mardi 9 janvier 2018

Lutte contre l'islamisation, le terrorisme et mesures de sécurité

S : Qui vous a donné l'idée saugrenue qu'un choix doit être fait entre vos libertés de citoyen et votre sécurité? C'est faux. Les français catholiques, athées, juifs, bouddhistes, qui constituent la grande majorité des français, ne présentent aucune menace de type terroriste. La grande majorité des citoyens français de culture et/ou de religion musulmane, n'en présentent pas davantage. Seule une minorité constitue une menace potentielle. Non seulement surveiller, écouter, fliquer les finances de tous les français ne présente, en matière de lutte contre le terrorisme, aucun avantage mais en plus cela disperse des fonctionnaires qui feraient bien mieux, pour notre sécurité à tous, de se concentrer sur les personnes susceptibles de constituer un danger. 




Il y a des mesures à prendre pour assurer notre sécurité. Elles concernent bien davantage l’exécution réelle des peines prononcées, peines de prison ou arrêté d'expulsion que de rogner les libertés de tous. Puisque vous évoquez l'attentat de Nice, justement le terroriste en question était sous le coup d'un arrêté d'expulsion...qui n'avait pas été exécuté. Elles concernent aussi la mise en cause personnelle des agents de l'Etat dont la négligence a permis la réalisation d'un attentat. On peut citer l'attentat de Nice dont la non exécution de l'expulsion a permis l'attentat, mais aussi ce jeune algérien qui a bénéficié d'un logement étudiant en plein Paris alors qu'il ne suivait aucun cours.
Cela concerne aussi l'attentat à Saint Etienne du Rouvray par un jeune homme qui avait été placé sous contrôle judiciaire avec un bracelet après sa 3eme tentative de rejoindre l'Etat Islamique. Le magistrat qui l'a placé sous contrôle judiciaire plutôt que de l'incarcérer devait avoir à rendre des comptes.

https://www.causeur.fr/francois-sureau-securite-liberte-attentats-148661

S : Le résumé de l'interview  est simple: nous acceptons des mesures privatrices de nos libertés de citoyens, sous prétexte de lutte contre le terrorisme.
1/ Quelles garanties avons nous que ces nouvelles mesures ne seront pas utilisées dans des affaires qui ne concernent pas le terrorisme? En fait, aucune. Et d'ailleurs, certaines mesures ont déjà été utilisés à l'égard d'écolos qui ne préparaient pas un attentat.
2/ Quelle est l'efficacité des mesures que nous avons déjà prises? Si l'on en juge par la moisson récoltée lors de l'Etat d'urgence, c'est pas terrible.
E : Faire démissionner le ministre de l'Intérieur !? Pourquoi faire ? Pour le remplacer par un autre qui fera la même chose ?? La première chose à faire est de revenir au "Droit-du-Sang" et de durcir les conditions de naturalisation Française. Que celle.ci ne soit accordée qu'à ceux qui ont fait preuve de leur intégration dans la République avec ses lois et ses valeurs ! Quand j'étais lycéen dans un établissement public après la Guerre, j'avais de nombreux camarades d'origine étrangère. Des éxilés de l'Est; Polonais, Tchèques, Hongrois,. Plusieurs orphelins de pères morts dans la Résistance. Aussi des Arméniens (parents rescapés du génocide Turc), des Juifs de Roumanie et d'Ukraine. Tous sont devenus d'excellents Français et certains ont fait de brillantes carrières après de brillantes études. J'en ai retrouvé plusieurs pendant le service militaire, devenus aussi Officiers de Réserve.

