lundi 19 février 2018

Témoignages d'ex-musulmans (Sauvegarde Brisons le mythe )


serrure jour luneVoici quelques liens (avec extraits dans le cas des textes) de témoignages d'ex-musulmans et d'ex-musulmanes. 
Certains ont quitté l'islam pour une autre religion, d'autres pas.  
Leur courage mérite d'être souligné.  
Note : plusieurs témoignages peuvent porter le même titre et la présence de ces liens ne constitue pas un accord tacite du contenu des sites sur lesquels ils ont été trouvés.  D'autres témoignages viendront s'ajouter à cette page dans l'avenir et, désormais, il viendront s'ajouter en haut de la page plutôt qu'en bas.

Dernière mise à jour: 13 mars 2016


Puissant témoignage d'un afghan ex-musulman


Extrait:
"Je voyais parfois des gens qui traitaient l'apôtre d'allah de pédophile et ça me mettait hors de moi à chaque fois mais un jour, je me suis dis : tiens, regardons si c'est vraiment vrai ou pas et en faisant mes recherches, j'ai effectivement vu qu'il s'était bel et bien marié à une petite fillette de 9 ans tandis qu'il en avait 54 et pour moi venant d'un "prophète" c'était inconcevable... et comme j'avais lu le coran qu'en arabe et vu que ce n'est pas ma langue maternelle, du coup, j'avais pas compris grand chose mais les trucs du genre la musique vous transforme en singe et en porc, couper la main du voleur, tuer les apostats, lapider ceux qui ont commis l'adultère, ceux qui mangent du porc auront un comportement de porc, les mécréants brûleront en enfer éternellement, il faut pas adresser la parole aux juifs et aux chrétiens etc etc ce sont des choses que j'ai entendues un millier de fois en afghanistan, ce sont des choses avec lesquelles, on s'habitue un moment et personne peut dire le contraire puisque ce sont des choses écrites et c'est pas ces musulmans "occidentaux modérés" dont 85% savent même pas écrire leur prénom en arabe qui y changeront quoi que ce soit... j'ai commencé alors à lire le coran cette fois avec un esprit critique et j'y ai lu des choses horribles du genre "9:29 tuez tous ceux qui n'appliquent pas la religion d'allah" ou encore "faites pas la paix quand vous êtes les plus forts 47:35" ou encore "les juifs et les chrétiens ne seront jamais vos amis et si vous les prenez comme amis, vous deviendrez un des leurs 5:51"... j'avais bien la preuve que si puisque ce sont ces mêmes "mécréants" qui m'ont donné refuge tandis que l'islam a failli me tuer ! 
(...)
Encore une autre petite anecdote : lorsque j'ai décidé de quitter cette religion, je suis allé sur un forum réservé aux musulmans et j'ai juste posé une question en disant pourquoi on devrait me tuer parce que j'ai apostasié alors que je n'ai pas eu le choix étant petit et maintenant que je suis libre de faire mes choix, l'islam ordonne à tous les musulmans de me tuer ? Et toutes les insultes que j'ai reçues, des menaces de mort par ces mêmes musulmans dits "modérés" que je suis encore sous le choc et personne de mon entourage sait que j'ai apostasié parce que sinon, on risque de couper les ponts avec moi, notamment ma propre famille et ça fait maintenant un an que je joue un double jeu... j'ai un ami qui a lu un de mes commentaires sur facebook anti-musulman et m'adresse plus la parole depuis et juste pour pas les autres sachent, je vais régulièrement à la mosquée parce que j'ai pas envie d'avoir des problèmes vu que j'en ai assez eus dans ma misérable vie... et un autre moment j'ai posté un commentaire en disant que le prénom voulait rien dire et que j'étais pas musulman moi par exemple et encore une nouvelle fois, je me suis fait bombarder d'insultes notamment par des petits jeunes de 13 ans qui m'ont traité de fils de p*** de harki (alors que je savais même pas ce que ça voulait dire), de traître, de chien, de suce b*** des blancs etc comme quoi les plus gros racistes sont pas souvent ceux que l'on croit puisque pendant tout ce temps, j'ai jamais été victime du racisme de la part des blancs et des athées mais je l'ai été à plusieurs reprises par ces mêmes musulmans qui se disent étant des victimes éternelle du racisme et des complots "sioniste et franc maçon" sans jamais se regarder eux-mêmes."

Montage vidéo (certaines vidéos sont en français, les autres sont sous-titrés en français)

L’Algérie, Neuchâtel, la Kabylie… parcours d’un musulman devenu chrétien

Extrait:
"En Algérie, il n’a jamais entendu parler de châtiments corporels. «On ne parlait pas religion, je ne connaissais rien de l’islam.» Lui-même n’a jamais respecté le ramadan sans que quiconque ne s’en offusque. «On vivait à l’occidentale, j’aimais les Beatles, les Rolling-Stone, Pink-Floyd… On pouvait sans problème déclarer que Dieu n’existait pas. Il y avait des bars, de l’alcool et même des bières made in Algeria. Maintenant, c’est terminé. Ma sœur portait une jupe jusqu’aux genoux. Aujourd’hui, le voile est partout et si une musulmane ne le porte pas, on la harcèle tous les jours… Ils effraient les gens.»"

Vidéo

Vidéo sous-titrée


Moi, l'Apostat ou Pourquoi j'ai Quitté l'Islam

Extrait:
Le coran ne fait qu'affirmer des choses, sans jamais rien prouver, triant ce qui lui plait en utilisant des traditions de textes dont il falsifie la théologie d'origine, et les dogmes qui y sont défendus.
(...)

Le Coran permet le bien et interdit le blâmable?

Si tel était le cas, de manière absolue, irréfutable, définitive, universelle et invulnérable, il y aurait consensus sur le bien; or il n'y a pas dans le monde de religion plus décriée à l'heure actuelle, dans laquelle on dénonce plus d'injustices et plus d'horreurs. Le consensus qui se dégage semble au contraire faire de la chari'a le signe du mal.
Elle statut sur l'inégalité entre les êtres humains, elle favorise des peines de mort violentes, douloureuses, humiliantes et pour des fautes qui n'en sont pas, des maltraitances, des aberrations dans l'éducation. La chari'a théorise les inégalités, ou plutôt les justifie (guère d'argumentation car le coran absout l'absence de raison), allant de la soumission des femmes à l'esclavage, en passant par la monarchie. Elle institut l'autorité publique des fanatiques et la punition des modérés.
Plus grave encore, elle contraint au communautarisme en construisant une logique de solidarité endogène et fermée, auto-radicalisante:
Le prochain qu'il s'agit d'aimer n'est que le frère en religion, et rien d'autres: aucun lien affectif ne doit être tissé avec les "mécréants", c'est à dire le reste du monde. Pour eux pas de compassion puisque la religion leur promet les feux de l'enfer, et d'ailleurs prône la guerre jusqu'à leur soumission entière (l'islam est un impérialisme global).


