jeudi 11 janvier 2018

Comment répondre à un musulman argumentatif: rhétorique 101

By  | on March 27, 2008 |

À chaque fois que l’on évoque ce qu’il y a de problématique dans le Coran et dans la vie de Mahomet, les défenseurs acharnés de l’idéologie musulmane utilisent une série de mots clés, et dans un ordre bien précis. Je vais essayer de déjouer ces pièges rhétoriques pour donner des armes intellectuelles à ceux qui voudront exprimer sur la place publique leur inquiétude par rapport au développement de l’islam dans leur pays. – Radu Stoenescu
Lien possible sur une autre chaîne : Pourquoi les vrais musulmans n'ont pas d'honneur

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Né en Transylvanie en 1979, Radu Stoenescu vit en France depuis une vingtaine d’années. Diplômé en philosophie de l’Université de la Sorbonne, il est l’auteur de Gandhi, l’exilé volontaire paru en 2007.
Il a publié dans le dernier numéro de la revue française Riposte Laïque un article qui discute des pièges rhétoriques classiques avec lesquels les lecteurs de Point de BASCULE sont maintenant familiers. Les «mots-clés» dont il parle sont «contextualisation», «essentialisme», «diffamation» et «islamophobie». Utilisant des arguments fondés sur la raison, Stoenescu déjoue chacun de ces pièges d’une manière solide et convaincante.
Nous joignons également en bas de page un tract de deux pages qui donne des arguments utilisables dans une discussion avec des musulmans, et que vous pouvez télécharger. Il y est notamment question des grandes lignes des tactiques et de la dialectique de l’islam. L’objectif des auteurs du tract est de vous permettre de répondre, après sa lecture, aux questions suivantes : L’islam est-il une religion comme les autres? Est-ce une religion de tolérance et de paix? Ce tract est accessible sur internet en français et en anglais.
Nous vous recommandons aussi le billet du 27 février 2008 du suisse Alain Jean-Mairet. Il y donne un précieux Conseil général aux critiques de l’islam.
Enfin, nous vous invitons à lire Le rapport de l’Observatoire de l’islamophobie – faux diagnostic, mauvais traitement. Nous y décrivons les étapes essentielles d’un programme dont nous assurons qu’il saura faire disparaître pour de bon le problème d’islamophobie dont se plaignent tant de musulmans partout dans le monde.
« Qu’est-ce que l’islam ? » se demandent d’une manière anxieuse beaucoup de nos concitoyens. Mettons des mots sur nos craintes : nous redoutons que l’idéologie musulmane soit une doctrine fascisante, misogyne, anti-démocratique, qui vise la subversion des lois républicaines afin d’instaurer sa propre loi, la charia, à l’ensemble de la population, comme elle le fait dans certains pays musulmans. Mais comment savoir si nous avons raison ? Qui croire ? Malek Chebel, Tariq Ramadan, Ben Laden, Abd al Malik, les jeunes de banlieue qui crient « Allah Akhbar », Robert Redeker, Ayaan Hirsi Ali ?
Sources de l’idéologie musulmane
Les sources de l’idéologie musulmane sont assez faciles à identifier : c’est le Coran et la vie de Mahomet. La vie de Mahomet est la clé d’interprétation du Coran, et elle constitue l’exemple du parfait musulman, selon le Coran lui-même. Mahomet apporte le Coran, qui lui-même présente Mahomet comme le modèle idéal de vie du musulman. Ce qui implique que l’on doit étudier les hadiths, c’est-à-dire les collections plus ou moins apocryphes de « faits et gestes » du prophète de l’islam. Ces collections sont énormes, et leur validité respective est contestée par différents courants de l’islam.