G : La problématique étatique en matière d'atteinte aux libertés publiques est le transfert des compétences à des sociétés privées sans contrôle réel de l'action. Ainsi donc nos banques ont l'obligation de vérifier l'identité de leurs clients. Sauf qu'elle imposent la production d'une carte nationale d'identité en cours de validité (Ce que le code monétaire et financier n'impose pas. Lui préférant la formule : un document d'identité valide, ce qui autorise le permis de conduire.)
Qui va donc contrôler l'action des agents privés de sécurité, s'ils n'agissent pas sous le contrôle et l'autorité d'une structure étatique ? (La différence essentielle étant que les agents privés de sécurité n'actent rien et n'ont pas une subordination hiérarchique pressante). Qui va donc, aussi, mettre une limite dans le transfert des compétences régaliennes en matière de sécurité.
La grande question est : L'abandon d'une part de nos libertés sur l'autel de la sécurité est-elle pertinente ? La question subséquente étant : Pour quelle efficacité ? Parce que tout de même Vigipirate n'a jamais empêché les attentats (Contrairement aux forces de sécurité intérieure et aux services de renseignements intérieurs et extérieurs)
Ce qui est savoureux est de voir une politique sécuritaire se mettre en place, tout en n'assurant strictement aucune sécurité en matière de franchissement des frontières et d'identification des migrants. On multiplie à l'envie les obligations pour les citoyennes et citoyens vivant en France, mais on oublie le bon sens pour les autres. Et le bon sens est de vérifier les déclarations, ainsi que de s'assurer de l'identité. Il ne suffit pas de dire que l'on se nomme Mickey Mouse pour que cela soit exact. N'en déplaise aux partisans de l'accueil immodéré de n'importe qui.

S: La réponse est clairement non. Fliquer tout le monde pour la menace réelle que constitue quelques milliers d'individus n'a pas grand sens car cela disperse l'action des forces de police. Quand en outre, loin de se concentrer efficacement sur ces milliers d'individus, on en laisse tous les jours entrer sans vérification aucune, on comprend bien que notre sécurité ne peut pas être assurée.

G : Un pays sérieux aurait pris des mesures sérieuses. Ces mesures commençant pas utiliser le volet zonal du plan Vigipirate. (Il est idiot d'avoir un plan Vigipirate identique sur un chemin de la Creuse et sur les Champs Elysées de Paris)
Un pays sérieux n'aurait pas maintenu l'état d'urgence pendant des années. Il aurait déployé les forces armées de manière brève, pour un effort particulier, puis confié la mission de protection aux forces de police et de gendarmerie. En utilisant leurs réservistes en soutien. (Avantage : pas de problème de logement; pas de problème de repas; Pas de problème légal : sur la qualification judiciaire ou sur l'usage de véhicule non prioritaire)
Un pays sérieux aurait construit des dispositifs fixes pour interdire de stationnement à proximité immédiate des écoles ou pour empêcher que des véhicules ne puissent progresser sur des trottoirs, au lieu de constituer des patrouilles inefficaces de militaires. (Qui se font périodiquement agresser et deviennent, en fait, des cibles ambulantes, avec un avantage toutefois : cela détourne d'autres cibles bien plus faciles comme les enfants en sortie scolaire)
Sauf que la France n'est pas un pays sérieux. Les preuves : Elle accorde la nationalité française à des mineurs étrangers délinquants multirécidivistes. Elle ne déchoit pas de leur nationalité française les doubles nationaux traitres à la Nation. Elle rapatrie les terroristes détenus à l'étranger (Alors qu'elle ne rapatrie jamais les trafiquants de drogue détenus à l'étranger). Elle modifie le principe de l'état d'urgence en enlevant des dispositions importantes comme l'interdiction de manifestation et transfère ensuite dans la loi ordinaire des dispositions de la loi d'exception.
L'état d'urgence n'aurait jamais du dépasser la période d'urgence. Le texte n'aurait jamais du être modifié. Les lois ordinaires n'auraient jamais dues être votées par des idiots du village. Un seul exemple : La dernière loi sur le crime organisé et le terrorisme a mis en place l'obligation pour la police de laisser un gardé à vue avoir un entretien confidentiel avec un membre de sa famille, dans les 3 heures après son placement en garde à vue. Si, si c'est vrai et ce n'est pas un gag. (Loi 2016-731). L'OPJ peut refuser mais il doit motiver son refus.
Un pays sérieux aurait peut être évité d'introduire le droit de se taire en garde à vue, alors qu'il ne pénalise pas le mensonge (Hors commission rogatoire). Car cela revient à donner le droit de se taire et le droit de mentir. Pauvres policiers, gendarmes et douaniers qui se voient reprocher leur manque de résultat, alors que le législateur fait tout pour nuire à leur efficacité.

