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Qui est Allah ? L’auteur du
mal…
20 JUILLET 2017 5 COMMENTAIRES 3935
Dans l’Islam,
tout dépend d’Allah, en sorte que les impies sont impies parce qu’Allah veut
qu’ils soient impies : « Allah a créé toute chose en fixant
son destin de façon immuable. » (Coran 25.2) ; « Il en est ainsi,
Allah égare qui il veut, il dirige qui il veut. »
(Coran 74.41 ; 6.39 ; 7.155 ; 4.88,143) ; « Allah vous aurait
certainement tous dirigés, s’il l’avait voulu. »
(Coran 6.149) ; « Si Allah l’avait voulu, ils
n’auraient pas été polythéistes. » (Coran 6.107 ;
5.18 ; 29.21 ; 2.18).
Si donc Allah a voulu des polythéistes,
pourquoi se plaint-il qu’il y en ait ? Et quel sens cela a-t-il que non
seulement Allah se plaigne qu’il y ait des polythéistes qu’il a lui-même voulu
tels, mais encore qu’il commande aux musulmans de les persécuter et tuer :
« Tuez les polythéistes partout où vous les trouverez ;
capturez-les, assiégez-les, dressez-leur des embuscades... » (Coran 9.4,5) ;
« Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah ni au
dernier jour, qui ne regardent point comme défendu ce que Allah et son apôtre
ont défendu, et à ceux d’entre les hommes des Écritures qui ne professent pas
la vraie religion. Faites leur la guerre jusqu’à ce qu’ils payent le tribut de
leurs propres mains et qu’ils soient soumis. »
(Coran 9.29) ; « Lorsque vous rencontrez les incrédules,
frappez-les à la nuque, jusqu’à ce que vous les ayez abattus. »
(Coran 47.4). Et de les persécuter avec raffinement même : « Rien
d’autre : le paiement de ceux qui refusent Allah et son messager c’est
qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que leur soient coupées la main et la
jambe opposée, qu’ils soient expulsés de la terre ! »
(Coran 5.33) ? Heureusement que les musulmans ont une révélation pour
leur expliquer comment torturer, parce que sans doute n’auraient-ils pas su par
eux-mêmes comment s’y prendre !
Qui est assez pervers pour croire que Dieu soit
Lui-même un pervers sadique ? Quel sens cela a-t-il qu’un Dieu crée
des hommes pour commander à d’autres de les tuer ? Peut-il y avoir un Dieu
plus haïssable que celui-là ?
Si le propre du Diable est la méchanceté, Allah
n’est-il pas démasqué ? Il ne faut pas craindre Allah, mais il faut que
chacun, et en premier lieu les musulmans eux-mêmes, détruisent cette idole
derrière laquelle se cache Satan.
Le vrai Dieu, Lui, n’a pas fait d’impie, mais que des
hommes libres, pour qu’ils puissent, comme Lui, aimer. « Voici Mon commandement,
dit Jésus, aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. » (Jn 15.12). Voilà le
vrai Dieu, Celui qui apprend aux hommes à s’aimer les uns les autres comme
Lui-même nous aime, parce qu’Il est l’Amour (1 Jn 4.16). Seul l’amour donne la
vie et jusqu’à sa vie.
Le propre de Satan, c’est le mensonge, la haine et le
meurtre (Jn 8.44).
Chacun se juge lui-même en fonction du Dieu qu’il
sert, soit le vrai Dieu qui est l’Amour pour en recevoir la joie et la vie
éternelles, soit Satan qui est la haine pour en recevoir l’horreur et les
tourments éternels.
« Vient un temps où ceux qui vous tueront
penseront rendre un culte à Dieu. » (Jn 16.2)
Qui est Allah ? (4 MAI
2017)
Dans
l’Antiquité, à Babylone et tout le Moyen-Orient, le dieu principal était le
dieu de la lune, représenté par un taureau, symbole de force et de fécondité,
et plus simplement parfois par ses seules puissantes cornes en forme de
croissant de lune. C’est ainsi que l’on peut voir encore au Musée d’Alep
(Syrie), le dieu de la Lune, Sîn, protecteur d’Ur, symbolisé par des hampes
surmontées d’un croissant lunaire. Sous ses différents noms, le dieu de la lune
fut très tôt adoré en Mésopotamie comme le « Père des dieux »,
l’équivalent de Zeus pour les Grecs ou de Jupiter pour les Romains. Les arabes
païens adoraient eux-aussi ce dieu de la lune appelé Hubaal (Coran 41.37).
Hubaal avait eu trois filles : Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la
déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus, les divinités
priées par Mahomet dans les fameux versets sataniques (Coran 53.19-20). La
Bible, quant à elle, stigmatisait ce super-dieu représenté par un taureau comme
étant le faux-dieu par excellence (Ex 32), appelé Baal (1 Ro 12.28-32 ; Ps
106/105.19-20…).