Dans le débat public autour de l’islam, à chaque fois que l’on évoque ce qu’il y a de plus problématique dans le Coran et dans la vie de Mahomet, les défenseurs acharnés de l’idéologie musulmane utilisent une série de mots clés, et dans un ordre bien précis. Lorsque l’on cite des faits peu honorables de la vie de Mahomet, comme par exemple la consommation de son mariage avec une fillette de neuf ans, ou bien le massacre de la tribu juive de Banû Quraïdza, on nous dit qu’il faut « contextualiser » ces faits et gestes.
Lorsque l’on cite des versets on ne peut plus explicites sur l’attitude violente à adopter face aux non-musulmans, comme le fameux « Verset de l’Epée », qui dit « Tuez les infidèles où que vous les trouviez », c’est encore en sommant les interlocuteurs de « contextualiser » que l’on tente de justifier l’injustifiable. Ensuite, quand on essaie d’énoncer un jugement clair sur la nature de l’islam, comme par exemple le fait Ayaan Hirsi Ali, en disant que l’islam prêche la violence, ou que l’islam est incompatible avec la démocratie, les demi-habiles dénoncent chez leur interlocuteur « l’essentialisation » de l’islam.
Simultanément, ils s’empressent de relativiser les incompatibilités de l’islam avec la démocratie en rappelant les méfaits du catholicisme d’il y a cinq siècles, comme l’Inquisition et les Croisades, ou bien les versets les plus obscurs de l’Ancien Testament, comme si la République en avait quelque chose à faire. Si l’on va encore plus loin, et si l’on avance que l’islam et l’exemple de Mahomet sont immoraux, ceux qui par ailleurs n’ont aucune pitié ni pour les femmes excisées en Afrique, ni pour les adultères lapidées en Iran, ni pour les apostats exécutés en Afghanistan se sentent blessés dans leur sensibilité et crient à « l’insulte » ou à la « diffamation ».
Et pour finir, ils vous menacent d’un procès pour « provocation à la discrimination raciale », tout en vous accusant de ne rien savoir de l’islam, de « surfer sur la peur » et d’être « islamophobe ». Je vais essayer de déjouer tous ces pièges rhétoriques pour donner des armes intellectuelles à ceux qui voudront exprimer sur la place publique leur inquiétude par rapport au développement de l’islam en France.
1. Contextualisation
Commençons par la sommation de « contextualiser ». Ceux qui dénoncent les intégristes comme de « faux musulmans » parce qu’il sortiraient des versets de leur contexte, ne remarquent jamais qu’au contraire, les intégristes rappellent sans cesse un contexte pour justifier leurs agissements. Les intégristes passent leur temps à contextualiser, c’est-à-dire à essayer de retrouver et de reproduire dans leur quotidien le même contexte que celui dans lequel Mahomet a pris telle ou telle décision, pour reproduire ensuite cette même décision.
L’exégèse musulmane fonctionne par analogie, avec le paradigme de la vie de Mahomet, « le beau modèle ». C’est patent dans les déclarations de Ben Laden, mais aussi dans les avis religieux sur des points aussi anodins que la manière de saluer les autres, ou s’habiller, ou se laver. [a] Pour tout contexte présent, il existe un contexte-modèle dans la vie de Mahomet, qu’il faut copier pour être un bon musulman. L’appel au Jihad contre les mécréants va de pair avec un contexte : il faut définir le mécréant, et la situation d’autodéfense qui légitime la réplique violente.
Ce n’est pas sur le sens des versets dans leur contexte que différent les musulmans intégristes de ceux pacifiques, mais sur l’existence de ce contexte dans le présent. La question n’est pas est-ce qu’un musulman doit rechercher la réconciliation plutôt que la guerre lorsqu’il est agressé, non, la question est : le contexte d’aujourd’hui est-il le même que celui de Médine en 627 ? Lorsque l’assassin de Théo Van Gogh a décidé de le tuer, il n’a fait que reproduire ce qu’un fidèle de Mahomet, Muhammad Ibn Maslama, a fait lorsque le poète juif Ka’b Ibn Al-Achraf s’est moqué des femmes musulmanes : il l’a tué avec sa bénédiction [b]. L’obligation de contextualiser les versets est parfaitement suivie par les intégristes !
