mercredi 29 novembre 2017

Allah (Islam et Vérité)

Qui est Allah ? L’auteur du mal…
 20 JUILLET 2017  5 COMMENTAIRES  3935

Dans l’Islam, tout dépend d’Allah, en sorte que les impies sont impies parce qu’Allah veut qu’ils soient impies : « Allah a créé toute chose en fixant son destin de façon immuable. » (Coran 25.2) ; « Il en est ainsi, Allah égare qui il veut, il dirige qui il veut. » (Coran 74.41 ; 6.39 ; 7.155 ; 4.88,143) ; « Allah vous aurait certainement tous dirigés, s’il l’avait voulu. » (Coran 6.149) ; « Si Allah l’avait voulu, ils n’auraient pas été polythéistes. » (Coran 6.107 ; 5.18 ; 29.21 ; 2.18). 

Si donc Allah a voulu des polythéistes, pourquoi se plaint-il qu’il y en ait ? Et quel sens cela a-t-il que non seulement Allah se plaigne qu’il y ait des polythéistes qu’il a lui-même voulu tels, mais encore qu’il commande aux musulmans de les persécuter et tuer : « Tuez les polythéistes partout où vous les trouverez ; capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades... » (Coran 9.4,5) ; « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah ni au dernier jour, qui ne regardent point comme défendu ce que Allah et son apôtre ont défendu, et à ceux d’entre les hommes des Écritures qui ne professent pas la vraie religion. Faites leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le tribut de leurs propres mains et qu’ils soient soumis. » (Coran 9.29) ; « Lorsque vous rencontrez les incrédules, frappez-les à la nuque, jusqu’à ce que vous les ayez abattus. » (Coran 47.4). Et de les persécuter avec raffinement même : « Rien d’autre : le paiement de ceux qui refusent Allah et son messager c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que leur soient coupées la main et la jambe opposée, qu’ils soient expulsés de la terre ! » (Coran 5.33) ? Heureusement que les musulmans ont une révélation pour leur expliquer comment torturer, parce que sans doute n’auraient-ils pas su par eux-mêmes comment s’y prendre !

Qui est assez pervers pour croire que Dieu soit Lui-même un pervers sadique ? Quel sens cela a-t-il qu’un Dieu crée des hommes pour commander à d’autres de les tuer ? Peut-il y avoir un Dieu plus haïssable que celui-là ?
Si le propre du Diable est la méchanceté, Allah n’est-il pas démasqué ? Il ne faut pas craindre Allah, mais il faut que chacun, et en premier lieu les musulmans eux-mêmes, détruisent cette idole derrière laquelle se cache Satan.
Le vrai Dieu, Lui, n’a pas fait d’impie, mais que des hommes libres, pour qu’ils puissent, comme Lui, aimer. « Voici Mon commandement, dit Jésus, aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. » (Jn 15.12). Voilà le vrai Dieu, Celui qui apprend aux hommes à s’aimer les uns les autres comme Lui-même nous aime, parce qu’Il est l’Amour (1 Jn 4.16). Seul l’amour donne la vie et jusqu’à sa vie.
Le propre de Satan, c’est le mensonge, la haine et le meurtre (Jn 8.44).
Chacun se juge lui-même en fonction du Dieu qu’il sert, soit le vrai Dieu qui est l’Amour pour en recevoir la joie et la vie éternelles, soit Satan qui est la haine pour en recevoir l’horreur et les tourments éternels.
« Vient un temps où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. » (Jn 16.2)