Par
souci de cohésion et de légitimité pour leur entreprise, les judéo-nazaréens ou
juifs-messianiques, ces « faux-frères » comme les appelait S. Paul
(Ga 2.4 ; 2 Co 11.13, 26 ; Ph 3.2), venus chercher auprès des tribus
arabes du renfort pour reprendre Jérusalem, firent passer Hubaal du rang de
plus puissant de leurs dieux (statut que conserve encore la célèbre formule
« Allah akbar ! », « Allah est le plus grand ! »)
au rang de seul Dieu, et donc identique au Dieu juif. Et de même que les
Romains disaient : « Ô Deus ! » (« Ô
Dieu ! ») (Mi 4.5) pour s’adresser à Jupiter, de même chaque tribu
arabe s’adressait à son dieu propre en le nommant « Le dieu »,
« Al-Ilâh », ce qui par contraction a donné « Allah »,
« LE Dieu », unique, pour désigner Hubaa, le Dieu de la lune et le
plus grand des dieux devenu le seul Dieu. Et c’est ainsi qu’aujourd’hui encore
Hubaal continue à couler des jours heureux, toujours représenté sur les
drapeaux musulmans ou le toit des mosquées… souvent d’ailleurs accompagné de sa
fille, la planète Vénus, la déesse Al-Uzzah…
Contrairement
donc à ce que veut le faire croire l’islam, Allah n’est pas le Dieu biblique,
même s’il est vrai qu’il n’y a bien qu’un seul Dieu (Jn 4.22), mais le produit
de la rencontre entre l’idolâtrie de Hubaal, le dieu de la lune, le plus grand
des dieux du panthéon arabe, et l’affirmation de l’unicité divine typique du
judaïsme, en sorte que l’islam, à proprement parler, n’est rien d’autre qu’une
idolâtrie du dieu juif.
Il
est facile en effet de reconnaître encore d’autres sources païennes de l’islam,
comme par exemple la vénération de la pierre noire à la Mecque, symbole féminin
de la déesse Shaybah. Ainsi que cela se pratique encore dans d’autres
religions, et comme autrefois le faisaient leurs ancêtres arabes païens aimant
toucher la vulve de la déesse en gage de bénédictions, aujourd’hui encore les
musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à la Mecque en touchant
et embrassant cet objet sacré…
Bref,
il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, sous couvert de respect du
caractère sacré de la religion, l’islam condamne comme blasphémateurs et
souvent passibles de la mort, ceux qui osent réfléchir sérieusement au
bien-fondé de son discours officiel…
Je
rappelle que le pape Calixte III, après la prise de Constantinople par les
Turcs, à demandé que l’on prie l’Angélus, matin, midi et soir, pour obtenir de
Dieu la conversion des musulmans et la paix.
Allah et la lumière (6
SEPTEMBRE 2016)
Nous lisons en Coran 24.35 : « Allah est la
lumière des cieux et de la terre ! Sa lumière est comparable à une niche
où se trouve une lampe. La lampe est dans un verre ; le verre est semblable
à une étoile brillante. Cette lampe est allumée à un arbre béni : l’olivier qui
ne provient ni de l’Orient ni de l’Occident et dont l’huile est près d’éclairer
sans que le feu la touche. »
Pour les musulmans, Allah est inconnaissable (Coran
2.255 ; 112.2 ; 20.110), et pourtant, le Coran nous décrit Allah…
comme une lampe allumée dans un verre dont l’huile provient d’un arbre béni.
Allah ne produit donc pas la lumière de lui-même, mais il a besoin pour cela de
l’huile d’un arbre… Allah n’est donc pas tout-puissant ni autonome, et il n’est
pas non plus par lui-même la lumière…
L’auteur de ce verset a transgressé dans ce verset deux
principes absolus de l’islam :
1. Le premier principe musulman transgressé ici est celui de
ne pas faire d’image, et a fortiori d’image de Dieu… Or, ici, le Coran
représente Allah comme une lampe de verre brûlant de l’huile d’olive. Comment
les musulmans pourront-ils maintenant continuer à reprocher aux chrétiens
d’utiliser des images pour leur vie de foi, puisqu’Allah lui-même en
utilise ?
2. Le deuxième principe transgressé est celui de
l’affirmation de l’unicité divine… En effet, sans l’olivier et son huile la
lampe ne donne pas de lumière… Soit donc il faut dire qu’Allah n’est pas
auto-suffisant, et donc n’est pas un, soit il faut dire que l’olivier est aussi
Dieu. Il n’y a pas d’autre solution si on veut respecter le texte. Mais dire
que l’olivier est aussi Dieu pour affirmer que Dieu est un et
auto-suffisant et donc capable de produire de la lumière par lui-même et non
par un autre, c’est faire un pas vers la reconnaissance que l’affirmation de
l’unicité divine ne s’oppose pas à celle de la trinité des personnes divines…
D’ailleurs, ce verset rend gloire au Dieu Trinité en affirmant à la fois que
Dieu est lumière et que Dieu produit de la lumière, ce qui pointe
évidemment la distinction des personnes divines dans l’unité de leur commune
nature. Et ce n’est pas fini : aussi vrai que Jésus est La lumière du
monde (Jn 1.9+ ; 8.12), l’huile est un symbole de l’Esprit-Saint (Lc
4.18 ; Jn 10.36 ; Ac 4.27 ; 10.38 ; He 1.9)… C’est
d’ailleurs pour cela que les chrétiens appellent Jésus, « Christ »,
Celui qui est oint et donne l’Esprit-Saint (Jn 1.33).
Bref, si Satan est capable de se déguiser en ange de lumière
(2 Co 11.14), Dieu est assez puissant pour faire éclater dans le Coran lui-même
aussi bien la fausseté de l’islam que la vérité de la foi chrétienne !
Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils changeraient
de vie…
“Allah aime ceux qui
vont jusqu’à tuer pour sa cause. (Coran 61.4)” (26 JUILLET 2016)
En hommage à tous ceux qui ont été assassinés pour plaire à
Allah… en ce jour de l’assassinat du père Jacques Hamel alors qu’il
offrait le Sacrifice de Jésus en réparation de nos péchés… Peut-être qu’arrivé
à 86 ans, s’accrochant encore à faire vivre une église à l’agonie, son exemple
retardait-il par trop localement la cessation des églises à la communauté
musulmane demandée par le Dr. Dalil Boubakeur, recteur de la grande
mosquée de Paris, ex-président du CFCM, officier de la Légion d’honneur, officier
de l’ordre national du Mérite, et médaille de vermeil de la Ville de
Paris ?
