'est d'ailleurs le voile. Voile qui, pour cettte raison, devrait être interdit dans tous les lieux publics, comme toute pratique de l'islam, d'ailleurs !
J'en profite pour mettre ici un lien vers un article du 3/6 de Rosa Valentini sur Riposte Laïque que j'ai particulièrement apprécié :
voile islamique et voile vaginal, même combat !
Tout comme je conseille de relire la traduction que j'avais faite d'un excellent article de Bret Stephens dans le Wall Street Journal du 3 juillet 2007 : A Veiled Threat.
The flip side of radical Islamic totalitarianism.
Ma traduction ci-après: ISLAM : une menace voilée
(Message original du 05 juin, 2008 06:56 GMT retrancrit ici pour respecter le chronologie) - Pour en revenir à l'affaire "France 2 - Enderlin / Karsenty", le Nouvel Obs a commis unvéritable torchon de "pétition" mensongère pour défendre « l'honneur » et « la réputation » de Charles Enderlin, sans aucunement prétendre se soumettre à un jugement de fond sur les faits.
Non seulement le Nouvel Obs n'hésite pas, comme Charles Enderlin, à falsifier honteusement les propos du tribunal, tendant à leur faire dire l'inverse de ce qu'ils ont voulu dire, mais il n'hésite pas, lui, à diffamer dans sa pétition tous ceux et celles qui ont mené une campagne difficile pour le rétablissement de la vérité en qualifiant celle-ci de « campagne obstinée et haineuse » (pour le Nouvel Obs, rechercher la vérité est un acte haineux ! ...on appréciera !) qui « s’efforce de salir la dignité professionnelle de notre confrère Charles Enderlin » (pour le Nouvel Obs, dénoncer le co-auteur d'une supercherie, c'est le salir ...on appréciera le peu de cas que fait le Nouvel Obs de la responsabilité du journaliste dans ce qu'il diffuse !). Comme à son habitude, le Nouvel Obs se garde bien d'aborder quelque élément de fond que se soit, mais pleurniche sur le fait que la "bonne foi", le "droit de libre critique" et la "liberté d’expression" puissent porter atteinte impunément "à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information" (rappelons au Nouvel Obs, qu'il y a un moyen très simple pour un professionnel de l'information d'éviter cela, c'est d'informer de façon objective et neutre, au lieu de désinformer !)... La pétition du Nouvel Obs conclut comiquement en déclarant soutenir « à un moment où la liberté d’action des journalistes est l’objet d’attaques répétées » (le Nouvel Obs, confond sans doute les blogueurs avec les terroristes de Ghaza !), son « attachement à ce principe fondamental, pilier de la démocratie» (pour le Nouvel Obs, seul les professionnels de la désinformation comme lui ont sans doute le droit de s'exprimer et de diffamer!)
Ci après, quelques liens intéressants :
* un excellent article de Luc Rosenzweig sur UPFJ : Appel à signatures en faveur d'Enderlin, dans le Nouvel-Obs. Un "Monument Henry" de papier-Journal. sur UPFJ
Idem sur Extrême-Centre : La pétition de la honte
* un excellent billet d' Elisabeth Lévy "Il
n'y a pas d'Affaire Enderlin" (Al Doura : nous voulons un débat) fait le point sur le silence hostile des médias de la presse française, qui continuent à serrer les coudes et à faire le gros dos (à l'exception du Monde, seul quotidien français à avoir traité l’information) face au désaveu infligé par la justice française à Charles Enderlin. Terrible désaveu, puisque non seulement tribunal déclare qu’il existe de légitimes raisons de douter de la véracité du reportage (et elles sont nombreuses, détaillées dans un jugement de pas moins de quatorze pages) et que le juge admet que, parmi les récits présentés comme des “faits”, certains sont de purs bidonnages (scènes jouées, inexistence de la soi-disant scène "d’agonie" dont parlait Enderlin et de coupures faites par lui dans un but inavouable, absence de sang, mouvements de l'enfant soi-disant mort, pas d'autopsie, pas d'enquête, etc. etc. etc. etc.) qui mettent en évidence la mauvaise foi des plaignants.
(Pas moins de 283 réactions à ce jour, preuve s'il en est que même si la presse de gauche continue à faire la sourde oreille, le public, lui s'interroge et suit cette affaire)
* Alain Jean-Mairet détaille ce jugement exemplaire dans l'affaire Enderlin / Karsenty , en notant que, depuis le 21 mai dernier, les médias n’ont plus
aucune excuse pour ne pas thématiser les aspects inacceptables de l’accusation d’infanticide lancée dans le monde entier et maintenue obstinément par France 2.
** Enderlin / Karsenty — le droit de critiquer la presse, à quelles conditions
** Enderlin / Karsenty — une déontologie en question
** Enderlin / Karsenty — le mystère de l’agonie disparue
** Enderlin / Karsenty — l’actualité mise en scène?
Et enfin, pour ceux qui ne l'aurait pas encore visionné, une vidéo qui établit un commentaire accablant sur les rushes :
"Mise en scène Al-dura" (l'imposture médiatique de France 2) - Nom de nom, Naibed, c'que t'es BELLE. Inouï : un homme a-t-il réussi ce défi : à la fois SEDUIRE (la beauté de David Bowie, comme chante Adjani, et la puissance de conviction, de ?...euh...- qui pouvoir citer dire à part Beauvoir ? - ...Schopenhauer ?... Nietszche ? Enfin, un mec +tôt un peu moins con que la moyenne, au hasard... Bref, Naibed, à chaque fois, quel optimisme on retire de ton travail. Continue, s'il te plaît, tu aides à ne pas désespérer.
Alix - Dans la série "mensonges" :
Le seul discours feministe autorisé est "non à tous les integrismes religieux, non à l'islamisme, faire l'amalgame avec l'islam est raciste".
Ce discours INTERDIT d'etudier reellement l'islam.
Les ouvrages ou articles de feministes ( a part moi et "Naibed") sur l'islam colportent les contre-verites de la propagande musulmane les plus eculees,
( par ex le fait de laisser croire que des phrases du coran appellent dans l'islam à la tolerance religieuse)
visiblement celles qui écrivent cela n'ont pas etudié l'islam avec de vrais islamologues et ne se sont pas donné la peine de l'etudier serieusement avec les ouvrages des musulmans.
L'islam est une doctrine POLITIQUE qui impose sa domination par la FORCE,
(dixit la syrienne devenue americaine Wafa Sultan),
moi je dis que l'islam, etant donne le sort qu'il reserve au non-musulmans, ( cf nombreux exemples d'EXTERMINATION de peuples entiers dans le coran, voir l'autorisation de l'esclavage et du racket contre les peuples non musulman) est la doctrine NAZIE d'aujourd'hui.
Que les feministes cessent de feindre de s'étonner des attaques des militants de l'islam contre les droits des femmes, car EN INTERDISANT LA CRITIQUE DE L'ISLAM, les feministes sont des COLLABOS du NAZISME d'aujourd'hui !!!
Et quand je dis "collabos" je suis encore bien gentille, parce que etant donne que la plupart des mouvements feministes ne vivent que de subventions, ou que les feminstes qui publient ou font carriere à l'université, ont bien entendu interet à ne pas pouvoir être "celle par qui le scandale arrive", le mot qui me viendrait pour designer la position des feministes "reconnues" à propos de l'islam c'est : PUTES. - Pour répondre encore à l'internaute qui parle du "manifeste des menteuses", voici ce que j'ai ecrit sur cette affaire de virginité :
http://elisseievna.blogspot.com/2008/05/choisis-ton-camp-camarade-rachida.html
Ce jugement est un abandon de notre droit au profit de la charia, mais les feministes qui pleurnichent tout en conspuant ceux qui critiquent l'islam m"ecoeurent, tout comme m'ecoeure ceux qui fondent sur Dati après avoir conspué les critiques de l'islam ... - Deux - parmi les nombreuses - interventions à propos de la connerie sans nom , pardon, la « pétition» du Nouvel Obs et de la caste des bandar-logs ridicules qui s'autoproclament des « professionnels » (du mensonge et de la désinformation, sans doute ?), et qui, de ce fait, se considèrent comme « intouchables »
(ces parias des me(r)dias, des intouchables ? ... je veux, oui !)