Malheureusement pour l’islam, il n’y a pas de lois morales à suivre d’une manière non-contextualisée. Mahomet ne reprend pas les dix commandements de Moïse. La contextualisation est justement ce qui empêche l’émergence d’un islam pacifique, et non pas la manière par excellence de le prémunir contre la violence, car les appels à la miséricorde et à la bonté sont aussi contextualisés que les appels au meurtre !
En islam, la paix ne doit pas être cherchée à tout prix, d’une manière absolue, mais uniquement si l’on est en infériorité numérique. La miséricorde envers les non musulmans ne doit être pratiquée que si les mécréants ne sont pas hostiles aux musulmans. Les chrétiens et les juifs ne doivent être tolérés dans les sociétés musulmanes que s’ils se soumettent aux musulmans et acceptent le statut humiliant de dhimmis. Pour le dire en termes philosophiques : les impératifs moraux musulmans ne sont pas catégoriques, mais hypothétiques.

Donc à chaque fois que l’on vous objectera que vous sortez un fait de la vie de Mahomet de son contexte, répliquez que cet épisode est lui-même un contexte porteur d’un enseignement et d’une décision que le musulman croyant est appelé à reproduire.

2. Essentialisation
Passons maintenant à l’accusation « d’essentialiser l’islam ». Ceci est un stratagème éristique très bien expliqué par Arthur Schopenhauer dans son petit traité L’art d’avoir toujours raison. Il s’agit du stratagème 32 : « Nous pouvons rapidement éliminer ou du moins rendre suspecte une affirmation de l’adversaire opposée à la nôtre en la rangeant dans une catégorie exécrable, pour peu qu’elle s’y rattache par similitude ou même très vaguement. Par exemple « C’est du manichéisme, c’est de l’arianisme, (…) c’est de l’idéalisme, etc. » En faisant cela nous supposons deux choses : 1) que l’affirmation en question est réellement identique à cette catégorie, ou au moins contenue en elle, et nous nous écrions donc : « Oh ! Nous sommes au courant ! », et 2) que cette catégorie est déjà totalement réfutée et ne peut contenir un seul mot de vrai. » [c]
Quand on vous dit « vous essentialisez l’islam ! », on vous dit qu’essayer de comprendre précisément ce qu’est l’islam et le juger, c’est de l’essentialisme ! Or ceci est un mensonge. Car l’essentialisme est une doctrine philosophique (réfutée) selon laquelle des hommes ont une nature fixe qui les pousse à agir toujours de la même manière, bref, qu’ils n’ont pas de libre arbitre. Or l’islam n’est pas un homme, mais une doctrine. Une idéologie a une nature, elle n’a pas de libre arbitre comme un homme.
On ne peut pas accuser d’essentialisme quelqu’un qui cherche à définir précisément la nature de l’islam. Ceci ne rentre pas dans la catégorie de l’essentialisme. Personne n’est accusé d’essentialisme lorsqu’il cherche la nature exacte de christianisme, du kantisme, du judaïsme. Pourquoi le serait-on si on cherche à définir l’islam ? Il est certes difficile de définir sa nature, mais c’est la tâche de la pensée et de toutes les chaires universitaires d’histoire des religions. L’islam est un objet d’étude, certes multiforme, mais quand même définissable.
Quand on arrive quand même, après moult efforts, à faire accepter que l’islam est étudiable et qu’il n’est pas très sympathique, ses défenseurs s’empressent d’amoindrir ses torts en rappelant les tâches d’autres religions ou d’autres doctrines, parmi lesquelles le christianisme a généralement leur préférence.