Quelle hypocrisie que de se lamenter des tristes faits commis
par les serviteurs d’Allah alors qu’on laisse en vente libre le Coran et toutes
sortes d’autres ouvrages appelant à la haine et au meurtre !!
Mais heureusement, l’islam a ses défenseurs et thuriféraires
patentés…
“Il apparaît de plus en plus clairement à tous que ces
fous qui sèment la mort ne peuvent pas vraiment se revendiquer de l’islam“,
indique l’archevêque.
L’islam a encore de beaux jours devant lui avec de tels
apôtres de l’unicité du salut donné uniquement en Jésus et par l’Eglise (Jn
14.6 ; 1 Jn 2.22 ; Ga 1.8-9 ; Dominus
Iesus) ! Si cette profession de foi pro-islamique n’est pas de
l’indifférentisme, qu’est-ce que c’est ? Comment Mgr Pontier peut-il défendre
l’islam ? Ne devrait-il pas ne rien “savoir sinon Jésus-Christ et
Jésus-Christ crucifié (1 Co 2.2 ; 1.23), en sorte qu’il ne sache
rien de ce qui vient après Jésus ? Qui peut venir en effet APRES le
Christ, sinon l’Antichrist ?
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Yves Daoudal explique pourquoi les terroristes sont abattus et non
pas “neutralisés” :
“Parce que les jihadistes ne doivent pas pouvoir expliquer
dans un procès qu’ils appliquent l’idéologie islamique telle qu’elle se trouve
dans le Coran et les Hadiths, qu’ils font le jihad parce que c’est une
obligation de l’islam, qu’ils ne font qu’imiter le « beau modèle »,
Mahomet, comme doit le faire tout musulman.
Et il ne faut pas croire la désinformation sur les jihadistes
qui n’en sont pas, qui sont des déséquilibrés tombés on ne sait comment dans
une « radicalisation » dont eux-mêmes ne savent à peu près rien.
J’avais été très impressionné par la retranscription des échanges entre
Mohammed Merah et les policiers qui l’assiégeaient. Cet homme qui était
soi-disant un jeune paumé qu’on voyait beaucoup plus en boîte de nuit qu’à la
mosquée avait une connaissance très étendue et très approfondie de l’islam. Or
c’est précisément ce que l’on ne doit pas savoir. C’est pourquoi il faut tuer
Mohammed Merah et ses semblables. Pour que les Français croient qu’on a abattu
quelques cinglés, et ne sachent pas ce qui les attend…”
Dieu n’a pas de fils et
il n’a pas engendré (6 JUILLET 2016)
Allah n’a pas de fils, il n’a pas engendré
Négation de la Sainte Trinité
Interroger
l’islam – Extraits choisis
DIEU A-T-IL ENGENDRE ?
Loué soit Jésus-Christ ! Sa grâce soit avec
vous !
Je vais traiter la question : « Dieu
a-t-il engendré ? » à partir de quatre lieux différents :
l’histoire des religions, la théologie catholique, la nature, et le Coran.
Remarquons tout d’abord que dans les versets par lesquels le Coran refuse
l’engendrement de Dieu ou par Dieu (112 ; 37.151-154 et 43.18), le
terme « engendrer » est entendu comme si les chrétiens
croyaient que Dieu est de nature humaine. Or, ce n’est pas le
cas. Les chrétiens comprennent très bien que Dieu étant éternel, Dieu n’a pas
été créé ni n’a eu un commencement.
Il faut donc commencer par rappeler la définition du
mot « engendrer », car la division islamo-chrétienne est
appuyée sur la confusion du sens des mots « engendrer »
et « créer », confusion qui conduit les musulmans à croire que
l’expression « Jésus est le Fils de Dieu, Dieu né de Dieu »
signifierait pour les chrétiens que Dieu a été créé. Or, il
n’en est rien ! Lorsque nous disons qu’un homme engendre son
fils, nous disons qu’il lui communique sa nature humaine, et c’est pourquoi
nous ne disons pas qu’il engendre une table, mais qu’il
la fabrique. Ainsi, lorsque Dieu communique Sa nature divine,
on dit qu’Il engendre, et lorsqu’Il ne la communique pas à ce à
quoi Il donne d’être, on dit qu’Il crée. Engendrer signifie
donc : communiquer sa propre nature, et non pas créer.
Rappelons encore la distinction des notions de nature et
de personne. Cette distinction conduit à reconnaître que si nous
tous, ici, partageons la même nature humaine, nous ne sommes pas pour autant la
même personne. C’est pourquoi il n’est pas contradictoire d’affirmer en Dieu à
la fois l’unicité de la nature divine et la trinité des personnes divines,
comme il n’est pas contradictoire d’affirmer dans l’humanité à la fois
l’unicité de la nature et la diversité des personnes.
Nombre de religions, et l’islam en particulier, croient que
Dieu a parlé. Or si Dieu parle, soit sa parole est engendrée par Lui, et alors
Elle a reçu la nature divine ; soit elle n’est pas engendrée par Dieu, et
alors elle n’est pas divine, mais d’autant plus démoniaque qu’elle se prétend
divine. Il n’y a pas d’autre solution. Pour vous musulmans, la Parole de Dieu
ne peut pas avoir été créée, puisque le Coran affirme que tout a été fait par la
Parole de Dieu (6.73 ; 16.40), ce qui revient à dire que la Parole de
Dieu n’a pas été créée, sans quoi elle aurait été créée
par autre chose qu’Elle-même, et il serait donc faux de dire que tout a été
créé par elle. Si donc la Parole de Dieu n’a pas été créée, c’est qu’Elle est
éternelle, et puisque Dieu seul est éternel, la Parole de Dieu est donc Dieu.
