mercredi 29 novembre 2017

Islam et Vérité : la chariah

Transformer les enfants en assassins… 

(6 NOVEMBRE 2017)


En France, se vend “La voie du petit musulman”, dont on peut se faire une idée de la qualité en cliquant sur ce lien.

Viande halal, ce qui est caché au consommateur

24 JUIN 2017

Les risques sanitaires liés à l’abattage Halal
– Par Alain de Peretti, Docteur vétérinaire

Viande halal, TRIPLE DANGER : On évoque toujours les problèmes posés en la  matière  par la souffrance animale, et par  la « taxe » de financement occulte de l’islam par les consommateurs.

Ces problèmes sont bien sûrs réels. Il en est un autre qui nous concerne tous et mérite d’être évoqué, une question essentielle et occultée : l’aspect sanitaire et de sécurité alimentaire.


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Dans l’abattage halal l’animal est tourné vers la Mecque, saigné sans étourdissement ;  il est pratiqué une très large incision de la gorge jusqu’aux vertèbres, sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour la saignée, mais aussi la trachée et l’œsophage.
Cette pratique entraîne les conséquences anatomo-physiologiques suivantes :
  • Une régurgitation du contenu de l’estomac par l’œsophage, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de la trachée.
  • L’animal continue de respirer, même très fort du fait de l’agonie qui peut durer jusqu’à 1/4 h rappelons le, et inspire ces matières souillées riches en germes de toutes sortes.
  • Ces matières inspirées jusqu’aux alvéoles pulmonaires larguent leurs germes  dans le sang d’autant plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la circulation sanguine, rappelons le, est toujours en cours dans cette période d’agonie, et même accélérée par le stress au niveau des organes  essentiels.
  • Un risque énorme de contamination en profondeur de la viande est donc encouru.
  • On observe de plus, du fait du stress intense, 2 phénomènes physiologiques qui  se conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaires, et la concentration du sang dans les organes essentiels, on peut dire que l’animal « retient son sang ». C’est un processus naturel de survie qui entraîne vraisemblablement d’ailleurs une saignée moins bonne contrairement aux allégations des tenants de cette pratique. Il y a de plus une forte production de toxines.
  • La longueur de l’agonie entraîne enfin des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine, le tout éclaboussant toute la zone d’abattage !!!
On voit donc bien les conséquences pour la sécurité alimentaire des consommateurs.
C’est si vrai que le règlement européen, CEE 853/2004, dans son annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) dit : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « ( avec une dérogation pour l’abattage rituel…).
Le problème est que, selon des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant halal.  Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment que certains morceaux, et qu’on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse. De plus les industriels trouvent plus simple et plus profitable de n’avoir qu’une seule chaîne d’abattage : ainsi des bêtes entières qui seront consommées hors du marché halal sont néanmoins égorgées selon ce rite oriental. 
Conclusion : On enfreint le sacro saint principe de précaution, pour respecter une pratique exotique irrationnelle, insoutenable sur tous les plans, basée sur une superstition moyenâgeuse absurde. Dans ces conditions, les actuelles dérogations à la réglementation européenne permettant l’abattage rituel sont elles acceptables ?
La multiplication des cas de toxi-infections alimentaires est en tous cas prévisible… et elle touchera surtout des non musulmans, inconscients de ces risques incontrôlés et dont les habitudes culinaires les amènent  à  consommer la viande beaucoup moins cuite.
Alain de Peretti, Docteur vétérinaire, pour Novopress France.



« … S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! (Coran 4.89) »
 16 AVRIL 2017


“U 22 Un musulman ne peut pas quitter l’islam sans s’exposer à être lynché par ses anciens coreligionnaires, au premier rang desquels ses propres parents ont ce devoir : « … S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! Gardez-vous de prendre parmi eux des amis ou des auxiliaires… (Coran 4.89) » ; « Quiconque se séparera d’Allah et de son apôtre, Allah lui fera éprouver combien il est terrible dans ses châtiments. […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah. (Coran 8.12-17) » ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru ― sauf celui qui y a été contraint ― ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment. (Coran 16.106 ; 2.217) » ; « J’ai bien entendu l’apôtre d’Allah dire : “Les derniers jours, il apparaîtra de jeunes fous qui diront de belles paroles mais dont la foi n’ira pas au-delà de leur gorge et qui quitteront leur religion comme la flèche sort du jeu. Alors, où que vous en trouviez, tuez-les car celui qui en tuera aura sa récompense le jour de la résurrection. (Récit d’Ali, Bukhari 84.64) » ; « Ali fit périr par le feu plusieurs personnes et cette nouvelle parvint à Ibn ‘Abbas, qui dit : “À sa place, je ne les aurais pas brûlées, car le Prophète a dit : Ne punissez pas par la punition d’Allah, mais je les aurais cependant bien tuées, car le Prophète a dit : Si quelqu’un abandonne sa religion, tuez-le.” (Bukhari 4.63,260) »[1]. Le meurtre des apostats, comme le ddjihad lui-même, sont alors considérés comme une prière en acte… Les articles 126 du Code Pénal soudanais et 306 du Code Pénal mauritanien prescrivent la mort de l’apostat et de celui qui invite à quitter l’islam. Le Code pénal adopté à l’unanimité en 1996 par le Conseil des Ministres arabes de la Justice prévoit la mise à mort des apostats[2], sanction que le Conseil des Ulémas marocains n’a abrogée qu’en 2017. Invoquant le Coran (Coran 5.33), les pays musulmans justifient aujourd’hui encore le meurtre de celui qui critique l’islam[3] : « Son sang et ses biens sont licites. (Cheikh jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi, 6.09.2005) ». Si le refus de la liberté de conscience et l’atteinte à l’intégrité physique caractérisent une secte et une mafia, faut-il continuer à considérer l’islam comme une religion ?
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[1] « Le Prophète d’Allah a dit “Il n’est pas permis de verser le sang d’un musulman qui témoigne qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que je suis l’Envoyé d’Allah, sauf dans ces trois cas : l’époux adultère, le coupable d’un meurtre et l’apostat qui abandonne la communauté musulmane.” » (Sahih de Muslim, 3175).
[2] « Article 163 : L’apostat est puni de la peine de mort s’il est prouvé qu’il a apostasié volontairement et s’y maintient après avoir été invité à se repentir dans un délai de trois jours. Article 164 : Le repentir de l’apostat se réalise par le renoncement à ce qui a constitué sa mécréance; son repentir est inacceptable s’il apostasie plus de deux fois. Article 165 : Tous les actes de l’apostat après son apostasie sont considérés comme nuls de nullité absolue, et tous ses biens acquis par ces actes reviennent à la caisse de l’État. »
[3] Critique toujours nécessairement assimilée à l’insulte. Cf. L’affaire des caricatures de Mahomet.


Nolan, 7 ans, en fauteuil roulant, pour avoir consommé de la viande halal…
 14 AVRIL 2017
Le halal est souvent mis en relation avec la bactérie e. coli.
https://vigilancehallal.com/tag/e-coli/
J’ai été hospitalisé lorsque j’étais nourrisson plusieurs semaines pour avoir été infecté par cette bactérie.
Je m’en suis bien sorti.
Au contraire, le jeune Nolan, 7 ans, est en fauteuil roulant et présente des lésions neurologiques.
Les risques sanitaires

