Dire que l’islam est une religion, secte ou idéologie
mauvaise ou nuisible pour l’homme reste un euphémisme.
Sans parler de ses composantes violentes, guerrières et
conquérantes et de sa banalisation du crime, l’islam est la cause de ravages
psychologiques et psychiatriques majeurs et innombrables sur les populations
qui lui sont soumises.
On le sait, les premières victimes de l’islam sont les
musulmans eux-mêmes.
Cette idéologie liberticide et mortifère a réussi, en 1400
ans, à produire et imposer des règles et des lois qui vont totalement à
l’encontre des aspirations naturelles de l’être humain et de la société humaine
en supprimant toutes les libertés et en imposant la souffrance d’une chape de
plomb de contraintes absurdes et totalement irrationnelles qui font le malheur
de tous les peuples vivant sous l’islam.
On ne peut pas dire autrement que ces règles et ces lois ont
été créées par des êtres foncièrement mauvais et malsains dans le seul but de
retirer à l’homme toute son humanité, toutes ses capacités à s’épanouir dans sa
vie et dans sa quête naturelle du bonheur et cela dans le seul but d’écraser
l’homme pour mieux le gouverner et l’exploiter.
L’homme libre dans un environnement naturel libre est capable
de tout surmonter, de survivre dans les pires conditions, de s’alimenter, de
préserver sa vie et de procréer comme tout être vivant sur cette Terre.
L’homme est naturellement créatif, ingénieux et
débrouillard. Il est capable de prodiges d’intelligence et de travail et
d’habilité manuelle stupéfiants.
L’homme sait avancer et faire avancer la société humaine
pour lui faciliter la vie et lui apporter plus de perspectives de bonheur.
Un homme sain de corps et d’esprit saura trouver l’équilibre
de sa vie pour son bonheur et celui des siens.
Toutes ces facultés, ces qualités, l’islam les a abolies
pour les remplacer par un grand vide. Il interdit à l’homme de rechercher la
paix et le bonheur sur cette Terre qu’il qualifie d’enfer pour ne le
contraindre qu’à une vie de souffrance dans l’espoir vain d’une vie supposée
meilleure dans un hypothétique au-delà post mortem idéalisé à l’excès.
Le musulman ne doit pas penser, il ne doit pas imaginer, ni
critiquer, ni juger, mais il doit se contenter de prier une divinité inventée
qui est sensée subvenir à ses besoins et être totalement soumis à un système
social, politique, économique et militaire qui le menace des pires atrocités
s’il refuse de se soumettre ou s’il décide de se rebeller.
Tout est régi et sanctionné par des menaces et des
châtiments de torture ou de mort. Le musulman est noyé sous un flot de règles
de vie et de comportements permanentes et absurdes qui le rendent
progressivement fou si son esprit n’est pas capable de résister.
Dès sa naissance, ses parents vont lui infliger une
éducation dans la menace et la peur, sans tendresse, sans amour et sans
compassion.
Je me demande si Freud, Jung et Kant auraient approuvé...
L’école poursuivra l’œuvre de destruction et par la suite la
société achèvera de détruire en lui toute velléité de recherche de liberté ou
de vérité. Tout est programmé.
Dans le monde libre et civilisé occidental, même si il n’est
pas parfait, un bébé est généralement accueilli dans une atmosphère de joie et
d’amour. Il est entouré de sourires, de regards tendres et de mains
caressantes. Il est bien traité.
Il reçoit une éducation et un enseignement scolaire qui
tendront à lui donner des armes intellectuelles pour affronter les vicissitudes
de la vie et des connaissances à même de lui permettre de comprendre les
choses, le monde et la vie et d’avoir un jour un métier qui lui permettra de se
nourrir et de nourrir sa famille.
Il apprendra la morale, l’engagement, la responsabilité et
le respect dû aux autres.
Adulte, il sera un homme ou une femme libre et pourra
accomplir sa vie selon ses rêves et en même temps dans le respect des règles
admises par tous de la société humaine.
Il sera doté d’un esprit sain dans un corps sain, sauf
maladies ou accidents de la vie inévitables.
Il pourra choisir ou pas d’avoir une foi, une religion et de
la pratiquer en toute liberté ou d’être athée.
Nul ne le contraindra à vivre selon des canons ou des
critères absurdes et incohérents.
Dans l’islam, tout est différent.
La liberté, la joie, le plaisir, le bonheur, l’amour sont
interdits et inaccessibles.
La pression de la loi religieuse est permanente et
omniprésente.
Chaque geste le plus anodin de la vie doit être accompli
selon un rituel rigoureux. Les dirigeants religieux musulmans affirment que le
musulman ne doit pas aimer un être humain. L’amour n’existe pas dans l’islam, à
part celui que l’on doit vouer à Allah. Le seul amour qu’un musulman peut
recevoir est celui d’Allah et seul l’amour d’Allah est bon pour le musulman. Un
musulman ne doit pas aimer un autre homme d’amour ni d’amitié et la femme ne
sert qu’à faire des enfants et ne mérite pas d’amour, car Allah en a décidé
ainsi.