Qui est Allah ? (4 MAI 2017)
Dans l’Antiquité, à Babylone et tout le Moyen-Orient, le dieu principal était le dieu de la lune, représenté par un taureau, symbole de force et de fécondité, et plus simplement parfois par ses seules puissantes cornes en forme de croissant de lune. C’est ainsi que l’on peut voir encore au Musée d’Alep (Syrie), le dieu de la Lune, Sîn, protecteur d’Ur, symbolisé par des hampes surmontées d’un croissant lunaire. Sous ses différents noms, le dieu de la lune fut très tôt adoré en Mésopotamie comme le « Père des dieux », l’équivalent de Zeus pour les Grecs ou de Jupiter pour les Romains. Les arabes païens adoraient eux-aussi ce dieu de la lune appelé Hubaal (Coran 41.37). Hubaal avait eu trois filles : Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus, les divinités priées par Mahomet dans les fameux versets sataniques (Coran 53.19-20). La Bible, quant à elle, stigmatisait ce super-dieu représenté par un taureau comme étant le faux-dieu par excellence (Ex 32), appelé Baal (1 Ro 12.28-32 ; Ps 106/105.19-20…).
Par souci de cohésion et de légitimité pour leur entreprise, les judéo-nazaréens ou juifs-messianiques, ces « faux-frères » comme les appelait S. Paul (Ga 2.4 ; 2 Co 11.13, 26 ; Ph 3.2), venus chercher auprès des tribus arabes du renfort pour reprendre Jérusalem, firent passer Hubaal du rang de plus puissant de leurs dieux (statut que conserve encore la célèbre formule « Allah akbar ! », « Allah est le plus grand ! ») au rang de seul Dieu, et donc identique au Dieu juif. Et de même que les Romains disaient : « Ô Deus ! » (« Ô Dieu ! ») (Mi 4.5) pour s’adresser à Jupiter, de même chaque tribu arabe s’adressait à son dieu propre en le nommant « Le dieu », « Al-Ilâh », ce qui par contraction a donné « Allah », « LE Dieu », unique, pour désigner Hubaa, le Dieu de la lune et le plus grand des dieux devenu le seul Dieu. Et c’est ainsi qu’aujourd’hui encore Hubaal continue à couler des jours heureux, toujours représenté sur les drapeaux musulmans ou le toit des mosquées… souvent d’ailleurs accompagné de sa fille, la planète Vénus, la déesse Al-Uzzah…
Contrairement donc à ce que veut le faire croire l’islam, Allah n’est pas le Dieu biblique, même s’il est vrai qu’il n’y a bien qu’un seul Dieu (Jn 4.22), mais le produit de la rencontre entre l’idolâtrie de Hubaal, le dieu de la lune, le plus grand des dieux du panthéon arabe, et l’affirmation de l’unicité divine typique du judaïsme, en sorte que l’islam, à proprement parler, n’est rien d’autre qu’une idolâtrie du dieu juif.
Il est facile en effet de reconnaître encore d’autres sources païennes de l’islam, comme par exemple la vénération de la pierre noire à la Mecque, symbole féminin de la déesse Shaybah. Ainsi que cela se pratique encore dans d’autres religions, et comme autrefois le faisaient leurs ancêtres arabes païens aimant toucher la vulve de la déesse en gage de bénédictions, aujourd’hui encore les musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à la Mecque en touchant et embrassant cet objet sacré…
Bref, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, sous couvert de respect du caractère sacré de la religion, l’islam condamne comme blasphémateurs et souvent passibles de la mort, ceux qui osent réfléchir sérieusement au bien-fondé de son discours officiel…
Je rappelle que le pape Calixte III, après la prise de Constantinople par les Turcs, à demandé que l’on prie l’Angélus, matin, midi et soir, pour obtenir de Dieu la conversion des musulmans et la paix.


Allah et la lumière (6 SEPTEMBRE 2016)

Nous lisons en Coran 24.35 : « Allah est la lumière des cieux et de la terre ! Sa lumière est comparable à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un verre ; le verre est semblable à une étoile brillante. Cette lampe est allumée à un arbre béni : l’olivier qui ne provient ni de l’Orient ni de l’Occident et dont l’huile est près d’éclairer sans que le feu la touche. »

Pour les musulmans, Allah est inconnaissable (Coran 2.255 ; 112.2 ; 20.110), et pourtant, le Coran nous décrit Allah… comme une lampe allumée dans un verre dont l’huile provient d’un arbre béni. Allah ne produit donc pas la lumière de lui-même, mais il a besoin pour cela de l’huile d’un arbre… Allah n’est donc pas tout-puissant ni autonome, et il n’est pas non plus par lui-même la lumière…
L’auteur de ce verset a transgressé dans ce verset deux principes absolus de l’islam :

1. Le premier principe musulman transgressé ici est celui de ne pas faire d’image, et a fortiori d’image de Dieu… Or, ici, le Coran représente Allah comme une lampe de verre brûlant de l’huile d’olive. Comment les musulmans pourront-ils maintenant continuer à reprocher aux chrétiens d’utiliser des images pour leur vie de foi, puisqu’Allah lui-même en utilise ?

2. Le deuxième principe transgressé est celui de l’affirmation de l’unicité divine… En effet, sans l’olivier et son huile la lampe ne donne pas de lumière… Soit donc il faut dire qu’Allah n’est pas auto-suffisant, et donc n’est pas un, soit il faut dire que l’olivier est aussi Dieu. Il n’y a pas d’autre solution si on veut respecter le texte. Mais dire que l’olivier est aussi Dieu pour affirmer que Dieu est un et auto-suffisant et donc capable de produire de la lumière par lui-même et non par un autre, c’est faire un pas vers la reconnaissance que l’affirmation de l’unicité divine ne s’oppose pas à celle de la trinité des personnes divines… D’ailleurs, ce verset rend gloire au Dieu Trinité en affirmant à la fois que Dieu est lumière et que Dieu produit de la lumière, ce qui pointe évidemment la distinction des personnes divines dans l’unité de leur commune nature. Et ce n’est pas fini : aussi vrai que Jésus est La lumière du monde (Jn 1.9+ ; 8.12), l’huile est un symbole de l’Esprit-Saint (Lc 4.18 ; Jn 10.36 ; Ac 4.27 ; 10.38 ; He 1.9)… C’est d’ailleurs pour cela que les chrétiens appellent Jésus, « Christ », Celui qui est oint et donne l’Esprit-Saint (Jn 1.33).

Bref, si Satan est capable de se déguiser en ange de lumière (2 Co 11.14), Dieu est assez puissant pour faire éclater dans le Coran lui-même aussi bien la fausseté de l’islam que la vérité de la foi chrétienne !

Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils changeraient de vie…


“Allah aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour sa cause. (Coran 61.4)” (26 JUILLET 2016)

En hommage à tous ceux qui ont été assassinés pour plaire à Allah…  en ce jour de l’assassinat du père Jacques Hamel alors qu’il offrait le Sacrifice de Jésus en réparation de nos péchés… Peut-être qu’arrivé à 86 ans, s’accrochant encore à faire vivre une église à l’agonie, son exemple retardait-il par trop localement la cessation des églises à la communauté musulmane demandée par le Dr. Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris,  ex-président du CFCM, officier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, et médaille de vermeil de la Ville de Paris ?