LES RISQUES SANITAIRES DE L’ABATTAGE HALAL
L’abattage rituel ne permet pas une exsanguination satisfaisante
Ainsi qu’il a été dit, dans l’abattage halal, l’animal, tourné vers la Mecque  est égorgé sans étourdissement par un sacrificateur musulman agréé qui prononce des paroles sacramentelles. Le cou est tranché jusqu’aux vertèbres, en sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour que le sang s’écoule, mais aussi latrachée et l’œsophage. Le procédé est présenté comme assurant une saignée plus complète que l’abattage standard. C’est un non-sens. Dans l’abattage standard,  l’animal, parce qu’il est étourdi, est immobile et détendu. On procède à une incision  limitée qui ne sectionne que les carotides. On sait parfaitement aujourd’hui qu’un électro encéphalogramme plat n’est pas synonyme de mort. En toute logique, l’exsanguination  est d’autant plus complète dès lors que les fonctions vitales de l’animal notamment cardiaques se poursuivent. Par contre il est établi que l’égorgement à vif  provoque chez l’animal dans 25% des cas de « faux anévrismes » qui    bloquent l’effusion de sang.
Une viande mal saignée se corrompt plus vite. C’est donc pour des motifs d’ordre strictement sanitaire que les textes en vigueur prévoient la saisie de la carcasse de tout animal imparfaitement  saigné. Mais l’abattage rituel n’est pas concerné…
Mouton égorgé selon la technique halal. Malgré l’énorme plaie béante, le sang ne coule plus du fait de la formation de faux anévrismes, il tient fièrement la tête haute dans un dernier défi, et démontre que la saignée pose problème !
L’abattage rituel a des effets anatomo-physiologiques dommageables:
  • Une régurgitation du contenu de l’estomac par   l’œsophage qui a été sectionné, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de la trachée, coupée elle aussi au même niveau. (voir la coupe anatomique et la photo  ci dessous)
  • Durant une agonie qui peut durer jusqu’à ¼ d’heure, l’animal continue de respirer de façon spasmodique très forte du fait de la section du nerf vague  car le  cerveau continue d’être irrigué par les artères vertébrales (voir  coupe anatomique ci dessus) et l’animal ressent une sensation intense d’étouffement.      Par la trachée béante, il inspire les matières gastriques riches en germes de toutes sortes régurgitées par l’œsophage.
  • Ces matières inspirées jusqu’aux alvéoles pulmonaires disséminent leurs germes  dans le sang d’autant plus  facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la  circulation sanguine se poursuit. Elle est même accélérée au niveau des organes  essentiels par le stress. Les germes peuvent donc être  disséminés dans tout l’organisme et pas seulement au niveau de la plaie d’égorgement.
  • Un risque grave de contamination en profondeur de la viande est flagrant, raison pour laquelle un règlement européen stipule (CEE 853/2004, annexe, chapitre IV intitulé HYGIÈNE DE L’ABATTAGE paragraphe 7, alinéa a) : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE ». Malgré quoi l’abattage rituel est dispensé par dérogation de cette «  hygiène »…
D’autres facteurs compromettent cette « hygiène de l’abattage » :
  • Sous l’effet de la souffrance et de la terreur,      l’animal est soumis à un stress intense. Ce qui  déclenche deux phénomènes physiologiques  qui  se conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaire avec une forte production de toxines, et la concentration du sang dans les organes essentiels. On peut dire que par un réflexe naturel de survie, l’animal « retient son sang ». Notons à nouveau que  ces réactions physiologiques pourtant parfaitement connues infirment totalement l’argument selon lequel  l’abattage rituel assurerait une saignée plus satisfaisante.
  • L’animal met longtemps à mourir car son cerveau    continue à être irrigué par les deux artères vertébrales et le polygone de Willis qui sont un circuit de suppléance en cas de section des carotides  et continue donc à envoyer des stimuli. L’animal réagit par des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine qui, mélangés au sang qui gicle, souillent toute la zone d’abattage et plus      particulièrement le piège avec mentonnière dans lequel l’animal est immobilisé. Les cadences ne  permettent de nettoyer le dispositif entre deux animaux    !
  • Non seulement l’étendue de l’entaille pratiquée met les chairs  en contact avec des surfaces de peau importantes et souvent souillées  mais, de plus, lorsque l’animal s’effondre enfin, c’est à l’intérieur du  piège dans l’état décrit plus haut. Il  en est extrait  puis trainé  sur le sol souillé avec lequel sa plaie  énorme va forcément entrer en contact. Il est ensuite pendu  souvent encore vivant car  on a pas le temps d’attendre qu’il soit mort…
En résumé, tout dans l’abattage standard est mis en œuvre pour assurer un maximum d’hygiène : l’animal est étourdi, il n’est saigné qu’une fois suspendu au moyen d’une incision restreinte puis l’œsophage est ligaturé. Il n’entre pas en contact avec le sol. Pareille procédure n’est évidemment possible qu’en raison de l’inconscience où il a été plongé. Elle est non moins évidemment impossible dans   l’abattage rituel dont ceux qui le réclament s’obstinent, au mépris de ce que l’on sait aujourd’hui en la matière, à confondre cette inconscience  avec un état létal et, au motif qu’il est impur de manger du cadavre, exigent d’y déroger.
Force est de constater que cette « hygiène de l’abattage » à quoi s’attachent à juste titre les sociétés développées ne fait pas partie des problématiques de l’abattage rituel. Dans les pays d’où nous vient cette pratique, il est d’usage, observera-t-on, de laver la viande et de ne la consommer que longuement bouillie. Reste que, en France, selon des estimations récentes plus de 50%  de la viande proposée au consommateur  est issue de l’abattage rituel ce qui parait tout de même excéder largement les exigences communautaires. Curieusement, la dérogation, de soi inquiétante, tend donc à devenir la norme. Sans doute les professionnels y trouvent-ils avantage et profit. Quitte à refiler à son insu au consommateur ordinaire les morceaux réputés « impurs » des bêtes égorgées selon ce rite oriental, voire la bête entière, et à faire 200 victimes par an ainsi que l’a signalé le Dr Jean-Louis Thillier.
Le principe de précaution invoqué à tous propos perdrait-il sa pertinence dès lors qu’il s’agit de faire droit à une pratique présentée comme précepte religieux ? A supposer qu’il soit convenable qu’un Etat laïque déroge à une loi de santé publique en faveur d’une religion, le professeur Aldeeb a démontré dans un avis argumenté qu’il n’y avait là en fait, que la survivance d’une coutume archaïque qu’aucun texte de référence ne justifiait.
LE SCANDALE EST QUE LES SERVICES SANITAIRES SONT PARFAITEMENT AU COURANT DES RISQUES ENORMES DE CONTAMINATIONET CONTOURNENT LE PROBLEME EN DEMANDANT DE FAIRE CUIRE A COEUR LES STEACKS HACHES .
LA PREUVE CI DESSOUS, CLIQUEZ SUR LE LIEN :

Décapitée par sa famille pour avoir quitté l’islam et être devenue chrétienne… (11 JANVIER 2017)

Voici une histoire triste, qui montre bien ce qu’est une société musulmane, en l’occurrence l’Égypte : En 2012, à Alexandrie, une musulmane de 22 ans, nommée Marwa A. E., est répudiée par son mari musulman. Le temps passe et elle tombe amoureuse d’un voisin, copte, à travers qui elle rencontre le Christ. Elle reçoit le baptême et épouse ce chrétien. Ils doivent déménager car Allah commande le meurtre de celui qui quitte l’islam (Coran 4.48 ; 8.11-17)… et l’Égypte est pleine de pieux musulmans ! Ils vont donc habiter un village lointain, Tamia, pour s’y cacher. Deux enfants viennent combler le bonheur du foyer, et Marwa est à nouveau enceinte, de deux mois. Les époux ont la nostalgie de leur Église à Alexandrie. Ils désirent revoir leurs frères et sœurs chrétiens et décident d’aller en secret leur rendre visite. Mais Marwa est reconnue par sa fille issue de sa précédente union après avoir quitté l’église pour se rendre chez une amie. La fillette, scandalisée de voir sa mère ne plus porter le hijab, décide de la dénoncer au frère et à l’oncle de celle-ci. Ceux-ci saisissent Marwa et l’amènent à la maison familiale pour l’y séquestrer et brutaliser jusqu’à ce qu’elle renonce à sa foi chrétienne.

Mais la chose se divulgue, et à Tamia les musulmans entrent en colère contre les chrétiens du village en les accusant d’avoir caché Marwa.

La famille musulmane de Marwa exige alors comme réparation de leur crime que tous les chrétiens de Tamia vendent leurs biens dans les dix jours qui suivent et quittent le village. Le mari chrétien de Marwa ainsi que leurs deux enfants seront épargnés à conditions que Tamia soit exécutée, comme le demande Allah (Coran 4.89 ; 8.11-17). Le responsable local de la sécurité nationale, le General Nasser Abed, est chargé de veiller à la bonne réalisation de “l’accord”, et notamment de sécuriser l’évacuation des chrétiens.

Tous les membres de la famille de Marwa se saisissent d’elle à l’aube et c’est sa sœur elle-même qui décapite Marwa, et ce afin de donner une bonne leçon à toutes les femmes qui voudraient quitter l’islam. Le corps de Marwa est ensuite jeté dans un terrain vague.

Cet événement témoigne de la vie ordinaire des convertis en pays musulmans… L’Église est sans pouvoir par peur des représailles…. Chaque vie est précieuse, aussi l’associationRescue Christians invite-t-elle les convertis de l’islam se trouvant dans une pareille situation à prendre contact avec elle afin d’organiser au plus tôt leur départ.

image d’illustration


Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps et après cela ne peuvent rien faire de plus. Craignez celui qui après avoir tué le corps peut aussi jeter l’âme en enfer. 

Oui, Je vous le dis, celui-là, craignez-le. (Lc 12.4-5)”

La charia et le processus d’islamisation, par Alain Wagner (5 JANVIER 2017)

Alain Wagner, analyste et spécialiste de la problématique islamique ainsi qu’activiste de terrain, nous explique dans cette conférence pourquoi parler d’islam sans connaitre les caractéristiques de la charia nous condamne à ne rien comprendre à ce qui arrive à nos pays. Concevoir l’islam comme une religion, ne pas comprendre que l’islamisation est un processus de nature politique empêche nos sociétés de se défendre et d’entamer la nécessaire désislamisation de l’Occident.

La charia ou la vie ?