A : Je suis d'accord avec vous sur nombre de ces points, notre pays manque réellement d'intransigeance pour certaines situations mais je ne comprends pas votre opposition si forte à l'état d'urgence qui n'est qu'une mesure parmi d'autres .

G : L'état d'urgence est une loi ordinaire de 1955 et qui avait parfaitement cerné la nécessité de mettre entre parenthèse des libertés fondamentales. Cette loi était utile jusqu'à ce que les parlementaires la dénaturent en retirant des mesures utiles. Comme l'interdiction de circuler et donc de manifester.
Une situation d'urgence qui dure depuis plus de deux ans fait douter du terme "urgence" tout de même. (La loi de 1955 parlait de péril imminent alors que la menace terroriste s'inscrit dans la durée et est le fait de gens vivant en Europe en ayant la nationalité européenne)
Je reproche aux politiciens d'avoir dénaturé totalement un dispositif utile (L'état d'urgence) et d'intégrer, au final, les dispositions de ce dispositif de manière pérenne. Ce qui rendra inefficace la prise d'un état d'urgence, sauf à redéfinir le texte, à l'aulne de la rédaction de la loi perenne sur la sécurité intérieure.
Je reproche la médiocrité politicienne aux politiciens. Qui créent des problèmes et font semblant de les résoudre ensuite.Je leur reproche de détruire tout ce qui fonctionne pour substituer des usines à gaz qui fonctionnent moins bien et pour plus cher.
Exemple : Ils ont autorisé l'avocat en garde à vue comme aux USA. Mais ont oublié la formule : Si vous ne pouvez ne pouvez vous en payer un, un avocat vous sera commis d'office. Bilan, c'est le contribuable qui paye l'avocat pour tout le monde, y compris ceux qui ont les moyens de s'en payer un.
Exemple : Ils ont mis en place une réserve de police. Mais utilisent des réservistes militaires et des militaires pour Vigipirate en leur payant des frais de déplacement, des primes exceptionnelles, et en les logeant de manière pitoyable.
Exemple : Ils transfèrent des prérogatives régaliennes à des sociétés privées mais n'organisent pas le contrôle du respect des dispositions légales par ces mêmes sociétés, lesquelles débordent souvent largement du cadre juridique, lequel est parfois absurde. (Le code monétaire et financier impose la production d'un document d'identité valide et les banques exigent une carte d'identité valide. Alors qu'une carte vitale avec photographie est autorisée pour voter)

A : Mais en quoi concrètement vous et moi avons été "fliqués "? Et quelles libertés avons-nous du abandonner ?
Pour ma part si l'on excepte le contrôle des sacs à l'entrée dans nombre de lieux( qui est quand même un minimum), je n'ai été en rien concernée par ces mesures que vous évoquez comme si elles étaient forcément attentatoires à notre liberté

G : Vous citez le contrôle des sacs à l'entrée. Mais connaissez-vous le texte qui les régit ? Ce texte est l'article L.613-2 du code de la sécurité intérieure que je vous invite à consulter. Ce texte autorise l'inspection visuelle mais subordonne la fouille à l'autorisation préalable.
Maintenant, en matière de sécurité, à quoi sert donc ce contrôle si vous pouvez porter sous votre manteau une ceinture d'explosif ou avoir dans les poches une arme de poing et 500 grammes d'explosif solide ?
Le problème n'est pas la liberté que l'on accepte d'abandonner (Comme celle du respect de l'intimité de la personne) mais le ratio entre l'abandon accepté et l'efficacité réelle.
La France fait de l'affichage sécuritaire aussi inefficace qu'imbécile. Aucune mesure actuelle n'est capable d'empêcher un attentat. Croire le contraire est ignorer la réalité.