Quelle hypocrisie que de se lamenter des tristes faits commis par les serviteurs d’Allah alors qu’on laisse en vente libre le Coran et toutes sortes d’autres ouvrages appelant à la haine et au meurtre !!

Mais heureusement, l’islam a ses défenseurs et thuriféraires patentés…

Il apparaît de plus en plus clairement à tous que ces fous qui sèment la mort ne peuvent pas vraiment se revendiquer de l’islam“, indique l’archevêque.


L’islam a encore de beaux jours devant lui avec de tels apôtres de l’unicité du salut donné uniquement en Jésus et par l’Eglise (Jn 14.6 ; 1 Jn 2.22 ; Ga 1.8-9 ; Dominus Iesus) ! Si cette profession de foi pro-islamique n’est pas de l’indifférentisme, qu’est-ce que c’est ? Comment Mgr Pontier peut-il défendre l’islam ? Ne devrait-il pas ne rien “savoir sinon Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié  (1 Co 2.2 ; 1.23), en sorte qu’il ne sache rien de ce qui vient après Jésus ? Qui peut venir en effet APRES le Christ, sinon l’Antichrist ? 

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Yves Daoudal explique pourquoi les terroristes sont abattus et non pas “neutralisés” :

Parce que les jihadistes ne doivent pas pouvoir expliquer dans un procès qu’ils appliquent l’idéologie islamique telle qu’elle se trouve dans le Coran et les Hadiths, qu’ils font le jihad parce que c’est une obligation de l’islam, qu’ils ne font qu’imiter le « beau modèle », Mahomet, comme doit le faire tout musulman.

Et il ne faut pas croire la désinformation sur les jihadistes qui n’en sont pas, qui sont des déséquilibrés tombés on ne sait comment dans une « radicalisation » dont eux-mêmes ne savent à peu près rien. J’avais été très impressionné par la retranscription des échanges entre Mohammed Merah et les policiers qui l’assiégeaient. Cet homme qui était soi-disant un jeune paumé qu’on voyait beaucoup plus en boîte de nuit qu’à la mosquée avait une connaissance très étendue et très approfondie de l’islam. Or c’est précisément ce que l’on ne doit pas savoir. C’est pourquoi il faut tuer Mohammed Merah et ses semblables. Pour que les Français croient qu’on a abattu quelques cinglés, et ne sachent pas ce qui les attend…”


Dieu n’a pas de fils et il n’a pas engendré (6 JUILLET 2016)


Allah n’a pas de fils, il n’a pas engendré
Négation de la Sainte Trinité

 Interroger l’islam – Extraits choisis

 DIEU A-T-IL ENGENDRE ?

 Loué soit Jésus-Christ ! Sa grâce soit avec vous !

 Je vais traiter la question : « Dieu a-t-il engendré ? » à partir de quatre lieux différents : l’histoire des religions, la théologie catholique, la nature, et le Coran. Remarquons tout d’abord que dans les versets par lesquels le Coran refuse l’engendrement de Dieu ou par Dieu (112 ; 37.151-154 et 43.18), le terme « engendrer » est entendu comme si les chrétiens croyaient que Dieu est de nature humaine. Or, ce n’est pas le cas. Les chrétiens comprennent très bien que Dieu étant éternel, Dieu n’a pas été créé ni n’a eu un commencement.

 Il faut donc commencer par rappeler la définition du mot « engendrer », car la division islamo-chrétienne est appuyée sur la confusion du sens des mots « engendrer » et « créer », confusion qui conduit les musulmans à croire que l’expression « Jésus est le Fils de DieuDieu né de Dieu » signifierait pour les chrétiens que Dieu a été créé. Or, il n’en est rien ! Lorsque nous disons qu’un homme engendre son fils, nous disons qu’il lui communique sa nature humaine, et c’est pourquoi nous ne disons pas qu’il engendre une table, mais qu’il la fabrique. Ainsi, lorsque Dieu communique Sa nature divine, on dit qu’Il engendre, et lorsqu’Il ne la communique pas à ce à quoi Il donne d’être, on dit qu’Il crée. Engendrer signifie donc : communiquer sa propre nature, et non pas créer.

Rappelons encore la distinction des notions de nature et de personne. Cette distinction conduit à reconnaître que si nous tous, ici, partageons la même nature humaine, nous ne sommes pas pour autant la même personne. C’est pourquoi il n’est pas contradictoire d’affirmer en Dieu à la fois l’unicité de la nature divine et la trinité des personnes divines, comme il n’est pas contradictoire d’affirmer dans l’humanité à la fois l’unicité de la nature et la diversité des personnes.

Nombre de religions, et l’islam en particulier, croient que Dieu a parlé. Or si Dieu parle, soit sa parole est engendrée par Lui, et alors Elle a reçu la nature divine ; soit elle n’est pas engendrée par Dieu, et alors elle n’est pas divine, mais d’autant plus démoniaque qu’elle se prétend divine. Il n’y a pas d’autre solution. Pour vous musulmans, la Parole de Dieu ne peut pas avoir été créée, puisque le Coran affirme que tout a été fait par la Parole de Dieu (6.73 ; 16.40), ce qui revient à dire que la Parole de Dieu n’a pas été créée, sans quoi elle aurait été créée par autre chose qu’Elle-même, et il serait donc faux de dire que tout a été créé par elle. Si donc la Parole de Dieu n’a pas été créée, c’est qu’Elle est éternelle, et puisque Dieu seul est éternel, la Parole de Dieu est donc Dieu. Et c’est pourquoi nous disons qu’Elle a été engendrée.