On rappelle les Croisades et l’Inquisition pour relativiser les guerres menées par Mahomet, et la dureté de la charia. Cela aussi est une ruse rhétorique, pour deux raisons. Tout d’abord, cela ne diminue pas les torts d’une doctrine si d’autres se sont montrées tout aussi criminelles. Ensuite, on confond les faits historiques d’un certain groupe de chrétiens à une certaine époque avec l’enseignement fondamental du christianisme. Les agissements des croisés ou de Torquemada n’ont pas de valeur exemplaire, alors que les faits et gestes de Mahomet sont absolument paradigmatiques. L’enseignement des Evangiles n’est pas corrompu par les agissements criminels de certains chrétiens, alors que les actions guerrières de Mahomet font partir du socle de l’enseignement musulman.
3. Diffamation
Quand on arrive à ce point du débat, souvent la discussion rationnelle cesse et les défenseurs de l’islam se retranchent dans une pose blessée, et commencent à crier au blasphème, à l’insulte et à la diffamation. Ils traitent ces propos de provocation à la haine raciale et accusent leurs contradicteurs d’islamophobie, en priant très fortement pour qu’un jour une loi soit votée en France pour interdire de critiquer le « beau modèle » Mahomet. Ici plusieurs précisions légales s’imposent : « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés. » [d]. Wikipedia précise : « L’auteur de la diffamation peut s’exonérer de sa responsabilité en apportant la preuve des imputations alléguées ou en démontrant sa bonne foi.
Dans un arrêt rendu le 6 juin 2007, la cour d’appel de Paris rappelle les conditions inhérentes à chacune de ces possibilités d’exonération. Ainsi “la preuve de la vérité des faits diffamatoires doit être parfaite, complète et corrélative aux imputations tant dans leur matérialité que dans leur portée et dans leur signification diffamatoire”. Quant à la bonne foi, “quatre éléments doivent être réunis pour que [son] bénéfice (…) puisse être reconnu au prévenu : la légitimité du but poursuivi, l’absence d’animosité personnelle, la prudence et la mesure dans l’expression, ainsi que la qualité de l’enquête”. »[e]
Autrement dit, raconter la vie de Mahomet n’est pas une diffamation des musulmans qui s’en revendiquent, car les faits diffamatoires sont attestés par les sources musulmanes elles-mêmes, notamment par Ibn Hicham, qui a écrit la biographie la plus ancienne du prophète de l’islam, et qui, selon son traducteur Wahib Atallah, est la plus reconnue dans le monde musulman, la « biographie officielle » en quelque sorte. Voilà donc pour la diffamation. L’erreur tactique de Robert Redeker a été de ne pas citer les sources musulmanes pour appuyer ses propos.
A part l’accusation de diffamation, les âmes sensibles outrées par la dénonciation de l’exemple de Mahomet, accusent les critiques de l’islam de faire de « la provocation à la discrimination raciale ». Or la loi sur ce point est aussi très claire : « les images forcées, les termes déplaisants et les critiques ne suffisent pas à eux seuls à constituer une provocation ; il n’y a pas provocation en cas de formules trop générales, imprécises ou équivoques (exemples : accuser les immigrés d’abuser des congés pour maladie, polémique entre politiciens, …) si ces propos ne conduisent pas à la haine ou à la violence. » [f] Dans ce cas précis, cette loi française est utilisée exactement par ceux qui seraient susceptibles de tomber sous son coup : si l’islam politique vise l’instauration d’un système social discriminatoire, dans lequel les non musulmans auraient un statut inférieur (dhimmi), alors l’islam politique est « une provocation à la discrimination raciale en raison de la NON APPARTENANCE à une religion ». L’islam politique, en intimidant, en menaçant, en harcelant les critiques de l’islam fait exactement ce qu’il accuse les autres de faire à son encontre.
