jeudi 11 janvier 2018

Charlie, la liberté assassinée (Amada)

Par Thinkfree dans Accueil le 16 Janvier 2015 à 11:11
J’ai voulu prendre un peu de recul avant d’écrire ce sujet afin de me donner le temps de la réflexion et de la mesure de l’importance de l’événement.
Les articles à chaud sont souvent empreints de trop d’émotion.

Charlie, la liberté (d’expression) assassinée

« Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez le dire. »
(Attribuée improprement à Voltaire par Evelyn Beatrice Hall dans une biographie de 1906. Elle l'avoue et s'en excuse en 1939.)

Je veux revenir sur les attentats des 7 au 9 janvier 2015, à Paris, qui ont commencé par le lâche assassinat des dessinateurs Charb, Cabu, Wolinski, Tignous, Honoré, Elsa Cayat, Mustapha Ourad ainsi que Bernard Maris, chroniqueur pour Charlie Hebdo et France Inter, hommes de presse, célèbres caricaturistes aimés et appréciés du public.


Des hommes qui n’avaient jamais fait physiquement de mal à personne et dont les seules armes étaient leurs crayons.
Des hommes qui ont toujours usé de la caricature, de l’humour et de la dérision pour exprimer leurs pensées et leur vision du monde.

La capacité à exprimer et à percevoir de l’humour est un des grands caractères qui distinguent l’humain des autres hominidés moins évolués et également des musulmans, pour faire à mon tour un trait d’humour.

Et je dis bien « DES » musulmans et j’y reviendrai plus tard pour ne pas être dans la globalisation.

Mais pour commencer, je veux avoir une pensée et un mot pour toutes les victimes de cette suite d’attentats abjects et pour leurs familles et leurs amis meurtris et plongés dans la douleur.

Les hommes, femmes et enfants Juifs de l’épicerie cachère de la porte de Vincennes en tout premier, car il semble que peu de monde s’en soit soucié et notamment nos dirigeants politiques, toujours prompts à nier la souffrance des Juifs, voire à les accuser de tous les maux.

Les agents de la police nationale et de la police municipale qui ont trouvé la mort dans l’action de ces attentats.

Tous les autres civils, incluant les personnels de différentes entreprises et de Charlie hebdo, qui ont également été sauvagement assassiné au cours de ces événements.
Enfin, les quatre caricaturistes, Charb, Cabu, Wolinski et Tignous et tous leurs amis et collègues qui étaient la cible première des terroristes et qui ont été exécutés sans l’ombre d’une hésitation par ces deux frères psychotiques dont je ne citerai volontairement pas les noms.

Je termine ici mon introduction.

Ma première réflexion ira à notre gouvernement et à notre exécutif qui n’ont pas été capables de détecter et prévenir ces assassinats malgré les moyens formidables mis à leur disposition. Ces hommes étaient déjà connus des forces de l’ordre et des services spéciaux pour des délits graves et auraient dû être l’objet d’un maintien en milieu carcéral, d’une expulsion du territoire national ou d’une assignation à résidence, sous bracelet électronique.

 Notre gouvernement est donc totalement responsable de ce qui s’est passé, s’il n’en est pas coupable.
Car, ne l’oublions pas, ce gouvernement nous a abreuvé ces dernières années de propos moralisateurs sur le « vivre ensemble », « les chances pour la France », les vertus du « multiculturalisme », la prévention du racisme « antimusulman » (stupide, comme si l’islam était une race !)

Le président a toujours encensé les musulmans et glorifié l’islam en tentant d’inciter au mépris et à la haine des chrétiens et des juifs, en nommant ministre un homme qui avait créé « SOS Racisme », une association soi-disant antiraciste qui passe son temps à traduire en justice les personnes qui « offensent » les musulmans, comme si l’islam était une race, tout en rejetant toutes les plaintes pour racisme, discrimination, rejet, incitation à la haine et à la violence contre les Juifs, les chrétiens, les blancs, les patriotes et les Français de souche.
Un état qui impose aux médias de ne jamais parler de l’islam ni des musulmans. Un état qui joue la carte de l’ignorance et du déni des réalités.