Et c’est pourquoi nous disons qu’Elle a été engendrée.
En théologie catholique, la génération en Dieu n’est pas
comprise comme une génération humaine, mais comme celle de la pensée à partir
de l’intelligence, car Dieu est Esprit et non pas matière. Si Dieu est parfait,
Il connaît toutes choses, et a fortiori Lui-même. Dieu Se connaît par la Pensée
qu’Il a de Lui-même, par la parole par laquelle Il Se dit à Lui-même, comme le
Père Se connaît Père grâce à Son Fils. Sans fils il n’y a pas de père, comme il
n’y a pas de père sans fils. En Dieu, qui est unique, le sujet connaissant et
l’objet connu s’identifient totalement, et cette identification, qui se
distingue du sujet connaissant et de l’objet connu, de par sa relation à eux,
est la connaissance elle-même. C’est pourquoi « Dieu est Lumière »
(1 Jn 1.5 ; Jn 8.12), éclair d’intelligence en qui tout est connu. On peut
encore montrer que l’unicité de la nature divine ne s’oppose pas à la pluralité
de l’être, en partant du fait que Dieu ne dépend de personne pour exister, mais
existe par Lui-même. Si donc Dieu est cet être qui S’engendre éternellement
Lui-même, on peut distinguer en Lui, l’Être qui engendre et Celui qui est
engendré… c’est Le Même, qui Se distingue en Lui-même ! Il y a l’Engendrant
et l’Engendré, le Père et le Fils, et l’Engendrement, ou Amour, par Lequel le
Père engendre le Fils et par Lequel le Fils rend gloire en retour au Père. Ou
encore, puisqu’en Dieu rien n’est imparfait, Il est Acte pur. Or tout acte est
constitué de deux termes et de leur relation, par exemple : l’acte de
donner implique l’existence de celui qui donne, de celui qui reçoit, et du don
qui les unit. En tant qu’Il est Acte pur d’exister, Dieu est donc
nécessairement trinitaire.
Voyons maintenant si le Dieu trinitaire est le vrai Dieu.
S’Il l’est, Il est nécessairement le Dieu créateur. De même que le potier
laisse ses empreintes sur son pot, y a-t-il dans la Création les empreintes qui
attestent que le Créateur est le Dieu Un et Trine ? Comme le Père et le
Fils Se font face en leur Amour éternel, la matière dont sont constituées
toutes les créatures est répartie de façon symétrique autour d’un axe
invisible. Ainsi notre visage est constitué de deux profils et d’une
face ; l’homme et la femme ne font qu’un, pour que un fasse trois dans
leur amour qui prend le visage de leur enfant ; le même homme est à la
fois fils, frère et père ; notre être est composé de l’esprit, l’âme et du
corps, et notre corps de la tête, du tronc et des membres, et les membres articulés
en trois parties, et notre esprit a trois facultés : l’intelligence, la mémoire
et la volonté ; nous vivons dans le temps qui est composé du passé, du présent
et du futur ; dans l’espace qui a trois dimensions ; l’’eau est
glace, vapeur et liquide ; le feu consume, réchauffe et éclaire ; et
trois couleurs primaires donnent toutes les couleurs… Etc. etc. Par sa
structure trinitaire, la création réfléchit la gloire de son Créateur.
D’ailleurs, seul le Dieu Un et Trine, parce qu’Il est à la fois le même ET
différent, est capable de créer le monde, qui n’est ni Lui ni rien…
Le Coran lui-même confesse la nécessaire nature trinitaire de
Dieu. Ainsi, en 9.30, nous lisons : « Les Chrétiens ont dit
“Le Messie est Fils de Dieu!” […] Qu’Allah les anéantisse! »
Qui dit : « Qu’Allah les anéantisse! » ? Si c’est Allah, le
fait qu’il soit Un ne l’empêche donc pas de parler de Lui-même comme d’un
autre… et ainsi le Coran reconnaît que Dieu est doué de réflexivité, de
relation avec Lui-même. Mais reconnaître Dieu doué de relation avec Lui-même,
c’est affirmer le fondement nécessaire à la confession de la nature trinitaire
de Dieu. Si en effet Dieu est relation avec Lui-même, Il L’est en Lui-même et
par Lui-même, autrement dit Il est Trinité. En 24.35 Allah est
comparé à une lumière venant d’une lampe dont l’huile provient d’un arbre béni.