Extrait:
"Je suis parti du Maroc il y a bientôt 4 ans pour pouvoir étudier ici. Venir en France a radicalement changé ma vie. 
Lorsque j'étais encore au Maroc, j'étais un étudiant studieux et profondément croyant et pratiquant. J'avais peur de venir en France car j'en avais entendu tellement de mal (difficile de vivre son Islam, etc.). Quand je suis venu, j'ai été soulagé au départ, car c'était bien moins grave que ce que je pensais. Je croyais que les Français étaient tous islamophobes. J'ai fait beaucoup d'amis ici et tout se passait bien. Mais au cours de mes études et des discussions je me suis mis à douter de l'Islam. J'ai rencontré des athées et leurs arguments étaient tous très bons, et en faisant des études de sciences, nous sommes obligés de développer un esprit scientifique, et quand on l'utilise sur la religion, on se met vite à douter. Je crois toujours en Dieu, en fait, j'espère qu'il existe. Mais je suis convaincu que l'Islam n'est pas la bonne religion. Je me suis rendu compte que j'avais été endoctriné et que je ne m'étais jamais posé la question si une autre religion pouvait avoir raison."



Extrait:

Il n'y a pas de différence, il y a un seul Coran, et donc un seul islam. Certains musulmans ignorent ce que dit l'islam et sont bons car leur humanité leur dicte de faire des choses bonnes. C'est le cas souvent en France, mais les autres, ceux qui connaissent le Coran ne semblent modérés que parce qu'ils sont pour l'instant en minorité et ne peuvent donc pas appliquer le Coran. Ceux que l'on appelle les "musulmans bons" seront poussés à tuer comme les autres lorsqu'ils liront le Coran, ou ils quitteront l'Islam comme je l'ai fait. Mais dans les pays musulmans, mon histoire le montre, quitter l'islam est tellement difficile que certains continuent à vivre dans l'islam par peur. Il y a en plus un danger pour la démocratie en France. Les musulmans cherchent une identité qui ne soit pas la France et se réfugient donc dans l'islam. Le jour où ils seront majoritaires au Parlement, ils voteront la charia !
(Joseph Fadelle ex Mohamed Moussaoui, Irakien, emprisonné et torturé pour apostasie dans son pays, rescapés d'une tentative d'assassinat par ses frères, exilé en France, in L'homme Nouveau, 25/11/2010)


L'islam a bousillé ma vie. L'islam rend schizophrène. L'islam prospère sur l'inculture et l'ignorance. Ses valeurs ne sont pas compatibles avec celles de la République. Lisez bien ce que dit le Coran sur les femmes, les infidèles, les apostats qui comme moi rejettent la religion. (Messaoud Bouras, français, in Le Nouvel Observateur, 2-8/02/2006) 

En ma vie post islamique, je n'ai plus à subir ni la culpabilisation du doute ni la peur des tourments de l'Enfer de l'au-delà. C'est donc en toute sérénité que je sais lire les menaces de ce livre du Coran qui ne m'impressionne ni ne me fait marcher au pas. (...) Je sais constater sans la moindre hésitation à quel point le Cora demeure un livre qui ne m'est d'aucune utilité pratique, de mon vivant, aujourd'hui, dans le monde d'ici-bas. (Majid Oukacha, français, Il était une foi, l'Islam, Tatamis, 2015)




Extrait:

On m'avait dit que la femme est une reine dans l'islam, que c'est une perle, raison pour laquelle il est aussi important de la préserver. Je n'ai rien compris de ce qui m'arrivait. J'étais si soumise et conditionnée que je n'avais même pas les ressources pour m'en sortir. J'étais en train de me laisser mourir.

(...)
Un soir, toute seule dans ma chambre, j'ai prononcé la chahada, la profession de foi. J'avais 16 ans, j'avais des amis musulmans. J'étais simplement en quête de spiritualité. Je voulais croire en quelque chose. Et l'islam était très accessible. Si j'avais été baptisée par mes parents, je ne me sentais pas pour autant proche du catholicisme. Du fait de son organisation pyramidale avec, au sommet de la hiérarchie, le pape, il y avait trop d'intermédiaires jusqu'à Dieu. Je me suis radicalisée en quelques semaines sur Internet. Je voulais mieux connaître l'islam, apprendre, échanger aussi. J'ai commencé à rejoindre des groupes sur Facebook. Dès lors, des tas de personnes que vous ne connaissez pas vous ajoutent en "amie". Vous avez le sentiment d'être accueillie. Et puis il y a une telle cohésion de groupe. C'est comme une famille. En fait, vous entrez dans un cercle vicieux ; ça vous appelle tout le temps.
(...)
Sur Internet, les prédicateurs ont des recettes pour tous les compartiments de la vie. Cela va de la manière dont on doit boire un verre d'eau jusqu'à la vie sexuelle. Ils vous donnent des instructions dans les moindres détails. Mais ce n'est jamais de manière autoritaire. Ils visent le cœur. Et puis, ils ont un ton. Une force de conviction. On comprend tout de suite qu'ils savent où ils vont. Et on a juste envie de les suivre!

Témoignage d'un ex-musulman reçu par courriel (email) et publié sous le couvert de l'anonymat.  Comme il ne figure sur aucun site, le voici en entier:

Bonsoir.


Je suis originaire du Niger, un pays laïc aux fortes traditions islamiques. J’ai passé l’essentiel de ma vie sur les bancs de l’école de la république, même si j’ai depuis tout petit été initié à la mémorisation du coran. Par ailleurs, j’ai tout au long de mon cheminement spirituel pris le soin de tout remettre en question sauf l’islam, tant cela me paraissait blasphématoire et déplacé, jusqu’au jour où la quête de la vérité m’a incité à absolument tout reconsidérer sans aucune réserve.