 2 JANVIER 2017

Adel Abou al-Nour el-Sayed, 50 ans, a été accusé d’avoir tué le 2 janvier 2017 dans la ville d’Alexandrie Youssef Lamei, un Copte de 61 ans. Comme nous le voyons sur le film de cette vidéo de surveillance, il s’est approché du sexagénaire assis devant son magasin de boissons et lui a tranché la gorge, a indiqué à l’AFP Tony Youssef, le fils de la victime qui a assisté à la scène. Sayed, arborant une longue barbe à la manière des musulmans fondamentalistes, a ensuite affirmé à la cour pendant le procès qu’il tuerait tous les vendeurs d’alcool s’il le pouvait, selon des sources judiciaires. (Source)

Un instantané de la vie des chrétiens en pays devenus musulmans …

Continuons à construire des mosquées, ces “maisons de la charia”, où est enseignée la religion de tolérance, de paix et d’amour !

 فديو ذبح يوسف لمعي في اسكندريه امس _ كاميرات المحل نفسه

      2. Et pendant ce temps, tel ce jeune Anglais devenu musulman croyant bien faire que de désigner son quartier comme           désormais régi par la charia, les Européens déroulent le tapis rouge devant l’islam …

     3. “—  V 19    Si Allah a « interdit » aux Juifs « pour prix de leur méchanceté » et du fait qu’ils       détournaient « les autres du sentier de Dieu […] des aliments délicieux qui leur étaient d’abord permis (Coran 4.158) », est-ce pour la même raison qu’il a interdit aux musulmans le vin et le porc ?” (Extrait de “Interroger l’islam, 1501 questions à poser aux musulmans).

Reportage au sein des mosquées en Europe… en caméra cachée

 26 NOVEMBRE 2016


“Sans le meurtre des apostats, l’islam n’existerait plus”…
 9 OCTOBRE 2016

Pour le Cheikh Al Qaradhâwî, Président de l’Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas), Membre de la confrérie des Frères musulmans, Membre du Conseil Européen pour la Recherche et la Fatwa, et Consultant religieux pour Al Jazeera : “Sans l’assassinat des Apostats, l’islam n’existerait plus depuis la mort de Mahomet“… Que les Musulmans prennent donc leur courage à deux mains et n’aient pas peur ! Jésus n’a-t-Il pas dit : “Celui qui cherchera à sauver sa vie, la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi et de l’Évangile, la sauvera. (Mc 8.35)” ?

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Les Fatwas de Qaradhâwî sont très connues dans le monde arabe grâce à l’émission religieuse qu’il anime chaque semaine sur la chaine de télévision Al Jazira, « la Charia et la vie ». Assis derrière un bureau, il prend des questions d’auditeurs, auxquelles il répond en direct. Près de dix millions d’auditeurs sont ainsi familiarisés avec ses prêches, sa barbe grisonnante, ses grandes lunettes en écailles et son chapeau traditionnel rouge et blanc.

Al Qaradhâwî et le président Morsi, des Frères Musulmans, élu un temps président de l’Egypte.

Tariq Ramadan est le propagateur des idées de Qaradhâwî en Europe. Il le cite régulièrement et dans un de ses livres écrit. « Toute personne, musulmane ou non, qui a étudié les sciences et le droit islamiques contemporains, sait quelle est la contribution de Yussuf Al-Qaradâwî au débat et combien certaines de ses propositions juridiques sont novatrices. J’éprouve un profond respect pour l’homme et le savant et serait le dernier à m’en cacher (Tariq Ramadan, Aziz Zemouri, Faut-il faire taire Tariq Ramadan ?, l’Archipel, 2005) ». Tariq Ramadan finira par être récompensé de sa dévotion à Qaradhâwî, outre une chaire dans une université britannique financé par le Qatar, il obtiendra aussi un poste dans Centre de recherche sur la législation et l’éthique islamiques (CILE), à la faculté islamique de Doha.

« Je devais la tuer. Je n’avais pas le choix » (8 OCTOBRE 2016)

« Je ne pouvais pas laisser passer ça. Je n’arrivais à penser à rien d’autre. Je devais la tuer. Je n’avais pas le choix. »

Pour expliquer pourquoi il a tué sa soeur Tasleem d’une balle dans la tête parce qu’elle avait épousé un chrétien, le Pakistanais Mubeen Rahju a adopté un ton banal, presque patelin lors de son entretien avec l’Associated Press. Le meurtre remonte à août dernier à Lahore. Le mari de sa soeur avait pourtant accepté de se convertir à l’islam pour faire plaisir à la famille, mais ce n’était pas suffisant. Car – est-il utile de le préciser – Mubeen est musulman.

Rahju note dans l’interview qu’il avait subi des pressions croissantes de la part de ses voisins et de ses collègues afin de réagir convenablement à la situation déshonorante de sa soeur.

Les voisins sont d’ailleurs d’accord : « Je suis fier de cet homme et il a fait ce qu’il fallait en la tuant. Nous ne pouvons pas permettre aux nôtres de se marier en dehors de notre religion. Il a bien agi », a déclaré l’un d’entre eux. Quant au père de la jeune femme, il ne parle que de la honte dont elle a accablé sa famille : sa mort était la seule manière de rétablir l’honneur.

Les chrétiens de Lahore vivent aujourd’hui, plus que jamais, dans la peur.


« … S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! Gardez-vous de prendre parmi eux des amis ou des auxiliaires… » (Coran 4.89) ; « Quiconque se séparera d’Allah et de son apôtre, Allah lui fera éprouver combien il est terrible dans ses châtiments. […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah. » (Coran 8.12-17) ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru – sauf celui qui y a été contraint –ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment. » (Coran 16.106 ; 2.217)

Avis de recherche et récompense de 1000 € pour « fracasser le crâne » de Fatima Sally

 7 OCTOBRE 2016

Dans ce qui semblerait être le hall de la gare de l’Est à Paris, une disciple d’Allah le très miséricordieux a diffusé un « avis de recherche » contre la jeune fille Fatima Sally qui avait avoué son athéisme et son apostasie envers l’islam dans une récente vidéo. Dans un médiocre mélange de langue française et de langue arabe, cette pépite nationale offre 1000 euros de récompense  à qui lui divulguera l’adresse de la jeune Fatima pour « lui faire payer et lui fracasser le crâne » … Les menaces de mort sont en principe sévèrement réprimées par la loi mais de celle-ci, cette chance pour la France déclare :

« Moi j’en ai rien à foutre de la justice. Moi j’ai toujours été contre la loi ».

De fait, il y a la loi d’Allah au-dessus des lois de la République : « S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez !… (Coran 4.89) »

La loi d’Allah au pays des Talibans…

 5 OCTOBRE 2016

Une jeune fille de 19 ans, Rokhsahana, a été condamnée à la lapidation en Afghanistan, dans la province de Ghor, pour avoir refusé le mariage que l’on voulait lui imposer. 

Mariée à un homme contre son gré, elle s’est enfuie avec un autre homme de son âge. La jeune femme avait voulu fuir avec son amant et a été mise à mort “par des Talibans, des dignitaires religieux et des chefs de guerre irresponsables” dans une zone désertique de la province de Ghor, a commenté la gouverneur Sima Joyenda à l’AFP.

Un châtiment qui rappelle les heures sombres du régime islamiste ultra-fondamentaliste en Afghanistan. Le calvaire de cette femme-martyr a été filmé par ses bourreaux. Un enregistrement insoutenable dans laquelle Rokhsahana est debout dans un trou creusé dans le sol, d’où seule sa tête dépasse. Un homme vêtu de noir ramasse une pierre et la lui lance à bout portant. Les autres hommes suivent en récitant la chahada, la profession de foi musulmane. Abdul Hai Katebi, porte-parole de la gouverneur, a confirmé l’authenticité de la vidéo qui circule sur Internet.

Sima Joyenda a condamné ce meurtre et appelé le gouvernement central de Kaboul à “nettoyer” cette zone sous contrôle des talibans. “C’est le premier incident de ce type dans cette région et ça ne sera pas le dernier. Les femmes rencontrent des difficultés dans tout le pays et particulièrement à Ghor”, a-t-elle mis en garde. Le chef de la police provinciale a confirmé à l’AFP qu’il s’agissait de la première lapidation survenue dans la région “cette année”.


L’islam rejette le temps de miséricorde apporté par Jésus (Jn 8.1-11)…
 6 SEPTEMBRE 2016

” L’apôtre d’Allah a dit : – Ô Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors lapide-la à mort. ” (récit de Zaid ibn Khalid et Abu Huraira, Bukhari XXXVIII 508)

-” L’envoyé d’Allah a dit : – Quand un homme célibataire commet l’adultère avec une femme célibataire, ils recevront cent coups de fouet et seront bannis un an. Dans le cas où ils sont mariés, il recevront cent coups de fouet et seront lapidés à mort. ” (récit de Ubada ibn as Samit, Muslim XVII 4191)

-”La lapidation est un devoir envoyé par le livre d’Allah pour les hommes et les femmes mariés qui ont commis l’adultère si la preuve est établie, s’il y a grossesse ou aveu. ” (récit d’Abdullah ibn Abbas, Muslim XVII 4194)

– ” L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam, un juif et sa femme. ” (récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216)

– ” Quand Ali lapida une femme le vendredi, il dit : – Je l’ai lapidée selon la tradition de l’apôtre d’Allah. ” (récit de Ash sha’bi, Bukhari LXXXII 803)

– “Le Prophète a fait lapider une femme et une fosse a été creusée pour elle jusqu’aux seins. ” (récit d’Abu Bakr, Dawud XXXVIII 4429)

Encore une femme lapidée : les musulmans peuvent être fiers !
 6 SEPTEMBRE 2016

Encore une femme musulmane lapidée en Afghanistan, suppliciée de la manière la plus abjecte au nom d’Allah le très miséricordieux… 

Le même jour, encore un homme décapité en Arabie saoudite au nom de la charia.