Que cet état cesse de véhiculer des poncifs du type « ce n’est pas ça l’islam », car le terrorisme (la terreur, la peur, la menace, la violence) est un des fondements de l’islam depuis 1400 ans, pour ceux qui connaissent le sujet, ou encore que les jihadistes ou les terroristes sont des « déséquilibrés ». Non, ils ne le sont pas. Ce sont simplement de dangereux fanatiques qui doivent être surveillés, neutralisés, emprisonnés ou, au besoin, déchus de la nationalité français et expulsés de France.

Mais nous savons tous de quelle compassion, de quelle complaisance et de quel laxisme les musulmans sont l’objet afin de garantir au Président de la République, pour 2017, un électorat minimal précaire et toujours en chute libre…

François Hollande « L’Islam est compatible avec la démocratie ». La Cour Européenne des Droits de l’Homme a dit le contraire…

Pourquoi des musulmans ont-ils voulu assassiner ces caricaturistes ?

Ils ont dit que les caricatures blasphématoires de leur prophète star déjà publiées les avaient profondément choqués et les avaient contraints à un acte de vengeance en donnant la mort aux blasphémateurs.

Jusqu’à plus ample informé, en France il n’est pas permis de tuer des gens pour quelque motif que ce soit. Les musulmans disposent néanmoins des mêmes droits que les autres en matière de droit de réponse et la possibilité de publier eux-mêmes des caricatures sur ce qu’ils veulent, dans les limites de la loi.

Cela correspond tout à fait aux préceptes de l’islam inscrits noir sur blanc dans le Coran, tout au long de ce livre lourd, indigeste, fastidieux et rempli d’incitations à la haine, au meurtre et à l’extermination de tous les non musulmans.

Je précise, pour mes éventuels nouveaux lecteurs, que je suis à moitié juive et chrétienne de par ma naissance et que j’ai étudié les religions en profondeur pendant de longues années et notamment l’islam dont j’ai lu, relu, étudié et analysé les textes fondateurs à de multiples reprises pour bien m’en imprégner : Coran, Sira, Hadiths et autres.

Pendant ces quelques jours, nous avons été largement inondés par nos médias de multiples mises en garde de nos dirigeants (le président, le premier ministre, le ministre de l’intérieur et un tas d’autres), contre les risques de stigmatisation, de globalisation, d’amalgame et de je ne sais quelles formes d’accusation et de culpabilisation d’une communauté religieuse et de ses membres (l’Oumma, la communauté musulmane et les musulmans, donc).

En cela, outre que cette communauté est leur dernier électorat en France pour 2017, je dirai qu’ils ont eu à la fois raison et tort.

Raison, parce qu’il y a effectivement toujours des esprits faibles et peu éclairés pour trouver des boucs émissaires et faire retomber la faute sur les uns ou les autres sans autre forme de procès et inciter à la haine et à la violence contre les boucs émissaires.

Tort, parce que je trouve toujours méprisant et insultant de la part de dirigeants politiques, dépourvus de toute forme de sens moral et de valeurs morales, de se permettre de donner des leçons à une population française largement supérieure à eux sur le plan moral et intellectuel.
Le fait de diriger un état n’a jamais donné la vertu ni la science infuse…

Les Français sont assez grands pour savoir et décider ce qu’ils doivent faire et comment penser, comme ils l’ont toujours montré dans les siècles passés.

Et les Français pensent que les merveilles du vivre ensemble, du pluralisme, du multiculturalisme ou du communautarisme n’ont jamais rien apporté de bon à aucun état dans le monde lorsque sont confrontées des communautés, des idéologies ou des religions fondamentalement incompatibles et hostiles les unes aux autres.
Cela finit toujours dans un bain de sang.

Qu’on le veuille ou non, les faits sont là et sont constamment aggravés par une immigration massive incontrôlée d’étrangers pour la plupart en provenance de pays où règne la loi islamique.