* 05/06/2008 sur la MENA, sous la plume de Stéphane Juffa : Allez, les boulets de la France !
* 10/06/2008 sur le Blognadel, le Blog de Gilles William GOLDNADEL : Il y aurait tant à dire, à rire ou à pleurer sur la pétition « pour Charles Enderlin » publiée par le Nouvel Observateur.
La suite, succulente, à découvrir ici : Charles et les bétitionnaires
06 AOÛT 2008
Comment les médias français entretiennent l'irénisme ...et le mensonge permanent (3)
Pour les détails de l'affaire "Al Doura" voir les épisodes précédents de
« Comment les médias français contribuent à entretenir l'irénisme en France ». Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam
Cette fois, dans le cadre de l'Affaire Al Dura, je vous parlerai moins du dhimmi alter-juif Charles Enderlin, que de la chiée de beaufs qui le soutiennent dans sa campagne de désinformation, campagne qui consiste à nier envers et contre toute vraisemblance, la fable de la Mort de Mohammed Al-Dura.
Premier exemple (1) : le «caricaturiste» gauchiste, pacifiste, tiers-mondiste, multi-cucul et antisémite(oui je sais: ça commence à faire beaucoup ! Pourtant...) dont le nom est Jean Plantureux, alias Plantu.
Même - et surtout - lorsqu'elle émane des attendus d'une justice française pour une fois exemplaire, car elle a pris le temps d'examiner soigneusement tous les faits, prenant toutes les précautions nécessaires, et ayant visionné attentivement les rushes avant de conclure - de la manière la plus nette et la plus complète possible - que Philippe Karsenty, en qualifiant le « reportage » de Charles Enderlin de supercherie médiatique n'avait - en rien - diffamé ni Charles Enderlin, ni France 2.
Exit le chantage juridique contre ceux qui exercent leur sens critique, en même temps que leur liberté d'opinion à l'égard de ce « grand journalissst » (autoproclamé) qu'est Charles Enderlin. Les nains-tellectuels manipulateurs et liberticides, les maîtres-chanteurs gramsciens du multiculturalisme et les policiers de la pensée stalinienne ont peut-être perdu là une bataille décisive.
Les Siné, Plantu, Charles Enderlin et consorts en sont donc réduits à pleurnicher entr'eux, en ressassant sans fin leur ignoble propagande : l'original de la caricature (évidemment beaucoup moins drôle que la « caricature de la caricature ») se trouve, bien évidemment, publiée sur le blog de Charles Enderlin (il n'y a pas de petites ignominies)
[to be continued]
« Comment les médias français contribuent à entretenir l'irénisme en France ». Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam
Cette fois, dans le cadre de l'Affaire Al Dura, je vous parlerai moins du dhimmi alter-juif Charles Enderlin, que de la chiée de beaufs qui le soutiennent dans sa campagne de désinformation, campagne qui consiste à nier envers et contre toute vraisemblance, la fable de la Mort de Mohammed Al-Dura.
Premier exemple (1) : le «caricaturiste» gauchiste, pacifiste, tiers-mondiste, multi-cucul et antisémite(oui je sais: ça commence à faire beaucoup ! Pourtant...) dont le nom est Jean Plantureux, alias Plantu.
(1) Notez que je n'avais que l'embarras du choix, dans ce panier de crabes de "journalistes", "chroniqueurs", "éditioralistes" et "dessinateurs" de Charlie-Hebdo, Marianne, le Nouvel Obs (de ce cher antisémite Jean Daniel), L'Express, sans oublier - bien sûr - ces grands classiques de la presse gaucho-gnangnan que sont Libé, l'Huma, et l'(Im)Monde (version "normale" ou "Diplodocus") et j'en passe...En bon gramscien rodé à la lutte culturelle, et convaincu que le noir, le musulman, le palestinien sont - par définition - des exploités et les meilleurs êtres de la terre, et que le blanc, le juif, l'occidental sont les pires exploiteurs, et que leur culture et leur civilisation, c'est caca,Plantu est viscéralement opposé à toute vérité qui contredit le dogme gramscien qu'il défend bec et ongles dans ses caricatures (2)
(2) caricatures qui sont assommantes de répétitions, car elles vont toutes dans le même sens : l'africain pauvre, digne, victime, est magnifié par rapport au blanc, gras, laid, profiteur, etc.. ad nauseam ! Et, bien entendu, du "pauvre" palestinien du Fatah ou du Hamas, qui doit faire face au vilain « oppresseur » israélien qui l'empêche d'accomplir ce que sa "culture" et sa "religion" lui imposent : rejetter tous les juifs à la mer. Logiquement, Plantu futdonc un des premiers à s'offusquer à l'AFP des caricatures danoises de Mahomet, en déclarant « je revendique le droit à la nuance » (le ridicule ne tue pas). Quand Plantu vole au secours de son copain Siné, un autre antisémite notoire (2a) , dessinant Val (le propriétaire de Charlie-Hebdo, qui a - à juste raison- éjecté Siné du journal), en nazi, mettant un coup de pied au cul de Siné, il fait, bien sûr, dans la nuance... C'est vrai qu'il prend la précaution de dire que, selon lui, ça ne signifierait, en aucun cas, qu'il cautionne les éructations antisémites de Siné (ben tiens !) .
On appréciera, au passage, l' «imagination» en perpétuel renouvellement de «l'artiste» Plantu : outre ses nombreuses caricatures de Le Pen, toutes basées sur le même moule, il caricaturait déjà, dans le Monde, dans la foulée du "tout sauf Sako", Sarkosy en nazi. Bigre, quelle imagination !
(2a) Siné, c'est ce charmant thuriféraire des fedayinns palestiniens, qui a notamment été condamné en France pour avoir déclaré le 9 août 1982, quelques heures seulement après l'attentat terroriste de la rue des Rosiers, qui fit un carnage (six morts et 22 blessés) en plein quartier juif : "Je suis antisémite. Je vais faire dorénavant des croix gammées sur tous les murs… Je veux que chaque juif vive dans la peur, sauf s’il est pro palestinien…"
Même - et surtout - lorsqu'elle émane des attendus d'une justice française pour une fois exemplaire, car elle a pris le temps d'examiner soigneusement tous les faits, prenant toutes les précautions nécessaires, et ayant visionné attentivement les rushes avant de conclure - de la manière la plus nette et la plus complète possible - que Philippe Karsenty, en qualifiant le « reportage » de Charles Enderlin de supercherie médiatique n'avait - en rien - diffamé ni Charles Enderlin, ni France 2.
Exit le chantage juridique contre ceux qui exercent leur sens critique, en même temps que leur liberté d'opinion à l'égard de ce « grand journalissst » (autoproclamé) qu'est Charles Enderlin. Les nains-tellectuels manipulateurs et liberticides, les maîtres-chanteurs gramsciens du multiculturalisme et les policiers de la pensée stalinienne ont peut-être perdu là une bataille décisive.
Les Siné, Plantu, Charles Enderlin et consorts en sont donc réduits à pleurnicher entr'eux, en ressassant sans fin leur ignoble propagande : l'original de la caricature (évidemment beaucoup moins drôle que la « caricature de la caricature ») se trouve, bien évidemment, publiée sur le blog de Charles Enderlin (il n'y a pas de petites ignominies)
[to be continued]
11 JUIN 2008
Chanson pacifiste (Give jihad a chance)
La musique adoucit les mœurs parait-il. Bien ! Encore ne faut-il pas chanter n'importe quoi ! ...Et que la chanson ne ne soit pas tout simplement écrite pour nous abêtir et nous faire prendre des vessies pour des lanternes !!