Mon revirement s’est donc fait progressivement, sur une période de plusieurs mois. En effet, avant de quitter définitivement l’islam, j’ai d’abord séjourné un moment dans la doctrine coraniste du Docteur Rashad Khalifa, doctrine qui privilégie les occurrences mathématiques du coran. Il ne m’a fallu que très peu de temps pour briser le mystère et réaliser que ses démonstrations ne tenaient pas vraiment la route. J’ai donc aussitôt choisi d’opter pour un islam sans étiquette, un islam non sectaire, exclusivement basé sur ma propre interprétation du coran, reniant absolument tous les « hadiths » (actes et paroles attribués au « prophète » Mahomet, prétendument rapportés par ses compagnons, recueillis et authentifiés par des imams ayant vécu entre le 9ème et le 10ème siècle).

Les hadiths sont un ensemble de prescriptions appelant d’une part à aimer, à être patient et généreux…, et de l’autre, à détester, à asservir et parfois même, à tuer. Du nombre des hadiths unanimement reconnus fiables et authentiques dans le sunnisme, la plupart sont d’une virulence très contagieuse, injurieux à l’égard des femmes, des juifs, des chrétiens…, remettant en cause les implications les plus élémentaires du « vivre ensemble » et défiant toutes les lois du bon sens et de la morale. On y trouve des traditions de nature à inciter à la haine, à la razzia, au totalitarisme, d’une barbarie insoutenable, décrivant le « prophète » comme étant un personnage cynique, tyrannique, impitoyable, assoiffé de sang, accro au butin de guerre, sexiste, pervers, ayant épousé une fillette âgée de 6 ans, réduit ses ennemis à l’esclavage, encouragé la torture, la lapidation dans certaines conditions et entre autres, le meurtre du mécréant, de l’apostat, du chien noir, des salamandres, etc.

Je serais extrêmement clément envers le monde musulman de ne citer que ces quelques aberrations et stupidités sélectionnées parmi tant d’autres, intégralement tirées des volumineux ouvrages rédigés par les imams médiévaux Bukhari et Muslim qui sont considérés comme étant les plus éminents « savants » en matière de compilation et d’authentification de hadiths. C’est notamment à ces deux figures représentatives de l’islam dans son ensemble que le monde musulman doit la recette des cinq prières quotidiennes et la majeure partie de ses croyances et usages rituels.

Les recueils de hadiths sont si outranciers et tellement dangereux pour la liberté qu’ils devraient être strictement interdits dans tous les pays laïcs. Je suis un rescapé de l’idéologie raciste, antisémite, rétrograde, obscurantiste et extrémiste véhiculée par les hadiths, idéologie qui se répand comme une traînée de poudre, faisant des victimes un peu partout autour de nous. Je comprends parfaitement l’inquiétude de l’Occident car tout musulman, qu’il soit ignorant ou érudit, demeurera un potentiel terroriste tant qu’il aura une confiance aveugle aux hadiths. Il est tout aussi justifier que j’en veuille personnellement à l’islam d’avoir profité de mon innocence et de ma vulnérabilité intellectuelle pour m’endoctriner, me maintenir dans l’obscurité la plus totale et m’endormir une bonne partie de ma vie. J’estime par ailleurs avoir le plein droit de reprocher à la société et à la république de n’avoir pas su me protéger d’un tel danger quand j’en avais pourtant le plus besoin.

Si au départ je n’étais musulman que par héritage, ne faisant que me conformer aux croyances de mon entourage, je le suis par la suite devenu par conviction en me désolidarisant des hadiths, persuadé à cette époque que le coran qui aurait été révélé au 7ème siècle, énonçait de nombreux faits scientifiques qui n’ont été découverts que très récemment. Ce n’est que bien plus tard, après de longues études et recherches sur le sujet, que je me suis rendu à l’évidence de l’effroyable supercherie qu’il y avait derrière tous les ajustements et montages destinés à nous faire avaler la pilule wahhabite à laquelle le coran doit son caractère soi-disant surhumain et miraculeux.

De plus, une lecture sérieuse et impartiale de ce livre suffit largement à démontrer qu’il n’a absolument rien de divin, et donc rien de sacré. Il s’agit ni plus ni moins que d’une collection de récits anciens et tellement vagues sur certains sujets qu’on peut aisément tout lui faire dire. Un livre comprenant non seulement de belles paroles, comme tous les autres livres religieux, mais aussi une multitude de contradictions, d’imprécisions, de propos incohérents, misogynes, intolérants, etc.

Si pour la raison mécroire c’est simplement croire autrement, pour le coran, c’est se livrer aux pires châtiments. Une partie de moi-même était déjà terriblement horrifiée à l’idée qu’il me fallait un jour devoir égorger un mouton de mes mains au nom de la tradition, à plus forte raison de devoir combattre les mécréants au nom de la religion, comme l’enseignent des versets du coran que modernistes et réformistes s’évertuent obstinément à contextualiser pour chercher des excuses à l’indéfendable et essayer d’alléger la teneur des passages choquants de la « révélation ». Il faut quand même le rappeler, le coran est tellement indulgent qu’il autorise à l’homme de séquestrer et de frapper sa femme en cas de désobéissance ; bien entendu, pas avec une massue, puisqu’une brosse à dents fera bien l’affaire d’après les plus « modérés ». Elle n’est pas belle la « charia » ?

Honnêtement, il n’y a rien de plus urgent pour le musulman que de quitter l’islam, quoique, une telle décision requiert, en plus d’une grande lucidité, beaucoup d’assurance et de courage. Toujours est-il que le problème du conservatisme musulman se voit autant qu’il s’explique. La plupart des versets du coran sont si violent à l’égard du mécréant et de l’apostat qu’il devient extrêmement difficile pour celui ou celle qui y croit de renier sa foi pour s’offrir l’occasion et la chance de pouvoir se poser les bonnes questions sans préjugés et en toute liberté. La terrifiante menace de l’enfer pour l’éternité et l’influence de l’environnement social et familial sont autant de facteurs formant une barrière dans l’esprit du musulman qui, très souvent, fini par se résigner à son sort en consentant à subir de plein fouet toutes les inepties et toutes les contradictions de sa religion.

Aujourd’hui, âgé de 27 ans, je repense à tout le temps perdu pour rien, à me priver de plaisirs indispensables à mon épanouissement, à m’identifier à des valeurs nocives, à vouloir imiter et ressembler, à ressasser des formules stériles, à me consacrer à de vaines pratiques gestuelles et à des mouvements relevant purement de la gymnastique, à croire à des mythes et à des absurdités ahurissantes, à espérer que l’islam parvienne à dominer le monde, à développer des réflexes de soumission à la superstition et à une certaine façon d’être, de penser et de se comporter. Néanmoins, bien qu’il soit impossible de changer le passé, on peut en tirer des leçons et se donner les moyens d’avancer. C’est cette nouvelle attitude que je me suis à présent résolument engagé à adopter.

