jeudi 11 janvier 2018

Les ravages psychologiques de l’islam (Amada)

Dire que l’islam est une religion, secte ou idéologie mauvaise ou nuisible pour l’homme reste un euphémisme.

Sans parler de ses composantes violentes, guerrières et conquérantes et de sa banalisation du crime, l’islam est la cause de ravages psychologiques et psychiatriques majeurs et innombrables sur les populations qui lui sont soumises.

On le sait, les premières victimes de l’islam sont les musulmans eux-mêmes.


Cette idéologie liberticide et mortifère a réussi, en 1400 ans, à produire et imposer des règles et des lois qui vont totalement à l’encontre des aspirations naturelles de l’être humain et de la société humaine en supprimant toutes les libertés et en imposant la souffrance d’une chape de plomb de contraintes absurdes et totalement irrationnelles qui font le malheur de tous les peuples vivant sous l’islam.

On ne peut pas dire autrement que ces règles et ces lois ont été créées par des êtres foncièrement mauvais et malsains dans le seul but de retirer à l’homme toute son humanité, toutes ses capacités à s’épanouir dans sa vie et dans sa quête naturelle du bonheur et cela dans le seul but d’écraser l’homme pour mieux le gouverner et l’exploiter.

L’homme libre dans un environnement naturel libre est capable de tout surmonter, de survivre dans les pires conditions, de s’alimenter, de préserver sa vie et de procréer comme tout être vivant sur cette Terre.

L’homme est naturellement créatif, ingénieux et débrouillard. Il est capable de prodiges d’intelligence et de travail et d’habilité manuelle stupéfiants.
L’homme sait avancer et faire avancer la société humaine pour lui faciliter la vie et lui apporter plus de perspectives de bonheur.
Un homme sain de corps et d’esprit saura trouver l’équilibre de sa vie pour son bonheur et celui des siens.

Toutes ces facultés, ces qualités, l’islam les a abolies pour les remplacer par un grand vide. Il interdit à l’homme de rechercher la paix et le bonheur sur cette Terre qu’il qualifie d’enfer pour ne le contraindre qu’à une vie de souffrance dans l’espoir vain d’une vie supposée meilleure dans un hypothétique au-delà post mortem idéalisé à l’excès.

Le musulman ne doit pas penser, il ne doit pas imaginer, ni critiquer, ni juger, mais il doit se contenter de prier une divinité inventée qui est sensée subvenir à ses besoins et être totalement soumis à un système social, politique, économique et militaire qui le menace des pires atrocités s’il refuse de se soumettre ou s’il décide de se rebeller.
Tout est régi et sanctionné par des menaces et des châtiments de torture ou de mort. Le musulman est noyé sous un flot de règles de vie et de comportements permanentes et absurdes qui le rendent progressivement fou si son esprit n’est pas capable de résister.

Dès sa naissance, ses parents vont lui infliger une éducation dans la menace et la peur, sans tendresse, sans amour et sans compassion.
Je me demande si Freud, Jung et Kant auraient approuvé...
L’école poursuivra l’œuvre de destruction et par la suite la société achèvera de détruire en lui toute velléité de recherche de liberté ou de vérité. Tout est programmé.

Dans le monde libre et civilisé occidental, même si il n’est pas parfait, un bébé est généralement accueilli dans une atmosphère de joie et d’amour. Il est entouré de sourires, de regards tendres et de mains caressantes. Il est bien traité.
Il reçoit une éducation et un enseignement scolaire qui tendront à lui donner des armes intellectuelles pour affronter les vicissitudes de la vie et des connaissances à même de lui permettre de comprendre les choses, le monde et la vie et d’avoir un jour un métier qui lui permettra de se nourrir et de nourrir sa famille.
Il apprendra la morale, l’engagement, la responsabilité et le respect dû aux autres.

Adulte, il sera un homme ou une femme libre et pourra accomplir sa vie selon ses rêves et en même temps dans le respect des règles admises par tous de la société humaine.
Il sera doté d’un esprit sain dans un corps sain, sauf maladies ou accidents de la vie inévitables.
Il pourra choisir ou pas d’avoir une foi, une religion et de la pratiquer en toute liberté ou d’être athée.
Nul ne le contraindra à vivre selon des canons ou des critères absurdes et incohérents.

Dans l’islam, tout est différent.
La liberté, la joie, le plaisir, le bonheur, l’amour sont interdits et inaccessibles.
La pression de la loi religieuse est permanente et omniprésente.
Chaque geste le plus anodin de la vie doit être accompli selon un rituel rigoureux. Les dirigeants religieux musulmans affirment que le musulman ne doit pas aimer un être humain. L’amour n’existe pas dans l’islam, à part celui que l’on doit vouer à Allah. Le seul amour qu’un musulman peut recevoir est celui d’Allah et seul l’amour d’Allah est bon pour le musulman. Un musulman ne doit pas aimer un autre homme d’amour ni d’amitié et la femme ne sert qu’à faire des enfants et ne mérite pas d’amour, car Allah en a décidé ainsi.