On pourrait aller plus loin et méditer les implications de la dernière phrase de chacune des cinq prières qu’un musulman doit prononcer quotidiennement :«il n’y a pas d’autre divinité à part Allah ; nous Lui sommes sincèrement fidèles dans Son adoration et dans notre religion EN DEPIT DE LA HAINE DES MECREANTS». Quelles sont les implications du fait de se répéter chaque jour que tous les non musulmans vous haïssent ? N’est-ce pas là un préjugé terrible à l’encontre de tous les non musulmans ? Comment vivre ensemble lorsque la prière obligatoire de chaque musulman finit sur l’affirmation gratuite que les mécréants le détestent, d’autant que le musulman doit répondre à l’agression d’une manière violente ?
Quelqu’un qui se répète solennellement cinq fois par jour que tous les autres lui sont hostiles ne finit-il pas par ne voir que des ennemis autour de lui, pour se sentir ensuite en droit de répliquer violemment ? Le réflexe musulman de crier à l’injustice et à l’oppression dès que l’on formule la moindre critique contre l’islam, ne serait-il pas purement pavlovien, induit par ce ressassement quotidien ? Il me semble même qu’il pourrait même être considéré comme une prophétie auto-réalisatrice : à force de se dire que les autres vous haïssent a priori, on finit par les regarder avec défiance, crainte et haine, ce qui ne manquera pas de provoquer en retour une réaction hostile de la part de ces mécréants, confirmant ainsi l’affirmation initiale. Le mécréant finit par donner les preuves de son « islamophobie » supposée injustement en premier lieu. «Tu ne m’aurais pas cherché si tu ne m’avais pas trouvé».
4. Islamophobie
J’en arrive au dernier terme utilisé dans le débat avec les musulmans, le terme d’islamophobie. On sait déjà qu’il s’agit d’un terme forgé par Khomeini pour stigmatiser tous les critiques de l’islam et les assimiler au racisme. Passons sur le fait que l’islam n’est pas une race, qu’il n’est pas un groupe de personnes, mais une doctrine, et à ce titre critiquable comme toute autre. Ce que je voudrais souligner, c’est que lorsque l’on accuse quelqu’un d’être islamophobe, on essaie en fait de le paralyser mentalement.
Lorsque l’on formule des critiques contre l’islam on est généralement mû par la crainte devant les agissement des musulmans et devant la politique des pays musulmans. On a une crainte de l’islam. Quand on nous réplique « vous avez une phobie de l’islam », on nous dit deux choses : 1) vos craintes ne sont pas légitimes, il s’agit d’une crainte irrationnelle, d’une phobie ; et 2) vous n’avez pas le droit d’avoir peur. Or on a toujours raison de ressentir quelque chose, nos sentiments ne sont pas coupables ou blâmables.
C’est l’expression de ces sentiments qui peut être sujette à caution. Ensuite, ces craintes sont légitimes, car fondées sur des faits vérifiables, que ce soit en lisant la biographie de Mahomet, ou en observant l’histoire de la civilisation musulmane et le sort des non musulmans.
En conclusion, en interdisant aux non musulmans d’avoir peur de l’islam, ses séides leur interdisent en fait de lui résister. Car le courage a pour condition d’existence… la peur ! Le courage n’est pas l’opposé de la peur, mais c’est « la crainte d’une chose jointe à l’espoir d’éviter le dommage causé par cet objet en résistant. » [g] Ceux qui n’ont pas peur, ne peuvent avoir aucun courage. J’ai peur de l’islam, mais j’espère éviter les dommages qu’il pourrait causer à la République, en résistant. Surfons sur notre peur, avec la planche de notre espoir !
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Voir aussi:
Site externe:

  • Voir par exemple comment saluer les chrétiens et les juifs
  • La biographie du prophète Mahomet, Ibn Hicham, traduction Wahib Atallah, p.229-232. Ed. Fayard 2006
  • Ed. Mille et une nuits, p. 55-56
  • L’article 29 de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881
  • http://fr.wikipedia.org/wiki/Diffamation
  • http://sos-net.eu.org/etrangers/discrim.htm
  • Thomas Hobbes, Léviathan, p.51 (Ed. Sirey)

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