De toute ma vie, je ne me suis jamais senti aussi bien dans ma peau, aussi en harmonie avec ma conscience et avec les lois de l’univers que quand j’ai choisi d’abandonner l’islam, cet enfer que j’ai eu le grand malheur de vivre avant même de mourir. Toutefois, annoncer publiquement mon renoncement à cette religion m’exposerait à un enfer encore plus insupportable. C’est pour ma sécurité et pour éviter de m’attirer la colère et les malédictions de mes proches et concitoyens que j’ai préféré garder l’anonymat. Devoir vivre avec le secret de mes convictions est un mal nécessaire.


Je tiens à préciser que la dénégation de l’islam et du théisme en général n’implique pas pour moi le rejet catégorique d’une intelligence supérieure à l’origine de la création, même si l’idée du déisme me paraît également très peu confortable. Je ne vois pas l’intérêt de me poser la question de l’existence d’un être transcendant qui ne se révèle pas, qui reste indifférent à toutes les souffrances, passif face à toutes les injustices dans un monde régit par la loi de la jungle, où le riche exploite le pauvre, où le fort opprime le faible, où la faim, la pauvreté, les catastrophes naturelles, les maladies et les conflits détruisent des vies et déciment des populations, où la religion est source de division...

D’un autre côté, l’athéisme non plus ne me correspond pas. Il ne répond ni à mes attentes, ni à mes exigences. Je ne peux permettre à mes croyances de reposer sur des théories. La théorie de l’évolution et toutes les autres hypothèses scientifiques soulèvent des fois plus de questions qu’elles n’apportent de réponses et impliquent systématiquement pour la personne qui y adhère d’avoir la foi en de simples suppositions plutôt que de croire en des phénomènes qu’il a la possibilité de vérifier.

Pour toutes ces raisons, il me paraît plus sage à l’être humain que de faire preuve d’humilité en admettant aussi bien ses limites que celles de la science. Je ne peux donner une signification à ma vie qu’en faisant le choix d’être utile à l’humanité et profitable aux générations futures sans avoir la prétention de pouvoir comprendre ou même me représenter des réalités qui échappent totalement à mes sens et dépassent de très loin mon entendement. C’est cela, pour moi, la voie du juste milieu.

Cordialement.



Extrait:
"Le premier grand traumatisme à cause de l’islam, ce fût ma circoncision, alors que je n'avais que 2 ans et demi, et je l’ai tout de suite associée à la religion. Par la suite, avant même le début de ma scolarité, vers l'âge de 4 ans, mes parents m'ont envoyé dans une école coranique du quartier, tenue par un voisin. J’y apprenais à réciter le coran à coup de bâton. Je considère cela comme le deuxième traumatisme que m’a infligé la religion. Je devais apprendre par cœur, au risque de recevoir des coups si je ne m'exécutais pas assez bien. J’étais contraint d'accepter cela et de me taire car mes parents étaient proches de ce voisin, et approuvaient ses méthodes d’apprentissage de force, comme tout le monde les approuvait, d’ailleurs. 
Mon apprentissage de la religion a continué à l'école primaire, avec de nouvelles matières religieuses, « l'éducation religieuse » où l’on apprenait le coran, les hadiths, la sunna, la sira, la haine des Juifs et des non-musulmans, et où l’apprenait à maudire le diable et les Juifs… Cela m'a poursuivi jusqu'au début de l'adolescence voire plus tard.
(...)
Pour résumer ma foi, je dirais que je craignais un dieu unique et m'efforçais à croire à son messager, l'homme le plus parfait de toutes les créatures, qui était le modèle pour tout musulman d'après les dires des érudits. Mais en réalité, j'avais peur, une peur extrême de l'enfer, des châtiments et du courroux d'Allah. Je ne comprenais pas pourquoi tout le monde avait si peur. Il fallait juste pratiquer en obéissant aux préceptes islamiques sans jamais se poser la moindre question. C'était tout simplement interdit de réfléchir, de penser, car on ne doit pas discuter la volonté d'Allah le tout puissant qui risque de se fâcher et de nous châtier ici-bas, puis après notre mort.
La peur est vraiment le moteur qui fait tourner cette machine infernale qu’est l'islam. Sans la peur il n’y aurait pas autant de musulmans. La base de cette religion est la crainte d'Allah, la frousse de la mort et la peur de l'enfer".



Extrait:

"La vision du monde concret, inscrite en toutes lettres dans le Coran (sept cieux superposés et autant de terres, montagnes immobiles (rawâsi) qui empêchent la terre de tanguer , ...) est en flagrante contradiction avec ce qu’on m’a enseigné à l’école moderne, juste après l’indépendance du Maroc : rotondité de la terre démontrée par les Grecs dès l’Antiquité, effondrement avéré des sphères célestes depuis Copernic, le chanoine polonais qui a osé réactiver d’anciennes théories grecques...
L’attitude discriminatoire entre musulmans et non musulmans, belliqueuse vis-à-vis des non-croyants, le rôle hégémonique concédé par le Coran au mari qui a le droit d’user de la violence physique contre sa femme qui, quant à elle, doit être soumise et accepter d’éventuelles coépouses..., tout cela n’était pas du tout compatible avec ce qu’on m’avait appris sur la révolution française, sur sa proclamation de la liberté de conscience, sur l’égalité entre êtres humains indépendamment de leurs croyances, sur les luttes sociales pour l’égalité entre hommes femmes. L’école moderne me mettait chaque jour face à mes contradictions de musulman et m’amenait à me poser de sérieuses questions sur le courage intellectuel de mes ancêtres et de mes contemporains."



Extrait:


"C’est en rentrant de l’école, française, laïque et 
républicaine, à 8 ans, que j’ai découvert que j’étais musulman. On venait d’apprendre en histoire les guerres de religion, la St Barthelemy et le conflit opposant les protestants aux catholiques: je demandais à mon père dans lequel des 2 camps nous nous trouvions ; ni l’un ni l’autre. J’apprenais à cette occasion qu’il y avait aussi des juifs et des païens qui eux croyaient en une multitudes de dieux aux noms bizarres. J’appris aussi que l’islam était la seule et vraie religion, et que seuls les musulmans avaient accés au paradis; je suis retourné jouer aux petits soldats, et le lendemain, j’ai pu dire à mes copains de classe que je n’étais ni catholique ni protestant, mais je crois qu’ils s’en foutaient éperdument, et moi aussi à vrai dire. A cette époque là, les musulmans en France étaient quasiment invisibles, les femmes ne portaient pas de foulards, seulement quand il pleuvait, mais les non musulmanes aussi, alors on faisait pas la différence."




