Erdogan dans Paris ce matin 11 novembre, avec la complicité de Macron, n’a pas cessé de provoquer l’Europe en faisant le R4Bia, signe de ralliement des islamistes Frères musulmans
C'est un salut nazi version islam.
Les génocides commis par les musulmans turcs en 14-18
Génocide des chrétiens arméniens (1 500 000 morts)
Génocide des chrétiens assyro-chaldéens (300 000 morts) http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/le-genocide-meconnu-des-assyro-chaldeens-sous-l-empire-ottoman-21-05-2015-4735_118.php
Génocide des chrétiens grecs pontiques (150 000 morts)
Une infime fraction des crimes de l'empire musulman ottoman depuis sa naissance.
Scandaleux.
Erdogan exécute le salut des Frères musulmans dans les rues de Paris et se fait prendre en photo avec une foule qui le salue par le signe des Loups Gris et des Frères musulmans.
Un leader fasciste en France, ça ne choque personne?
Ces photos scandaleuses d’Erdogan non pas en chef d’Etat mais en chef de file des Frères musulmans (groupe islamiste ultra-violent/terroriste) ont été prises hier dans l’Avenue des Portugais (16e arrondissement) et diffusées par le service de communication de la présidence turque
A Berlin, sa police circule dans certains quartiers. Il fournit aussi des aides financières pour que les Turcs d’Allemagne puissent s’acheter leurs logements.
Les aides financières sont le cheval de Troie. En échange, on est fidèle
Les frères musulmans militent pour l'instauration de républiques islamiques à la place des régimes en place. Ils sont des ennemis de la France. 🇫🇷
Il est à craindre que les Frères musulmans, une des plus grandes organisations terroristes internationale, aient infiltré le plus haut sommet de l'Etat français, Macron, Philippe ou les ministres. Ne parlons pas des innombrables mosquées, écoles coraniques, associations musulmanes et autres institutions ou lobbies où les Frères musulmans s'implantent jour après jour. Le mouvement LREM est noyauté, les partis de gauche sont noyautés par les Frères musulmans dont l'objectif est de créer un Etat islamique mondial. Grosso modo, la seule différence par rapport à Daech, c'est qu'ils sont plus intelligents et procèdent par petites étapes pour prendre progressivement le pouvoir en Occident. Les Frères musulmans sont financés par le Qatar, la Turquie et possèdent une grande base arrière en Egypte, pays où ce mouvement est né. Le fondateur Hassan El Banna, son gendre Said Ramadan et le théoricien du djihad moderne Said Qutb, les fils de Said Ramadan Tariq Ramadan et Hani Ramadan sont quelques-uns des membres les plus célèbres de la confrérie.
Erdogan qui fait tranquillement le salut des Frères Musulmans en plein Paris...— Waleed Al-husseini (@W_Alhusseini) November 11, 2018
c'est une autre image...qui symbolise notre faiblesse face à l'islam radical. pic.twitter.com/4tDQoCk9TN
Dans son ouvrage L'islamisme et nous. Penser l'ennemi imprévu (2017), Pierre-André Taguieff analyse les textes théoriques de la confrérie et montre son extrême dangerosité pour le monde, le monde occidental en particulier qui n'a qu'une connaissance diffuse et erronée de l'islam.
Le Tamkine chez les Frères Musulmans
29.04.2015 Mohamed Louizi
Dans la littérature contemporaine des « Frères Musulmans », le Tamkine représente la finalité tant désirée par les « frères » et l’édifice politique que construisent obstinément leurs bras depuis bien longtemps. C’est le but ultime visé par toute action frériste plaidant la cause de l’islam pour que cette religion - telle qu’elle est comprise par les frères - domine toutes les autres religions et pour que sa Charia puisse gouverner l’humanité entière. Pour atteindre cette ultime finalité, les « Frères Musulmans » s’y acheminent progressivement à travers quatre étapes successives : Premièrement, « Présentation et propagation de l’islam ». Deuxièmement, « Choix et sélection des individus ». Troisièmement, « Affrontement des faiblesses structurelles et corrections des imperfections constatées ». Quatrièmement, « le Tamkine » ou la domination politique globale.
Chez les « frères », le Tamkine rime avec le triomphe, l’autonomisation, la domination, la suprématie, la victoire et la possession, sans partage, du pouvoir politique, pour qu’enfin l’islam sunnite, asharite, salafiste, du haut de sa « grandeur », domine les cœurs et organise la société, selon les lois de Dieu et dans le strict respect de la tradition (sunna) du prophète Mohammad !
Ainsi, le mot Tamkine n’est pas un simple vocable qui serait neutre. En effet, dans la littérature des « Frères Musulmans », d’ici comme d’ailleurs, ce terme en particulier, renvoie sémantiquement à toute une construction idéologique, fondée sur des textes « sacrés », et à une planification stratégique - comme celle découverte en Egypte en 1992, dans l’affaire « Salsabîl » - conçue dans un but ultime d’atteindre le cœur même du pouvoir politique et de tous ses annexes, non pas en usant, comme avant, de la brutalité contre-productive des armes et de la violence, pour renverser l’existant et s’assoir à sa place, mais plutôt en prenant le temps, petit-petit, à marcher à petite allure sur un autre chemin « proactif », d’apparence démocratique et pacifique, certes long, mais avec une vision stratégique globale sur le long terme ; un cap bien défini ; un but clairement identifié ; des objectifs pour chaque étape ; des moyens évolutifs ; des ressources humaines renouvelées et formées ; des ressources matérielles et techniques modernisées ; des alliances pragmatiques avec diverses sphères et acteurs de la société ; des établissements structurés et embellis ; des centres spécialisés ; des sources de financements stabilisées, diversifiées et internationalisées ; des réseaux d’influence étendus et mis à jour selon les couleurs politiques de la saison ; des tableaux de bords de supervision systématiques ; des indicateurs de références mesurant les écarts à rattraper et les dynamiques à encourager ; des grilles devaluation périodiquement mise à jour et améliorées, etc.
La marche continue. Les marcheurs chantent en chœur : « Allah est notre ultime but ; le Messager est notre exemple et guide ; le Coran est notre constitution ; le Jihad est notre voie ; mourir dans le sentier d’Allah est notre plus grand espoir ». Ainsi, la marche avance suivant les pas de ses premiers initiateurs des années 1928. Elle gagne chaque jour quelques mètre-carré musulmans, ici et ailleurs.
Seule une lecture, dans sa langue arabe d’origine, de l’intégralité du livre d’Ali Sallabi, jamais traduit à aucune autre langue à ma connaissance, permettra d’apporter plus amples declairage sur un sujet grave qui concerne notre futur proche et collectif.
Majoritairement, les musulmans n’adhèrent pas à cette vision de domination, que portent ces islamistes ultra-minoritaires mais chevronnés, que ce soit par la violence des armes ou par une sorte de « violence douce ». Cependant, il n’est pas difficile de constater que l’histoire des communautés, musulmanes entre autres, n’a jamais été écrite par la majorité mais plutôt par une toute petite minorité très active et extrêmement « proactive » - au sens d’Alain Paul Martin dans son livre « La gestion proactive », publié en 1983, l’année de la création de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF).
http://www.ikhwan.whoswho/blog/archives/7968
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