A : On demande également d'ouvrir les manteaux et il apparait difficile avec ces contrôles de pénétrer avec des kalachnikov. 
Évidemment cela ne supprime pas tous les dangers mais est-ce une raison pour ne faire aucune vérification ? 
Que proposez-vous à la place qui assurerait complètement notre sécurité ?

G : L'article L.643-2 n'autorise pas à demander d'ouvrir un manteau voyez-vous. Tandis que l'on demander à quelqu'un de soulever sa jupe ou de baisser son pantalon mais en sachant que personne n'est obligé de répondre à une demande. Pas plus que de danser la danse des canards. (Et les ceintures d'explosif peuvent être portées à même la peau)
La Kalachnikov est déclinée en de multiples modèles et une AKSU fait 49 centimètres de long crosse repliée. Nous ne sommes plus au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Que faire alors : Mettre des portiques de sécurité; doter les personnels de magnétomètres; Interdire l'accès avec des sacs à main ou des cartables, outre les sacs à dos. Mais ceci aussi pour le personnel car il peut introduire des armes et explosifs pour les complices. Mais aussi pour les agents de sécurité de nuit et de jour qui peuvent être complices. Mais aussi pour les agents d'entretien. Etc....Interdire aussi les bouteilles d'eau car il peut s'agir d'explosif liquide. Interdire les ceintures car la boucle peut être un poignard. Interdire les stylos car il existe des stylos pistolet. Etc....
Après ce paragraphe "gagesque" qui est là pour montrer que la sécurité complète est un fantasme, le plus simple est de cesser les mesures inutiles qui donnent un faux sentiment de sécurité et ne satisfont que celles et ceux qui ne maîtrisent pas le sujet de la sécurité publique et personnelle.

B : Pierre André Taguieff :
"On peut lutter efficacement contre les sociétés de liberté sans leur déclarer la guerre, en se contentant de leur oter leurs defenses immunitaires par la revendication hyperbolique de leur valeurs fondatrices"

G2 : Oui, j'ai déjà cité ces lignes de PA Taguieff pour faire comprendre qu'enfiler des perles sur le totalitarisme musulman en l'appelant religion est totalement contreproductif puisqu'alors les musulmans font appel à la notion de laïcité (qu'ils n'ont évidemment jamais comprise puisque totalement étrangère à l'islam) pour mieux nous enfumer.
L'interdiction de l'islam doit se faire au nom de l'interdiction de la loi musulmane qui est incompatible avec nos lois, françaises en premier lieu et les lois des démocraties occidentales, que l'islam souhaite précisément faire disparaître. 
Il faut combattre l'islam sur le terrain de la loi et certainement pas sur celui de la religion.
Et c'est très facile puisque la majorité des textes de la loi musulmane est contraire à nos lois. 
Encore faut-il le vouloir.

G2 : Aussi longtemps que l'on ne définit pas le modèle, français pour nous, et plus généralement européen, que l'on souhaite voir adopter par des populations allogènes, il est difficile de demander à ces populations d'abandonner leur culture initiale pour adopter ledit modèle.
Or les populations au pouvoir en Europe de l'Ouest, et plus particulièrement la France en tête du combat contre une identité occidentale avec une intelligentsia largement acquise à la cause déconstructiviste et bien sûr infestée d'enseignants et universitaires encore communistes, ne croient pas en un modèle occidental, pourtant envié, c'est une évidence, par tous les habitants de pays sous-développés. 
Dès lors il en résulte un tel article, ou des gens intelligents mais bridés par la langue de bois et le refus de dénoncer le vrai coupable usent de mille détours pour tenter de le nommer sans le dire. 
La seule idéologie funeste à combattre en priorité est l'islam, même si cet islam morbide est un instrument au service d'une idéologie économique plus vaste qui a pour nom la déréglementation économique mondiale ou mondialisation. 
C'est un problème somme toute assez simple et qui serait assez simple à résoudre si la caste au pouvoir en France n'était pas décidée à jouer l'islam contre la population française, avec aux premières loges un Macron vassal évident des Usa et de l'Allemagne et par conséquent européiste convaincu, forcément chantre de l'ouverture des frontières et chantre du renouvellement de la population française parce-qu'il-n'y-a-pas-d'alternative-puisqu'il-faut-payer-les-retraites et autres conneries...
La diffusion de l'islam idéologie incompatible avec les DDH et les démocraties occidentales doit être interdite au nom de notre droit, donc les mosquées fermées, tout le reste n'est que verbiage.
Si Alexandre avait taillé le bout de gras autour du noeud gordien il y serait encore. Mais il l'a tranché et le problème a été résolu. 
L'exemple récent de Trump, forcément un sombre con, qui a osé appliquer une résolution américaine de plus de vingt ans mais que les timorés, dont Obama la gravure de mode, n'osaient pas appliquer parce que la "rue arabe" serait entrée en ébullition, démontre aisément qu'on ne résout pas un problème en tournant autour.
Résoudre le problème de l'islam en France et en Europe sera forcément violent, parce que l'islam ne recule que devant la force. Mais la violence est parfaitement légitime face à un totalitarisme qui veut nous asservir. 
Mais les classes sociales protégées au pouvoir en France ne semblent pas de cet avis, trop occupées qu'elles sont à satisfaire leur rapacité et à transférer leurs richesses ailleurs avant que le bateau coule.