Extrait:
"Après de nombreuses années et à la suite d’une réflexion qui a duré quelques années, j’ai décidé que je ne pouvais plus fermer les yeux sur ce qui conduit inévitablement à l’injustice. Je faisais comme beaucoup de musulmans, j’essaie de maintenir par tous les moyens la sacralité du texte et l’intégrité des sources en les distinguant bien du comportement des humains, mais il arrive un moment où ce n’est plus possible. Il faut être courageux et admettre que le comportement des musulmans est issu de problèmes économiques, sociaux mais il existe aussi des raisons religieuses. Je n’ai jamais pensé que j’en arriverai là, mais avant de prendre ma décision et savoir comment me définir j’ai voulu parler avec des musulmans. Le discours à l’eau de rose des religieux pour attirer des brebis égarés ne m’intéressait pas, je voulais savoir jusqu’où peuvent aller les dérives avec ses textes. Force est de constater qu’elles peuvent aller très loin et on aura toujours beau dire que ce n’est pas cela l’islam, les textes existent et des justifications peuvent être trouvées et sont même avancées par les musulmans. Si on est tolérant, on peut trouver à son goût des textes cohérents et si on est extrémiste, on peut aussi trouver des textes extrémistes. Il faut donc démêler le vrai du faux."


"Témoignage d'une ex-musulmane":  (témoignage distinct du précédent)

Extrait:
"Pour dissiper les doutes qui s'étaient instillés dans mon esprit, j'ai effectué des recherches (dans des sources musulmanes je précise) et j'ai lu le Coran entièrement, malheureusement, ce que j'ai découvert était en totale contradiction avec mes valeurs et ma vision du bien. L'image que j'avais de ma religion s'est brisée. J'ai continuer à chercher et chercher pour disculper l'Islam, mais rien n'y a fait. Alors, je me suis mise à haïr Dieu tout en continuant à y croire. Je suis tombée dans une profonde dépression. Imaginez: tout ce en quoi vous croyez s'effondre, le mal devient le bien, Dieu votre protecteur que vous aimez tant se change en ennemi et vous promet le feu pour ces pensées que vous ne pouvez contrôler.
Ce que j'ai vécu je ne le souhaiterais même pas à mon pire ennemi, c'était vraiment l'enfer, je n'en dormais plus. Et je vous jure que, si ce n'était la peur de faire souffrir ma mère, je me serais suicidée sans aucun regret.

Quitter une religion, quand on a cru, n'est pas une décision qui se prend à la légère. Il m'a fallu 5 ans de dépression et d'insomnies pour y parvenir. Je me suis désespérément accrochée à l'islam, par peur du "vide" : une vie sans Dieu, sans règles, dépourvue de sens. Mais j'ai finit par me rendre à l'évidence que, bien que je continuais à observer les interdits religieux, j'avais déjà apostasié depuis longtemps par mon rejet du prophète et d'une grande partie des préceptes islamiques.
Il m'a fallu sortir de l'Islam pour me réconcilier avec Dieu. Aujourd'hui je me considère comme une croyante "free-lance", je n'appartiens à aucune religion même si je trouve une grande source d'inspiration dans le bouddhisme. Je ne suis pas fan de l'islam( ni des autres religions monothéistes d'ailleurs) mais je ne suis pas islamophobe pour autant."


Extrait (les caractères gras le sont dans le texte):

"Soraya :
Moi c’est mon mari qui a été endoctriné et qui a travaillé, petit à petit, mon esprit, sans m’en rendre compte tout de suite ; le fondement de son courant était de me contraindre à m’habiller comme les saoudiennes et à ne jamais sortir surtout seule, si jamais je refusais, il serait capable de recourir à la violence avant de passer au divorce. Le pire c’est qu’il me force à penser et à dire que c’est ça la vérité, même si au fond de moi, je ne le pense pas. Depuis, je n’ai pas vécu ma vie ; je n’ai ni vécu pour moi ni pour Dieu, mais pour mon mari afin que les gens de son milieu puisse continuer à lui prouver leur estime. Ce milieu ressemble à un milieu sectaire. Que faire pour vivre une vraie vie et connaître l’épanouissement ?

Mokhtar :
La première chose qu’ils m’ont apprise lorsque j’ai fréquenté la mosquée dont ils ont le contrôle, c’est la haine envers son prochain quel qu’il soit : musulman et non musulman et tout les prétextes sont permis. Depuis, je n’ai connu que ça, j’étais aveuglé jusqu’au jour ou j’ai aperçu une lueur de bon sens. A ce moment là, j’avais compris que le chemin vers Dieu ne pouvait être celui-ci. Le vrai chemin est celui des Ahl essounna wa eljama’a, un chemin du juste milieu où l’on recherche à se rapprocher de Dieu en purifiant son cœur et en agissant avec humanisme avec son prochain quel qu’il soit. Dieu nous a dit que les gagnants, le jour du jugement, ce sont ceux qui viendront à Lui avec un cœur pur."




Extrait (les caractères gras le sont dans le texte):
" A l’école, dès leur première année d’études, les enfants se voient enseigner le Coran. Les bambins en apprennent par cœur des chapitres entiers. C’est une matière scolaire qui les suit jusqu’au baccalauréat : en tout, ils subissent cet enseignement religieux sans répit durant dix longues années. Je dis qu’ils le subissent parce qu’aucune place n’est laissée à la réflexion. Au contraire, les cours de ‘‘sciences islamiques” (on les appelle pompeusement ainsi) sont basés sur la stricte mémorisation. Le résultat en est une jeunesse acquise à la propagande islamiste. 

L’école algérienne a d’ailleurs formé pendant la décennie 90 des terroristes à foison pour le sinistre GIA qui a causé la mort, dans des conditions horribles, de 200.000 personnes. C’est une école qui formate les cerveaux malléables des enfants pour en faire des citoyens incapables de raisonner par eux-mêmes : ils appliquent à la lettre les préceptes pourtant obsolètes d’une religion qui ne laisse aucune part au libre-arbitre. L’Islam (dont le sens, au propre, est la ‘‘soumission”) leur dicte des lois infâmes dont ils s’accommodent sans songer qu’elles puissent, un instant, être remises en question. D’ailleurs, il est interdit de se poser des questions sur l’Islam. Je veux dire des questions pertinentes dont les réponses pourraient ébranler une foi chancelante. Ceux qui réfléchissent sont vite rabroués sous couvert de sacrilège."