Aussi, pour vous désintoxiquer les oreilles d'une des plus bêtes chansons pacifistes due à deux parmi les plus nullards d'entre eux (John Lennon et Yoko Ono), je vous invite à écouter ce remake dû à l'ébouissante Michelle Malkin
(dont l'intelligence ne le cède en rien à la grâce et à la beauté)
[Peace laureate Betty Williams]
[Peace laureate Yasser Arafat]
[Peace laureate Jimmy Carter]
[“Peaceful” warriors for Islam]
Aussi, pour vous désintoxiquer les oreilles d'une des plus bêtes chansons pacifistes due à deux parmi les plus nullards d'entre eux (John Lennon et Yoko Ono), je vous invite à écouter ce remake dû à l'ébouissante Michelle Malkin
(dont l'intelligence ne le cède en rien à la grâce et à la beauté)
Give jihad a chance
One two a one two three four
[Peace laureate Betty Williams]
Ev’rybody’s talking about
terrorism Islamism patriotism hateriotism fascism bushism
This-ism, That-ism, is-m, is-m, is-m
All she is saying is give murder a chance,
All she is saying is give murder a chance,
[Peace laureate Yasser Arafat]
Eveybody’s talking about martyrdom dirty bomb car bomb
Fatah bomb Hamas bomb Al Aqsa bomb
Bomb bomb child bomb
All he was saying was give terror a chance
All he was saying was give terror a chance
[Peace laureate Jimmy Carter]
Let me tell you now
Negotiation hesitation mediation contemplation
Flagellation United Nations Machinations Flatulations
All he is saying is give appeasement a chance
All he is saying is give appeasement a chance
[“Peaceful” warriors for Islam]
Everybody’s talking ‘bout
Katyusha Hezbollah Syria Dawa Ahmedinijad Allah
Allah Allah Allah
All they are saying is give jihad a chance
All they are saying is give jihad a chance
All they are saying is give jihad a chance
All they are saying is give jihad a chance
NB : Publié le 26 juin 2006 sur Hot Air
27 MARS 2008
Fitna
depuis ce jeudi 27 mars 2008, Fitna,
le film de Geert Wilders sur l'islam et le Coran est en ligne
le film de Geert Wilders sur l'islam et le Coran est en ligne
Het geluid dat u hoorde was een
pagine uit het telefoonboek
The sound you heard was a page
being removed from the phonebook
Want het is niet aan mij, maar aan moslim zelf
om de haatdragende versen uit de koran te scheuren
For it is not up me, but to Muslims themselves
to tear out the hateful verses from the Quran
Moslims willen dat u ruimte geeft aan de islma
maar de islam biedt geen ruite aan u.
Muslims want you to make way for Islam,
but Islam does not make way for you.
Van de overheid moet u respect hebben voor de islam,
maar de islam heeft geen enkel respect voor u.
The Government insists that you respect Islam
But Islam has no respect for you
De islam wil overheersen, onderwerpen en is uit op de
vernietiging van onze Westerse beschaving.
Islam want to rule, submit, and seeks
to destroy our western civilization.
In 1945 werd in Europa het nazisme overwonnen.
In 1989 werd in Europa het communisme overwonnen.
In 1945, Nazism was defeated in Europe.
In 1989, communism was defeated in Europe.
Nu moet de islamitische ideologie worden overwonnen.
Now, the islamic ideology has to be defeted.
Stop de islamisering
Stop Islamisation
Verdedig onze vrijheid
Defend our freedom
FITNA
FIN
pagine uit het telefoonboek
The sound you heard was a page
being removed from the phonebook
Want het is niet aan mij, maar aan moslim zelf
om de haatdragende versen uit de koran te scheuren
For it is not up me, but to Muslims themselves
to tear out the hateful verses from the Quran
Moslims willen dat u ruimte geeft aan de islma
maar de islam biedt geen ruite aan u.
Muslims want you to make way for Islam,
but Islam does not make way for you.
Van de overheid moet u respect hebben voor de islam,
maar de islam heeft geen enkel respect voor u.
The Government insists that you respect Islam
But Islam has no respect for you
De islam wil overheersen, onderwerpen en is uit op de
vernietiging van onze Westerse beschaving.
Islam want to rule, submit, and seeks
to destroy our western civilization.
In 1945 werd in Europa het nazisme overwonnen.
In 1989 werd in Europa het communisme overwonnen.
In 1945, Nazism was defeated in Europe.
In 1989, communism was defeated in Europe.
Nu moet de islamitische ideologie worden overwonnen.
Now, the islamic ideology has to be defeted.
Stop de islamisering
Stop Islamisation
Verdedig onze vrijheid
Defend our freedom
FITNA
FIN
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31 JANVIER 2007
Comment les médias français contribuent à entretenir l'Irénisme en France. (1)
L'affaire "Al Doura"
Media-Ratings est une agence connue pour le sérieux de ses analyses, et qui s'est donné pour objectif de faire un travail de veille systématique afin de repérer les dysfonctionnements médiatiques des principaux médias français, à l'aune de sept critères regroupés sour le vocable PHILTRE
Dans un article fouillé, publié sur son site le 22 novembre 2004, MR se livre à un examen minutieux des incohérences du document de France 2 à propos de la (soi-disant) mort de l’enfant (Mohamed Al Doura) au cours d'une «fusillade» dont toute une série d'éléments indiquent clairement que les images ne sont que le fruit d'une mise en scène (1) et établit que rien ne prouve la mort de l'enfant le 30 septembre 2000.
Au terme de l'analyse, la conclusion de Media-Ratings tombe, implacable, pour France 2 : Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement
Peu avant le procès, le Figaro fut le seul média français à résumer les éléments de l'affaire sous le titre L'image choc de l'intifada en procès qui souligne le caractère modéré et dénué de tout aspect partisan de l'analyse du directeur de Media-Ratings. Il rapporte aussi l'avis du parquet, qui estimait que le prévenu présentait «des preuves relativement convaincantes» au terme d'une enquête «ni bâclée ni partiale» et que «le contexte autorise une certaine liberté de ton».
Pourtant, le 19 octobre 2006, malgré que le procureur de la République, Mme Alimi-Uzan ait requis la relaxe, MR est condamné, à la stupéfaction générale de ceux qui avaient suivi les débats, pour diffamation à l’encontre de France 2 et de Charles Enderlin par le tribunal, présidé par Joël Boyer.
Une caricature de jugement, dont la victime, Media-Ratings n'hésite pas à décortiquer impitoyablement les éléments dans un article au titre évocateur : peut-on encore faire confiance à la justice française ? Ce jugement inique et indigne (contre lequel MR s'est déjà porté en appel) reproche cyniquement à MR une prétendue unicité des sources(2), de se nourrir « d'affirmations péremptoires »(3) et, enfin, prétend (sans qu'aucun élément au dossier ne l'établisse) qu' «aucune autorité israélienne, ni l'armée, pourtant concernée au premier chef, ni la justice, n'ont jamais accordé le moindre crédit à ces affirmations » (4).
A noter que Media-Ratings reconnaît ne jamais avoir reçu de soutien des autorités officielles israéliennes (ce dont elle se targue comme preuve d'indépendance).
Souci des officiels d'Israël de ne pas réactiver la polémique autour de ce reportage, quitte à renoncer à dénoncer une supercherie, tant l'effet de celle-ci avait été désastreux pour l’image d’Israël ? Souci de ménager la France (et sa télévision nationale) et de ne pas aggraver d'avantage les vives tensions qui règnent entre les deux pays ? Toujours est-il que, six ans après ce «reportage» bidonné, Israël a sans doute dû se rendre à l'évidence : sa retenue face aux mensonges de France 2 et des médias français en général ne lui a pas servi à grand chose, ...bien au contraire !
Aujourd'hui, de hauts responsables israéliens commencent à dénoncer cette ignoble supercherie médiatique de France 2, et semblent vouloir faire pression pour que la lumière soit faite sur les agissement de la chaîne. Vont-ils, comme l'espère Media-Rating, contribuer à faire éclater la vérité dans l’affaire Enderlin-France 2?