Je passe sur l’interdiction de faire des images en Islam, pour remarquer que
sans l’olivier et sans son huile, la lampe ne donne pas de lumière… Autrement
dit : soit Allah n’est pas autosuffisant puisqu’il a besoin d’un olivier
et de son huile pour être lumière, soit l’huile et l’olivier font partie de
l’être d’Allah au même titre que la lampe. Il n’y a pas d’autre solution. Mais
si l’huile, l’olivier et la lampe sont nécessaires pour dire qu’Allah est
lumière, alors est reconnue que l’affirmation de l’unicité divine de s’oppose
pas à celle de la Trinité…
Je termine donc en vous annonçant cette bonne nouvelle : les
chrétiens croient au Dieu unique ! Et s’il est vrai qu’il n’y a qu’un seul
Dieu, alors il n’est plus possible aux musulmans de ne plus vouloir être
chrétiens au motif que les chrétiens ne seraient pas de vrais monothéistes. Il
n’y va pas seulement de la Gloire du Dieu unique, qui nous veut tous un, comme
Il est un (Jn 10.16 ; 11.52 ; 17.21), mais encore de la paix du
monde, et du salut éternel offert à chacun par l’amour de la vérité… Celui qui
désormais continuera à croire que les chrétiens ne sont pas monothéistes parce
qu’ils croient au Dieu Trinité, qu’il sache qu’en refusant de croire ce que ses
propres oreilles lui disent, il se condamne lui-même
À la différence du Dieu chrétien, Allah révèle seulement sa
volonté, mais pas son être. Il est seulement son commandement. « Il
n’engendre pas, iln’est pas engendré » (G 112.3) : le Dieu
du Coran n’a pas de relation avec lui-même et donc pas de vie
intérieure. N’ayant en lui ni identité, ni relations, ni personnes, sa pauvreté
métaphysique ne lui permet pas d’action en lui-même : ni il ne se veut, ni
il ne se connaît, ni il ne s’aime. Allah n’ayant pas d’actes réflexifs, car il
n’est ni être ni langage, on peut dire qu’il n’est pas. Seule la volonté
d’Allah existe, qui n’a pas pour objet Dieu, mais le monde. Entièrement
relative au monde, la volonté d’Allah est le Prince de ce monde (Jn
14.30 ; Mt 4.8-10).
Allah jure ! (30 JUIN
2016)
Loué soit Jésus Christ !
Dans le Coran, Allah jure par exemple, par les Anges (Coran
37, 1), par les vents (Coran 51,1), par la mer agitée (sourate 52 . 6), par
l’étoile du matin sourate (53 . 1), par la plume sourate (68 . 1), par le
soleil (sourate 91 . 1), par le figuier et l’olivier sourate (95 . 1), etc.,
etc.
Allah prend donc à témoin de la vérité de ce qu’il dit des
créatures qu’il a lui-même faites et donc à qui il peut faire dire ce qu’il
veut… Les jeux sont donc pipés à l’avance. Ce n’est pas sérieux pour un dieu de
prendre à témoin des créatures que lui-même a faites et à qui il peut faire
dire ce qu’il veut.
Par ailleurs, jurer signifie prendre quelqu’un à témoin de la
vérité de ce que l’on dit. Mais est-ce que Dieu a besoin de prendre quelqu’un à
témoin de la vérité de ce qu’il dit ? Est-ce que Dieu peut mentir, est-ce qu’il
n’est pas QUE vérité ? S’il est unique et s’il est vérité, il
ne peut pas mentir, donc il lui est pour le moins superflu de jurer.
Mais manifestement, pour Allah, il en va autrement. Certainement parce qu’il peut mentir, et donc il doit aussi jurer…
Mais à ce compte-là, est-il le vrai Dieu ?
Jésus Christ en comparaison, nous demande d’imiter le vrai
Dieu, qui n’est pas menteur, et donc de ne pas jurer. Il dit dans l’Evangile
selon saint Matthieu au chapitre 5 et au verset 37 : “Que votre langage
soit: “Oui? Oui”, “Non? Non”: tout ce qu’on dit en plus vient du Mauvais (Mt
5.37)”. Oui, du Mauvais...
Lorsque dans la Bible Dieu jure (Ez
17.16 ; Is 45.23), c’est toujours par Son Nom, Sa Gloire, qui est celle de
Jacob (Am 8.7). Il jure donc par Lui-même, mais jamais par ce qui Lui est
inférieur (He 6.13), et Il ne le fait que pour utiliser l’expression convenue
marquant le caractère irrévocable de ce qu’Il désire signifier, l’immuabilité
de Sa parole (He 6.17).
Allah remplit le coeur
des musulmans de haine (29 AVRIL 2016)
La première sourate est récitée au moins quinze fois par jour
par tout musulman pieux, en sorte qu’il s’auto-endoctrine dans la haine, et
tout spécialement celle des disciples du Christ et des Juifs d’où est issu le
Christ… Mais qui d’autre que Satan sème la haine ? La haine d’autrui ne peut
entrer au Paradis du vrai Dieu.
Play Video
La répétition a le pouvoir magique de rendre une chose
d’autant plus vraie qu’elle est plus souvent répétée. Ce procédé capable de
transformer même l’absurde en raisonnable est très prisé pour les lavages de
cerveau. Comme l’aurait dit Voltaire : « Mentez !
Mentez ! Il en restera toujours quelque chose ! » Ce
n’est pas pour rien que la répétition est au cœur de la prière musulmane,
laquelle, loin d’être un dialogue d’amour avec Dieu comme la prière chrétienne,
n’est que la répétition de textes destinée à conditionner l’esprit : Cinq
fois par jour le musulman répète cinq fois qu’il n’y a pas d’autre divinité
qu’Allah, que donc la Sainte Trinité n’est pas Dieu, que Mahomet est son
envoyé, que donc Jésus-Christ n’est pas le Sauveur. De plus, toute prière
musulmane doit commencer par la récitation de la première sourate, la Fatiha
(Bukhari, 723), laquelle, en bonne parole de l’Antichrist qu’elle est, inocule
la haine des chrétiens et des Juifs desquels est issu le Christ… Qui peut
ne pas croire ce qu’il répète à longueur de journées ?