Tous les jours, des hommes et des femmes assassinés ou enfermés pour avoir insulté l’islam ou l’avoir quitté. Au nom de la charia. Au nom du prophète parfait.

Encore des hommes amputés au nom de la charia. Au nom du Coran et du prophète parfait.

Encore des condamnés fouettés au nom de Dieu, du Coran et de ses dérivés.

Encore des minorités persécutées, condamnées à mort, encore des juifs assassinés, au nom des mêmes textes.

Encore et toujours des petites filles données ou vendues pour être mariées.

Aujourd’hui, je vomis cette religion et sa loi divine d’une hallucinante cruauté.

Comment est-il possible que les musulmans, s’ils ont une once d’humanité, ne descendent pas par millions dans les rues pour hurler leur rejet de ces barbaries? Aucune autre population ne pratique à cette échelle la culture de l’excuse, l’hypocrisie et le mensonge.

Comment pouvons-nous les écouter justifier par d’innommables ergotages ces horreurs? Comment avons-nous pu accepter que vivent en liberté dans nos sociétés ces innombrables cheiks et imams qui refusent de condamner la lapidation?

Et tous ces complices des barbares me donnent la nausée. Ces décérébrés prétentieux qui nous expliquent que dans la Bible aussi… et dans la Thora… et dans toutes les religions, et gna gna gna et bla bla bla. Et qui défendent par d’immorales expositions les multiples vêtements qu’ont inventés les musulmans pour dissimuler le corps de leurs femmes. Oui, j’affirme qu’entre ces couvertures et la lapidation, il existe un lien. Il faut éviter que les hommes, les époux, ne tombent dans le péché de chair dont ces sanctions attestent l’immense gravité.

Parmi ces décérébrés, un Jacques Neyrinck s’entend dire sans ciller par un Tariq Ramadan que la lapidation est «inapplicable», parce qu’il faut quatre témoins de l’acte d’adultère. Que les sanctions divines ne peuvent s’appliquer que dans une société «juste et équitable». La barbarie oui, mais seulement dans des sociétés hautement civilisées!

Des centaines de milliers de musulmans qui sont encore dans leur immense majorité attachés à ces immondes pratiques déferlent aujourd’hui en Europe sans qu’on exige quoi que ce soit d’eux…. Sinon aviser le bon peuple de faire très attention à ne pas les discriminer.

Et critiquer cette complaisance, c’est honteux? C’est du racisme?

Quand un vrai mouvement musulman se dressera contre les convictions et pratiques ignobles de ces textes, je pourrai commencer à croire à quelque chose comme une possibilité de rapprochement. Mais les seules manifestations que sont capables d’organiser ces obscurantistes ont pour objet Israël, l’insupportable démocratie qui résiste à un océan d’antisémitisme et d’inhumanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.

Le burqini n’est pas un vêtement, c’est le jihad (23 AOÛT 2016)

Le burqini n’est pas un vêtement, c’est le jihad

En raison du politiquement correct et de cette vaste intimidation qu’est l’invention de l’islamophobie, Yves Daoudal constate que les anti-burkinis ont de piètres arguments :

“Le débat à propos de l’interdiction du burqini sur les plages paraît absurde à beaucoup. D’abord aux libéraux conséquents avec leur idéologie aveugle, pour qui chacun se vêt et se dévêt comme il veut : il n’est pas plus extravagant d’être couvert de la tête aux pieds sur le littoral qu’y être nu comme un ver. Aux libéraux s’adjoignent éventuellement les cathos tradis (et pas forcément tradis), pour qui le burqini est plus décent que le bikini, n’est-ce pas. Et l’on doit ajouter les professionnels de la subversion, qui sont prêts à soutenir tout ce qui peut détruire le conformisme ou supposé tel.

Face à cet alliage pour le moins hétéroclite, les adversaires du burqini sont incapables d’un discours cohérent et argumenté. Quand on leur demande la raison de leur opposition, nombreux sont ceux qui se donnent le ridicule de mettre en avant « l’hygiène ». Les plus courageux parlent des « valeurs de la République » (comprenez-moi à demi-mot), et les plus héroïques évoquent la laïcité. Impossible d’aller plus loin, on sombrerait dans le péché mortel de l’islamophobie.

Il est manifeste que la chape de plomb du politiquement correct et du vivre ensemble fait que beaucoup n’osent même pas penser à la signification du « burqini ». Et les rares qui y pensent n’osent pas le dire. Mais la raison non formulée de l’opposition au burqini est fortement imprimée dans l’inconscient, assez fortement pour que des arrêtés soient pris, et validés par la justice.

Cette raison, il faudrait tout de même que quelqu’un ose la dire ouvertement. Le burqini n’est pas un vêtement, de même que le minaret n’est pas un clocher. « Les minarets sont nos baïonnettes », comme dit le poème cher à Erdogan. Le minaret est le signe visible de la conquête d’un territoire par l’idéologie islamique : c’est pourquoi les Suisses ont sagement interdit la construction de tout minaret sur leur territoire. Or les burqini ne sont rien d’autre que de petits minarets sur les plages : l’affirmation de la conquête de ce territoire par l’islam. Et le jour où il y a assez de « burqinis », on peut chasser les kouffar de la plage devenue halal. Comme à Sisco, par exemple.

Le burqini aussi, c’est le jihad, l’effort de conquête dans le sentier d’Allah, qui est une obligation pour tout musulman, comme le souligne à plusieurs reprises le Coran. C’est si difficile à comprendre ?Pour certains musulmans, une femme n’a pas le droit de se baigner sans burkini (apparu il y a peu), l’alternative étant la plage réservée aux femmes. Impossible en Occident !La vie des fidèles du Prophète est régie par le halal (licite), le haram (illicite), le makrouh (répréhensible mais possible). Pour déterminer la catégorie dans laquelle entre un acte, il faut se reporter au Coran ou aux hadith (commentaires ou actions de Mahomet rapportés oralement). On ne peut pas contester le Coran, tandis que les hadith ont des gradations d’authenticité. Certains sont sûrs, d’autre considérés avec plus ou moins de suspicion. Il existe nombre de contradictions, entre hadiths, entre versets du Coran (par exemple, sur la mise à mort d’un apostat). C’est le verset le plus récent qui prime. Mais, parfois, on ignore totalement la chronologie et, du coup, chacun a son opinion ! On est censé trouver dans le Coran un avis sur l’intégralité de la vie d’un fidèle, même sur des inventions qui n’existaient pas du temps de Mahomet ! Les « sages musulmans » triturent donc les versets et les hadiths afin d’en tirer une opinion sur un problème moderne. D’où une cacophonie générale. On trouve tout et son contraire. Par exemple, des muftis libéraux (très peu nombreux !) affirment qu’une musulmane peut épouser un mécréant du moment qu’il n’est pas polythéiste (ce qui n’exclut même pas les hindous !), boire de l’alcool (sans s’enivrer), voire manger du porc !

Au-delà du burkini, la complexité du halal et du haram

L’opinion majoritaire interdit de manger de la main gauche (pour ne pas imiter Satan). Le fait d’être gaucher n’est pas une excuse. Seule la perte d’un membre ou la paralysie permet de passer outre. Boire un verre d’eau debout plonge les savants dans un abîme de perplexité. En effet, un verset du Coran l’interdit mais, dans des hadith, Mahomet se désaltère debout ! On ignore laquelle des deux attitudes est la plus récente, d’où des discussions sans fin ! L’épilation est haram (verset coranique !) mais les libéraux l’autorisent si la femme a des sourcils trop épais, de la moustache ou de la barbe, au grand dam des traditionalistes. Il est haram, selon le Prophète, de posséder un chien, sauf pour la chasse et garder son troupeau. Le poil du canidé est pur mais sa bave est impure. Des extrémistes pensent que regarder la météo est illicite car faire des prédictions est interdit. Néanmoins, nombre de fatwas décrètent que prévoir le temps est scientifique, donc permis. Comme représenter des visages est haram, dessiner est interdit ; mais certains vont plus loin : faire des photos, lire des BD, regarder des dessins animés, voire la télévision sont proscrits ! Assurer sa maison ou sa voiture serait illicite car on prend un pari (interdit en islam) et on doute d’Allah. Si une catastrophe arrive, Dieu pourvoira à vos besoins ! Et, pour finir, selon un livre édité par la grande université (réputée modérée) al-Azhar, il est halal de manger un apostat mort, du moment que vous ne le faites pas cuire ou griller !

