Par Thinkfree dans Accueil le 16 Janvier 2015 à 11:11
J’ai voulu prendre un peu de recul avant d’écrire ce sujet
afin de me donner le temps de la réflexion et de la mesure de l’importance de
l’événement.
Les articles à chaud sont souvent empreints de trop
d’émotion.
Charlie, la liberté (d’expression) assassinée
« Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me
battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez le dire. »
(Attribuée improprement à Voltaire par Evelyn Beatrice Hall
dans une biographie de 1906. Elle l'avoue et s'en excuse en 1939.)
Je veux revenir sur les attentats des 7 au 9 janvier 2015, à
Paris, qui ont commencé par le lâche assassinat des dessinateurs Charb, Cabu,
Wolinski, Tignous, Honoré, Elsa Cayat, Mustapha Ourad ainsi que Bernard Maris,
chroniqueur pour Charlie Hebdo et France Inter, hommes de presse, célèbres
caricaturistes aimés et appréciés du public.
Des hommes qui n’avaient jamais fait physiquement de mal à
personne et dont les seules armes étaient leurs crayons.
Des hommes qui ont toujours usé de la caricature, de
l’humour et de la dérision pour exprimer leurs pensées et leur vision du monde.
La capacité à exprimer et à percevoir de l’humour est un des
grands caractères qui distinguent l’humain des autres hominidés moins évolués
et également des musulmans, pour faire à mon tour un trait d’humour.
Et je dis bien « DES » musulmans et j’y reviendrai plus tard
pour ne pas être dans la globalisation.
Mais pour commencer, je veux avoir une pensée et un mot pour
toutes les victimes de cette suite d’attentats abjects et pour leurs familles
et leurs amis meurtris et plongés dans la douleur.
Les hommes, femmes et enfants Juifs de l’épicerie cachère de
la porte de Vincennes en tout premier, car il semble que peu de monde s’en soit
soucié et notamment nos dirigeants politiques, toujours prompts à nier la
souffrance des Juifs, voire à les accuser de tous les maux.
Les agents de la police nationale et de la police municipale
qui ont trouvé la mort dans l’action de ces attentats.
Tous les autres civils, incluant les personnels de
différentes entreprises et de Charlie hebdo, qui ont également été sauvagement
assassiné au cours de ces événements.
Enfin, les quatre caricaturistes, Charb, Cabu, Wolinski et
Tignous et tous leurs amis et collègues qui étaient la cible première des
terroristes et qui ont été exécutés sans l’ombre d’une hésitation par ces deux
frères psychotiques dont je ne citerai volontairement pas les noms.
Je termine ici mon introduction.
Ma première réflexion ira à notre gouvernement et à notre
exécutif qui n’ont pas été capables de détecter et prévenir ces assassinats
malgré les moyens formidables mis à leur disposition. Ces hommes étaient déjà
connus des forces de l’ordre et des services spéciaux pour des délits graves et
auraient dû être l’objet d’un maintien en milieu carcéral, d’une expulsion du
territoire national ou d’une assignation à résidence, sous bracelet
électronique.
Notre gouvernement
est donc totalement responsable de ce qui s’est passé, s’il n’en est pas
coupable.
Car, ne l’oublions pas, ce gouvernement nous a abreuvé ces
dernières années de propos moralisateurs sur le « vivre ensemble », « les
chances pour la France », les vertus du « multiculturalisme », la prévention du
racisme « antimusulman » (stupide, comme si l’islam était une race !)
Le président a toujours encensé les musulmans et glorifié
l’islam en tentant d’inciter au mépris et à la haine des chrétiens et des
juifs, en nommant ministre un homme qui avait créé « SOS Racisme », une
association soi-disant antiraciste qui passe son temps à traduire en justice
les personnes qui « offensent » les musulmans, comme si l’islam était une race,
tout en rejetant toutes les plaintes pour racisme, discrimination, rejet,
incitation à la haine et à la violence contre les Juifs, les chrétiens, les blancs,
les patriotes et les Français de souche.
Un état qui impose aux médias de ne jamais parler de l’islam
ni des musulmans. Un état qui joue la carte de l’ignorance et du déni des
réalités.