L’islam est né du cerveau d’un homme peu intelligent qui se
voyait déjà, comme tous les imbéciles, le maître du monde. Ayant croisé la
route d’un moine chrétien qui lui enseigna l’histoire et les concepts du
judaïsme et du christianisme, un plan germa dans son esprit malsain.
A cette époque les juifs, les chrétiens et les fidèles de
quelques 360 cultes païens cohabitaient pacifiquement en pratiquant le
commerce. Mais Mahomet voulut « harmoniser » cette pléthore de cultes dans une
sorte d’unité dont il aurait été l’artisan et le chef. D’entrée, Mahomet imposa
donc aux autres une chose qui leur était étrangère et qui ne les intéressait
pas. Pour les convaincre, il commença par massacrer plus de 600 juifs
réfractaires. Ainsi était né l’islam, de la contrainte et de la violence.
Mahomet s’inspira pour sa nouvelle secte de toutes sortes de
récits en vrac de la Torah des juifs et de la Bible des chrétiens.
Ainsi, le sacrifice d’Abraham devint le sacrifice du mouton,
etc…
Pour Mahomet, tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui
étaient ses ennemis et il les massacrait.
Il partit conquérir et piller de nouvelles terres pour s’enrichir
et payer son armée de plus en plus puissante. Le butin devint d’ailleurs très
vite le seul objet de ces conquêtes. Le vol et le meurtre étaient son seul
credo.
Mahomet n’avait aucune légitimité à faire ce qu’il a fait.
Le judaïsme et le christianisme qui lui a succédé et qui l’a
complété suffisaient largement à la spiritualité des peuples.
Mais Mahomet était orgueilleux, psychotique et malsain.
Il prêcha ce qu’il affirmait sans vergogne lui avoir été
transmis de Dieu par un ange et l’imposa à ses fidèles.
Ses prêches ont plus tard été compilés dans ce qui devait
devenir le Coran.
Le Coran fut d’ailleurs maintes fois falsifié et modifié au
gré des exigences et volontés des dirigeants successifs de l’islam.
De nombreux versets furent abrogés et remplacés par
d’autres, plus durs et plus violents.
Aujourd’hui, l’islam est divisé en deux grands courants, le
sunnisme et le chiisme eux-mêmes subdivisés en diverses interprétations.
Le Coran existe en plusieurs exemplaires cachés au Caire à
la bibliothèque de Al Azhar.
Les ravages psychologiques de l’islamL’islam se déclare
religion de paix, d’amour et de tolérance mais commet d’innombrables méfaits,
attentats, crimes, viols et massacres un peu partout dans le monde pour prendre
le pouvoir sur les états.
Il existe 57 états déjà soumis à la loi islamique : la
Chariah.
Que devient le pauvre musulman a qui est interdite toute
culture autre que celle contenue dans le Coran… ?
Il est élevé dans l’amour du sang des autres, dans la haine
des juifs, des chrétiens, des athées et de tous ceux qui ne sont pas musulmans.
Il est élevé dans l’amour de la guerre, de la tuerie, du
terrorisme et de la destruction de tout ce qui n’appartient pas au monde
musulman.
Il est élevé dans la peur, dans la crainte, dans
l’injustice, dans la perspective du néant, car cette religion ne lui apporte
rien et lui confisque toute chance qu’il aurait pu avoir d’être un humain
digne, responsable et heureux.
Car l’islam lui retire tout responsabilité, tout honneur et
toute liberté de se croire un être pensant, libre et participant à la grande
aventure humaine.
On lui enseigne pour science des concepts absurdes comme la
platitude de la Terre autour de laquelle tournent le soleil et toutes les
étoiles.
On lui enseigne que toutes les inventions des hommes sont
d’origine musulmane et que l’occident n’a jamais rien inventé ni créé.
Mais il voit aussi que toute la science et toutes les
technologies viennent de l’occident et que rien n’est jamais produit par les
pays musulmans.
Il voit des centaines de prix Nobel attribués aux
occidentaux juifs et chrétiens, mais jamais aux musulmans.
Il vit dans la misère de pays où rien n’est produit et où
rien n’est possible.
Même inconsciemment, il voit que son monde ne tourne pas
rond et que quelque part on lui a menti et qu’on lui ment touts les jours.
Les plus faibles, les plus fragiles, les plus vulnérables se
soumettent. Les autres essaient de composer en simulant, en faisant semblant,
car ils ont compris que dans l’islam tout est question d’apparence, de comédie.
Les plus forts se battent et parfois y perdent la vie et parfois parviennent à
s’extraire de ce système abominable avant de devenir des zombies.