NB : pour ne pas allonger exagérement ce fil, la suite, à partir du jugement de la cour d'Appel du Le 21 mai 2008, et de ses effets continue donc ici : Affaire Al-Dura : derniers développements.
Media-Ratings est une agence connue pour le sérieux de ses analyses, et qui s'est donné pour objectif de faire un travail de veille systématique afin de repérer les dysfonctionnements médiatiques des principaux médias français, à l'aune de sept critères regroupés sour le vocable PHILTRE
Dans un article fouillé, publié sur son site le 22 novembre 2004, MR se livre à un examen minutieux des incohérences du document de France 2 à propos de la (soi-disant) mort de l’enfant (Mohamed Al Doura) au cours d'une «fusillade» dont toute une série d'éléments indiquent clairement que les images ne sont que le fruit d'une mise en scène (1) et établit que rien ne prouve la mort de l'enfant le 30 septembre 2000.
- (1) cette mise en scène odieuse et ignoble est l'oeuvre d'un menteur et un manipulateur notoire, le caméraman palestinien Talal Abou Rahma , l'un des spécialistes de la manipulation d'images, dont l'unique souci n'est pas d'informer, mais seulement de diffamer l’Etat d’Israël. Fidèle à la stratégie de l’accusation en miroir, les nazislamistes palestiniens vont utiliser l'image insoutenable de l'enfant juif du Ghetto de Varsovie, marqué de l'étoile jaune, les bras levés, mis en joue par un SS" pour la pervertir et la retourner contre les israéliens, et accuser ceux-ci de perpétrer à leur tour un crime de type nazi.
Mieux encore, la soi-disant mort du petit Mohammed Al-Dura permet d'évacuer la culpabilité de la Shoah et de laver, à bon compte le remords de l'Occident. Pari pleinement réussi ! Quelques jours à peine après la diffusion de Catherine Nay, journaliste à Europe 1, déclare, avec un cynisme révoltant : « avec la charge symbolique de cette photo, la mort de Muhamad annule, efface, celle de l'enfant Juif ».
Comme le remarque avec justesse Emmanuel Brenner, dans l'imaginaire d'une Catherine Nay, et avec elle, de millions de ses semblables, cette mort "effaçait" celle de l'enfant du ghetto de Varsovie. « Enfin "ces gens-là" [les juifs] se conduisent aussi mal que nous. La honte de la Shoah n'a plus lieu d'être! La mort de Mohamed a supprimé l'enfant du ghetto.». On mesure la perversion diabolique du montage palestinien, et son impact sur la "psychologie" de l'occidental moyen !
Au terme de l'analyse, la conclusion de Media-Ratings tombe, implacable, pour France 2 : Arlette Chabot et Charles Enderlin doivent être démis de leurs fonctions immédiatement
Peu avant le procès, le Figaro fut le seul média français à résumer les éléments de l'affaire sous le titre L'image choc de l'intifada en procès qui souligne le caractère modéré et dénué de tout aspect partisan de l'analyse du directeur de Media-Ratings. Il rapporte aussi l'avis du parquet, qui estimait que le prévenu présentait «des preuves relativement convaincantes» au terme d'une enquête «ni bâclée ni partiale» et que «le contexte autorise une certaine liberté de ton».
Pourtant, le 19 octobre 2006, malgré que le procureur de la République, Mme Alimi-Uzan ait requis la relaxe, MR est condamné, à la stupéfaction générale de ceux qui avaient suivi les débats, pour diffamation à l’encontre de France 2 et de Charles Enderlin par le tribunal, présidé par Joël Boyer.
Une caricature de jugement, dont la victime, Media-Ratings n'hésite pas à décortiquer impitoyablement les éléments dans un article au titre évocateur : peut-on encore faire confiance à la justice française ? Ce jugement inique et indigne (contre lequel MR s'est déjà porté en appel) reproche cyniquement à MR une prétendue unicité des sources(2), de se nourrir « d'affirmations péremptoires »(3) et, enfin, prétend (sans qu'aucun élément au dossier ne l'établisse) qu' «aucune autorité israélienne, ni l'armée, pourtant concernée au premier chef, ni la justice, n'ont jamais accordé le moindre crédit à ces affirmations » (4).
- (2) contrairement au dossier, qui compte plusieurs témoignages, et de nombreuses pièces déposées par la défense, ce qui contraste d'ailleurs avec le fait que France 2 n’a apporté aucun témoignage sérieux et indépendant sur les faits, et n'a surtout pas fourni au tribunal l'intégralité des 27 mn de reportage qui confirmerait, selon elle, les propos de son caméraman et ceux de Charles Enderlin.
- (3) affirmations péremptoires dont ce tribunal ne se prive pas, comble d'ironie, en tripatouillant les faits tout en leur faisant dire l'inverse de ce qu'ils veulent dire, au mépris de la plus élémentaire logique et de la plus élémentaire bonne foi, comme le démontre la partie défenderesse en passant au crible les mensonges plus évidents et plus navrant les uns que les autres de cette « justice » française qui, après les médias, se déconsidère.
- (4) comme le signale un observateur sagace de la façon dont la France(mal)traite Israël, Mr Victor PEREZ, on se demande bien où le tribunal, sur le mois qui séparait l’audience du jugement aurait trouvé le temps d'accomplir les vérifications nécessaires auprès des autorités israéliennes, l'armée, la Justice, ou d'autres organes de l’état d’Israël, pour s'assurer que personne ne s'est intéressé« de près ou de loin, à ce qui s’est transformé, au fil du temps, en une étoile jaune portée par tout israélien, voire également par tout juif ? » (*)
A noter que Media-Ratings reconnaît ne jamais avoir reçu de soutien des autorités officielles israéliennes (ce dont elle se targue comme preuve d'indépendance).
Souci des officiels d'Israël de ne pas réactiver la polémique autour de ce reportage, quitte à renoncer à dénoncer une supercherie, tant l'effet de celle-ci avait été désastreux pour l’image d’Israël ? Souci de ménager la France (et sa télévision nationale) et de ne pas aggraver d'avantage les vives tensions qui règnent entre les deux pays ? Toujours est-il que, six ans après ce «reportage» bidonné, Israël a sans doute dû se rendre à l'évidence : sa retenue face aux mensonges de France 2 et des médias français en général ne lui a pas servi à grand chose, ...bien au contraire !
Aujourd'hui, de hauts responsables israéliens commencent à dénoncer cette ignoble supercherie médiatique de France 2, et semblent vouloir faire pression pour que la lumière soit faite sur les agissement de la chaîne. Vont-ils, comme l'espère Media-Rating, contribuer à faire éclater la vérité dans l’affaire Enderlin-France 2?
NB : pour ne pas allonger exagérement ce fil, la suite, à partir du jugement de la cour d'Appel du Le 21 mai 2008, et de ses effets continue donc ici : Affaire Al-Dura : derniers développements.
01 JANVIER 2007
Les voeux de Cassandre
Tous mes voeux de réussite à ceux et celles qui sont prêts à affronter cette année nouvelle avec courage et sans irénisme, bien décidés qu'ils sont à ne plus tolérer que l'occident recule encore, par désir exagéré de paix et de conciliation, devant l'intolérable. | |
Photo Naibed © |
Mes meilleurs voeux à tous et toutes, pour commencer cette année nouvelle, sans irénisme, mais en conservant l'espoir, la lucidité, et la détermination voulue pour faire de cette année 2007 une année meilleure que l'année précédente, hélas encore trop souvent marquée par les lâchetés et les reculades de toutes sortes devant la barbarie. En exigeant de nos médias qu'ils cessent de faire de l'autruchisme et dénoncent le caractère inacceptable de cette théocratie totalitaire qui menace de plus en plus nos libertés individuelles, nos valeurs occidentales et universelles et notre charte des droits de l'homme. Et en exigeant de nos gouvernements qu'ils prennent leurs responsabilités, et qu'ils combattent enfin cette lèpre qu'est l'islam, principale source d'injustices, de violences et de terrorisme dans le monde.