Que cet état cesse de véhiculer des poncifs du type « ce
n’est pas ça l’islam », car le terrorisme (la terreur, la peur, la menace, la
violence) est un des fondements de l’islam depuis 1400 ans, pour ceux qui
connaissent le sujet, ou encore que les jihadistes ou les terroristes sont des
« déséquilibrés ». Non, ils ne le sont pas. Ce sont simplement de dangereux
fanatiques qui doivent être surveillés, neutralisés, emprisonnés ou, au besoin,
déchus de la nationalité français et expulsés de France.
Mais nous savons tous de quelle compassion, de quelle
complaisance et de quel laxisme les musulmans sont l’objet afin de garantir au
Président de la République, pour 2017, un électorat minimal précaire et
toujours en chute libre…
François Hollande «
L’Islam est compatible avec la démocratie ». La Cour Européenne des Droits de
l’Homme a dit le contraire…
Pourquoi des musulmans ont-ils voulu assassiner ces
caricaturistes ?
Ils ont dit que les caricatures blasphématoires de leur
prophète star déjà publiées les avaient profondément choqués et les avaient
contraints à un acte de vengeance en donnant la mort aux blasphémateurs.
Jusqu’à plus ample informé, en France il n’est pas permis de
tuer des gens pour quelque motif que ce soit. Les musulmans disposent néanmoins
des mêmes droits que les autres en matière de droit de réponse et la
possibilité de publier eux-mêmes des caricatures sur ce qu’ils veulent, dans
les limites de la loi.
Cela correspond tout à fait aux préceptes de l’islam
inscrits noir sur blanc dans le Coran, tout au long de ce livre lourd,
indigeste, fastidieux et rempli d’incitations à la haine, au meurtre et à
l’extermination de tous les non musulmans.
Je précise, pour mes éventuels nouveaux lecteurs, que je
suis à moitié juive et chrétienne de par ma naissance et que j’ai étudié les
religions en profondeur pendant de longues années et notamment l’islam dont
j’ai lu, relu, étudié et analysé les textes fondateurs à de multiples reprises
pour bien m’en imprégner : Coran, Sira, Hadiths et autres.
Pendant ces quelques jours, nous avons été largement inondés
par nos médias de multiples mises en garde de nos dirigeants (le président, le
premier ministre, le ministre de l’intérieur et un tas d’autres), contre les
risques de stigmatisation, de globalisation, d’amalgame et de je ne sais
quelles formes d’accusation et de culpabilisation d’une communauté religieuse
et de ses membres (l’Oumma, la communauté musulmane et les musulmans, donc).
En cela, outre que cette communauté est leur dernier
électorat en France pour 2017, je dirai qu’ils ont eu à la fois raison et tort.
Raison, parce qu’il y a effectivement toujours des esprits
faibles et peu éclairés pour trouver des boucs émissaires et faire retomber la
faute sur les uns ou les autres sans autre forme de procès et inciter à la
haine et à la violence contre les boucs émissaires.
Tort, parce que je trouve toujours méprisant et insultant de
la part de dirigeants politiques, dépourvus de toute forme de sens moral et de
valeurs morales, de se permettre de donner des leçons à une population
française largement supérieure à eux sur le plan moral et intellectuel.
Le fait de diriger un état n’a jamais donné la vertu ni la
science infuse…
Les Français sont assez grands pour savoir et décider ce
qu’ils doivent faire et comment penser, comme ils l’ont toujours montré dans
les siècles passés.
Et les Français pensent que les merveilles du vivre
ensemble, du pluralisme, du multiculturalisme ou du communautarisme n’ont
jamais rien apporté de bon à aucun état dans le monde lorsque sont confrontées
des communautés, des idéologies ou des religions fondamentalement incompatibles
et hostiles les unes aux autres.
Cela finit toujours dans un bain de sang.
Qu’on le veuille ou non, les faits sont là et sont
constamment aggravés par une immigration massive incontrôlée d’étrangers pour
la plupart en provenance de pays où règne la loi islamique.