En théologie catholique, la génération en Dieu n’est pas comprise comme une génération humaine, mais comme celle de la pensée à partir de l’intelligence, car Dieu est Esprit et non pas matière. Si Dieu est parfait, Il connaît toutes choses, et a fortiori Lui-même. Dieu Se connaît par la Pensée qu’Il a de Lui-même, par la parole par laquelle Il Se dit à Lui-même, comme le Père Se connaît Père grâce à Son Fils. Sans fils il n’y a pas de père, comme il n’y a pas de père sans fils. En Dieu, qui est unique, le sujet connaissant et l’objet connu s’identifient totalement, et cette identification, qui se distingue du sujet connaissant et de l’objet connu, de par sa relation à eux, est la connaissance elle-même. C’est pourquoi « Dieu est Lumière » (1 Jn 1.5 ; Jn 8.12), éclair d’intelligence en qui tout est connu. On peut encore montrer que l’unicité de la nature divine ne s’oppose pas à la pluralité de l’être, en partant du fait que Dieu ne dépend de personne pour exister, mais existe par Lui-même. Si donc Dieu est cet être qui S’engendre éternellement Lui-même, on peut distinguer en Lui, l’Être qui engendre et Celui qui est engendré… c’est Le Même, qui Se distingue en Lui-même ! Il y a l’Engendrant et l’Engendré, le Père et le Fils, et l’Engendrement, ou Amour, par Lequel le Père engendre le Fils et par Lequel le Fils rend gloire en retour au Père. Ou encore, puisqu’en Dieu rien n’est imparfait, Il est Acte pur. Or tout acte est constitué de deux termes et de leur relation, par exemple : l’acte de donner implique l’existence de celui qui donne, de celui qui reçoit, et du don qui les unit. En tant qu’Il est Acte pur d’exister, Dieu est donc nécessairement trinitaire.

Voyons maintenant si le Dieu trinitaire est le vrai Dieu. S’Il l’est, Il est nécessairement le Dieu créateur. De même que le potier laisse ses empreintes sur son pot, y a-t-il dans la Création les empreintes qui attestent que le Créateur est le Dieu Un et Trine ? Comme le Père et le Fils Se font face en leur Amour éternel, la matière dont sont constituées toutes les créatures est répartie de façon symétrique autour d’un axe invisible. Ainsi notre visage est constitué de deux profils et d’une face ; l’homme et la femme ne font qu’un, pour que un fasse trois dans leur amour qui prend le visage de leur enfant ; le même homme est à la fois fils, frère et père ; notre être est composé de l’esprit, l’âme et du corps, et notre corps de la tête, du tronc et des membres, et les membres articulés en trois parties, et notre esprit a trois facultés : l’intelligence, la mémoire et la volonté ; nous vivons dans le temps qui est composé du passé, du présent et du futur ; dans l’espace qui a trois dimensions ; l’’eau est glace, vapeur et liquide ; le feu consume, réchauffe et éclaire ; et trois couleurs primaires donnent toutes les couleurs… Etc. etc. Par sa structure trinitaire, la création réfléchit la gloire de son Créateur. D’ailleurs, seul le Dieu Un et Trine, parce qu’Il est à la fois le même ET différent, est capable de créer le monde, qui n’est ni Lui ni rien…

Le Coran lui-même confesse la nécessaire nature trinitaire de Dieu. Ainsi, en 9.30, nous lisons : « Les Chrétiens ont dit “Le Messie est Fils de Dieu!” […] Qu’Allah les anéantisse! » Qui dit : « Qu’Allah les anéantisse! » ? Si c’est Allah, le fait qu’il soit Un ne l’empêche donc pas de parler de Lui-même comme d’un autre… et ainsi le Coran reconnaît que Dieu est doué de réflexivité, de relation avec Lui-même. Mais reconnaître Dieu doué de relation avec Lui-même, c’est affirmer le fondement nécessaire à la confession de la nature trinitaire de Dieu. Si en effet Dieu est relation avec Lui-même, Il L’est en Lui-même et par Lui-même, autrement dit Il est Trinité. En 24.35 Allah est comparé à une lumière venant d’une lampe dont l’huile provient d’un arbre béni. Je passe sur l’interdiction de faire des images en Islam, pour remarquer que sans l’olivier et sans son huile, la lampe ne donne pas de lumière… Autrement dit : soit Allah n’est pas autosuffisant puisqu’il a besoin d’un olivier et de son huile pour être lumière, soit l’huile et l’olivier font partie de l’être d’Allah au même titre que la lampe. Il n’y a pas d’autre solution. Mais si l’huile, l’olivier et la lampe sont nécessaires pour dire qu’Allah est lumière, alors est reconnue que l’affirmation de l’unicité divine de s’oppose pas à celle de la Trinité…
Je termine donc en vous annonçant cette bonne nouvelle : les chrétiens croient au Dieu unique ! Et s’il est vrai qu’il n’y a qu’un seul Dieu, alors il n’est plus possible aux musulmans de ne plus vouloir être chrétiens au motif que les chrétiens ne seraient pas de vrais monothéistes. Il n’y va pas seulement de la Gloire du Dieu unique, qui nous veut tous un, comme Il est un (Jn 10.16 ; 11.52 ; 17.21), mais encore de la paix du monde, et du salut éternel offert à chacun par l’amour de la vérité… Celui qui désormais continuera à croire que les chrétiens ne sont pas monothéistes parce qu’ils croient au Dieu Trinité, qu’il sache qu’en refusant de croire ce que ses propres oreilles lui disent, il se condamne lui-même