Contrairement à ce qu’affirment avec un culot incroyable nos dirigeants politiques, l’islam est TOTALEMENT incompatible avec la démocratie, la laïcité et les droits de l’homme (voir mon article : http://revolte.eklablog.com/l-islam-et-la-democratie-sont-incompatibles-par-amada-a5870778  )
Tous ceux qui croient à cette chimère devraient reprendre leurs livres d’histoire et voir de quelle façon l’islam, en 1400 ans, a fait la conquête de 57 états du monde et exterminé 270 millions d’êtres humains dont 80 millions rien qu’en Inde, par la guerre, le génocide, l’extermination systématique, le viol, le vol, le pillage et l’accaparation des territoires.
Mais bien sûr, suis-je sotte. Tout cela a été soigneusement effacé des livres d’histoire d’aujourd’hui pour ne pas offenser la douce communauté musulmane et sa religion de paix, d’amour et de tolérance…

Tous les détails, vous pourrez les trouver dans mes autres textes et dans d’innombrables pages web, sites et blogs traitant de ces sujets (http://revolte.eklablog.com/accueil-c106860  )

Pour ma part, je considère que l’islam est et restera effectivement incompatible avec notre civilisation occidentale de culture judéo-chrétienne tant que les musulmans n’auront pas décidé par eux-mêmes de faire changer l’esprit matérialiste de leur religion, de réformer leurs textes et d’en retirer tout ce qui prescrit la haine et la violence sous toutes ses formes, tous ce qui favorise le mépris et la maltraitance des femmes, tout ce qui favorise l’esclavage, tout ce qui affirme que les musulmans sont des êtres supérieurs aux non musulmans (les infidèles, les mécréants) et tout ce qui incite à la conquête du monde et à la domination de tous les humains contre leur volonté.

Tant que l’islam demeurera ce qu’il est, c’est-à-dire une idéologie et un système politique, économique et militaire de conquête vaguement habillé d’un voile de religiosité, il restera un fléau et un ennemi de l’homme, de la femme, des animaux, de la nature et de la vie.

L’islam pourrait se réformer, mais il ne veut pas le faire. Ses écrits s’y opposent et font que la peine de mort soit donnée à tous ceux qui tenteraient de le faire. L’islam n’existe depuis 1400 ans que par la peur et la violence. La peine de mort est très fréquente et appliquée pour de nombreux crimes et délits, parmi lesquels la critique ou l’abandon de la religion, par exemple, sont passibles de la mort par lapidation.

Cela rend donc la réforme de l’islam très problématique.

Pourtant, un véritable vivier de musulmans que l’on pourrait qualifier de « modérés » existe de par le monde. Je préfère en dire qu’ils sont calmes, pacifiques et non violents et cherchent à s’intégrer dans nos sociétés dans la discrétion et dans la paix, car « musulmans modérés » pourrait sous-tendre qu’il existe un « islam modéré », ce qui n’est pas le cas. L’islam est un, monolithique et intouchable.
Mais ces musulmans calmes et pacifiques sont dans l’erreur en n’affirmant pas haut et fort leur volonté de pratiquer leur religion dans la douceur et dans la paix et de l’imposer aux dirigeants religieux et aux fanatiques de tous poils. Ils doivent se battre, eux aussi, pour exiger une réforme profonde et une refonte en modernisation de l’islam et du Coran.
C’est de cette partie du monde musulman seule que pourra venir un jour un grand changement. Je ne sais pas si un jour l’islam sera capable de prendre ce fameux virage de la modernité, comme le judaïsme et le christianisme ont su le faire en leur temps. Mais je le souhaite au nom de tous les musulmans du monde qui souffrent sous le joug de cette terrifiante idéologie liberticide et mortifère.

Il existe, certes, des mosquées où l’on continue à prêcher la haine de l’occident et le djihad, mais aussi des mosquées et des salles de prière où des imams éclairés ont compris que l’islam devait s’adapter à son temps et prendre son virage de la modernité ou disparaître un jour, inéluctablement, car tout ce qui s’impose par la violence ne peut pas durer. Hitler et de grands empires en ont fait l’expérience.