L’islam est né du cerveau d’un homme peu intelligent qui se voyait déjà, comme tous les imbéciles, le maître du monde. Ayant croisé la route d’un moine chrétien qui lui enseigna l’histoire et les concepts du judaïsme et du christianisme, un plan germa dans son esprit malsain.

A cette époque les juifs, les chrétiens et les fidèles de quelques 360 cultes païens cohabitaient pacifiquement en pratiquant le commerce. Mais Mahomet voulut « harmoniser » cette pléthore de cultes dans une sorte d’unité dont il aurait été l’artisan et le chef. D’entrée, Mahomet imposa donc aux autres une chose qui leur était étrangère et qui ne les intéressait pas. Pour les convaincre, il commença par massacrer plus de 600 juifs réfractaires. Ainsi était né l’islam, de la contrainte et de la violence.

Mahomet s’inspira pour sa nouvelle secte de toutes sortes de récits en vrac de la Torah des juifs et de la Bible des chrétiens.
Ainsi, le sacrifice d’Abraham devint le sacrifice du mouton, etc…
Pour Mahomet, tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui étaient ses ennemis et il les massacrait.
Il partit conquérir et piller de nouvelles terres pour s’enrichir et payer son armée de plus en plus puissante. Le butin devint d’ailleurs très vite le seul objet de ces conquêtes. Le vol et le meurtre étaient son seul credo.

Mahomet n’avait aucune légitimité à faire ce qu’il a fait.
Le judaïsme et le christianisme qui lui a succédé et qui l’a complété suffisaient largement à la spiritualité des peuples.
Mais Mahomet était orgueilleux, psychotique et malsain.
Il prêcha ce qu’il affirmait sans vergogne lui avoir été transmis de Dieu par un ange et l’imposa à ses fidèles.
Ses prêches ont plus tard été compilés dans ce qui devait devenir le Coran.
Le Coran fut d’ailleurs maintes fois falsifié et modifié au gré des exigences et volontés des dirigeants successifs de l’islam.
De nombreux versets furent abrogés et remplacés par d’autres, plus durs et plus violents.

Aujourd’hui, l’islam est divisé en deux grands courants, le sunnisme et le chiisme eux-mêmes subdivisés en diverses interprétations.
Le Coran existe en plusieurs exemplaires cachés au Caire à la bibliothèque de Al Azhar.

Les ravages psychologiques de l’islamL’islam se déclare religion de paix, d’amour et de tolérance mais commet d’innombrables méfaits, attentats, crimes, viols et massacres un peu partout dans le monde pour prendre le pouvoir sur les états.
Il existe 57 états déjà soumis à la loi islamique : la Chariah.

Que devient le pauvre musulman a qui est interdite toute culture autre que celle contenue dans le Coran… ?
Il est élevé dans l’amour du sang des autres, dans la haine des juifs, des chrétiens, des athées et de tous ceux qui ne sont pas musulmans.
Il est élevé dans l’amour de la guerre, de la tuerie, du terrorisme et de la destruction de tout ce qui n’appartient pas au monde musulman.
Il est élevé dans la peur, dans la crainte, dans l’injustice, dans la perspective du néant, car cette religion ne lui apporte rien et lui confisque toute chance qu’il aurait pu avoir d’être un humain digne, responsable et heureux.
Car l’islam lui retire tout responsabilité, tout honneur et toute liberté de se croire un être pensant, libre et participant à la grande aventure humaine.
On lui enseigne pour science des concepts absurdes comme la platitude de la Terre autour de laquelle tournent le soleil et toutes les étoiles.

On lui enseigne que toutes les inventions des hommes sont d’origine musulmane et que l’occident n’a jamais rien inventé ni créé.
Mais il voit aussi que toute la science et toutes les technologies viennent de l’occident et que rien n’est jamais produit par les pays musulmans.
Il voit des centaines de prix Nobel attribués aux occidentaux juifs et chrétiens, mais jamais aux musulmans.
Il vit dans la misère de pays où rien n’est produit et où rien n’est possible.
Même inconsciemment, il voit que son monde ne tourne pas rond et que quelque part on lui a menti et qu’on lui ment touts les jours.
Les plus faibles, les plus fragiles, les plus vulnérables se soumettent. Les autres essaient de composer en simulant, en faisant semblant, car ils ont compris que dans l’islam tout est question d’apparence, de comédie. Les plus forts se battent et parfois y perdent la vie et parfois parviennent à s’extraire de ce système abominable avant de devenir des zombies.