À la différence du Dieu chrétien, Allah révèle seulement sa volonté, mais pas son être. Il est seulement son commandement. « Il n’engendre pas, iln’est pas engendré » (G 112.3) : le Dieu du Coran n’a pas de relation avec lui-même et donc pas de vie intérieure. N’ayant en lui ni identité, ni relations, ni personnes, sa pauvreté métaphysique ne lui permet pas d’action en lui-même : ni il ne se veut, ni il ne se connaît, ni il ne s’aime. Allah n’ayant pas d’actes réflexifs, car il n’est ni être ni langage, on peut dire qu’il n’est pas. Seule la volonté d’Allah existe, qui n’a pas pour objet Dieu, mais le monde. Entièrement relative au monde, la volonté d’Allah est le Prince de ce monde (Jn 14.30 ; Mt 4.8-10).


Allah jure ! (30 JUIN 2016)

Loué soit Jésus Christ !

Dans le Coran, Allah jure par exemple, par les Anges (Coran 37, 1), par les vents (Coran 51,1), par la mer agitée (sourate 52 . 6), par l’étoile du matin sourate (53 . 1), par la plume sourate (68 . 1), par le soleil (sourate 91 . 1), par le figuier et l’olivier sourate (95 . 1), etc., etc.

Allah prend donc à témoin de la vérité de ce qu’il dit des créatures qu’il a lui-même faites et donc à qui il peut faire dire ce qu’il veut… Les jeux sont donc pipés à l’avance. Ce n’est pas sérieux pour un dieu de prendre à témoin des créatures que lui-même a faites et à qui il peut faire dire ce qu’il veut.
Par ailleurs, jurer signifie prendre quelqu’un à témoin de la vérité de ce que l’on dit. Mais est-ce que Dieu a besoin de prendre quelqu’un à témoin de la vérité de ce qu’il dit ? Est-ce que Dieu peut mentir, est-ce qu’il n’est pas QUE vérité ? S’il est unique et s’il est vérité, il ne peut pas mentir, donc il lui est pour le moins superflu de jurer.

Mais manifestement, pour Allah, il en va autrement. Certainement parce qu’il peut mentir, et donc il doit aussi jurer…

Mais à ce compte-là, est-il le vrai Dieu ?

Jésus Christ en comparaison, nous demande d’imiter le vrai Dieu, qui n’est pas menteur, et donc de ne pas jurer. Il dit dans l’Evangile selon saint Matthieu au chapitre 5 et au verset 37 : “Que votre langage soit: “Oui? Oui”, “Non? Non”: tout ce qu’on dit en plus vient du Mauvais (Mt 5.37)”. Oui, du Mauvais...

Lorsque dans la Bible Dieu jure (Ez 17.16 ; Is 45.23), c’est toujours par Son Nom, Sa Gloire, qui est celle de Jacob (Am 8.7). Il jure donc par Lui-même, mais jamais par ce qui Lui est inférieur (He 6.13), et Il ne le fait que pour utiliser l’expression convenue marquant le caractère irrévocable de ce qu’Il désire signifier, l’immuabilité de Sa parole (He 6.17). 


Allah remplit le coeur des musulmans de haine (29 AVRIL 2016)

La première sourate est récitée au moins quinze fois par jour par tout musulman pieux, en sorte qu’il s’auto-endoctrine dans la haine, et tout spécialement celle des disciples du Christ et des Juifs d’où est issu le Christ… Mais qui d’autre que Satan sème la haine ? La haine d’autrui ne peut entrer au Paradis du vrai Dieu.
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La répétition a le pouvoir magique de rendre une chose d’autant plus vraie qu’elle est plus souvent répétée. Ce procédé capable de transformer même l’absurde en raisonnable est très prisé pour les lavages de cerveau. Comme l’aurait dit Voltaire : « Mentez ! Mentez ! Il en restera toujours quelque chose ! » Ce n’est pas pour rien que la répétition est au cœur de la prière musulmane, laquelle, loin d’être un dialogue d’amour avec Dieu comme la prière chrétienne, n’est que la répétition de textes destinée à conditionner l’esprit : Cinq fois par jour le musulman répète cinq fois qu’il n’y a pas d’autre divinité qu’Allah, que donc la Sainte Trinité n’est pas Dieu, que Mahomet est son envoyé, que donc Jésus-Christ n’est pas le Sauveur. De plus, toute prière musulmane doit commencer par la récitation de la première sourate, la Fatiha (Bukhari, 723), laquelle, en bonne parole de l’Antichrist qu’elle est, inocule la haine des chrétiens et des Juifs desquels est issu le Christ… Qui peut ne pas croire ce qu’il répète à longueur de journées ?