La taqiya ou l’art de la duperie

 28 JUILLET 2016

 « Un Occidental averti en vaut deux … »

Idéalement, le monde humain devrait être un monde de parole et de confiance, un monde où l’on puisse s’appuyer sur une parole donnée.

Malheureusement, l’histoire nous apprend que tout être humain ou toute idéologie n’est pas à la hauteur de cet idéal.

À titre d’exemple, Adolf Hitler parlait de paix alors qu’il se préparait à la guerre.
L’humanité a payé un fort prix pour avoir refusé de prendre au sérieux le « Mein Kampf » d’Adolf Hitler, ainsi que les nombreux gestes (avant même la Deuxième Guerre mondiale) qu’Hitler posa, qui indiquaient que l’idéologie nazie était beaucoup plus que des mots sans réelle portée.

Or étonnamment, les hadiths (paroles et actions attribuées à Mahomet) rapportent que le prophète désigné de l’islam savait également faire preuve de tromperie pour arriver à ses fins.

De ce « modèle » proposé par le coran est née la doctrine de la taqiya, où la tromperie est justifiée dans le but de faire avancer l’islam.

L’usage plus que discutable de la parole chez Mahomet

Cité en « exemple » par plusieurs juristes et dirigeants musulmans, Mahomet utilisa le mensonge afin d’arriver à ses fins :

  • Selon la tradition musulmane, Mahomet appela au meurtre un Juif du nom de Kab bin Arshaf car ce dernier se moquait de lui, contestant sa qualité de prophète.
  • Or, un dénommé Muhammad bin Maslama répondit à l’appel de Mahomet afin d’exaucer sa volonté. Muhammad bin Maslama demanda à Mahomet s’il était permis de mentir à Kab bin Arshaf afin de lui tendre un piège. Mahomet donna son accord. De plus, Mahomet félicita bin Maslama quand ce dernier lui apporta la tête de Kab bin Arshaf.
  • Pour Mahomet, tromperie et jihad (guerre « sainte » selon l’islam) allaient de pair, soit pour se défendre, soit pour attaquer : le prophète désigné de l’islam étant notamment un guerrier.
    Entre 600 et 900 hommes membres de la tribu Banu Qurayza furent décapités dans le marché de Médine. Toute femme et tout enfant prépubère de cette tribu juive furent réduits à l’état d’esclave. La tradition rapporte que Mahomet prit pour femme une membre de cette tribu.
  • Yasser Arafat cita souvent les tactiques et stratégies de Mahomet afin de justifier son comportement. On apprit que Yasser Arafat coordonnait des actes de terrorisme alors qu’il parlait de paix.
Alors que l’Occident valorise la transparence, la doctrine de la taqiya justifie la tromperie

Dans la foulée de Mahomet, le « prophète » désigné de l’islam, la taqiya est une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.

La taqiya selon des penseurs musulmans

Les Occidentaux ont du mal à admettre qu’une telle doctrine puisse exister. Et pourtant, les autorités dans l’islam sont nombreuses à en faire la promotion :

  • Selon Abu Hamid Ghazali, « Il est permis de mentir si le but à atteindre est louable ». (Ahmad ibn Naqib al-Misri, The Reliance of the Traveller : A Classic Manual of Islamic Sacred Law, trans. Nuh Ha Mim Keller (Beltsville, MD: Amana, 1997), sec. 8.2, p. 745)
  • Selon Kdmus al-shanca, la « taqiya est voile pour le croyant, et celui qui n’a pas de taqiyan’a pas de religion. » (Encyclopedia of Islam, 1st ed, s.v. “Taqiya” (Djumayyil, Kdmus al-shanca, pp. xiii, 127-28)).
  • Al-Tabari (d. 923), exégète renommé du coran qui fait figure d’autorité dans le monde musulman, écrit à propos du coran 3,28 : « Si vous (les musulmans) êtes sous leur autorité (celle des infidèles (ou non-musulmans)), craignant pour vous-mêmes, comportez-vous loyalement, avec votre parole, à leur égard, alors que vous entretenez intérieurement de l’animosité à leur égard ».
  • Une autre autorité dans l’islam, Ibn Kathir (1373), toujours à propos de la sourate 3,28 du coran, invite le musulman à faire preuve de duplicité à l’égard du non-musulman s’il est dans une situation où il doit se protéger : « Sachez sourire à ces personnes (les non-musulmans)alors que votre cœur les maudit. »
La taqiya selon des spécialistes non-musulmans de l’islam

De plus en plus de non-musulmans s’intéressent à l’islam, non pas parce qu’ils trouvent cela particulièrement intéressant, mais afin de faire la lumière sur cette idéologie :

  • Un spécialiste de l’islam Raymond Ibrahim l’affirme : « La taqiya est en réalité une volonté de tromperie du musulman à l’égard du non-musulman. »
  • Robert Spencer explique dans son livre « The Complete Infidel’s Guide To The Koran » qu’il existe une morale utilitaire dans la théologie islamique qui considère que « tout ce qui est dans l’intérêt des musulmans et de l’islam est bon, et tout ce qui cause du tort à l’islam et aux musulmans est mauvais. » Voilà pourquoi, il est permis et même conseillé de mentir pour répandre l’islam.
  • Dans son excellent ouvrage intitulé « Battle for our minds », Michael Widlanski affirme que faire usage de supercherie afin de faire du tort à un ennemi est mentionné dans le coran et les hadiths (les traditions orales à propos de Mahomet). Dans son mode offensif, la taqiya consiste à « mentir pour la cause d’Allah ».
Un Occidental averti en vaut deux …

Quatre mots arabes pourraient amener le monde entier à être soumis à l’islam. L’Occident ne peut se payer le luxe de méconnaître leur signification et leur implication.

Ces mots sont : taqiya (déjà mentionné), tawriyakitman et muruna.

Chacun de ces mots décrit un style différent de duperie utilisée par des musulmans, et ce, dans la foulée d’une parole attribuée à Mahomet : « La guerre est tromperie » (Bukhari, Vol. 4, Livre 52, No. 268).

Le coran affirme que « la ruse appartient à Allah, en totalité » (Sourate 13,42) et qu’Allah « est le plus habile à fomenter un complot » (Sourate 8,30).

Bref… Allah complote, Mahomet complote… il n’est donc pas étonnant que des musulmans inspirés par ces « modèles », complotent à leur tour, et ce, en toute bonne conscience.

De fait, pour certains, la tromperie est devenue une forme d’art et une seconde nature.

Si l’Occident entend combattre efficacement l’agenda des islamistes, il est impératif d’être averti que cet « art du mensonge » existe bel et bien dans l’islam.

Un Occidental averti en vaut deux …

Taqiya (la suite…)

Plus précisément, la taqiya est une forme de dissimulation de l’identité du musulman; une dissimilation au service d’une « autodéfense »; une forme de mensonge afin de protéger soit l’islam, soit le musulman.

  • Selon la loi islamique, « Il est admis de mentir si le but poursuivi est admissible. Mentir est obligatoire si l’objectif à atteindre est obligatoire » (Umdat al-Salik, « La dépendance du voyageur », Para r8.2).
  • Selon la sourate 3,28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».
Tawriya

Tawriya signifie « dissimulation » et pourrait être défini comme étant l’« inventivité dans l’art du mensonge ».

Selon cette doctrine, il est licite de rompre l’intention d’un serment dans la mesure que n’est pas rompue la lettre du serment (« La dépendance du voyageur », sections o19.1 et o19.5).

Qu’est-ce à dire ?

Exemple no 1 :
Imaginons qu’un musulman nie que le dernier verset de la première sourate du coran rabaisse les juifs et les chrétiens pour la raison que c’est une supplication que les musulmans font 17 fois par jour afin de les garder à l’abri de la voie des « égarés qui encourent la colère d’Allah » …

Ce musulman pourrait répondre que la première sourate ne mentionne pas les juifs ou les chrétiens. Ce musulman pratiquerait la tawriya, parce que bien que le dernier verset ne mentionne pas explicitement les juifs et les chrétiens, ce musulman sait très bien que le terme « égaré » se réfère à eux.

Exemple no 2 :

Le souhait « Je te souhaite le meilleur » venant de la part d’un musulman à l’intention d’un non-musulman, en réponse à un « Joyeux Noël » ou à un « Joyeuses Fêtes » par exemple, veut dire dans l’esprit de plusieurs musulmans : « Je te souhaite que tu te convertisses à l’islam. »

Kitman

Un musulman exerce le kitman quand il ne dit qu’une partie de la vérité, ce qui a pour effet, très souvent, de déformer entièrement la vérité.

Exemple no 1 :

L’exemple le plus commun consiste à ce qu’un musulman affirme que le terme jihad réfère principalement ou uniquement à une lutte interne, à un combat spirituel contre le mal.