Première sourate du Coran servant
d’introduction à la prière rituelle (Salat). « Au nom d’Allah, le tout
miséricordieux, le très miséricordieux. Louange à Allah, le Seigneur du
monde ! Le tout miséricordieux, le très miséricordieux. Possesseur du jour
du jugement. C’est toi que nous adorons et c’est toi dont nous demandons
l’aide. Dirige-nous vers le chemin droit. Le chemin de ceux que tu as
gratifiés, contre lesquels [tu n’es] pas en colère et qui ne sont pas
égarés » (1.1-7). Ceux contre qui Allah est en colère
sont les Juifs (2.61), et les « égarés » sont les chrétiens
(4.44). C’est l’unique prière de supplication des musulmans… La
prière du Vendredi à la mosquée est encore plus vindicative contre les Juifs et
les chrétiens : non seulement la Fatiha est récitée deux fois, mais
aussi les sourates 62 et 63, qui sont remplies de haine à l’égard des Juifs et
des chrétiens. Et que dire de cette litanie concluant le prêche, dont les
fidèles ponctuent chaque supplication par « Amen » : « O
Allah ! Accorde-nous la victoire sur les Juifs, qui sont tes ennemis mais
aussi les ennemis de notre religion ! (Amen) – O Allah ! Fais périr
les mécréants, les polythéistes et les ennemis de l’islam !(Amen) – O
Allah ! Éparpille leur nation ! (Amen) – O Allah ! Disperse
leurs troupes ! (Amen) – O Allah ! Détruis leurs édifices !
(Amen) – O Allah ! Fais périr leur récolte ! (Amen)- O Allah !
Rends orphelins leurs enfants ! (Amen) – O Allah ! Rends veuves leurs
épouses ! (Amen) – O Allah ! Fais tomber leurs biens et leurs
fortunes comme butin entre les mains des musulmans ! (Amen) ! (…)
Comment prétendre que l’islam est une religion de paix et d’amour ?
Allah et la rationalité
(6 MARS 2016)
Le Dieu du christianisme, même s’Il est infiniment
au-delà de ce que peut en comprendre l’entendement humain, est cependant
reconnu parfaitement juste et donc également logique, rationnel, raisonnable.
C’est cette foi dans le Logos (la raison) du Dieu-Créateur qui
a permis à la science de se développer en Occident. La raison, qui nous
spécifie, vient de Lui, elle n’est donc pas sans lien avec ce qu’Il est et s’Il
nous a donné de désirer connaître la vérité, ce n’est pas pour autre chose que
pour que nous la connaissions. Sinon Dieu serait un mauvais génie qui se serait
moqué de nous, ce qui, pour une intelligence occidentale, n’aurait de sens ni
pour Lui ni pour nous ! En vérité, Dieu ne fait rien sans raison, Il
n’agit pas comme un fou, mais Il a « tout réglé avec mesure, avec nombre
et avec poids » (Sg 11.20). Si donc le monde n’est pas absurde ou
incohérent, en sorte que la science peut y découvrir les raisons ou lois que
Dieu y a mises, qui le régissent et le rendent intelligible, serait-il possible
que Dieu ne nous veuille pas à son image : raisonnables ?
Avons-nous le même
Dieu, Jésus mis à part ? (vidéo)
Allah est l’auteur du
mal (18 JANVIER 2016)
Dans le Coran, parce que tout dépend de lui, Allah est aussi
le créateur du mal (113.2 ; 67.2)… Mais si Allah est le créateur du mal,
comment peut-il reprocher aux hommes de faire eux-mêmes le mal ? Et si
Allah crée le mal, comment et pourquoi lutter contre le mal ? Le fait de
la création montre pourtant la bonté et la puissance de Dieu, dès lors, comment
croire que Dieu veuille du mal au monde qu’il crée ? Quel sens cela
aurait-il ? Si Allah fait le mal, de deux choses l’une : ou bien il
se renie lui-même en tant qu’il est un, ou bien il n’y a pas de différence
entre le bien et le mal. Et s’il n’y a pas de différence entre le bien et le
mal, qu’est-ce que le libre arbitre, et qu’est-ce que la responsabilité ?
Et pourquoi se convertir ? Quel est le sens du Jugement dernier et de ses
sanctions (38.16 ; 83.1-17) ?
En théologie chrétienne, ce n’est pas Dieu qui est cause du
mal (Mc 3.24), mais Satan (Cf. E 5 ; Sg 2.24 ; Jn 8.44), qui, de bon
que Dieu l’avait créé, s’est lui-même rendu mauvais, « père du mensonge et
de l’homicide » (Jn 8.44). Comme Satan, « Allah aime ceux qui vont
jusqu’à tuer pour sa cause. » (61.4 ; 8.17 ; 9,1…). Allah
exige : « Lorsque vous rencontrez les non-musulmans, frappez-les à la
nuque, jusqu’à ce que vous les ayez abattus. » (47.4) ; « Ô
croyants ! combattez les mécréants qui vous avoisinent ! Qu’ils vous
trouvent durs à leur égard ! » (9.124) ;
« Combattez-les ! Allah les châtiera par vos mains ! »
(9.14). En islam, la violence est constitutive de la révélation d’Allah, la
violence est divine ! Elle s’incarne en quelque sorte dans les ‘croyants’
afin de manifester la colère d’Allah, sa puissance et sa volonté. Je
souhaiterais que tous ceux qui pour plaire à Allah s’imaginent devoir faire le
mal se posent cette question : que feraient-ils de différent s’ils
voulaient plaire à Satan ?