Il est grand temps que, grâce à notre détermination retrouvée, l'Occident cesse de se culpabiliser de façon injustifiée face aux barbares, retrouve sa légitime fierté et montre enfin les dents face à tous ceux qui osent se permettre de bafouer nos droits, notre liberté, et nos libertés démocratiques, tout en cherchant à nous imposer leurs moeurs claniques, machistes et barbares d'un autre âge, leur communautarisme abject, et leur infâme théocratie sectaire. Quitte à mener enfin une guerre totale, implacable et sans pitié aux crapules et aux terroristes qui, de toutes parts, et y compris à l'intérieur de nos démocraties, en Europe, aux Etats-Unis, et en Israël, cherchent à détruire la civilisation et à imposer l'obscurantisme!
Aujourd'hui, je lève mon verre en l'honneur des américains, à qui nous devons hier de ne pas nous être retrouvé sous le joug nazi, et qui luttent pour que demain, le monde libre ne se retrouve pas sous celui de l'islam ! Je lève également mon verre en l'honneur de toutes celles et tous ceux qui, malgré les risques qu'ils encourent, dénoncent avec beaucoup de courage, comme Wafa Sultan, Talisma Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chahdortt Djavann, Parvin Darabi, Salman Rushdie, Ibn Warraq, Irshad Manji, Aziz Nessin, Younus Shaik, Salim Mansur, Itamar Marcus, Khaleel Mohammed, Khaled Abu Toameh, Tashbih Sayyid, Walid Shoebat, etc. etc. la dangerosité intrinsèque de l'islam pour la démocratie, les droits de l'homme, et la liberté, à commencer par celle des femmes. Et qui n'ont pas de mots assez dur pour dénoncer l'hypocrisie de ceux qui cherchent encore à minimiser et à édulcorer le caractère mortifère et névrogène de cette secte. Ainsi qu' à tous ceux qui ont compris qu'il n'y a rien à gagner à encore transiger avec les musulmans et les gauchistes et autres idiots utiles qui soutiennent l'obscurantisme !
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26 DÉCEMBRE 2006
Irénisme et Islam
Irénisme:Attitude d'esprit selon laquelle on tolère l'intolérable, par désir exagéré de paix et de conciliation. | |
Photo Paul Jeffrey © |
En parcourant au hasard la blogosphère, ce ramassis d'un peu tout et «nimportkwa» (et particulièrement ce dernier), je suis «tombée» (1) sur un gugusse pompeux qui, comme beaucoup de français, ne connaît rien grand chose à la langue française, mais s'autoproclame "garde des mots" (ne rigolons pas, SVP !) ..
Ce spécimen de gnangnan politiquement correct (2) et qui prétend expliquer aux autres le sens des mots en les déformant est hélas courant, mais quand même ! Celui-ci n'hésite pas à voir dans l'irénisme une forme plus noble du pacifisme et de la tolérance (sans doute s'est-il rendu compte que lepacifisme bêlant et la tolérance aveugle passent de plus en plus mal, depuis que le monde a compris de quel bois était fait l'islam et qu'il est devenu plus difficile de masquer le terrorisme et l'avalanche de crimes dont se rendent coupables les musulmans partout dans le monde (3)) et n'hésite pas à encenser l'irénisme, qui «serait», je cite, une :« Attitude de compréhension qui permet d'apaiser les querelles religieuses, classiquement de rapprocher les chrétiens de différentes confessions par-delà leurs divergences»
- c'est le cas de le dire : j'aurais pu tomber de ma chaise, tellement j'ai été abasourdie par la déformation que l'on peut donner aux mots, quand on fait partie de cette catégorie qui pullule un peu partout, et que Georges Brassens appelait déjà « les braves gens » : faux-culs, trouillards, menteurs, malhonnêtes et mesquins!
- NB: celui qui s'est livré sans fausse honte à ce mensonge cauteleux teinté d'angélisme s'appelle Alain Horvilleur, et le texte incriminé est ici
- ainsi par exemple, les musulmans sont responsables de 80% des viols en occident - un phénomène longtemps tenu sous le boisseau par les "PC" - et sont impliqués dans 95% des actes de terrorisme !
Cette diarrhée gnangnan est évidement un contresens total qui aboutit à faire d'un vilain défaut une qualité ! L'irénismen'a rien à voir avec la compréhension normale que l'on peut avoir envers une religion non sectaire, c'est-à-dire qui respecte l'autre, et notamment l'individu qui n'adhère pas, voire combat cette religion. C'est une forme non de tolérance, mais bien de lâcheté teintée d'aveuglement et d'angélisme, comme tente de le lui rappeler Joël un de ses commentateurs.
Et que répond cyniquement cet imbécile merdeux, non sans impudeur ? :« J'avais bien entendu trouvé cette référence et décidé de ne pas y faire allusion. »Autrement dit, ce petit monsieur reconnaît cyniquement qu'il connaît le sens des mots, mais qu'il n'hésite pas à le détourner en pratiquant le « politiquement correct » le plus hypocrite et le plus glauque (le même que celui dont nous abreuvent nos médias à longueur de journées pour endormir le peuple, et lui cacher autant que possible la dangerosisté de l'islam et les exactions des membres de cette secte) sur l'air du "mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose", pour tenter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Voici la réponse que je lui ai faite sur son blog ce 26 décembre, et que ce petit monsieur minable a bien sûr immédiatement effacée :Mettons un peu d'ordre dans tout ce magma, et clarifions les choses : l'irénisme est, comme le pacifisme bêlant, le relativisme culturel, et l'autruchisme des lopettes spécialistes du «politiquement correct», une attitude faite de lâcheté intellectuelle, de pleutrerie bien physique (la peur de prendre des coups) et de bas calculs, par exemple face aux prix du pétrole quand il s’agit de remplir sa citerne à mazout.Irénisme: Attitude d'esprit selon laquelle on tolère l'intolérable, par désir exagéré de paix et de conciliationEt si le mot retrouve des couleurs aujourd'hui, c'est pour stigmatiser l'attitude poltronne de l'homme occidental quand il s'agit de dénoncer l'intolérable, l'islam, cette théocratie sectaire proche du nazisme, et qui puise sa substance dans le coran (un texte d’une violence hallucinante, qui, contrairement à ce que bêlent les adeptes du cinquante-cinquantisme, ne trouve pas son équivalent dans aucune autre religion), et qui étend sa violence épouvantable face à l'autre, la femme, l'homosexuel, le juif, le chrétien, l'athée, et pire que tout, l'apostat, celui qui ose briser la loi du silence et dénoncer cette «religion» pour ce qu'elle est vraiment : une secte. Et la plus effroyable de toutes.
Ce commentaire restera ici, pour montrer comment une lopette qui n'est pas un "garde-mots", mais seulement un minable garde-chiourme de la pensée, perpétue la grande tradition stalinienne de la censure la plus abjecte et la plus minable.
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22 COMMENTAIRES:
Voir aussi, sur Jérusalem Post (édition française) "Affaire al-Dura : la justice française demande à France 2 de produire l'intégralité des enregistrements"
Certes, ça ne mettra pas fin au « mythe Mohamed Al Doura » chez les frappadingues de l'islam, et leurs complices dans les médias qui ont juré la perte d'Israël, et qui n'ont jamais cessé de diaboliser cet État par tous les moyens malhonnêtes possibles et imaginables. Mais au moins, peut-on espérer qu'on rétablira la vérité qui a été détournée depuis 2002. »
Rappelons aussi que, des Cinq scenarii pour l’affaire al-Duraévoqués par Richard Landes (merci à Pistache pour la traduction) c'est bien le cinquième, celui du montage pur et simple, qui est le plus probable.