Or, le coran fait usage du terme jihad et de ses dérivés environ 59 fois. Et sur ces 59 fois, 16 mentions pourraient possiblement faire référence à une lutte interne alors que la majorité des autres mentions font référence à une « guerre sainte », et ce, dans la foulée de ce que le « prophète guerrier » (Mahomet) a exercé selon les hadiths et la sira.

Exemple no 2 :

Une autre forme très commune de kitman est de citer uniquement les passages pacifiques du coran, sachant bien que ces passages furent abrogés par des versets belliqueux :

  • « Nulle contrainte en religion ! » (Sourate 2 :256) (sourate plus ancienne)fut abrogée par
  • « Désirent-ils une autre religion que celle d’Allah, alors que se soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et sur terre, et que c’est vers Lui qu’ils seront ramenés? » (Sourate 3,83) (sourate plus récente)
  • « Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) – parce que vraiment ils sont lésés; et Allah est certes capable de les secourir » (Sourate 22,39) (sourate plus ancienne)
    fut abrogée par
    « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (Sourate 9,5) (sourate plus récente)
Muruna

Muruna signifie « faire usage de flexibilité » afin de se mêler à l’ennemi et à son entourage. C’est l’arme suprême pour l’infiltration.

La justification de ce type de tromperie est la sourate 2,106 : « Si Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est Omnipotent? »

Un musulman peut ne pas respecter certains commandements du coran dans la mesure où il se livre à la poursuite d’un « meilleur commandement ».

De fait, les musulmans qui travaillent à l’avancement de l’islam peuvent ainsi s’écarter temporairement des lois islamiques pour ne pas effrayer le non-musulman, pour l’amadouer et gagner sa sympathie afin de le convertir à l’islam ou encore afin d’infiltrer diverses institutions où les non-musulmans sont majoritaires.

Voici quelques exemples de la pratique de la muruna par un musulman afin de passer inaperçu, afin de se mêler aux non-musulmans en vue de l’infiltration, du jihad et de l’avancement de l’islam :
  • Se raser
  • Porter des vêtements à l’occidentale
  • Boire de l’alcool
Quelques exemples :
  • Les musulmans et pirates de l’air de 9/11 visitaient des clubs de danseuses ainsi que des bars alors qu’au même moment ils suivaient des cours de pilotage aux États-Unis pour commettre des actes terroristes.
  • Marier un non-musulman ou se comporter comme un non-musulman de manière à ce que son véritable agenda passe inaperçu…
    Plusieurs Américains croient que Huma Abedin, une assistante d’Hillary Clinton, a épousé Anthony Weiner, un membre du congrès et juif, afin d’accroître sa crédibilité en matière de sécurité et ainsi infiltrer les plus hauts niveaux de l’administration américaine.
    Tout récemment, d’autres membres du congrès, dont la républicaine Michele Bachman, ont laissé entendre qu’Huma Abedin pourrait être reliée au groupe islamiste des Frères Musulmans. De fait, le passé d’Huma Abedin ainsi que ses liens avec des associations islamistes en inquiètent plus d’un.
En conclusion

Les implications de ces tactiques de duperie sont énormes pour les sociétés occidentales.

Les musulmans qui pratiquent les diverses formes de tromperie (taqiya, tawriya, kitman ou muruna) sont difficiles à reconnaître, car ils ne montrent aucun signe indiquant qu’ils nous trompent. De fait, ils croient appliquer ce qu’Allah leur demande afin de contribuer à l’avancement de l’islam (et sa charia) en Occident.
Plus que jamais, la vigilance est de mise pour les Occidentaux …

Il en va de la survie de la civilisation occidentale et de ses valeurs fondamentales.




Lapidation d’une jeune femme au nom d’Allah le très miséricordieux
 31 MAI 2016

“Quant à Jésus, il alla au mont des Oliviers.

Mais, dès l’aurore, de nouveau il fut là dans le Temple, et tout le peuple venait à lui, et s’étant assis il les enseignait.

Or les scribes et les Pharisiens amènent une femme surprise en adultère et, la plaçant au milieu, ils disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.

Or, dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ? »

Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol.

Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! »

Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol.

Mais eux, entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu.

Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »

Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. »

De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. »
Les Pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n’est pas valable. »

Jésus leur répondit : « Bien que je me rende témoignage à moi-même, mon témoignage est valable, parce que je sais d’où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez pas d’où je viens ni où je vais.

et s’il m’arrive de juger, moi, mon jugement est selon la vérité, parce que je suis pas seul ; mais il y a moi et celui qui m’a envoyé ; et il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable.

Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé. »

Ils lui disaient donc : « Où est ton Père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »

Il prononça ces paroles au Trésor, alors qu’il enseignait dans le Temple. Personne ne se saisit de lui, parce que son heure n’était pas encore venue.
Jésus leur dit encore : « Je m’en vais et vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Où je vais, vous ne pouvez venir. »

Les Juifs disaient donc : « Va-t-il se donner la mort, qu’il dise : «Où je vais, vous ne pouvez venir» ? »

Et il leur disait : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.

Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. (Évangile selon saint Jean 8.1-24) “

Qui peut venir APRES le Christ, sinon l’Antichrist ?


Le miséricordieux Allah commande de lapider les adultères
 27 JANVIER 2016

Que serait-ce s’il n’était pas miséricordieux ?!!

“Quant à Jésus, il s’en alla au mont des Oliviers.

Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.

Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.

Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? »

Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.

Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »

Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.

Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu.

Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »

Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » (Évangile selon saint Jean, 8.1-11)”

Mais voilà ce qu’a apporté “le dernier des prophètes” : 

La CEDH a déclaré la charia incompatible avec le respect des droits de l’homme
 19 JANVIER 2016

Par un arrêt du 31 juillet 2001, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a déclaré la charia incompatible avec le respect des droits de l’homme.

QUI EN PREND ACTE EN EUROPE ?

Par un arrêt du 31 juillet 2001, la Cour, statuant sur la validité de l’interdiction par la Cour constitutionnelle turque d’un parti islamique, le Refah Partisi (Parti de la Prospérité), exaltant des valeurs conformes à la charia, a entériné la dissolution.

La Cour a jugé que ces valeurs étaient en contradiction avec celles  prônées par la Convention européenne des droits de l’homme de 1950 : « La Cour estime que dans la présente affaire, les sanctions infligées aux requérants peuvent raisonnablement être considérées comme répondant à un « besoin social impérieux » pour la protection de la société démocratique, dans la mesure où les responsables du Refah Partisi, sous le prétexte qu’ils donnaient au principe de laïcité un contenu différend, avaient déclaré avoir l’intention d’établir un système multi-juridique fondé sur la discrimination selon les croyances, d’instaurer la loi islamique (la Charia) qui se démarque nettement  des valeurs de la Convention et avaient laissé planer un doute sur leur position quant au recours à la force afin d’accéder au pouvoir et, notamment, d’y rester » (www. echr.coe.int) 

Arrêt confirmé par la Grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme : 13 février 2003

Extraits :

• La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
• la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie.
• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.