Mais à travers toutes ces années depuis leur naissance
jusqu’à leur âge adulte, ils sont violemment traumatisés par tout ce qu’ils
entendent d’irrationnel et ce qu’ils voient de monstrueux et d’inhumain, comme
les exécutions quotidienne en pleine rue.
Ils sont piégés entre des parents soumis qui leur imposent
leur soumission et un monde de médias internationaux qui leur montrent la vraie
vie du monde occidental libre et si riche de culture, de savoir et de
spiritualité ouverte.
Leur frustration est immense.
Les ravages psychologiques de l’islam, by AmadaL’islam rend
fou. Ils sont touchés par de nombreuses pathologies psychiatriques de l’ordre
des psychoses, névroses et schizophrénies.
Les interdits culturels, artistiques, les interdits sexuels,
les interdits de contacts normaux et naturels avec des jeunes gens ou des
jeunes filles de leur âge (avec des sanctions comme le fouet, l’emprisonnement,
la torture et parfois la mort) sont des facteurs extrêmement aggravants de
leurs désordres psychologiques.
Ils sont pauvres, ils n’ont pas d’instruction, ils n’ont
aucun avenir et ils le savent. N’ayant ni emploi ni argent, ils ne peuvent pas
se marier et fonder une famille comme le voudrait la nature.
Ils vivent chaque jour un cauchemar éveillé, avec des
menaces constantes de violences et de guerres.
Il y a beaucoup de suicides, qui sont niés en tant que tels
par les autorités religieuses et étatiques, car l’islam doit forcément apporter
le bonheur…
Ils sont dirigés par des dictateurs sans foi ni loi qui les
méprisent et les laissent croupir dans leur misère mentale et matérielle.
Alors, les garçons deviennent violents et remplis de haine
pour cet occident dont on leur a mille fois dit qu’il était responsable de tous
leurs malheurs, bien que l’islam ne puisse apporter que le bonheur…
Le musulman n’est jamais responsable de ce qui lui arrive,
c’est toujours quelqu’un d’autre.
Les femmes plus encore sont dans une situation de stress
effroyable face à toutes sortes de menaces allant de la violence de leurs
parents et de leurs frères au mariage à un parfait inconnu qu’elle n’aimeront
jamais et au viol pur et simple par un groupe d’hommes, car la femme n’a aucun
droit dans l’islam et la femme violée peut être très vite lapidée pour adultère
ou rapport sexuels hors mariage. Dans le viol, la femme musulmane est toujours
la fautive.
La femme musulmane n’a pas accès à la culture. L’école et
l’université lui sont fermées. Elle doit se contenter du rôle de souillon, de
servante, d’objet sexuel et dans le meilleur des cas d’épouse et de mère à peu
près respectée.
L’islam a poussé très loin les limites de l’ignorance des
peuples, de l’obscurantisme religieux le plus opaque à l’interdiction de toute
activité d’étude ou de recherche en dehors des textes fondateurs de l’islam qui
sont supposés contenir, pour tout musulman, toutes les réponses à toutes les
questions possibles. Ce qui est faux, naturellement, ces textes ne contiennent
absolument aucune chose qui pourrait satisfaire la légitime curiosité
intellectuelle d’une personne un tant soit peu curieuse. Comme toutes les
dictatures de l’esprit, l’islam proscrit et interdit l’accès à la connaissance
et toute forme de recherche spirituelle. Les intellectuels déviant son
persécutés et peuvent être tués.
La encore, la frustration est grande et ne peut engendrer
que du dépit et de la haine pour le système.
Le grand drame réside néanmoins dans cette forme de lavage
de cerveau quasi définitif qui prive tout musulman de cette faculté pourtant
naturelle d’un élan spontané vers la recherche « d’autre chose » que ce dont on
l’a abreuvé depuis sa naissance. Ce conditionnement est un véritable viol de la
liberté de pensée et de conscience et un véritable crime contre l’humanité. Un
de plus, me direz-vous.
En infligeant à une partie de l’humanité le poids de cette
régression mentale, l’islam n’a pas seulement maintenu les musulmans au niveau
des connaissances de l’époque de sa création, mais pire encore, il a fait
régresser certains peuples à un niveau de connaissances proche de 3000 ou 4000
ans avant Mahomet.
L’islam est la pire abjection que la Terre ait portée et le
monde occidental hypocrite refuse de le reconnaître et de tendre la main aux
musulmans pour les aider à se sortir de cette horreur, arguant de subtilités
dialectiques affligeantes et honteuses pour tenter de différencier musulman de
islam de haine de racisme de charia de djihad de terrorisme et de guerres de
conquêtes, alors que tous ces mots n’ont qu’un seul et unique axe central, le
mot islam qui signifie en arabe « soumission ».
Par Thinkfree dans Accueil le 20 Novembre 2014 à 09:10