Silence radio par contre sur les médias français jusqu'à présent (dur dur de devoir avouer qu'on a manipulé l'opinion publique pendant autant de temps, sans jamais avoir fourni l'ombre d'un démenti).
Lundi 1 octobre 2007 21:55
Sept ans après la mort de l'enfant palestinien Mohammed Al-Dura au carrefour de Netsarim, au début de l'Intifada Al Aqsa, un document officiel publié par le bureau de presse du Premier ministre dément la responsabilité d'Israël dans cet acte. « La photo montrant l'enfant recroquevillé près de son père est un montage », lit-on dans ce document (Guysen.International.News)
Voir aussi :
Affaire Al Dura : Israël contre-attaque
Changing History's Course
By HILLEL HALKIN
September 25, 2007
Hommage de Hillel Halkin (The New York Sun - 25 sept 2007) à la pugnacité et au combat solitaire et tenace de Philippe Karsenty
Pour rappel ce dernier avait été diffamé et poursuivi en justice par l'odieuse « France Television » pour avoir dénoncé ce complot médiatique , et condamné de manière expéditive et ignominieuse en première instance par un tribunal aux ordres du pouvoir (du "président-malfrat" Al Shirak) et de « sa » télévision. La « justice » frööönçaise refusant d'examiner les éléments de la cause, dont les nombreuses contradictions du « reportage » et n'exigeant même pas de France Télévision qu'elle montre les rushes qui permettaient de démonter la supercherie!
NB: Traduction française de Menahem Macina consultable ici
Véronique Chemla expose en détail cette fameuse journée du 19 septembre 2007 où la 11e chambre de la Cour d’appel de Paris, présidée, avec une autorité et fermeté, par Laurence Trébucq, décide, devant les incohérences manifestes du reportage de France 2 diffusé le 30 septembre 2000 d’examiner elle-même les 27 minutes de rushes et intime l’ordre à la chaîne publique et à son journaliste, Charles Enderlin de lui fournir ceux-ci afin de savoir si cette chaîne a alors diffusé des images mises en scène ne correspondant nullement à la situation réelle au carrefour de Netzarim, dans la bande de Gaza, ce jour-là !
Peu à peu, on voit la suffisance et l’arrogance de Bénédicte Amblard s’effondrer face aux questions de plus en plus pressantes et précises de la présidente Laurence Trébucq : « son teint pâlit et ses joues s’empourprent. L’audience ne se déroule pas aussi facilement qu’à l’automne 2006. »
Si les « grands » médias français boudent l’événement qui les désavoue, les médias internationaux commencent à s’intéresser à l’affaire (TheMediaLine, FrontPageMagazine, The Jerusalem Post, Maariv, The Washington Times, …)
Et évoquent sur un ton alarmant l’affaire al-Dura - ’’La « mort » de Mohamed [al-Dura] a été un évènement médiatique mis en scène visant à ternir la réputation de l’Etat d’Israël et à le diaboliser aux yeux de la communauté internationale en montrant les soldats israéliens comme des tueurs ciblant délibérément des enfants…
Cette histoire a causé un dommage à l’honneur et à la dignité de l’Etat d’Israël, et a induit une violence et un terrorisme gratuits contre les Juifs en Israël et dans le monde’’. Et d’évoquer l’assassinat barbare de deux soldats réservistes israéliens, Yosef Avrahami and Vadim Novesche, à Ramallah, le 12 octobre 2000, celui du journaliste américain juif Daniel Pearl en janvier 2002…
Sur le blog d'Alain Azria, ce vendredi, 16 novembre 2007, un excellent article de Véronique Chemla pour Guysen International News
Mohamed al-Dura est vivant à la fin des rushes de France 2 !
Muhamed al Durah and the French Intifada. qui pose l'étendue de la responsabilité des "journalistes" qui ont contribué à cette énorme imposture médiatique qu'est l'affaire Al Doura
La traduction française de ajm se trouve ici :
Les coûts cachés des erreurs des médias: Mohammed al Dura et l’intifada française
Richard Landes.
Je vous en souhaite bonne lecture.
France 2 ne fait pas que "perdre" des données (9 minutes d'images), elle rescussite aussi les morts...
Charles Enderlin, menteur en toutes les langues, par Luc Rosenzweig
L'inversion du sens au pays de l'absurde : la calomnie et au mensonge orchestrés par France 2, avec l’assentiment des cours françaises de justice ! Retour sur une parodie de justice rendue par la XVIIe chambre du Tribunal de grande instance de Paris le 12 février 2007.
Quand la supercherie judiciaire se surajoute à la supercherie journalistique.
La « justice » de la petite nation (autoproclamée) des droits de l'homme (traduire: la Ripoublique fröönçaise, qui, depuis des années, mène dans les faits la pire politique liberticide à l'égard des droits de l'homme, et particulièrement le plus sacré de ceux-ci: le droit à la libre expression) continue à se rendre ridicule et immonde aux yeux du reste du monde.
L'alter-juif Charles Enderlin, dont les paroles et les actes témoignent, jour après jour, de son antisémitisme flagrant et de sa haine à l'égard d'Israël, la terre des juifs, n'hésite pas à traîner dans la boue Nicolas Ciarapica, directeur de publication du site Internet Blogdei/Bethel, et à l'accuser de « diffamation raciale » à son égard. Des caricatures de magistrats n'hésitent pas à se faire complices de cette supercherie judiciaire, en marge de la supercherie journalistique de l'affaire Al Doura.
Pour la « justice » de la petite nation (autoproclamée) des drwâââhs de l'homme, mettre en cause la haine et l'antisémitisme
d'un juif ennemi mortel des juifs, c'est se rendre coupable de « diffamation raciale » contre celui-ci !!!
Comprenne qui pourra !
La suite ici : Nicolas Ciarapica, le Dreyfus goy ami d’Israël, condamné pour antisémitisme !
La presse française ne sort de son silence que pour relayer ce qu’elle considère déjà comme l’échec de la thèse de Karsenty (lire ici(AFP & Nouvel Obs) et ici (Le Monde) ), alors qu’elle n’a jamais fait état des nombreux éléments qui la corroborent, bien plus importants que les radotages d'un avocat général, Antoine Bartoli, qui ne craint pas le ridicule en continuant, contre vents et marées, à affirmer sans rire qu’il n’y avait pas eu "d’enquête sérieuse" et à persévérer dans son erreur.
1. Un expert français indépendant en identification judiciaire rend public un rapport selon lequel l’enfant et son père, Jamal, n’ont pu être atteints par un tir de Tsahal. Selon cet expert, il est très vraisemblable qu’il s’agisse d’images mises en scène.
A lire ici : Un expert français au tribunal : Tsahal n’a pas tué Mohammed Al-Dura, Adi Schwartz et ici : Un expert indépendant: les balles de Tsahal n’ont pas tué Mohammed Al-Dura (Adi Schwartz)
2. Le rapport balistique. A télécharger ici
Conclusion générale :
Si Jamal et Mohamed AL DOURA ont été atteints par balles [le 30 septembre 2000 dans la bande de Gaza], les tirs ne pouvaient techniquement pas provenir du poste israélien, mais seulement du poste palestinien « PITA », ou de tireurs placés dans le même axe.
En tenant compte du contexte général et des nombreuses mises en scène que nous avons constatées sur l’ensemble des documents étudiés, aucun élément objectif ne nous permet de conclure que l’enfant a été tué et son père blessé dans les conditions
qui ressortent du reportage de France 2. Il est donc sérieusement possible qu’il s’agisse d’une mise en scène.
le 19 février 2008
(oui oui je sais ! en principe, c'est Philippe Karsenty qui est accusé de « diffamation » ! Mais à voir comment évolue l'affaire, on se demande qui est encore l'accusé, et qui est la partie défenderesse :-)) )
1. Qui se moque de qui ?
A propos des dix secondes de rushes de France 2 dans lesquelles l’enfant bouge après sa "mort" (images non diffusées par cette dernière, mais par la BBC, et dont le time code, qui les authentifie, indique qu'elles sont postérieures à celles où Charles Enderlin annonce que l’enfant est mort)
Arlette Chabot: « Ces rushes n’ont jamais été donnés à la BBC »(Ce que répète, en exultant, Me Francis Szpiner).