Mais comment le musulman, qui est, selon lui, le vrai homme,
pourrait-il faire autrement que faire du mal, puisque Allah, faisant le mal,
l’a créé « misérable » (90.4) ? Parce que l’islam méconnait la
nature spirituelle de l’homme, créé très parfait (Gn 1.31), libre, pour pouvoir
aimer, liberté dont le mauvais usage a produit le péché originel (Gn 3 ;
Ps 50.7 ; Rm 5.12), dont nous souffrons tous, et parce que l’islam refuse,
avec la révélation de la nature trinitaire de Dieu le principe même de la
différence, l’islam imagine Dieu monopolisant jalousement la totalité de l’être,
tel un tyran être cause unique de tout, y compris des effets produits par les
causes secondes, dont les volontés créées, en sorte qu’Allah doit être aussi
l’auteur du mal…
Si c’est Allah qui crée le mal, on se demande bien ce que
fait encore le Diable ? Eh bien, dans la pensée musulmane, Allah est si
bien le principe du mal, que c’est lui qui a induit le diable en erreur
(15.39)… Et sur cette lancée Allah a aussi créé des hommes pour l’Enfer !
« Nous avons créé pour l’Enfer un grand nombre d’hommes » (7.179,
186 ; 11.119 ; 4.88 ; 5.41 ; 6.125 ; 74.31). Mais
comment aimer un Dieu qui vous a peut-être créé pour aller rôtir éternellement
en Enfer, en sorte que quoi que vous fassiez, bien ou mal, sa volonté
s’accomplira infailliblement ? Ce Dieu-là n’est pas le Dieu chrétien, qui,
Lui, non seulement ne fait jamais le mal, mais a créé tous les hommes pour
qu’ils partagent – s’ils le veulent – Son bonheur éternel, et est assez
puissant pour faire servir même le mal – qu’Il ne veut pas, au service d’un plus
grand bien que celui qui aurait eu lieu s’il n’y avait pas eu le mal, et cela,
par la communion à son Fils Jésus mort et ressuscité ! Peut-il y avoir un
Dieu meilleur et plus grand que celui-là ?
Mahomet et Jérusalem (7
DÉCEMBRE 2015)
La Sourate 70 commence par l’évocation d’un mystérieux et
nocturne voyage de Mohamed depuis la mosquée sacrée identifiée
traditionnellement avec la mosquée de la Mecque jusqu’à la mosquée très
éloignée identifiée traditionnellement avec la mosquée de Jérusalem, encore
appelée mosquée d’Omar car c’est le deuxième khalife qui conquis Jérusalem en
638, c’est à dire 6 ans après la mort Mohamed…
Quelle vie morale en
islam ? (7 DÉCEMBRE 2015)
Pour l’Islam, Allah qui est Dieu et qui est unique,
monopolise aussi nécessairement la totalité de l’être. Rien ne peut être que
Allah puisque Allah est, qu’il est unique et qu’il est Dieu. Et donc, rien ne
peut se faire que par Allah qui lui-même fait ce qui se fait, qui lui même
donne l’être en tout ce qui existe….
Du ou des monothéismes
(7 DÉCEMBRE 2015)
Il est courant d’entendre dire que le judaïsme, le
christianisme et l’islam serait trois religions monothéiste, qu’elle
partagerait en commun l’affirmation de la foi monothéiste. Le christianisme ne
faisant que rajouter la foi trinitaire à l’affirmation de l’unicité de Dieu.
Mais il n’en est pas ainsi….
Allah laisse seul,
Jésus Se donne (7 DÉCEMBRE 2015)
Allah n’entretient pas de relation personnelle avec l’homme
mais laisse celui-ci seul face à son destin, inconnu et inconnaissable. Le Dieu
chrétien – en comparaison – par l’incarnation s’unit de la façon la plus intime
qui soit à l’humanité en devenant lui-même homme, afin que tout homme puisse
par le Christ et dans le Christ devenir lui-même participant de la nature
divine….
Allah et la lumière (4
DÉCEMBRE 2015)
Pour savoir qui est Allah, on peut simplement considérer que
après le Christ ne peux se manifester que l’antichrist, qui peut oser parler
après la vérité sinon le menteur. Mais il est intéressant de voir comment le
Coran lui-même confirme cela…
ALLAH ET LA LUMIERE
On peut bien sûr savoir qui est Allah en considérant
simplement qu’après le Christ seul l’Antichrist peut se manifester. Qui peut en
effet oser parler après la Vérité (Jn 14.6 ; Coran 6.73 ; 16.40)
sinon le Menteur ? Mais il est intéressant de voir comment le Coran
confirme cela.
Ainsi, nous lisons par exemple (Coran 24.35) :
« Allah est la lumière des cieux et de la terre ! Sa lumière est
comparable à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un
verre ; le verre est semblable à une étoile brillante. Cette lampe est
allumée à un arbre béni : l’olivier qui ne provient ni de l’Orient ni de
l’Occident et dont l’huile est près d’éclairer sans que le feu la
touche. »
Pour les musulmans, Allah est inconnaissable (Coran
2.255 ; 112.2 ; 20.110), et pourtant, le Coran nous décrit Allah…
comme une lampe allumée dans un verre dont l’huile provient d’un arbre béni.
Allah ne produit donc pas la lumière de lui-même, mais il a besoin pour cela de
l’huile d’un arbre… Comment dire alors qu’Allah est lui-même la lumière ?
Comment ne pas voir que l’auteur de ce verset a raconté au
sujet de Dieu ce qu’il a pu, quitte pour cela à transgresser deux principes
absolus de l’islam :
1. Le premier principe musulman transgressé ici est celui de
ne pas faire d’image, et a fortiori d’image de Dieu… Or, ici, le Coran
représente Allah comme une lampe de verre brûlant de l’huile d’olive. Comment
les musulmans pourront-ils maintenant continuer à reprocher aux chrétiens
d’utiliser des images pour leur vie de foi, puisqu’Allah lui-même en
utilise ?