Contrairement à ce qu’affirment avec un culot incroyable nos
dirigeants politiques, l’islam est TOTALEMENT incompatible avec la démocratie,
la laïcité et les droits de l’homme (voir mon article : http://revolte.eklablog.com/l-islam-et-la-democratie-sont-incompatibles-par-amada-a5870778
)
Tous ceux qui croient à cette chimère devraient reprendre
leurs livres d’histoire et voir de quelle façon l’islam, en 1400 ans, a fait la
conquête de 57 états du monde et exterminé 270 millions d’êtres humains dont 80
millions rien qu’en Inde, par la guerre, le génocide, l’extermination
systématique, le viol, le vol, le pillage et l’accaparation des territoires.
Mais bien sûr, suis-je sotte. Tout cela a été soigneusement
effacé des livres d’histoire d’aujourd’hui pour ne pas offenser la douce
communauté musulmane et sa religion de paix, d’amour et de tolérance…
Tous les détails, vous pourrez les trouver dans mes autres
textes et dans d’innombrables pages web, sites et blogs traitant de ces sujets
(http://revolte.eklablog.com/accueil-c106860
)
Pour ma part, je considère que l’islam est et restera
effectivement incompatible avec notre civilisation occidentale de culture
judéo-chrétienne tant que les musulmans n’auront pas décidé par eux-mêmes de
faire changer l’esprit matérialiste de leur religion, de réformer leurs textes
et d’en retirer tout ce qui prescrit la haine et la violence sous toutes ses
formes, tous ce qui favorise le mépris et la maltraitance des femmes, tout ce
qui favorise l’esclavage, tout ce qui affirme que les musulmans sont des êtres
supérieurs aux non musulmans (les infidèles, les mécréants) et tout ce qui
incite à la conquête du monde et à la domination de tous les humains contre
leur volonté.
Tant que l’islam demeurera ce qu’il est, c’est-à-dire une
idéologie et un système politique, économique et militaire de conquête
vaguement habillé d’un voile de religiosité, il restera un fléau et un ennemi
de l’homme, de la femme, des animaux, de la nature et de la vie.
L’islam pourrait se réformer, mais il ne veut pas le faire.
Ses écrits s’y opposent et font que la peine de mort soit donnée à tous ceux
qui tenteraient de le faire. L’islam n’existe depuis 1400 ans que par la peur
et la violence. La peine de mort est très fréquente et appliquée pour de
nombreux crimes et délits, parmi lesquels la critique ou l’abandon de la
religion, par exemple, sont passibles de la mort par lapidation.
Cela rend donc la réforme de l’islam très problématique.
Pourtant, un véritable vivier de musulmans que l’on pourrait
qualifier de « modérés » existe de par le monde. Je préfère en dire qu’ils sont
calmes, pacifiques et non violents et cherchent à s’intégrer dans nos sociétés
dans la discrétion et dans la paix, car « musulmans modérés » pourrait
sous-tendre qu’il existe un « islam modéré », ce qui n’est pas le cas. L’islam
est un, monolithique et intouchable.
Mais ces musulmans calmes et pacifiques sont dans l’erreur
en n’affirmant pas haut et fort leur volonté de pratiquer leur religion dans la
douceur et dans la paix et de l’imposer aux dirigeants religieux et aux fanatiques
de tous poils. Ils doivent se battre, eux aussi, pour exiger une réforme
profonde et une refonte en modernisation de l’islam et du Coran.
C’est de cette partie du monde musulman seule que pourra
venir un jour un grand changement. Je ne sais pas si un jour l’islam sera
capable de prendre ce fameux virage de la modernité, comme le judaïsme et le
christianisme ont su le faire en leur temps. Mais je le souhaite au nom de tous
les musulmans du monde qui souffrent sous le joug de cette terrifiante idéologie
liberticide et mortifère.
Il existe, certes, des mosquées où l’on continue à prêcher
la haine de l’occident et le djihad, mais aussi des mosquées et des salles de
prière où des imams éclairés ont compris que l’islam devait s’adapter à son
temps et prendre son virage de la modernité ou disparaître un jour,
inéluctablement, car tout ce qui s’impose par la violence ne peut pas durer.