Nous avons vu à la télévision des musulmans calmes et pacifiques brandir des panneaux appelant à la paix et se joignant aux non musulmans pour dénoncer les crimes odieux de ces terroristes.
Ils sont sincères, j’en suis sûre, à part quelques hypocrites.
Ils ont la chance d’avoir des imams progressistes, un peu comme Hassen Chalgoumi, l’imam de Drancy.
Mais la route sera encore longue, car le machisme est glorifié dans l’islam et avec lui la violence comme toute réponse.

Je sais qu’il pourrait exister un islam aussi pacifique et calme que les autres religions. Et qu’on ne vienne pas me dire que le Coran n’a jamais été modifié « car il est la pure parole de Dieu… » C’est totalement faux et il a effectivement été adapté, modifié, falsifié et réécrit à de nombreuses reprises. Et on sait même que la version qui a cours aujourd’hui n’est qu’une des dizaines de versions existantes dont la plupart son enfermées dans une salle secrète de la bibliothèque de l’université Al Azhar, au Caire. 
Selon Taslima Nasrin, dans la préface du livre de Ibn Warraq « Pourquoi je ne suis pas musulman », le Coran est considéré comme un document extrêmement humain, grouillant d’erreurs grammaticales et historiques, dont il n’existe pas une, mais des milliers de versions… »

Pour terminer, je dirai que la plupart des musulmans sont les premières victimes de l’islam et y sont enfermés comme dans une horrible prison de l’esprit et du corps de laquelle ils ne peuvent pas s’échapper.

Sur des forums consacrés aux apostats de l’islam, des jeunes filles ou des jeunes hommes et parfois des plus âgés viennent se confier de leur détresse et de leurs souffrance d’être nés dans ce monde sévère, sans amour et sans joie, duquel ils souhaitent s’échapper, tout en craignant de faire de la peine à leurs parents ou de subir les persécutions, les brimades et parfois les violences des autres membres de leur communauté. C’est très triste et désolant de les lire et de tenter de les conseiller, de les guider un peu et de les soutenir moralement.

Les « islamistes » n’existent pas. Il y a un monde musulman et des musulmans. Parmi eux, on peut dire qu’il y a des intégristes, des extrémistes et aussi des fanatiques. Les fanatiques sont, comme partout et dans n’importe quel domaine, des excessifs souvent psychotiques et pour une grande part des malades mentaux bons à enfermer.

Je veux dire que ceux qui ont commis ces attentats sur Paris font partie de cette catégorie de fanatiques psychotiques bons à enfermer. Ce sont des gens irrécupérables, comme Mohamed Merah, qui ont été endoctrinés à un point extrême ou nul retour en arrière n’est possible, car leur intelligence a été altérée et remplacée par une programmation proche de celle d’un robot. 
Lorsqu’un être humain adulte en arrive à affirmer qu’il aime plus la mort que nous aimons la vie, son cas est désespéré.

C’est ce qu’on appelait autrefois du lavage de cerveau.
Ils sont obsessionnels, névrosés et souvent paranoïdes.
Le système de conditionnement islamique a été mis au point pour faire de ses adeptes de malheureux zombis dépourvus de toute capacité de jugement et de tout esprit critique. L’islam transforme tout être humain en une sorte de créature hallucinée qui croit tout ce que lui dit son imam, qui vit dans un monde obscur de chimères et de faussetés, un monde sans joie, sans humour (interdit dans l’islam), sans divertissement de l’esprit, sans fantaisie, sans créativité et sans arts.