Première sourate du Coran servant d’introduction à la prière rituelle (Salat). « Au nom d’Allah, le tout miséricordieux, le très miséricordieux. Louange à Allah, le Seigneur du monde ! Le tout miséricordieux, le très miséricordieux. Possesseur du jour du jugement. C’est toi que nous adorons et c’est toi dont nous demandons l’aide. Dirige-nous vers le chemin droit. Le chemin de ceux que tu as gratifiés, contre lesquels [tu n’es] pas en colère et qui ne sont pas égarés » (1.1-7)Ceux contre qui Allah est en colère sont les Juifs (2.61), et les « égarés » sont les chrétiens (4.44). C’est l’unique prière de supplication des musulmans… La prière du Vendredi à la mosquée est encore plus vindicative contre les Juifs et les chrétiens : non seulement la Fatiha est récitée deux fois, mais aussi les sourates 62 et 63, qui sont remplies de haine à l’égard des Juifs et des chrétiens. Et que dire de cette litanie concluant le prêche, dont les fidèles ponctuent chaque supplication par « Amen » : « O Allah ! Accorde-nous la victoire sur les Juifs, qui sont tes ennemis mais aussi les ennemis de notre religion ! (Amen) – O Allah ! Fais périr les mécréants, les polythéistes et les ennemis de l’islam !(Amen) – O Allah ! Éparpille leur nation ! (Amen) – O Allah ! Disperse leurs troupes ! (Amen) – O Allah ! Détruis leurs édifices ! (Amen) – O Allah ! Fais périr leur récolte ! (Amen)- O Allah ! Rends orphelins leurs enfants ! (Amen) – O Allah ! Rends veuves leurs épouses ! (Amen) – O Allah ! Fais tomber leurs biens et leurs fortunes comme butin entre les mains des musulmans ! (Amen) ! (…) Comment prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour ?


Allah et la rationalité (6 MARS 2016)

 Le Dieu du christianisme, même s’Il est infiniment au-delà de ce que peut en comprendre l’entendement humain, est cependant reconnu parfaitement juste et donc également logique, rationnel, raisonnable. C’est cette foi dans le Logos (la raison) du Dieu-Créateur qui a permis à la science de se développer en Occident. La raison, qui nous spécifie, vient de Lui, elle n’est donc pas sans lien avec ce qu’Il est et s’Il nous a donné de désirer connaître la vérité, ce n’est pas pour autre chose que pour que nous la connaissions. Sinon Dieu serait un mauvais génie qui se serait moqué de nous, ce qui, pour une intelligence occidentale, n’aurait de sens ni pour Lui ni pour nous ! En vérité, Dieu ne fait rien sans raison, Il n’agit pas comme un fou, mais Il a « tout réglé avec mesure, avec nombre et avec poids » (Sg 11.20). Si donc le monde n’est pas absurde ou incohérent, en sorte que la science peut y découvrir les raisons ou lois que Dieu y a mises, qui le régissent et le rendent intelligible, serait-il possible que Dieu ne nous veuille pas à son image : raisonnables ? 

Avons-nous le même Dieu, Jésus mis à part ? (vidéo)



Allah est l’auteur du mal (18 JANVIER 2016)

Dans le Coran, parce que tout dépend de lui, Allah est aussi le créateur du mal (113.2 ; 67.2)… Mais si Allah est le créateur du mal, comment peut-il reprocher aux hommes de faire eux-mêmes le mal ? Et si Allah crée le mal, comment et pourquoi lutter contre le mal ? Le fait de la création montre pourtant la bonté et la puissance de Dieu, dès lors, comment croire que Dieu veuille du mal au monde qu’il crée ? Quel sens cela aurait-il ? Si Allah fait le mal, de deux choses l’une : ou bien il se renie lui-même en tant qu’il est un, ou bien il n’y a pas de différence entre le bien et le mal. Et s’il n’y a pas de différence entre le bien et le mal, qu’est-ce que le libre arbitre, et qu’est-ce que la responsabilité ? Et pourquoi se convertir ? Quel est le sens du Jugement dernier et de ses sanctions (38.16 ; 83.1-17) ?

En théologie chrétienne, ce n’est pas Dieu qui est cause du mal (Mc 3.24), mais Satan (Cf. E 5 ; Sg 2.24 ; Jn 8.44), qui, de bon que Dieu l’avait créé, s’est lui-même rendu mauvais, « père du mensonge et de l’homicide » (Jn 8.44). Comme Satan, « Allah aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour sa cause. » (61.4 ; 8.17 ; 9,1…). Allah exige : « Lorsque vous rencontrez les non-musulmans, frappez-les à la nuque, jusqu’à ce que vous les ayez abattus. » (47.4) ; « Ô croyants ! combattez les mécréants qui vous avoisinent ! Qu’ils vous trouvent durs à leur égard ! » (9.124) ; « Combattez-les ! Allah les châtiera par vos mains ! » (9.14). En islam, la violence est constitutive de la révélation d’Allah, la violence est divine ! Elle s’incarne en quelque sorte dans les ‘croyants’ afin de manifester la colère d’Allah, sa puissance et sa volonté. Je souhaiterais que tous ceux qui pour plaire à Allah s’imaginent devoir faire le mal se posent cette question : que feraient-ils de différent s’ils voulaient plaire à Satan ?