Philippe Karsenty : « J’ai acquis ces archives auprès de la BBC. Je peux vous apporter la facture ».
Vite, Arlette Chabot se ravise : « Je me demande si Charles Enderlin ne les a pas utilisés dans un autre sujet… »
« Les conditions de tournage à Gaza » (Charles Enderlin)
L’appelant décortique les images diffusées par France 2 au JT du 30 : saynètes de guerre jouées (16), Palestiniens simulant de fausses blessures, etc. Me Patrick Maisonneuve souligne une contradiction : « Un médecin parle d’une blessure par balle à la jambe gauche, alors que le père situe cette blessure à la jambe droite ».
Les intimés et leur défense esquivent les questionnements sur les nombreuses incohérences, contradictions et invraisemblances.
Face au moniteur, Charles Enderlin intervient sans convaincre, en réitérant sa confiance en son cameraman et en mettant en avant son savoir sur l’Intifada : « Certains Palestiniens croient que les tirs ne les concernent pas... Ce sont des rushes, pas de la vidéosurveillance ! Les cameramen filment des scènes qu’ils pensent utiles à leur reportage... Je suis passé des dizaines de fois au carrefour de Netzarim ».
« Ces images donnent l’impression d’un tournage », remarque la Présidente, en évoquant le Palestinien tirant au travers d’un trou dans une pièce… vide !
« C’est réel. Les Palestiniens n’utilisent pas leurs balles pour rien », affirme Charles Enderlin.
« C’est une mise en scène », note la présidente.
« Ce n’est pas une mise en scène. Je suis un professionnel qui couvre l’Intifada depuis des années. C’est la réalité », maintient Charles Enderlin.
« Ces images donnent un peu l’impression que cela ne se passe pas trop mal et que c’est filmé à la demande des cameramen », insiste la présidente.
« AP et Reuters, ce sont des professionnels. Ce sont les conditions de tournage à Gaza ».
« Vous dites que ce n’est pas de la mise en scène ? »
« Non, c’est filmé ».
Arlette Chabot contre-attaque en extrapolant : « On envoie les images dans le monde entier. Cela tendrait à prouver que depuis des années, les agences de presse internationales, reprises par les télévisions du monde entier… C’est une mise en cause de toute la presse internationale. Cela veut dire qu’AP et Reuters ne filment que des [Palestiniens] qui simulent, des mises en scènes ! »
« Pas que [des mises en scène]. Mais aussi [des mises en scène]… », rectifie la présidente.
2. Qui diffame qui ?
Rappelons que l’objet des débats est le reportage du 30 septembre 2000 où Charles Enderlin affirme que Mohamed al-Dura a été tué par les soldats israélien. Et que les rushses, même tronqués (1), que France 2 a livré (19 minutes sur les 27 annoncées par le caméraman Talal Abu Rahma sous la foi du serment le 3 oct. 2000) recèlent d'incohérences et de contradictions confinant parfois au grotesque démentent fermement ses propos. Après sa « mort » Mohammed Al-Dura maintient ses jambes au-dessus du sol et soulève son coude pour regarder la caméra. Difficile, dans ces conditions, de qualifier de "diffamation" le fait que Charles Enderlin ait été traité de faussaire, et son "reportage" d'imposture médiatique, de supercherie et de mascarade.
(1) sans doute de ses éléments les plus grotesques, puisque d'autres journalistes filmaient, au même moment, des gens se promenant tranquillement aux mêmes endroits, malgré le soi-disant « échange de tirs entre Israéliens et Palestiniens », ou encore, des figurants répétant des scènes, de soi-disant blessés sortant leur GSM lorsqu'ils se croient en dehors du champ de la caméra, etc. (bref : « Bienvenue à Pallywood ! »)
En bons gaucho-gnangnans, les parties civiles, Arlette Chabot, Charles Enderlin, et leur avocat Francis Szpiner pinaillent sur des détails sans aucune importance pour faire écran de fumée, évitent autant que possible le débat de fond, et jouent, chaque fois qu'ils le peuvent, sur le registre émotionnel afin de gagner l’empathie des juges, et discréditer l’argumentation de Philippe Karsenty en l’assimilant à une thèse conspirationniste. Et jouent l'argument d'« autorité » : la (prétendue) honorabilité, le (prétendu) professionnalisme, la (prétendue) « réputation » de Charles Enderlin, ...bref, la pleurnicherie classique des brêles !
Très logiquement, Philippe Karsenty a maintenu ses accusations de mise en scène de l'information : "Il y a une industrie du faux reportage à Gaza. J'ose attaquer l'icône Mohamed, défendue par l'icône médiatique Charles Enderlin. Mais l'histoire me donnera raison"
Dans le compte-rendu du Monde Me Francis Szpiner déclare : « Charles Enderlin est un bon journaliste. Et parce qu'il est un bon journaliste, il n'est pas manichéen [toujours le même hum!-argument de brêle], c'est pour cela qu'il est détesté par les imbéciles de tous bords [les "imbéciles" vous remercient, Me Szpiner, mais vous rapellent qu'ils sont d'un seul bord : celui de la recherche de la vérité] » et qualifie M. Karsenty de « croisement aigri [pourquoi aigri ? il semblait, au contraire, avoir le sourire au tribunal] de Faurisson et de Thierry Meyssan ».
Pour Szpiner, l’avocat de Enderlin et de France 2, ceux qui recherchent la vérité, et mettent en difficulté les gaucho-gnangnans de France 2 sont des "imbéciles de tous bords" et Philippe Karsenty, un croisement de négationnistes.
En réplique à l’avocat général, Antoine Bartoli, on pourrait lui demander ceci : « Qui tient donc des propos "incontestablement diffamatoires", SVP Monsieur l'avocat général ? »
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Sur quoi, le mardi 4 mars 2008 à 07:54, Charles Enderlin a fait cette réponse étonnante:
Cet argument est d'une stupidité incommensurable. Toutes les rédactions du monde travaillent avec des correspondants locaux. Sans cela la presse n'existerait pas.
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(est-ce à dire que Charles Enderlin commence à être troublé par la perspective que la vérité triomphe du mensonge ?)
Votre lien ayant malencontreusement été tronqué, je publie, ci-après les liens ad hoc.
1. Présentation de l'émission (avec un rappel de toute l'affaire).
"Al-Dura : spin ou symbole ?". Reportage exclusif de la TV israélienne
2. L'émission proprement dite.
Affaire Al-Dura: un documentaire télévisé enflamme les passions en Israël (Parties 1 et 2)
Ceci dit, on peut dire que la TV israélienne arrive comme les carabiniers d'Offenbach !!
:-(
Toujours sur cet excellent site, un document de 191 pages (en seulement 799k), très bien fait, intitulé :
Contre-Expertise d'une mise en scène
Le travail exceptionnel de Mr Gerard Huber mérite bien un inventaire !
Le voici donc :
1. 30 septembre 2007: Vers la résolution de l'Énigme de « la mort de Mohamed Al Dura » ?
2. 7 octobre 2007: Réponses à Triton et à Yehoshoua
3. 21 octobre 2007: Sur les contradictions et le trouble de Charles Enderlin
4. 25 octobre 2007: « Énigme » ou « Affaire » Mohamed Al Dura ?
5. 11 novembre 2007: Al Dura et ces drôles de journalistes
6. 17 novembre 2007: Énigme « Mohamed Al Dura », Charte d’éthique de France 2 : où en sommes-nous ?
7. 27 novembre 2007: Charabia et galimatias sont les deux mamelles de « l’Affaire Al Dura »
lire aussi : Imposture médiatique et propagande « antisioniste » : une adaptation contemporaine de la légende du « crime rituel juif » de Pierre-André Taguieff (directeur de recherche au CNRS, Paris)
Ma réaction sur une phrase :
On me reproche : C’est toi qui sèmes la confusion, à un moment où il existe un front anti-Enderlin et qu’il ne faut surtout pas qu’il se lézarde.