2. Le deuxième principe transgressé est celui de
l’affirmation de l’affirmation de l’unicité divine… En effet, sans l’olivier et
son huile la lampe ne donne pas de lumière… Soit donc il faut dire qu’Allah
n’est pas auto-suffisant, et donc n’est pas un, soit il faut dire que l’olivier
est aussi Dieu. Il n’y a pas d’autre solution si on veut respecter le texte.
Mais dire que l’olivier est aussi Dieu pour affirmer que Dieu est un et
auto-suffisant, c’est faire un pas vers la reconnaissance que l’affirmation de
l’unicité divine ne s’oppose pas à celle de la trinité des personnes divines…
D’ailleurs, ce verset rend gloire au Dieu Trinité en affirmant à la fois que
Dieu est lumière et que Dieu a une lumière, ce qui pointe évidemment la
distinction des personnes divines dans l’unité de leur commune nature. Et ce
n’est pas fini : aussi vrai que Jésus est La lumière du monde (Jn
1.9+ ; 8.12), l’huile est un symbole de l’Esprit-Saint (Lc 4.18 ; Jn
10.36 ; Ac 4.27 ; 10.38 ; He 1.9)… C’est d’ailleurs pour cela
que les chrétiens appellent Jésus, « Christ », Celui qui est oint et
donne l’Esprit-Saint (Jn 1.33).
Bref, si Satan est capable de se déguiser en ange de lumière
(2 Co 11.14), Dieu est assez puissant pour faire éclater dans le Coran lui-même
aussi bien la fausseté de l’islam que la vérité de la foi chrétienne !
Le mensonge d’Allah (1
DÉCEMBRE 2015)
A la différence du Christianisme qui tire ses motifs de
crédibilité aussi bien de l’attente juive de la venue du Messie (Gn 3.15 ;
49.10 ; Dt 18.15 ; 2 S 7.18-17 ; Ps 20.7 ; Is 7.14 ;
1.1-9 ; Mi 4.14 ; 5.1-4 ; Os 2.20 ; Is 7.14), que de la
sainteté incomparable de la vie et de l’enseignement du Christ, de
l’affirmation de Sa divinité (Mt 16.15-20 ; 17.24-27 ;
26.63-64 ; Mc 2.7 ; Lc 10.22 ; 22.70 ; Jn 1.1,14 ;
7.37-38 ; 8.24,28,58 ; 9. 35-38 ; 13.9 ; 14.6 ;
18.36-37 ; 20.22-23,28-30… ), cause de Sa mort (Mt 26.65 ; Jn 10.33),
de ses miracles, hier et aujourd’hui, de ses prophéties (Mc 13.13 ; Lc
19.41-44 ; 21.5-33 ; Jn 15.20), de Sa présence, ressuscité, auprès de
ses disciples, de la venue de l’Esprit-Saint, du témoignage que lui rend la
raison, de la fécondité de l’Évangile qui a révolutionné en profondeur et
orienté définitivement le monde, l’islam n’a pas d’autre gage de crédibilité à
offrir que la supposée inimitabilité du Coran (Coran 7.203 ; 10.37 ;
17.88 ; 19.73 ; 22.72 ; 34.43 ; 45.25 ; 46.7). C’est
ainsi qu’à plusieurs reprises, dans le Coran, Allah lance aux incrédules le
défi d’apporter une sourate ou des versets semblables aux siens (Coran
11.13-14 ; 2.23 ; 10.38 ; 52.34). De l’impossibilité présumée de
relever son défi, Allah en déduit la preuve de l’origine divine du Coran, et,
par voie de conséquence, de celle aussi de l’islam.
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Par exemple, à la sourate 17 et au verset 88, nous
lisons : « Si les hommes et les djinns se concertaient pour
produire quelque chose de semblable à ce Coran, ils ne sauraient y parvenir,
même s’ils se prêtaient mutuellement assistance. » (Les djinns étant
ces créatures mi-anges, mi-hommes, propres à la mythologie musulmane.) Or,
voici que la sourate 72, qui porte précisément le titre « Les
Djinns », fait parler des djinns… Se pose alors la question : Qui
parle dans la sourate 72 ? Allah, ou les djinns ? La sourate 72,
est-elle la parole des Djinns ou celle d’Allah ?
En tout cas, une chose est sûre : du fait que la parole
des djinns est reconnue par le Coran, et donc par Allah, comme semblable aux
autres paroles du Coran, le défi lancé par Allah est relevé et Allah convaincu
par sa propre parole de mensonge …
Puisqu’Allah lui-même prouve que les djinns sont capables de
produire un texte semblable à celui de son Coran, il est donc clair que le
Coran ne vient pas de Dieu, ni donc l’islam… Que reste-t-il alors aux musulmans
à faire, sinon à rejeter les calomnies et la haine de la foi chrétienne que le
« Diable, qui est menteur et père du mensonge » (Jn 8.44), n’a pas
cessé, par l’islam, de leur inoculer pour, à sa suite, les damner ? Que
peuvent-ils faire de mieux que d’accueillir désormais et enfin, par le baptême,
le pardon de leurs péchés et la vie éternelle que Dieu nous a donnés par la
mort et la résurrection de Jésus, le Messie ?
Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il
entende !
Qui peut venir après le Christ sinon l’Antichrist ?
A voir aussi : Qui parle dans
le Coran ?