C : Combien de français réalisent-ils que ces mesures liberticides attentent à la liberté, de tous ? Beaucoup n'en savent rien, d'autres s'en fichent et une majorité songe qu'elle n'est pas concernée : qui lirait le courrier électronique des Dupont ? Quelle police viendrait perquisitionner, défoncer les murs, les huis, vider les placards et violer l'intimité sans décision d'un juge remplacé par une administration dont on connaît la redoutable compétence chez les Dupont ? Et pourtant, cela a lieu. Les Dupont n'avaient qu'à s'appeler Martin. 
Les Dupont ont droit aux excuses des policiers et peut-être une indemnisation en cas de destruction, qui sait ?

G3 : Les bobos se sont plaints de l'atteinte aux libertés des lois sécuritaires en défendant les pauvres "stigmatisés" mais les "morts" des attentats ne se sont pas plaints eux de leur atteinte à la liberté de vivre ; et pour cause. 
Nous défendons notre peau, celle de nos parents, amis, voisins et de tous les Français devenus les victimes potentielles des chasses de comtes Zaroff musulmans.

S : Défendre notre peau n'implique pas nécessairement d'attenter aux libertés de tous les français. D'autres mesures plus efficaces d'ailleurs pourraient être prises.
1/ soumettre tout immigrant potentiel à la signature d'un document par lequel il s'engage à ne jamais remettre en cause les valeurs de la République: supériorité de la Loi Française à toute autre croyance, égalité homme/gemme, droits des gays. Par lequel il s'engage également à renoncer à tout droit de contester une mesure d'expulsion prises contre lui au cas ou il ne respecterait pas une des clauses du document signé.
2/ Soumettre tout postulant à l'entrée sur notre territoire, au titre du regroupement familial, à signer pareillement, le dit document.
3/ Expulser effectivement tous les clandestins présents sur notre territoire. A défaut de possibilité d'accord sur le retour avec le pays d'origine:
- bloquer tout fonds d'aide au développement du pays en question
- envoi des clandestins dans un centre de rétention dont les frais de fonctionnement seront prélevés pour partie sur les fonds d'aide bloqués.
4/ Tout clandestin arrêté sur le territoire qui n'aura pas accepté de repartir dès que demandé, outre qu'il sera expulsé et/ou mis dans un centre de rétention, sera interdit de formuler toute demande de séjour pour quelque motif que ce soit, pour une durée de 10 ans.
(L'interdiction du territoire, en droit français, peut être prononcée par un juge, en cas de délit ou de crime commis par un étranger. Mais le juge peut ne pas la prononcer. C'est le plus souvent une peine complémentaire qui est prononcée par un magistrat à l'occasion du prononcé de la peine principale. Cela peut aussi constituer la peine principale.
Je suggère que cette sanction d'interdiction du territoire devienne automatique et ne dépende plus du bon vouloir d'un magistrat quand un clandestin refuse de repartir. C'est le cas depuis toujours aux US. Si vous êtes arrêté en situation illégale, vous avez le choix: soit accepter votre expulsion immédiate, soit la contester devant les Tribunaux. Si le Tribunal n’accède pas à votre demande, votre expulsion s'accompagne automatiquement d' une interdiction de territoire d'une durée de 10 ans.)
5/ Révocation immédiate de toute autorisation de séjour des personnes impliquées dans des délits concernant l'atteinte à des policiers, pompiers et autres représentants de l'Etat.
6/ Dans l'hypothèse ou ces personnes ont la nationalité française, suspension de toutes aides sociales qui lui seraient versées.
7/ création d'une prison spéciale, située hors du territoire français, pour emprisonner toute personne condamnée au titre du terrorisme.
8/ Dissolution de toute association qui prêche la haine des français, des juifs, des chrétiens, des gays, des femmes. Tout comptable public ayant versé des fonds à une association de ce type, en connaissance de cause, sera comptable sur ses biens propres. 
9/Engagement solennel du gouvernement de poursuivre effectivement toute personne appelant à la haine et/ou faisant l'apologie du terrorisme (voir l'impunité de Meklat et de Sonia Nour)