À quoi je réponds que la vérité n’ayant pas de frontière, le combat pour la vérité n’en a pas non plus. Je ne fais pas partie d’un « front anti-Enderlin, je l’ai annoncé depuis le début, j’en ai parlé avec l’intéressé et je n’ai pas l’intention de changer d’avis. Je ne fais pas non plus partie d’un front pro-Enderlin. Je ne fais partie que de moi-même, de ceux que j’aime et que j’estime. Mon principe : déjouer les plans de la guerre avec soi-même et communiquer librement avec ceux qui ne veulent pas en être les dupes. (Cela m’a valu, naguère, quelque différend avec feu Jacques Derrida).
Faisons éclater ces précautions oratoires : je suis totalement en accord avec ce qui précède. Ce qui ne m'empêche pas de déclarer haut et fort "Attention ! Certains mensonges tuent ! Cet homme est un tueur !
Je ne me sens pas "anti-Enderlin" (en fait, Charles Enderlin, je m'en fous un peu ! ce qui importe, c'est que c'est un criminel, et, pour moi, c'est ça qu'il est important de dénoncer !)
8. 23 décembre 2007: Al-Dura : le silence avant la tempête ?
9. 8 janvier 200[8]: Vérité et sincérité dans les discours sur la dramaturgie Al Dura
Seul bémol, en ce qui concerne la phrase : "La dictature n’est certes pas la même sous le régime nazi ou sous le régime maccarthyste, mais, dans l’un et l’autre cas, comme dans celui du régime communiste ou celui des bonapartismes européens ou tiers-mondistes, le politique et le médiatique se rejoignent pour vider l’individu de sa substance mythique. C’est alors que nombres de philosophes, poètes et artistes, pris sous la contrainte de dire ou faire quelque chose à tout prix, ne se privent pas de s’engouffrer dans l’abîme de la sincérité, au risque de s’éloigner sans retour du rivage de la vérité. Et le style ne fait pas défaut…."
En ce qui concerne le « régime maccarthyste », Mr Gerard Huber ferait bien de se documenter sur ce qui est lui-même un mythe, un mensongeet une désinformation gauchiste, et radier cet exemple douteux de sa phrase !
10. 12 janvier 2007: Pourquoi France 2 a changé de stratégie
11. 19 mars 2008 : Al-Dura : Exigeons une commission d'enquête internationale et neutre
Oui bon ! ...onze documents à lire d'un coup ! ...je n'ai pas peur de décourager mes quelques rare lecteurs. ...Mais je suis impitoyable ! :)
Scoop de dernière minute : en Israël, France 2 sur le grill.
La Cour suprême d'Israël va auditionner les arguments contre France 2 et contre Charles Enderlin concernant les informations frauduleuses à propos du décès présumé de Mohmmad al-Dura, un jeune palestinien de 12 ans.
La partie plaignante qui sera auditionnée par la Cour suprême d'Israël n'est autre que le Shurat Hadin Israel Law Centercomposé d'éminents juristes et avocats israéliens.
Des années après les faits, l'affaire Al-Dura semble prendre un nouveau virage. Pour mémoire, il a été établi que l'information présentée par Enderlin sur France 2, à savoir la responsabilité de l'armée israélienne dans la mort présumée de Mohammad al-Dura, était un montage.
Commentaire de Naibed : je n'ai actuellement pas pu recouper cette information. Je suppose qu'elle fait suite aux efforts du Shurat HaDin, depuis février 2007, pour obtenir la révocation l'accréditation de presse de France 2 Télévision en Israël.
Voir par exemple ci-après : Shurat HaDin Petitions High Court to Revoke France 2 Television's Press Credentials
Jeudi 22 mai 2008 à 00:20
La Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty dans l’affaire al-Dura.
Le 21 mai 2008, 11e chambre de la Cour d’appel de Paris a relaxé Philippe Karsenty, directeur de Media-Ratings, poursuivi pour diffamation par France 2 et son correspondant à Jérusalem, Charles Enderlin, pour avoir qualifié de « faux reportage », de « supercherie » et d’« imposture médiatique » les images controversées de « la mort de Mohamed al-Dura » diffusées par France 2 le 30 septembre 2000.
Les intimés - France 2 et Charles Enderlin - se sont pourvus en cassation.
Présents lors des audiences de visionnage des rushes de France 2, ou de plaidoiries, Charles Enderlin et Arlette Chabot brillent ce 21 mai par leur absence. Comme leur autre défenseur, Me Francis Spziner. Tout comme la foule qui s’agglutinait dans le couloir contiguë lors des audiences précédentes. Comme si tout avait été dit, ou vu, ou compris.
Me Patrick Maisonneuve, avocat de Philippe Karsenty, et Me Bénédicte Amblard lisent avec attention la « copie de travail » de l’arrêt, c’est-à-dire l’arrêt avant sa signature par la présidente et la greffière.
Me Patrick Maisonneuve en résume la teneur à la presse : « La Cour d’appel rappelle qu’il y avait un débat sur les images. Elle indique qu’il était légitime de commenter, d’analyser et de critiquer ces images. Au regard de ce débat, Philippe Karsenty, de bonne foi, a exercé librement son droit de critique par rapport face au pouvoir de la presse ». Même en « termes virulents ».
Donc, la critique, l’analyse et l’interrogation des saynètes de guerre de Pallywood sont reconnues légitimes par la Cour d’appel de Paris qui inflige ainsi un désaveu cinglant à la thèse des intimés, professionnels du journalisme arc-boutés sur leur refus indigné de toute interrogation, et exprime des arguments de Sandrine Alimi-Uzan, procureur de la République, dans ses réquisitions de relaxe du prévenu en 2006.
Un mois avant le jugement prononçant la relaxe de Karsenty, les deux guignols de la (dés)info que sont Emilie Raffoul et Stéphane Haumant donnent sur canal+ une caricature du "Bon (Charles Enderlin, le journaliste intègre suspecté injustement), de la Brute (Karsenty) et du Truand (les infâmes blogueurs qui critiquent Charles Enderlin) dans leur «Jeudi investigation», du jeudi 24/04/2008. Rien que l'annonce, intitulée "Boulevard du doute" avait de quoi faire douter, en effet, sur le parti-pris criant de nos deux zoz^W « journalistes ».
En évitant soigneusement tous les détails de la supercherie, pourtant révélés au tribunal lors de la mémorable séance de visionnage des rushes (Le 27 février 2008) : l'absence de balles, l'absence de sang, le petit Mohammed qui lève la main pour observer ce qui se passe après sa « mort », etc. etc. Les deux guignols de la (dés)info que sont Emilie Raffoul et Stéphane Haumant se foutent comme d'une guigne de l'invraisemblance, tournent en dérision ceux qui, comme Philippe Karsenty, les journalistes de la Mena, le professeur Richard Landes, etc. on mené une enquête méticuleuse. Au contraire, on en rajoute dans l'ignoble: les intestins étaient "en dehors de son ventre, répandus sur le trottoir", le père prétend que "tous les os du bassin ont été brisés" lorsqu'il a reçu une balle imaginaire, etc... toutes choses qui sont en contradiction avec les rushes. Et sans être le moins du monde perturbé par les faits révélés au tribunal, et sans se soucier le moins du monde que l'affaire est en jugement, et que l'arrêt sera rendu quelques jours plus tard.
Bref, la désinfo continue. Business as usual.
La victoire de Mr Philippe Karsenty en d'appel me semble un bon moment dans le temps pour dinstinguer un "avant" et un "après"
La suite continue donc ici :
Affaire Al-Dura : derniers développements.
NB: Pour consulter sur Debriefing.org l'essentiel des textes sur l'affaire:
Al-Dura / France2 (récents)
Al-Dura / France2 (archive)
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