jeudi 11 janvier 2018

L'islam et la démocratie sont incompatibles, par Amada

Je vous invite tout d’abord à visionner cette vidéo dans laquelle Alain Wagner expose clairement des faits, des textes, des lois et la réalité des choses qui concernent les compatibilités ou non de l’islam et de la démocratie.

Islam - Démocratie, l'incompatibilité politique ? (conférence vidéo - 53’29’’). Vous pouvez l’écouter sans la regarder.
http://www.youtube.com/watch?v=Nq5qh78tHuE&feature=player_embedded#at=128

La conférence se termine par un comparatif entre la charia (la loi islamique ou divine), le Dji-had (la guerre sainte) et les textes des statuts de Rome qui sont là pour protéger l’humanité contre un certain nombre de crimes ou de dérives de gouvernance, en prévention ou en sanction de génocides, dans l’intérêt de toute l’humanité.

Vous y retrouverez effectivement à chaque rubrique, notamment dans la partie « CRIMES CONTRE L’HUMANITE », une correspondance avec la plupart des incitations de la charia contre les infidèles, les mécréants et d’une façon générale tous les non musulmans.


A partir de ce constat, on doit considérer que l’islam est une grave menace pour la paix et la sécurité des citoyens et des nations libres du monde ainsi que pour la paix et la sécurité des humains de confession musulmane dans de nombreux états du monde soumis au totalitarisme aveugle et inhumain de la dictature islamique.
Aucun politicien, aucun philosophe, aucun juge ni aucun citoyen du monde libre ne peut nier cela.

Il est donc urgent de considérer que l’islam est un danger pour le monde, qui menace nos libertés et nos vies et nous avons le droit de porter plainte auprès des plus hautes cours de justice internationale du monde, auprès de la cour pénale internationale pour menace et intention affirmée de génocide contre l’humanité en reprenant tous les alinéas de l’article 7 du chapitre II des statuts de Rome pour la Cour Pénale Internationale, en regard des prescriptions de la charia.

Attention !

Il ne faut pas voir l’islam comme une religion, mais bien comme une secte (la secte mahométane), au terme de la définition qui en est donnée par l’ADFI http://www.prevensectes.com/adfi.htm , ainsi que http://atheisme.free.fr/Themes/Sectes.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Secte
http://www.linternaute.com/savoir/societe/dossier/sectes/sectes-definition.shtml
http://www.antisectes.net/cult-defined.htm

Mais la plus grande raison en est que l’on peut entrer librement dans l’islam alors qu’il est interdit de le quitter sous peine de mort. Et retenir une personne contre sa volonté est la première marque visible de la nature sectaire d’un groupe humain.
l'islam n'est pas non plus une spiritualité dans la mesure où c'est une chose imposée, contrainte par la force brutale. C'est juste une aliénation de l'esprit qui ne permet aucune démarche spirituelle.



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Au nom de la France et du peuple français, il ne peut exister qu’une loi en France !

Le peuple français a choisi et s’est donné démocratiquement une loi, au cours de son histoire, et il y est attaché. Cette loi s’applique sur tous les territoires français à toutes les personnes qui vivent sur ces territoires, français ou étrangers.

Le problème de l’islam ce n’est pas les musulmans, dont la plupart sont satisfaits de la loi française, mais c’est leur livre de loi, le Coran, et la loi islamique qui en découle, la charia qui est incompatible et totalement en contradiction avec la démocratie et les droits de l’homme. Or, une loi est une loi et elle doit forcément être appliquée par ceux qui l’ont créée.

Certains musulmans souhaiteraient que la loi islamique soit appliquée en France, en contradiction absolue avec la loi dela Franceet le fait qu’il ne peut exister q’une loi en France.

A ce titre, nous dénonçons le contenu de ce livre et de cette loi qui sont une apologie du crime contre l’humanité et du crime de guerre.

Nous demandons au législateur et au gouvernement français d’interdire la publication et la diffusion du Coran en France dans sa forme actuelle et ce jusqu’à ce qu’il ait été révisé et modifié afin de se conformer à la loi française et qu’en aient été extirpées toutes les incitations à la haine, à la violence, à la discrimination sous toutes ses formes et à la persécution, extermination et destruction de toute forme de population ou d’état du monde.

Aucun livre en terre démocratique ne saurait, au terme de la loi, inciter à l’irrespect et à la violation de la démocratie, de la laïcité, des droits de l’homme et des statuts de Rome pour la cours pénale internationale.

La révision de ce livre ne peut être q’une bonne chose pour le monde libre et particulièrement pour les musulmans du monde libre qui ne sont plus en accord avec une partie des contenus de ce livre et qui souhaitent vivre dans un monde libre et démocratique.

Nous demandons de même à l’état français que soient pénalement punie toute personne (politicien, parti politique, religion, association, homme de loi, homme de média, intellectuel, philosophe) qui défendrait ce livre dans sa forme actuelle ou la loi islamique en vertu de leur caractère incitatif à la haine, à la violence et à la destruction, au terme de la loi française existante.