Extrait:
"Je suis né dans une famille musulmane pratiquante qui m’a tres tôt envoyé dans les mosquees pour m’inculquer l’islam .En fait il s’agissait d’apprendre par coeur des centaines de textes dans une langue qui m’était complètement étrangère et sans aucune explication ou traduction .Tout ce à quoi nous avions droit c’était des brimades, des coups et des insultes, mais il est vrai que j’ai appris ces textes par coeur car l’enfant que j’étais avais une excellente mémoire et c’était la seule façon d’échapper un peu à la répression car faire une erreur en récitant devant l’imam vous donnait immédiatement droit à une volée de coups et d’humiliations devant une cinquantaine d’enfants.
Je tiens à préciser que je n’avais que 5 ou 6 ans. Détail supplémentaire, mon père nous a enlevé de cette mosquée car lors d’un tabassage collectif dans cette mosquée, l’Imam chargé de nous instruire a complètement pété les plombs et a fait sauter l’ongle du gros orteil de mon grand frere agé lui de 8-9 ans. Il est rentré à la maison l’orteil explosé et pissant le sang."



Extrait:
"Je suis née en France au début des années 80. Mes parents à cette époque là étaient un jeune couple qui s'intégrait gentiment dans une petite ville française. Ils étaient arrivés du Maroc depuis les années 70. Ma petite enfance était très européenne et je ne voyais aucune différence entre moi et mes petites copines de classe, françaises "de souche". 
 
Petit à petit l'ambiance a changé à la maison, il y avait plus d'islam dans notre quotidien, les prières devenaient une obligation ainsi qu'un apprentissage assidu du Coran. Apprendre par coeur des centaines de phrases que je ne comprenais pas mais qu'il fallait tout de même réciter.
 
Les années passent, je grandis, et avec les premiers signes de l'adolescence la sévérité à la maison s'accentue. Je n'avais pas le droit d'améliorer mon aspect physique, il ne fallait pas mettre de jolis habits, je ne devais pas me coiffer d'une manière qui me mettait en valeur.


Je ne pouvais pas voir mes camarades de classe en dehors des heures d'école car il fallait rentrer pour apprendre à tenir une maison. Toute désobéissance entraînait des coups, des humiliations et des insultes. 
 
A 17 ans, après des années à ne rien dire et à subir, j'ai fini par ne plus accepter tout cela, car pour moi Dieu ne pouvait pas cautionner que des parents traitent leur fille aussi durement ... J'ai commencé à faire tout ce qui était interdit, pendant tout un temps mes parents ne se doutaient de rien. Jusqu'au jour où ils ont su que j'avais à l'extérieure une attitude indigne d'une "bonne musulmane"".



 

Extrait:
"Lorsqu'on m'a demandé d'apporter mon témoignage à "ma lutte" en tant qu'ex-musulman, je trouvais cela particulièrement difficile. Pour plusieurs raisons, la principale étant que je ne me suis jamais senti musulman. Ce qui distingue un musulman de toute autre personne, c'est le “shahada”, la profession de foi islamique. Je l'ai bien récité à haute voix, mais je n'y ai jamais cru.
Je ne crois pas en Allah ou en Dieu, quel que soit son nom : à mes yeux, il n'y a aucune forme de puissance supérieure. C'est en cela que je me différencie non seulement des musulmans, mais également de tout croyant. Pourtant, comme mes racines sont dans l'Islam, je suis indissociablement et systématiquement lié à cette religion. Ça ne me fait rien, je n'ai pas honte de mes origines et les Occidentaux sont eux aussi souvent associés aux christianisme..."
 


Extrait:
"Je suis la fille d'une mère flamande et d'un père marocain. Un grand vide a toujours grevé mon cœur, là ou j'allais je m'ennuyais, quoique que je fasse je m'ennuyais. Je me suis mariée très jeune et, avant de dormir, nous récitions des sourates. La religion était omniprésente dans nos vies.

Nous ne mangions pas de porc, ne buvions pas d'alcool. Je ne portais rien de trop attrayant, ne m'asseyais pas en présence d'hommes, tout ce que l'Islam recommande... "





Extrait:
"Je suis née dans une famille flamande traditionnelle, catholique et aisée, j'ai vécu dans une "cage dorée", mais n'avais finalement que très peu de liberté personnelle. Y compris - et surtout - psychologique. A tel point que sitôt que l'occasion se présenta, j'ai trouvé un travail et déménagé pour habiter seule.
Après quelques brèves relations sans lendemain, j'ai rencontré mon futur époux. Un musulman tunisien, mais qui n'était pas pratiquant et mangeait même de la viande de porc. Il n'avait jamais lu le Coran et n'avait jamais respecté le ramadan...
(...)
Tout allait pourtant bien, c'était un amour fou, jusqu'à la naissance de notre premier enfant. Comme beaucoup de femmes après un accouchement, je n'avais d'yeux que pour notre bébé, ce qui suscita la jalousie de mon mari. Il m'a dit un jour, après une banale dispute : "Un jour, j'emporterai ton bébé, tu verras bien". C'était la première semence de ma soumission… Comme je m'étais isolée très vite (uniquement des amis musulmans, au mieux quelque couples mixtes, pas de famille, seulement des collègues "admis" invités à la maison…), je me suis mise dans une situation de dépendance envers mon mari, y compris financière. Mais j'étais naïve et immature. Mon éducation stricte m'avait conditionnée à ce type de sévérité, que je considérais comme tout à fait normale. Elle m'était même familière, si bien que je l'acceptai…"



Extrait:
"Il y a plus de 25 ans commençait une relation "discrète" avec une étudiante musulmane adulte. L'essentiel de sa famille séjournait dans son pays d'origine. Elle m'a alors averti que notre relation pourrait poser des problèmes et que la "famille" pourrait attendre quelque chose de moi. En tant qu'humaniste convaincu, j'étais persuadé de pouvoir négocier avec sa famille entre gens raisonnables et de me rendre acceptable à leurs yeux...
Nous nous sommes mariés dans la troisième année de notre relation. Le permis de séjour était échu et c'était la seule manière pour l'autoriser à rester en Belgique. Informée de notre mariage par écrit, la famille fut mise devant le fait accompli. Après un certain temps, une discussion se faisait de plus en plus virulente : le fait que je doive me "convertir" à l'Islam.
Après deux ans, j'en avais assez de ces disputes et me suis rendu dans une mosquée. Une semaine plus tard, j'étais "musulman". Quoi que… ! J'ai balbutié la shahada à grand-peine, j'ai signé un papier… En cinq minutes, j'étais devenu un musulman. Et cinq secondes plus tard, un kafir, un incroyant à l'Islam."