Arrêt Refah Partisi (Parti de la prospérité) et autres c. Turquie (requêtes nos 41340/98, 41342/98, 41343/98 et 41344/98) – Cour européenne des droits de l’homme, Strasbourg, 13 février 2003. Extraits : (…)
123.  Or la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention :
« 72.  A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. La Cour relève que, lues conjointement, les déclarations en question qui contiennent des références explicites à l’instauration de la charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout. Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.(…) Selon la Cour, un parti politique dont l’action semble viser l’instauration de la charia dans un Etat partie à la Convention peut difficilement passer pour une association conforme à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la Convention. »
124.  La Cour ne saurait perdre de vue que des mouvements politiques basés sur un fondamentalisme religieux ont pu par le passé s’emparer du pouvoir politique dans certains Etats, et ont eu la possibilité d’établir le modèle de société qu’ils envisageaient. Elle considère que chaque Etat contractant peut, en conformité avec les dispositions de la Convention, prendre position contre de tels mouvements politiques en fonction de son expérience historique.
125.  La Cour observe aussi que le régime théocratique islamique a déjà été imposé dans l’histoire du droit ottoman. La Turquie, lors de la liquidation de l’ancien régime théocratique et lors de la fondation du régime républicain, a opté pour une vision de la laïcité confinant l’Islam et les autres religions à la sphère de la pratique religieuse privée. Rappelant l’importance du respect du principe de la laïcité en Turquie pour la survie du régime démocratique, la Cour considère que la Cour constitutionnelle avait raison lorsqu’elle estimait que le programme du Refah visant à établir la charia était incompatible avec la démocratie (paragraphe 40 ci-dessus). (…)
128.  Poursuivant ce raisonnement, la Cour écarte la thèse des requérants selon laquelle empêcher un système multijuridique de droit privé au nom de la place spéciale réservée à la laïcité en Turquie équivaudrait à établir une distinction défavorable aux musulmans qui voudraient vivre, dans leur vie privée, selon les rites de leur religion.
Elle rappelle que la liberté de religion, y inclus la liberté de la manifester par le culte et l’accomplissement des rites, relève d’abord du for intérieur. La Cour souligne sur ce point que le domaine du for intérieur est tout à fait différent de celui du droit privé, ce dernier concernant l’organisation et le fonctionnement de la société tout entière.
Personne ne conteste devant la Cour qu’en Turquie chacun peut suivre dans sa sphère privée les exigences de sa religion. En revanche, la Turquie, comme toute autre Partie contractante, peut légitimement empêcher que les règles de droit privé d’inspiration religieuse portant atteinte à l’ordre public et aux valeurs de la démocratie au sens de la Convention (par exemple les règles permettant la discrimination fondée sur le sexe des intéressés, telles que la polygamie, les privilèges pour le sexe masculin dans le divorce et la succession) trouvent application sous sa juridiction. La liberté de conclure des contrats ne saurait empiéter sur le rôle de l’Etat consistant à organiser d’une façon neutre et impartiale l’exercice des religions, cultes et croyances (paragraphes 91-92 ci-dessus). (…)
130.  La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique. Dans tous ces discours, l’éventualité et la possibilité d’avoir « légitimement » recours à la force afin de surmonter divers obstacles sur le chemin politique envisagé par le Refah pour accéder au pouvoir et y rester ont été mentionnées.
131.  Par ailleurs, la Cour fait sien le constat suivant de la chambre :
« 74.  (…)
S’il est vrai que les dirigeants du [Refah] n’ont pas appelé dans des documents gouvernementaux à l’usage de la force et de la violence comme moyen politique, ils ne se sont pas concrètement désolidarisés en temps utile des membres du [Refah] qui soutenaient publiquement le recours potentiel à la force contre des politiques qui leur étaient défavorables. Dès lors, les dirigeants du [Refah] n’ont pas supprimé l’ambiguïté caractérisant ces déclarations quant à la possibilité de recourir aux méthodes violentes pour accéder au pouvoir et y rester (voir, mutatis mutandis, l’arrêt Zana c. Turquie du 25 novembre 1997, Recueil 1997-VII, p. 2549, § 58). » (…)

PAR CES MOTIFS, LA COUR, À L’UNANIMITÉ,

1.  Dit qu’il n’y a pas eu violation de l’article 11 de la Convention…

QUI EN PREND ACTE EN EUROPE ?


Le témoignage de Mona Walter

 29 DÉCEMBRE 2015


Mona Walter est venue en Suède de la Somalie en tant que réfugiée de guerre. Elle avait 19 ans. Elle est heureuse de rejoindre une nation européenne moderne avec des droits égaux pour les femmes à ceux des hommes, dit-t-elle. Comme toute jeune femme musulmane, qui arrive en Suède, elle fréquente sa communauté et se rend fréquemment à la mosquée. Aujourd’hui, elle livre un véritable introduction à l’islam…
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Elle a dit être née dans l’islam, sans savoir ce qui était réellement dans le Coran. Plus tard dans la vie, elle est allée en Suède en tant que réfugiée de la guerre et est devenue active dans la vie islamique. Elle a commencé à lire le Coran et a été absolument consternée par ce qu’elle a trouvé. « Allah est un dieu haineux, et Muhammad était un être humain dégoûtant».
« Ce Dieu a une haine féroce. Il est sur la haine et tuant ceux qui sont en désaccord avec l’islam », dit-elle dans la vidéo. « Il est à conquérir. Muhammad était immoral. Il était un homme sanguinaire. Il était un homme terrible » : «Les musulmans peuvent le découvrir dans sa biographie : Ce qu’il a fait pour les juifs, comment il violé des femmes, comment il a tué des gens. Je veux dire, qu’il a tué tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui », a- t-elle expliqué.
« Je ne savais pas qui était Mohammed. Je ne savais pas qui était Allah. Lorsque, je les ai découverts, je fus bouleversée, triste et déçue », se souvient-elle.
Walter a découvert le Dieu du Coran, un Dieu qui hait, et que l’Islam n’est pas une religion de paix.
LE CHRISTIANISME, UNE NOUVELLE PERSPECTIVE
Après avoir découvert, ce qui est réellement l’Islam, découragée, Mona Walter a quitté l’islam et est devenu une athée, jusqu’au jour où un membre de la famille l’a encouragée à lire la Bible. Elle se souvient encore de la première fois qu’elle a lu [Matthieu 5:44], où Jésus dit : « Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent ».
Elle est allée voir le pasteur Fouad Rasho de « Angered Alliance Church », un immigré syrien qui ministre les anciens musulmans en Suède : « Elle a commencé à croire au Christ et elle est venue vers moi. Et ce fut le début de sa confiance », dit le pasteur. Quand elle a accepté Christ, Walter  dit qu’elle se sentait « très heureuse » et « remplie de joie » ajoute le pasteur, et sa vie va changer :
« C’était très étrange que je découvre + l’amour de ses ennemis +, parce que dans l’Islam est catégorique, qu’ il faut tuer ses ennemis : + Tuez votre ennemi et aussi quiconque refuse l’Islam +. Mais Jésus-Christ est tout-à-fait différent, il prône l’amour, la paix, le pardon et la tolérance », dit-elle.
IL FAUT AIDER À SAUVER LES MUSULMANS AVEC LA VÉRITÉ
Walter, dit le que le seigneur Jésus-Christ lui a donné un fardeau pour les musulmans qui ne connaissent pas encore la vérité sur l’Islam. Et elle a commencé à étudier davantage et davantage le Coran, à copier des versets du Coran et les distribue dans la rue aux femmes musulmanes, espérant avoir plus d’arguments pour les convaincre.
« Parfois, elles écoutent et parfois elles deviennent très en colère, et je dis aux femmes musulmanes : + Vous savez que votre mari a le droit de vous battre si vous ne lui obéissez pas ? + Et elles répondent : + Non, le Coran ne dit pas cela +. Et j’enchaîne : + Oui, le Coran le dit + ».
« Je pensais qu’on leur donnant l’information à propos de Mahomet et d’Allah, tel qu’ils sont dans le Coran, ce Dieu de l’Islam qui hait, qui tue, qui discrimine les femmes, qu’elles prendront, peut-être, conscience de faire un choix de quitter cette religion », a-t-elle expliqué.
« Et, c’est dans cette Suède politiquement correcte et de droit de l’homme, que j’ai été attaquée par des musulmans, pour avoir simplement répété, ce qui est écrit dans le Coran. Je suis appelée + islamophobe + par des musulmans, et oui [ils me disent], + que, vous avez été achetée +, + que, vous êtes le nègre de maison + », dit-elle.
Elle a également été traitée de raciste. Walter continue d’avertir les autorités, que le radicalisme islamique est une menace sérieuse en Suède, et demande que la société suédoise se soucie davantage sur les femmes emprisonnées ou lapidées à cause de l’Islam.
« Les Suédois disent : + Oh ! Nous sommes en Suède ; Nous avons la liberté de religion, en même temps, ils oublient, que les femmes musulmanes n’ont pas la liberté de religion, elles vivent sous la terreur de la loi d’Allah, et non sous la loi qui ressemblerait à celle de la Suède ».
« Les Suédois croient à la liberté religieuse, en même temps, ils oublient que dans l’Islam, les musulmans ne disposent pas de liberté de religion, tant pour les femmes musulmanes que pour le reste de la société », a fait valoirWalter.
Walter vit sous des menaces de mort et se déplace parfois avec la protection de la police suédoise. Elle nous a montré les zones musulmanes autour de Göteborg, mais a dû prendre la précaution de mettre sa robe de musulmane. Elle croit, également, si elle montre son visage, elle sera reconnue et serait attaquée :
« Je ne peux jamais aller dans ces zones, si je ne suis pas habillée comme je suis, car, je ne sortirais pas en vie  », dit-elle.
« Je veux ajouter par ailleurs, que les musulmans sont normalement de bonnes bonnes comme tout le monde », a-t-elle poursuivi. « Mais le problème, après avoir lu, régulièrement, le Coran, ils deviennent une machine à tuer ».
« Ces soi-disant + ISIS +, + El Shabab + ou + Boko Haram +, ne sont  ni des extrémistes, ni des fanatiques comme le font croire les hommes politiques et les médias occidentaux. Ils sont justes de très bons musulmans, qui ont une pratique exacte de la religion : Ils suivent les enseignements de l’Islam (le Coran et les Hadiths). Ils prennent en modèle les faits, gestes et l’enseignement du prophète Muhammad, comme le demande le Coran. Tout ce qu’ils font, ils le font parce que Mahomet l’a fait et l’Islam le demandé de le faire en imitant Mahomet ».
Walter utilise maintenant des vidéos, dans lesquelles, elle apparaît directement en s’adressant aux musulmans, afin de répandre son message. Et elle dit, qu’elle n’est pas prête d’arrêter, même si sa vie est en danger.