Hitler et de grands empires en ont fait l’expérience.
Nous avons vu à la télévision des musulmans calmes et
pacifiques brandir des panneaux appelant à la paix et se joignant aux non
musulmans pour dénoncer les crimes odieux de ces terroristes.
Ils sont sincères, j’en suis sûre, à part quelques
hypocrites.
Ils ont la chance d’avoir des imams progressistes, un peu
comme Hassen Chalgoumi, l’imam de Drancy.
Mais la route sera encore longue, car le machisme est
glorifié dans l’islam et avec lui la violence comme toute réponse.
Je sais qu’il pourrait exister un islam aussi pacifique et
calme que les autres religions. Et qu’on ne vienne pas me dire que le Coran n’a
jamais été modifié « car il est la pure parole de Dieu… » C’est totalement faux
et il a effectivement été adapté, modifié, falsifié et réécrit à de nombreuses
reprises. Et on sait même que la version qui a cours aujourd’hui n’est qu’une
des dizaines de versions existantes dont la plupart son enfermées dans une
salle secrète de la bibliothèque de l’université Al Azhar, au Caire.
Selon Taslima Nasrin, dans la préface du livre de Ibn Warraq
« Pourquoi je ne suis pas musulman », le Coran est considéré comme un document
extrêmement humain, grouillant d’erreurs grammaticales et historiques, dont il
n’existe pas une, mais des milliers de versions… »
Pour terminer, je dirai que la plupart des musulmans sont
les premières victimes de l’islam et y sont enfermés comme dans une horrible
prison de l’esprit et du corps de laquelle ils ne peuvent pas s’échapper.
Sur des forums consacrés aux apostats de l’islam, des jeunes
filles ou des jeunes hommes et parfois des plus âgés viennent se confier de
leur détresse et de leurs souffrance d’être nés dans ce monde sévère, sans
amour et sans joie, duquel ils souhaitent s’échapper, tout en craignant de
faire de la peine à leurs parents ou de subir les persécutions, les brimades et
parfois les violences des autres membres de leur communauté. C’est très triste
et désolant de les lire et de tenter de les conseiller, de les guider un peu et
de les soutenir moralement.
Les « islamistes » n’existent pas. Il y a un monde musulman
et des musulmans. Parmi eux, on peut dire qu’il y a des intégristes, des
extrémistes et aussi des fanatiques. Les fanatiques sont, comme partout et dans
n’importe quel domaine, des excessifs souvent psychotiques et pour une grande
part des malades mentaux bons à enfermer.
Je veux dire que ceux qui ont commis ces attentats sur Paris
font partie de cette catégorie de fanatiques psychotiques bons à enfermer. Ce
sont des gens irrécupérables, comme Mohamed Merah, qui ont été endoctrinés à un
point extrême ou nul retour en arrière n’est possible, car leur intelligence a
été altérée et remplacée par une programmation proche de celle d’un robot.
Lorsqu’un être humain adulte en arrive à affirmer qu’il aime
plus la mort que nous aimons la vie, son cas est désespéré.
C’est ce qu’on appelait autrefois du lavage de cerveau.
Ils sont obsessionnels, névrosés et souvent paranoïdes.
Le système de conditionnement islamique a été mis au point
pour faire de ses adeptes de malheureux zombis dépourvus de toute capacité de
jugement et de tout esprit critique. L’islam transforme tout être humain en une
sorte de créature hallucinée qui croit tout ce que lui dit son imam, qui vit
dans un monde obscur de chimères et de faussetés, un monde sans joie, sans
humour (interdit dans l’islam), sans divertissement de l’esprit, sans
fantaisie, sans créativité et sans arts.
Dans l’islam, il n’y a pas de « libre pensée », car il n’y a
pas de « pensée » autorisée. Plus simplement, il n’y a pas de « pensée » tout
court. L’islam est un dogme imposé et il ne laisse aucune place à la réflexion
ou à la méditation. Le Coran et les écrits islamiques imposent qu’on y adhère
et en interdisent la critique. Théoriquement, toutes les réponses à toutes les
questions sont dans le Coran, ce qui laisse assez songeur…
Pour un musulman, penser revient à pêcher et à offenser
Dieu. Exprimer sa pensée peut être assimilé à critiquer la religion et fait en
plus offense à la communauté musulmane, l’Oumma.