Dans l’islam, il n’y a pas de « libre pensée », car il n’y a pas de « pensée » autorisée. Plus simplement, il n’y a pas de « pensée » tout court. L’islam est un dogme imposé et il ne laisse aucune place à la réflexion ou à la méditation. Le Coran et les écrits islamiques imposent qu’on y adhère et en interdisent la critique. Théoriquement, toutes les réponses à toutes les questions sont dans le Coran, ce qui laisse assez songeur…

Pour un musulman, penser revient à pêcher et à offenser Dieu. Exprimer sa pensée peut être assimilé à critiquer la religion et fait en plus offense à la communauté musulmane, l’Oumma.
La loi islamique prévoit des châtiments pouvant aller jusqu’à la peine de mort par lapidation ou décapitation pour la critique de la religion ou l’abandon de la religion, l’apostasie.
Le risque de penser est d’exprimer sa pensée et d’être accusé de critique de la religion, le musulman de base ne s’y aventure pas.

Cela me rappelle une réflexion que l’on entendait souvent dans l’armée : « Réfléchir c’est commencer à désobéir ». L’islam, c’est tout à fait ça.
La différence, dans l’armée, c’est que des officiers élaborent des réflexions et des stratégies, que les sous-officiers les transmettent et que les hommes du rang doivent les exécuter selon les ordres. Ce qui ne retire pas le droit à des sous-officiers ou à des hommes du rang d’adapter éventuellement l’exécution des ordres à des impératifs naturels de terrain, d’équipement ou d’effectif humain.
Mais on ne leur a pas lavé le cerveau…

Pas de pensée, pas de liberté de pensée, pas de liberté d’expression de sa pensée, cela nous amène directement à nous poser la question de l’existence d’une culture musulmane. La réponse est non. La culture d’un peuple ou d’une nation est le pur produit de la pensée et des actes naturels et spontanés de ce peuple ou de cette nation.

Pas de culture, pas de civilisation. Désolée pour ceux qui parlent de culture ou de civilisation islamique, mais elles n’ont jamais existé.

Comment, dans ces conditions, peut-on imaginer que l’islam évolue un jour, puisqu’il ne repose sur rien et n’apporte rien ?
L’essence même du Coran est fondée sur l’apologie du machisme des hommes, de l’esclavage, du mépris de la femme, de l’incitation à la haine et à la violence et de la glorification de la guerre, du pillage et de la conquête de nouvelles terres. Tout est écrit et nul n’a le droit de le critiquer…

La boucle est bouclée. Pas de pensée, pas de liberté de pensée et pas de liberté d’expression, il est clair que la caricature de l’islam ou de ses personnages n’est pas, à fortiori, une liberté islamique. Considérée comme une offense extrême, elle appelle au meurtre des caricaturistes.
L’islam étant par sa nature spirituellement infécond et délétère, un objet de doute, de peur et de méfiance, de nombreux musulmans sont confusément conscients que leur religion n’a jamais rien apporté au monde et ne lui apportera jamais rien. Les plus faibles d’esprit sont soumis à l’emprise des écrits les plus violents et des prêcheurs les plus terrifiants. Il ne faut pas s’étonner, alors, qu’ils cherchent, par le meurtre, à se donner une identité et peut-être une simple personnalité dont l’islam les a privés à tout jamais.

Je suis bien certaine qu’il y aura encore de nombreux attentats et peut-être des guerres terribles entre le monde libre et civilisé occidental et le monde obscurantiste et barbare musulman, avant que l’islam n’évolue et ne change sa nature profonde.

Nos descendants risquent de souffrir encore longtemps de ce fléau qui a déjà été dénoncée par tant de grands esprits libres, politiciens, philosophes, hommes de presse, écrivains, artistes, militaires, etc… dont on peut trouver les écrits sur le web.

Mais il n’est pas imaginable que cette idéologie liberticide et mortifère dépourvue de tout humanisme et de toute humanité puisse régner un jour sur un monde où les humains ne seront plus que des fantômes et des esclaves à la pensée abolie.

Je forme des vœux pour que cela n’arrive jamais.

Amada

***



Pour mieux comprendre l'islam, lisez les écrits de Wafa Sultan, Anne-Marie Delcambre, Salem Benammar, Ibn Warraq, Sami Aldeeb, Waleed Al Husseini, Karim Labidi qui connaissent tous parfaitement l'islam et en dénoncent tous les absurdités et toute l'horreur.

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