 

Extrait:
Je me suis converti à l'Islam il y a fort longtemps. Je viens d'une famille catholique stricte, mais j'ai grandi dans un environnement toujours débordant d'amour. Je me suis toujours bien senti dans ce "système" catholique. Et bien que la conversion à l'Islam ait représenté un choc pour mes parents, ils n'ont cessé de me considérer comme leur fils, de m'accepter et de me témoigner leur amour. À ce niveau-là comme en beaucoup d'autres, mes parents sont de vrais et bons chrétiens...
(...)
Lorsque j'ai demandé ma fiancée en mariage, elle a souhaité que je me convertisse à l'Islam, ce que j'ai fait. Je réalise maintenant que ce n'était pas malin de prendre une religion dont j’ignorais presque tout. Je me suis donc converti sans avoir étudié l'Islam au préalable.

C'est un phénomène courant, je dirais même typique. Le musulman ou la musulmane avec qui on entretient une relation personnelle ne connaît en fait que très peu de l'Islam, ne l'a jamais étudié de façon systématique et serait même incapable de savoir comment s’y prendre.



Extrait (les caractères gras le sont dans le texte):
"Bonjour, avant j’étais musulman non pratiquant, bien que je croyais en Dieu, je me soucié peu de la religion. Je pratiquai les 5 piliers de l’islam, mais sans réel motivation. Un jour un amis m’a dit qu’il y avait des preuves scientifique dans le coran qui prouve bien que l’islam est la seule et unique vrai religion. 
J’ai acheté des livres traitant de ces sujet, et j’étais stupéfié, ma foi était alors devenu plus grande que jamais. 
En réalité comme un grand naïf j’avalé tout ce que ces savants de l’islam disait a propos de ces miracles du coran, sans me donner la peine de vérifier si c’étais vrai. 
Mais un jour j’ai voulu approfondir le sujet, alors que j’étais entrain de lire le coran, je suis tombé sur le verset 35 de la sourate 24 : Dieu est la Lumière des cieux et de la terre … 
Tout de suite ça a fait tilt dans ma tête, j’ai repensé a un verset que j’avais lu quelques jours plus tôt, et qui est considérer comme un miracle scientifique par le Docteur Bucaille : C'est Lui qui a fait du soleil une clarté et de la lune une lumière … ( sourate 10, verset 5 ) 
Je me suis dit " si la lune ne fait que réfléchir la lumière, pourquoi le même mot est utilisé pour définir cet astre et Dieu ? " 
J’ai d’abord penser a une erreur de traduction, mais j’ai fais des recherches et j’ai découvert que en Arabe, le même mot, mais exactement le même est utilisé pour définir la lumière de la lune et celle de Dieu : نور  "


 


Extrait:
"[...] Pendant que des musulmans radicaux tuent, décapitent et violent, les mass-médias se taisent et répètent leur mantra «islam-religion-de-paix» au nom du multiculturalisme [NDLR: en caractère gras dans le texte].
Ils insistent pour que le monde civilisé accepte la culture islamique au nom du dogme du multiculturel. Les musulmans et leurs apologistes souvent grassement payés utilisent le parapluie du multiculturel seulement dans les pays non musulmans, pour s’abriter contre les torrents de critiques légitimes déversés par ceux qui connaissent l’islam de l’intérieur sur ce culte violent colporté en tant que religion de paix.
Ne m’écoutez pas et n’écoutez pas ces dissimulateurs sournois non plus, mais cherchez la vérité par vous-mêmes. Regardez si cet euphémisme du multiculturalisme serait publié dans la presse musulmane ou apparaîtrait quelque part dans les pays musulmans. Ce stratagème du multiculturalisme est un outil de propagande de l’islam pour leurrer les non musulmans tout en poursuivant inlassablement leur campagne afin d’éradiquer de la terre quiconque et quoique ce soit de non islamique."



Extraits:
"J'ai été endoctriné comme tout musulman, mais la raison l'a finalement emporté sur l'endoctrinement. Je me suis débarrassé du fardeau de cette religion totalitaire, impitoyable, archaïque et sans aucune véritable âme. Je me sens libre et léger. plus de peur, plus de haine, plus d'interdit etc...
Le jour où j'ai commencé à réfléchir, j'ai douté, puis du doute la lueur d'espoir s'est allumée pour me guider dans les ténèbres de cette pseudo religion qui me ligotait le corps et l'esprit. après des mois de lecture et de recherches, j'ai fini par abandonner définitivement l'islam et j'en suis fier !"



Extrait:
"On me demande souvent pourquoi j'ai quitté l'islam ? Aussi absurde que cela puisse être, des Musulmans ne peuvent même pas se permettre de penser que le fait de quitter l'Islam est un choix, ou que c'est même possible. Ils pensent que ceux qui quittent l'Islam sont des agents juifs payés plutôt que d'accepter le fait que les gens ont la liberté de penser et que certains peuvent même penser que l'islam n'est pas pour eux. Voici mes raisons :Jusqu'à il y a peu d'années, j'avais l'habitude de penser que ma foi en l'islam n'était pas basée sur l'imitation aveugle mais qu'elle était plutôt le résultat d'années d'enquête et de recherche. Le fait que j'avais lu beaucoup de livres sur l'islam, écrits par des personnes dont j'approuvais les pensées et qui fouillaient dans des philosophies qui étaient à l'intérieur de ma zone de confort, confortait ma conviction que j'avais trouvé la vérité. Toute ma recherche avec parti pris confirmait ma foi. Tout comme les autres musulmans, j'avais l'habitude de croire que pour apprendre sur quelque chose on devait aller à la source. La source de l'islam est bien entendu le Coran et les livres écrits par les érudits musulmans. Je ne ressentais donc aucun besoin de regarder ailleurs pour trouver la vérité, puisque j'étais convaincu que je l'avais déjà trouvée. Comme disent les musulmans : «Talabe ilm ba'd az wossule ma'loom mazmoom» : la recherche de la connaissance après l'avoir obtenue est folie."


Une musulmane devenue chrétienne parle du hijab


Extrait:
« Le port du hijab ne protège pas nécessairement la femme musulmane ni ne garantit sa dignité. Quand je portais le hijab, je pensais que c'était plutôt cool. Je me sentais protégée, modeste et féminine. Je ne le porte plus car je suis devenue chrétienne et j'ai vu avec plus de clarté l'aspect négatif des attitudes à l'égard des femmes musulmanes. Le fanatisme sur la modestie n'a pas favorisé l’émergence de sociétés qui respectent les femmes comme des êtres humains plutôt que des objets sexuels. En fait, c'est le contraire qui est vrai »
 (...)