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A ce titre, nous, peuple français, demandons à notre gouvernement de faire le nécessaire pour que cette plainte soit reçue par les instances de justice internationales.

Nous demandons également qu’à compter de ce jour, plus aucun citoyen français ne soit inquiété pour ses opinions et pour son droit d’expression orale ou écrite concernant la révélation et la diffusion de masse sur les graves dangers que fait peser l’islam sur la paix et la sécurité de notre pays, du monde et de ses citoyens.

Que les associations et organisations françaises diverses qui défendent et soutiennent les principes de l’islam soient dissoutes et interdites comme soutenant un courant d’idées poussant au crime contre l’humanité.

Le danger islamique doit être clairement dénoncé et affirmé par les autorités gouvernementales.

Les signes de prosélytisme religieux musulmans doivent être tout particulièrement surveillés ou interdits.

Nous demandons également à l’état français de faire appliquer avec rigueur les lois sur la laïcité, de veiller à ce qu’aucun fonds publics ne soient utilisés pour bâtir des lieux de culte musulmans, de sanctionner pénalement les élus, fonctionnaires ou les collectivités territoriales qui ne respecteraient pas cette règle, de faciliter la surveillance des prêches dans les mosquées, de renforcer les lois sur la laïcité et le contrôle de leur application et de légiférer pour que ne soient plus jamais stigmatisés les citoyens français chrétiens, juifs ou de tout autre confession, pour leurs opinions et pratiques religieuses par des musulmans. C’est-à-dire qu’en aucun lieu privé ou public de France ne soient prononcés de discours incitant à la haine, au meurtre et à la destruction de citoyens pour leurs opinions religieuses ou philosophiques ou à la destruction d’un état du monde pour ses mêmes opinions ou pour quelque raison que ce soit.

La France a une tradition d’accueil et de coexistence de nombreux peuples et de confessions différentes, mais ne doit en aucun cas tolérer ni soutenir un groupe humain qui incite au crime contre l’humanité.

Ces interdictions seront elles-mêmes les garantes de la liberté de culte et de paix sociale dans notre pays.



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Statuts de Rome pour la cour pénale internationale

http://www.preventgenocide.org/fr/droit/statut/



CHAPITRE II. COMPÉTENCE, RECEVABILITÉ ET DROIT APPLICABLE

Article 7: CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ

1.   Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l'humanité l'un des actes ci-après commis dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique lancée contre une population civile et en connaissance de cette attaque :

  a) Meurtre;

  b) Extermination;

  c) Réduction en esclavage;

  d) Déportation ou transfert forcé de population;

  e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international;

  f) Torture;

  g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forcée, grossesse forcée, stérilisation forcée et toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable;

  h) Persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d'autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence dela Cour;

  i) Disparitions forcées;

  j) Apartheid;

  k) Autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.

2  Aux fins du paragraphe 1 :

  a) Par attaque lancée contre une population civile, on entend le comportement qui consiste à multiplier les actes visés au paragraphe 1 à l'encontre d'une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d'un État ou d'une organisation ayant pour but une telle attaque;

  b) Par extermination, on entend notamment le fait d'imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d'accès à la nourriture et aux médicaments, calculées pour entraîner la destruction d'une partie de la population;

  c) Par réduction en esclavage, on entend le fait d'exercer sur une personne l'un ou l'ensemble des pouvoirs liés au droit de propriété, y compris dans le cadre de la traite des être humains, en particulier des femmes et des enfants à des fins d'exploitation sexuelle;

  d) Par déportation ou transfert forcé de population, on entend le fait de déplacer des personnes, en les expulsant ou par d'autres moyens coercitifs, de la région où elles se trouvent légalement, sans motifs admis en droit international;

  e) Par torture, on entend le fait d'infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, à une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contrôle; l'acception de ce terme ne s'étend pas à la douleur ou aux souffrances résultant uniquement de sanctions légales, inhérentes à ces sanctions ou occasionnées par elles;

  f) Par grossesse forcée, on entend la détention illégale d'une femme mise enceinte de force, dans l'intention de modifier la composition ethnique d'une population ou de commettre d'autres violations graves du droit international. Cette définition ne peut en aucune manière s'interpréter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives à l'interruption de grossesse;

  g) Par persécution, on entend le déni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs liés à l'identité du groupe ou de la collectivité qui en fait l'objet;

  h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues à ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d'un régime institutionnalisé d'oppression systématique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce régime;

  i) Par disparitions forcées, on entend les cas où des personnes sont arrêtées, détenues ou enlevées par un État ou une organisation politique ou avec l'autorisation, l'appui ou l'assentiment de cet État ou de cette organisation, qui refuse ensuite d'admettre que ces personnes sont privées de liberté ou de révéler le sort qui leur est réservé ou l'endroit où elles se trouvent, dans l'intention de les soustraire à la protection de la loi pendant une période prolongée.

3.  Aux fins du présent Statut, le terme sexe s'entend de l'un et l'autre sexes, masculin et féminin, suivant le contexte de la société. Il n'implique aucun autre sens.


Par Thinkfree dans Accueil le 27 Septembre 2011 à 16:30
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