Mais à travers toutes ces années depuis leur naissance jusqu’à leur âge adulte, ils sont violemment traumatisés par tout ce qu’ils entendent d’irrationnel et ce qu’ils voient de monstrueux et d’inhumain, comme les exécutions quotidienne en pleine rue.
Ils sont piégés entre des parents soumis qui leur imposent leur soumission et un monde de médias internationaux qui leur montrent la vraie vie du monde occidental libre et si riche de culture, de savoir et de spiritualité ouverte.
Leur frustration est immense.

Les ravages psychologiques de l’islam, by AmadaL’islam rend fou. Ils sont touchés par de nombreuses pathologies psychiatriques de l’ordre des psychoses, névroses et schizophrénies.
Les interdits culturels, artistiques, les interdits sexuels, les interdits de contacts normaux et naturels avec des jeunes gens ou des jeunes filles de leur âge (avec des sanctions comme le fouet, l’emprisonnement, la torture et parfois la mort) sont des facteurs extrêmement aggravants de leurs désordres psychologiques.

Ils sont pauvres, ils n’ont pas d’instruction, ils n’ont aucun avenir et ils le savent. N’ayant ni emploi ni argent, ils ne peuvent pas se marier et fonder une famille comme le voudrait la nature.
Ils vivent chaque jour un cauchemar éveillé, avec des menaces constantes de violences et de guerres.

Il y a beaucoup de suicides, qui sont niés en tant que tels par les autorités religieuses et étatiques, car l’islam doit forcément apporter le bonheur…
Ils sont dirigés par des dictateurs sans foi ni loi qui les méprisent et les laissent croupir dans leur misère mentale et matérielle.

Alors, les garçons deviennent violents et remplis de haine pour cet occident dont on leur a mille fois dit qu’il était responsable de tous leurs malheurs, bien que l’islam ne puisse apporter que le bonheur…
Le musulman n’est jamais responsable de ce qui lui arrive, c’est toujours quelqu’un d’autre.

Les femmes plus encore sont dans une situation de stress effroyable face à toutes sortes de menaces allant de la violence de leurs parents et de leurs frères au mariage à un parfait inconnu qu’elle n’aimeront jamais et au viol pur et simple par un groupe d’hommes, car la femme n’a aucun droit dans l’islam et la femme violée peut être très vite lapidée pour adultère ou rapport sexuels hors mariage. Dans le viol, la femme musulmane est toujours la fautive.
La femme musulmane n’a pas accès à la culture. L’école et l’université lui sont fermées. Elle doit se contenter du rôle de souillon, de servante, d’objet sexuel et dans le meilleur des cas d’épouse et de mère à peu près respectée.

L’islam a poussé très loin les limites de l’ignorance des peuples, de l’obscurantisme religieux le plus opaque à l’interdiction de toute activité d’étude ou de recherche en dehors des textes fondateurs de l’islam qui sont supposés contenir, pour tout musulman, toutes les réponses à toutes les questions possibles. Ce qui est faux, naturellement, ces textes ne contiennent absolument aucune chose qui pourrait satisfaire la légitime curiosité intellectuelle d’une personne un tant soit peu curieuse. Comme toutes les dictatures de l’esprit, l’islam proscrit et interdit l’accès à la connaissance et toute forme de recherche spirituelle. Les intellectuels déviant son persécutés et peuvent être tués.
La encore, la frustration est grande et ne peut engendrer que du dépit et de la haine pour le système.

Le grand drame réside néanmoins dans cette forme de lavage de cerveau quasi définitif qui prive tout musulman de cette faculté pourtant naturelle d’un élan spontané vers la recherche « d’autre chose » que ce dont on l’a abreuvé depuis sa naissance. Ce conditionnement est un véritable viol de la liberté de pensée et de conscience et un véritable crime contre l’humanité. Un de plus, me direz-vous.
En infligeant à une partie de l’humanité le poids de cette régression mentale, l’islam n’a pas seulement maintenu les musulmans au niveau des connaissances de l’époque de sa création, mais pire encore, il a fait régresser certains peuples à un niveau de connaissances proche de 3000 ou 4000 ans avant Mahomet.


L’islam est la pire abjection que la Terre ait portée et le monde occidental hypocrite refuse de le reconnaître et de tendre la main aux musulmans pour les aider à se sortir de cette horreur, arguant de subtilités dialectiques affligeantes et honteuses pour tenter de différencier musulman de islam de haine de racisme de charia de djihad de terrorisme et de guerres de conquêtes, alors que tous ces mots n’ont qu’un seul et unique axe central, le mot islam qui signifie en arabe « soumission ».


Par Thinkfree dans Accueil le 20 Novembre 2014 à 09:10

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