"Mais les vêtements portés par les musulmanes symbolisent quelque chose de plus qu'un mode de vie décent. Ils sont aussi censés protéger les hommes des femmes - vues comme des êtres viles. L'islam voit la femme comme un « awra », un mot défini par l'Encyclopédie de l'Islam comme « pudenda » ou organes génitaux féminins. Tous les chercheurs et collectionneurs de hadith, ou dires du prophète, soutiennent cela. Imam Hanbal considère même que les mains et le visage de la femme sont « awra ». Ash-Shaafi'ee soutient que montrer les pieds de la femme est « awra » et qu’ils devraient donc être couverts. Selon al-Tirmidhi, le prophète a eu la conversation suivante avec sa femme: «Celui qui fait traîner (par terre) son habit par ostentation, Allah ne le regardera pas le jour de la Résurrection. » Donc Umm Salmah a demandé: «Que doit faire la femme des bouts de sa robe ? » Il a répondu : « Qu’elle les descende d’un empan ! ». Elle dit : « Mais elle risque de dévoiler ses pieds ». Il dit : « Qu’elle les descende d’une coudée, mais pas plus ».Bien que toutes les sociétés musulmanes ne traitent pas les femmes avec ce genre de mépris, la méfiance est au cœur de l'islam. Mahomet était jaloux de ses épouses et n’avait pas confiance en elles parce que lui-même ne pouvait pas quitter des yeux les autres femmes. Il a dit: « Je suis en effet un homme jaloux, et aucun n'est exempt de la jalousie, sauf celui dont le coeur est dégénéré. La seule façon d'éviter la jalousie est d’empêcher tout homme d’entrer chez la femme et d’empêcher la femme d’aller au marché. »"




Extraits (à venir)




Extrait:

"C’est ainsi que nos petits frères héritent de ce paradoxe : aimer ceux que l’on craint ! aimer sa misère, aimer son bourreau, dire oui pour non, dire non pour oui, prendre cela comme un mode de vie voulu par Dieu et la boucle est bouclée. Castrés, pour les mâles, violées pour les femmes, les deux humiliés, trimbalant avec eux tout un monde nauséabond, refoulant – par crainte - toutes les privations, leur vie est condamnée. Se résigner ? en assurant à sa progéniture une belle horreur en guise d’avenir ou partir, fuir l’innommable au risque de l’évacuer sur ses hôtes et de déverser sur ses semblables toutes ses frustrations ?"

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NDLR: Le prochain témoignage ayant été traduit de l'allemand à l'aide d'un logiciel de traduction automatique, je doit le réécrire pour le rendre lisible.  Je ne peux donc en garantir l'exactitude (d'autant plus que je n'ai pas le texte original et que de toute façon, je parle pas un mot d'allemand!)  Je ne vais pas attendre d'en avoir terminé la réécriture pour afficher ce que j'ai déjà réécris.  J'ajouterai le reste au fur et à mesure.

Extrait:

"Quand j'étais un jeune islamiste à peine âgé de 13 ans, j'étais un garçon timide avec les cheveux bouclés et sauvages.  J'aimais jouer au football 
(suite de la phrase incompréhensible).  Le monde que j'avais connu auparavent a pris fin à l'orée d'un village arabe poussiéreux près de Tel-Aviv.  Tout cela date de près de 24 ans.  À l'école, j'étais bien mais j'avais de la difficulté à me faire des amis car je souffrais de timidité.  Je me suis senti très flatté quand l'imam local et professeur de religion s'est subitement intéressé à moi.  Il m'a arrêté sur le chemin de l'école et a entamé le dialogue avec moi.
Il m'a dit que j'étais un bon garçon et qu'il y avait en moi la possibilité de devenir grand.   "L'islam a besoins de vous mon fils".  Avec de grands yeux et les oreilles grands ouvertes, j'ai entendu ses paroles.

 

Extrait:

"Et OH combien fut ma surprise et mon choc quand j'ai appris tout ce que j'ignorais avant de mon Islam
Tous les principes sur lesquels j'avais fondé ma foi se sont écroulés un à un :
- Les versets qui appellent à la tolérance : au fait ce sont des versets révélés au cours des premières années de l'Islam à l'époque où Mahomet vivait encore à La Mecque ; ils sont abrogés et remplacés par d'autres versets plus récents appelant au djihad après que Mahomet ait immigré vers la Médine
- Le salut des musulmans "Salam Alikom" : au fait il est interdit de dire "Salam Alikom" à un juif ou un chrétien 
- L'évolution du monde arabo-musulman : au fait les grands savants et hommes de lettres qui avaient marqué la civilisation arabo-musulmane ont été tous déclarés "koffar" (mécréants) par les grands imams de leurs époques tels que "El Ghazali" et "Ibn Taymia". La pratique des sciences autres que celles liées à l'Islam et Mahomet ont été déclarées "haram".
Ibn Rochd un des plus grand savant a vu ses livres bruler vifs.
Ibn El Mokaffa'a un des plus grands littéraires on lui a coupé les membres et jetés dans le feu (on dit même qu'on l'a forcé à manger sa chair grillée) 
El Faraby ses précepteurs étaient chrétiens
Et bien sûr les historiens musulmans nous gavent les oreilles avec l'histoire de Copernic brulé vif par l'Église, mais aucun d'eux ne nous raconte les horreurs de nos ancêtres
Il était inutile pour moi d'aller encore plus loin ; il était évident que la solution (aussi pénible et douloureuse soit-elle) était de renoncer à l'Islam. 
Mais pas à Dieu."


Extrait:

"Avant je n’étais qu’ un mouton parmi des millions d’autres moutons qui ne prenait pas la peine de réfléchir par lui même, qui se laissé dicter sa conduite et sa façon de vivre par un livre dont l’objectif primordiale est de manipulé les hommes, en faire des êtres docile, solidaire entre eux, mais rejetant et méprisant ceux qui pensent différemment.
Je ne doute pas un seul instant que la religion peut rendre l’homme meilleur, mais paradoxalement elle peut faire de lui le pire des animaux, puisqu’il se replis sans cesse sur lui même, refusant de voir le monde qui l’entoure. La terre tourne, les gens évolue, mais nous nous restons figé, croyant en des histoires révolu et d’un autre age."




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