La loi islamique prévoit des châtiments pouvant aller
jusqu’à la peine de mort par lapidation ou décapitation pour la critique de la
religion ou l’abandon de la religion, l’apostasie.
Le risque de penser est d’exprimer sa pensée et d’être
accusé de critique de la religion, le musulman de base ne s’y aventure pas.
Cela me rappelle une réflexion que l’on entendait souvent
dans l’armée : « Réfléchir c’est commencer à désobéir ». L’islam, c’est tout à
fait ça.
La différence, dans l’armée, c’est que des officiers
élaborent des réflexions et des stratégies, que les sous-officiers les transmettent
et que les hommes du rang doivent les exécuter selon les ordres. Ce qui ne
retire pas le droit à des sous-officiers ou à des hommes du rang d’adapter
éventuellement l’exécution des ordres à des impératifs naturels de terrain,
d’équipement ou d’effectif humain.
Mais on ne leur a pas lavé le cerveau…
Pas de pensée, pas de liberté de pensée, pas de liberté
d’expression de sa pensée, cela nous amène directement à nous poser la question
de l’existence d’une culture musulmane. La réponse est non. La culture d’un
peuple ou d’une nation est le pur produit de la pensée et des actes naturels et
spontanés de ce peuple ou de cette nation.
Pas de culture, pas de civilisation. Désolée pour ceux qui
parlent de culture ou de civilisation islamique, mais elles n’ont jamais
existé.
Comment, dans ces conditions, peut-on imaginer que l’islam
évolue un jour, puisqu’il ne repose sur rien et n’apporte rien ?
L’essence même du Coran est fondée sur l’apologie du
machisme des hommes, de l’esclavage, du mépris de la femme, de l’incitation à
la haine et à la violence et de la glorification de la guerre, du pillage et de
la conquête de nouvelles terres. Tout est écrit et nul n’a le droit de le
critiquer…
La boucle est bouclée. Pas de pensée, pas de liberté de
pensée et pas de liberté d’expression, il est clair que la caricature de
l’islam ou de ses personnages n’est pas, à fortiori, une liberté islamique.
Considérée comme une offense extrême, elle appelle au meurtre des
caricaturistes.
L’islam étant par sa nature spirituellement infécond et
délétère, un objet de doute, de peur et de méfiance, de nombreux musulmans sont
confusément conscients que leur religion n’a jamais rien apporté au monde et ne
lui apportera jamais rien. Les plus faibles d’esprit sont soumis à l’emprise des
écrits les plus violents et des prêcheurs les plus terrifiants. Il ne faut pas
s’étonner, alors, qu’ils cherchent, par le meurtre, à se donner une identité et
peut-être une simple personnalité dont l’islam les a privés à tout jamais.
Je suis bien certaine qu’il y aura encore de nombreux
attentats et peut-être des guerres terribles entre le monde libre et civilisé
occidental et le monde obscurantiste et barbare musulman, avant que l’islam
n’évolue et ne change sa nature profonde.
Nos descendants risquent de souffrir encore longtemps de ce
fléau qui a déjà été dénoncée par tant de grands esprits libres, politiciens,
philosophes, hommes de presse, écrivains, artistes, militaires, etc… dont on
peut trouver les écrits sur le web.
Mais il n’est pas imaginable que cette idéologie liberticide
et mortifère dépourvue de tout humanisme et de toute humanité puisse régner un
jour sur un monde où les humains ne seront plus que des fantômes et des
esclaves à la pensée abolie.
Je forme des vœux pour que cela n’arrive jamais.
Amada
***
Pour mieux comprendre l'islam, lisez les écrits de Wafa Sultan,
Anne-Marie Delcambre, Salem Benammar, Ibn Warraq, Sami Aldeeb, Waleed Al
Husseini, Karim Labidi qui connaissent tous parfaitement l'islam et en
dénoncent tous les absurdités et toute l'horreur.