Mais comment le musulman, qui est, selon lui, le vrai homme, pourrait-il faire autrement que faire du mal, puisque Allah, faisant le mal, l’a créé « misérable » (90.4) ? Parce que l’islam méconnait la nature spirituelle de l’homme, créé très parfait (Gn 1.31), libre, pour pouvoir aimer, liberté dont le mauvais usage a produit le péché originel (Gn 3 ; Ps 50.7 ; Rm 5.12), dont nous souffrons tous, et parce que l’islam refuse, avec la révélation de la nature trinitaire de Dieu le principe même de la différence, l’islam imagine Dieu monopolisant jalousement la totalité de l’être, tel un tyran être cause unique de tout, y compris des effets produits par les causes secondes, dont les volontés créées, en sorte qu’Allah doit être aussi l’auteur du mal…

Si c’est Allah qui crée le mal, on se demande bien ce que fait encore le Diable ? Eh bien, dans la pensée musulmane, Allah est si bien le principe du mal, que c’est lui qui a induit le diable en erreur (15.39)… Et sur cette lancée Allah a aussi créé des hommes pour l’Enfer ! « Nous avons créé pour l’Enfer un grand nombre d’hommes » (7.179, 186 ; 11.119 ; 4.88 ; 5.41 ; 6.125 ; 74.31). Mais comment aimer un Dieu qui vous a peut-être créé pour aller rôtir éternellement en Enfer, en sorte que quoi que vous fassiez, bien ou mal, sa volonté s’accomplira infailliblement ? Ce Dieu-là n’est pas le Dieu chrétien, qui, Lui, non seulement ne fait jamais le mal, mais a créé tous les hommes pour qu’ils partagent – s’ils le veulent – Son bonheur éternel, et est assez puissant pour faire servir même le mal – qu’Il ne veut pas, au service d’un plus grand bien que celui qui aurait eu lieu s’il n’y avait pas eu le mal, et cela, par la communion à son Fils Jésus mort et ressuscité ! Peut-il y avoir un Dieu meilleur et plus grand que celui-là ?

Mahomet et Jérusalem (7 DÉCEMBRE 2015)

La Sourate 70 commence par l’évocation d’un mystérieux et nocturne voyage de Mohamed depuis la mosquée sacrée identifiée traditionnellement avec la mosquée de la Mecque jusqu’à la mosquée très éloignée identifiée traditionnellement avec la mosquée de Jérusalem, encore appelée mosquée d’Omar car c’est le deuxième khalife qui conquis Jérusalem en 638, c’est à dire 6 ans après la mort Mohamed…

Quelle vie morale en islam ? (7 DÉCEMBRE 2015)

Pour l’Islam, Allah qui est Dieu et qui est unique, monopolise aussi nécessairement la totalité de l’être. Rien ne peut être que Allah puisque Allah est, qu’il est unique et qu’il est Dieu. Et donc, rien ne peut se faire que par Allah qui lui-même fait ce qui se fait, qui lui même donne l’être en tout ce qui existe….

Du ou des monothéismes (7 DÉCEMBRE 2015)

Il est courant d’entendre dire que le judaïsme, le christianisme et l’islam serait trois religions monothéiste, qu’elle partagerait en commun l’affirmation de la foi monothéiste. Le christianisme ne faisant que rajouter la foi trinitaire à l’affirmation de l’unicité de Dieu. Mais il n’en est pas ainsi….

Allah laisse seul, Jésus Se donne (7 DÉCEMBRE 2015)

Allah n’entretient pas de relation personnelle avec l’homme mais laisse celui-ci seul face à son destin, inconnu et inconnaissable. Le Dieu chrétien – en comparaison – par l’incarnation s’unit de la façon la plus intime qui soit à l’humanité en devenant lui-même homme, afin que tout homme puisse par le Christ et dans le Christ devenir lui-même participant de la nature divine….


Allah et la lumière (4 DÉCEMBRE 2015)

Pour savoir qui est Allah, on peut simplement considérer que après le Christ ne peux se manifester que l’antichrist, qui peut oser parler après la vérité sinon le menteur. Mais il est intéressant de voir comment le Coran lui-même confirme cela…

ALLAH ET LA LUMIERE

On peut bien sûr savoir qui est Allah en considérant simplement qu’après le Christ seul l’Antichrist peut se manifester. Qui peut en effet oser parler après la Vérité (Jn 14.6 ; Coran 6.73 ; 16.40) sinon le Menteur ? Mais il est intéressant de voir comment le Coran confirme cela.

Ainsi, nous lisons par exemple (Coran 24.35) : « Allah est la lumière des cieux et de la terre ! Sa lumière est comparable à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un verre ; le verre est semblable à une étoile brillante. Cette lampe est allumée à un arbre béni : l’olivier qui ne provient ni de l’Orient ni de l’Occident et dont l’huile est près d’éclairer sans que le feu la touche. »

Pour les musulmans, Allah est inconnaissable (Coran 2.255 ; 112.2 ; 20.110), et pourtant, le Coran nous décrit Allah… comme une lampe allumée dans un verre dont l’huile provient d’un arbre béni. Allah ne produit donc pas la lumière de lui-même, mais il a besoin pour cela de l’huile d’un arbre… Comment dire alors qu’Allah est lui-même la lumière ?

Comment ne pas voir que l’auteur de ce verset a raconté au sujet de Dieu ce qu’il a pu, quitte pour cela à transgresser deux principes absolus de l’islam :

1. Le premier principe musulman transgressé ici est celui de ne pas faire d’image, et a fortiori d’image de Dieu… Or, ici, le Coran représente Allah comme une lampe de verre brûlant de l’huile d’olive. Comment les musulmans pourront-ils maintenant continuer à reprocher aux chrétiens d’utiliser des images pour leur vie de foi, puisqu’Allah lui-même en utilise ?