S : Les français qui n’appellent pas à la haine des chrétiens, juifs, gays, femmes, qui ne cognent pas les représentants de l'Etat Français, qui ne se regroupent pas en vue de commettre un attentat, ne troublent pas l'ordre public par des prières intempestives dans des lieux publics, ne font pas l'apologie du terrorisme, ne contestent pas publiquement la laïcité, je leur reconnais le droit chez eux, dans leur for intérieur, de croire et penser ce qu'ils veulent.

G 2 : Le problème c'est qu'après avoir "détruit" le mariage en France, et inventé la notion de "famille monoparentale", un homme a parfaitement le droit de faire des enfants à plusieurs femmes qui seront autant de familles monoparentales, dûment aidées par les caisses sociales et toute la panoplie de l'assistanat français. Ledit bonhomme n'est pas polygame au sens strict puisque les mariages musulmans, seulement religieux, ne sont pas reconnus comme des mariages...
Alors à part lui couper les couilles, je ne vois pas d'autre solution.

J : La société française se raidit devant le terrorisme musulman, des mesures restreignant la liberté des citoyens et le respect de la vie privée sont adoptées, mais comment pourrait-il en être autrement dés lors que des groupes d'hommes armés tirent au fusil-mitrailleur sur des terrasses de café ou dans des salles de concert ; quand un individu "déséquilibré" écrabouille des dizaines de personnes dans une rue un soir de fête nationale, quand des jeunes femmes en vacances se font poignarder à mort sans aucune autre raison que le fait d'être jeunes, femmes et françaises de souche ; quand des policiers se font attaquer à coup de cocktails Molotov dans leur voiture ou battre comme plâtre dans l'espace public, quand des quartiers entier sont soumis à la loi des trafiquants de drogue, des caïds et des imams ? 
Les solutions pour régler ces problèmes sont connues de tous : il faut fermer nos frontières à l'immigration musulmane ; réduire drastiquement le regroupement familial ; autoriser la consommation et la vente de haschisch ; redonner de l'autorité aux maîtres et aux professeurs dans l'enseignement public ; durcir la répression sur les atteintes aux personnes ; chasser sans pitié les musulmans qui propagent des valeurs contraires à celle de la république ; établir un pacte républicain entre de véritables instances musulmanes nommées par le pouvoir politique et l'État, dans lequel celles-ci s'engageraient sur une série de principes sacrés sur la citoyenneté, l'égalité des sexes, la prééminence de la loi civile sur la charia, la laïcité... La mesure la plus importante étant, bien entendu, de fermer du mieux possible et le plus tôt possible les frontières ainsi que d'expulser rapidement tous les "déboutés du droit d'asile" et autres clandestins. Tout le reste n'est que verbiage.

sauvergarder sitamnesty

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