NOTE :
Mona Walter est sur une mission. Sa mission est d’informer à plus de musulmans possibles, qu’ils sachent, ce qui est dans le Coran, avant d’ajouter : Si, plus de musulmans sauront ce qui est dans le Coran, plus ils quitteraient l’islam.
Elle consacre maintenant sa vie à dénoncer l’islam pour ce qu’il est vraiment. Elle utilise des vidéos et apparitions parlant à répandre son message du Christ. Elle a été attaquée, avec des gens appelant son islamophobe et raciste de dire aux gens ce qui est vraiment dans le Coran.
Nous avons besoin de plus de femmes courageux, comme Mona. Et nous avons certainement besoin de garder son couvert dans la prière.


“Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main ! (Coran 5.38)” Allah est miséricordieux !
 19 DÉCEMBRE 2015

« Le voleur et la voleuse,à tous deux coupez leurs mains, en rétribution pour ce qu’ils ont réalisé, comme intimidation de la part d’Allah. Allah est fier et sage. (Coran 5.38) ». Et si le présumé coupable récidive, c’est l’amputation du pied opposé à la main amputée (Coran 5.33). Le Code pénal adopté à l’unanimité par le Conseil des Ministres arabes de la Justice prévoit de couper les mains du voleur (article 153)
Âmes sensibles ou mineur s’abstenir


Pourquoi la chariah ? (7 DÉCEMBRE 2015)

Pour cacher sans doute leur honte ; des musulmans diront que Coran 4.15 traite des adultères et non des cas de viols.

Or, à la vérité, le texte ne mentionne pas plus l’adultère que le viol, puisqu’il parle “d’action infâme”, de « turpitude », expressions pouvant désigner toutes sortes d’actes, et que la charia utilise pour traiter aussi bien des cas d’adultère que de viol. Une épouse violée sera facilement accusée d’adultère, c’est à dire sera déclarée consentante… et devra donc taire le crime qu’elle a subi si elle ne veut pas encourir le châtiment prévu pour les adultères… à moins que l’on présente pour elle quatre témoins attestant qu’il s’agit d’un viol ! Hena Begum, 14 ans, a été violée dans le district de Shariatpur, au centre du Bangladesh, la nuit du 30 janvier 2010, par son cousin Mahbub, âgé de quarante ans. Alertés par les cris de la victime, la femme de Mahbub et son frère s’en sont pris à l’adolescente et l’ont battue, jusqu’à ce que des membres de la famille d’Hena viennent à son secours. Le violeur à été condamné à verser une amende et à recevoir 200 coups de fouet en public, peine réduite ensuite à 100 coups, tandis que la victime a été condamnée à subir 100 coups de fouet en public pour « participation au crime ». Elle en est morte au soixantième coup, le lundi 1er février.
On pourrait citer malheureusement d’autre cas, comme celui de Amina Al Filali, jeune marocaine âgée de seize ans, obligée, d’épouser son violeur qui la battait, a préféré se donner la mort en ingurgitant de la mort aux rats le 9 mars 2012… ou celui de ce jeune couple de fiancés dont la jeune femme le 26 septembre dernier, a été violée par deux policiers tunisiens, et suite à la plainte qu’ils ont déposée, a été convoqué par un juge d’instruction tunisien pour une confrontation où la jeune femme a été « entendue en tant qu’accusée du délit d’atteinte à la pudeur ». La procédure inspirée de la charia transforme la victime en accusée, pour la terroriser et l’obliger à renoncer à ses droits.

Exécution d’une femme en Arabie saoudite
 1 DÉCEMBRE 2015

Exécution publique en Arabie saoudite d’une femme pour un meurtre dont elle s’est jusqu’au dernier instant de sa vie déclarée innocente.


Un Tunisien parle de la charia au quotidien
 1 DÉCEMBRE 2015
M. Salah Zeghidi,
responsable tunisien de la Ligue des Droits de l’homme, et membre fondateur de l’A.C.T.D.L (Association culturelle tunisienne pour la défense de la laïcité)…
nous parle de la charia…

Un prêtre irakien traité par la religion de paix d’amour (30 MAI 2015)

“les chrétiens ne sont qu’impureté ! (Coran 9.28)”
« Les mécréants, frappez-les au cou !  (Coran 47.4) »
“Qu’Allah tue les chrétiens ! (Coran 9.30)”

Lapidation d’un couple accusé d’adultère (10 JANVIER 2014)

MAHOMET ORDONNE DE LAPIDER LES FEMMES…

1)“ Le Prophète a fait lapider une femme et une fosse a été creusée pour elle jusqu’aux seins. ” (récitd’Abu Bakr, Dawud XXXVIII 4429)

2)“ L’apôtre d’Allah a dit : – Ô Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors lapide-la à mort. ”
(récit de Zaid ibn Khalid et Abu Huraira, Bukhari XXXVIII 508)

Et cela six siècles après la venue du Christ…
“Quant à Jésus, il alla au mont des Oliviers.
Mais, dès l’aurore, de nouveau il fut là dans le Temple, et tout le peuple venait à lui, et s’étant assis il les enseignait.
Or les scribes et les Pharisiens amènent une femme surprise en adultère et, la plaçant au milieu,
ils disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ? »
Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol.
Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! »
Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol.
Mais eux, entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu.
Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. »
De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. »
Les Pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n’est pas valable. »
Jésus leur répondit : « Bien que je me rende témoignage à moi-même, mon témoignage est valable, parce que je sais d’où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez pas d’où je viens ni où je vais.
et s’il m’arrive de juger, moi, mon jugement est selon la vérité, parce que je suis pas seul ; mais il y a moi et celui qui m’a envoyé ;
et il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable.
Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé. »
Ils lui disaient donc : « Où est ton Père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles au Trésor, alors qu’il enseignait dans le Temple. Personne ne se saisit de lui, parce que son heure n’était pas encore venue.
Jésus leur dit encore : « Je m’en vais et vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Où je vais, vous ne pouvez venir. »
Les Juifs disaient donc : « Va-t-il se donner la mort, qu’il dise : «Où je vais, vous ne pouvez venir» ? »
Et il leur disait : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.
Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. (Evangile selon saint Jean 8.1-24) »


Allah commande le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.11-17)
 29 JUIN 2012

“Pardonnez-moi. Je suis un très mauvais journaliste car je vais vous parler de quelque chose que j’ai lu mais que je n’ai pas vu. Très exactement que je n’ai pas voulu voir car cette vidéo est sur Internet et elle a été diffusée à la télévision égyptienne dans l’émission « Egypt Today » animée par le journaliste égyptien Tawfiq Okasha visiblement mal à l’aise à l’idée de devoir diffuser ce document abominable. Tawfiq Okasha est considéré par Raymond Ibrahim du Gatestone Institute, comme un journaliste libéral. Il est révulsé par ce document et demande aux téléspectateurs : « Est-ce cela l’islam ? ». Mais réponse est : oui ! c’est aussi cela l’islam… L’égorgement méthodique d’un jeune musulman tunisien converti au christianisme pour « apostasie » n’est pas une abomination qui ne se produirait qu’une fois tous les trente-six du mois dans les pays musulmans. Nous en avons évoqués un bon nombre sur ce blogue et dans mon précédent post de ce jour je signalai plusieurs égorgements de chrétiens par les islamistes à Homs (Syrie). Ceux qui estiment devoir regarder cette horreur n’auront qu’à se connecter à la source indiquée ci-dessous, mais je ne mettrai pas cela en ligne et j’ai arrêté de voir cette vidéo à moins d’une minute. Pour ceux qui ne supporteront pas de voir l’insupportable, voici la description qu’en fait Raymond Ibrahim :
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« Un jeune homme apparaît maintenu à terre par des hommes masqués. Sa tête est tirée en arrière et il a un couteau sur la gorge. Il ne se débat pas et semble résigné à son sort. S’exprimant en arabe, un locuteur ou “narrateur”, qui n’apparaît pas à l’écran, psalmodie plusieurs prières et supplications musulmanes, la plupart condamnant le christianisme qui, à cause de la Trinité, est qualifiée de foi polythéiste : “Qu’Allah soit vengé de l’apostat polythéiste”, “Allah, fais triompher ta religion, rends-la victorieuse des polythéistes”, “Allah, défais les infidèles par la main des musulmans” ; “Il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son messager”.

Alors, aux cris de “Allahu Akbar !” – ce qui veut dire “Dieu est grand” – l’homme qui tient le couteau sur la gorge de l’apostat commence à la lui trancher, tandis que la victime semble calmement susurrer une prière. Il faut presque deux minutes de découpage au couteau pour détacher la tête du chrétien de son tronc, tête qui est alors élevée au milieu des cris et des slogans de victoire ».

Le journaliste Tawfiq Okasha demande à ses téléspectateurs si c’est cela l’islam ? Moi j’ai répondu. À vous de le faire – et de le faire savoir !

Prions pour ce martyr qui a été égorgé pour avoir refusé de renier le Christ. Prions aussi – je sais que cela sera plus dur – pour ses bourreaux.”

Daniel Hamiche


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