2. Le deuxième principe transgressé est celui de l’affirmation de l’affirmation de l’unicité divine… En effet, sans l’olivier et son huile la lampe ne donne pas de lumière… Soit donc il faut dire qu’Allah n’est pas auto-suffisant, et donc n’est pas un, soit il faut dire que l’olivier est aussi Dieu. Il n’y a pas d’autre solution si on veut respecter le texte. Mais dire que l’olivier est aussi Dieu pour affirmer que Dieu est un et auto-suffisant, c’est faire un pas vers la reconnaissance que l’affirmation de l’unicité divine ne s’oppose pas à celle de la trinité des personnes divines… D’ailleurs, ce verset rend gloire au Dieu Trinité en affirmant à la fois que Dieu est lumière et que Dieu a une lumière, ce qui pointe évidemment la distinction des personnes divines dans l’unité de leur commune nature. Et ce n’est pas fini : aussi vrai que Jésus est La lumière du monde (Jn 1.9+ ; 8.12), l’huile est un symbole de l’Esprit-Saint (Lc 4.18 ; Jn 10.36 ; Ac 4.27 ; 10.38 ; He 1.9)… C’est d’ailleurs pour cela que les chrétiens appellent Jésus, « Christ », Celui qui est oint et donne l’Esprit-Saint (Jn 1.33).

Bref, si Satan est capable de se déguiser en ange de lumière (2 Co 11.14), Dieu est assez puissant pour faire éclater dans le Coran lui-même aussi bien la fausseté de l’islam que la vérité de la foi chrétienne !


Le mensonge d’Allah (1 DÉCEMBRE 2015)

A la différence du Christianisme qui tire ses motifs de crédibilité aussi bien de l’attente juive de la venue du Messie (Gn 3.15 ; 49.10 ; Dt 18.15 ; 2 S 7.18-17 ; Ps 20.7 ; Is 7.14 ; 1.1-9 ; Mi 4.14 ; 5.1-4 ; Os 2.20 ; Is 7.14), que de la sainteté incomparable de la vie et de l’enseignement du Christ, de l’affirmation de Sa divinité (Mt 16.15-20 ; 17.24-27 ; 26.63-64 ; Mc 2.7 ; Lc 10.22 ; 22.70 ; Jn 1.1,14 ; 7.37-38 ; 8.24,28,58 ; 9. 35-38 ; 13.9 ; 14.6 ; 18.36-37 ; 20.22-23,28-30… ), cause de Sa mort (Mt 26.65 ; Jn 10.33), de ses miracles, hier et aujourd’hui, de ses prophéties (Mc 13.13 ; Lc 19.41-44 ; 21.5-33 ; Jn 15.20), de Sa présence, ressuscité, auprès de ses disciples, de la venue de l’Esprit-Saint, du témoignage que lui rend la raison, de la fécondité de l’Évangile qui a révolutionné en profondeur et orienté définitivement le monde, l’islam n’a pas d’autre gage de crédibilité à offrir que la supposée inimitabilité du Coran (Coran 7.203 ; 10.37 ; 17.88 ; 19.73 ; 22.72 ; 34.43 ; 45.25 ; 46.7). C’est ainsi qu’à plusieurs reprises, dans le Coran, Allah lance aux incrédules le défi d’apporter une sourate ou des versets semblables aux siens (Coran 11.13-14 ; 2.23 ; 10.38 ; 52.34). De l’impossibilité présumée de relever son défi, Allah en déduit la preuve de l’origine divine du Coran, et, par voie de conséquence, de celle aussi de l’islam.

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Par exemple, à la sourate 17 et au verset 88, nous lisons : « Si les hommes et les djinns se concertaient pour produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient y parvenir, même s’ils se prêtaient mutuellement assistance. » (Les djinns étant ces créatures mi-anges, mi-hommes, propres à la mythologie musulmane.) Or, voici que la sourate 72, qui porte précisément le titre « Les Djinns », fait parler des djinns… Se pose alors la question : Qui parle dans la sourate 72 ? Allah, ou les djinns ? La sourate 72, est-elle la parole des Djinns ou celle d’Allah ?

En tout cas, une chose est sûre : du fait que la parole des djinns est reconnue par le Coran, et donc par Allah, comme semblable aux autres paroles du Coran, le défi lancé par Allah est relevé et Allah convaincu par sa propre parole de mensonge …

Puisqu’Allah lui-même prouve que les djinns sont capables de produire un texte semblable à celui de son Coran, il est donc clair que le Coran ne vient pas de Dieu, ni donc l’islam… Que reste-t-il alors aux musulmans à faire, sinon à rejeter les calomnies et la haine de la foi chrétienne que le « Diable, qui est menteur et père du mensonge » (Jn 8.44), n’a pas cessé, par l’islam, de leur inoculer pour, à sa suite, les damner ? Que peuvent-ils faire de mieux que d’accueillir désormais et enfin, par le baptême, le pardon de leurs péchés et la vie éternelle que Dieu nous a donnés par la mort et la résurrection de Jésus, le Messie ?

Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !

Qui peut venir après le Christ sinon l’Antichrist ?

A voir aussi : Qui parle dans le Coran ?


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