Transformer
les enfants en assassins…
(6 NOVEMBRE 2017)
En France, se vend “La voie
du petit musulman”, dont on peut se faire une idée de la qualité en cliquant sur ce lien.
Viande halal, ce qui est
caché au consommateur
24 JUIN 2017
Les risques sanitaires liés
à l’abattage Halal
– Par Alain de Peretti, Docteur vétérinaire
– Par Alain de Peretti, Docteur vétérinaire
Viande halal, TRIPLE
DANGER : On évoque toujours les problèmes posés en la
matière par la souffrance animale, et par la
« taxe » de financement occulte de l’islam par les
consommateurs.
Ces problèmes sont bien sûrs
réels. Il en est un autre qui nous concerne tous et mérite d’être évoqué, une
question essentielle et occultée : l’aspect sanitaire et de sécurité
alimentaire.
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Dans l’abattage halal
l’animal est tourné vers la Mecque, saigné sans étourdissement ; il est
pratiqué une très large incision de la gorge jusqu’aux vertèbres, sectionnant
tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour la saignée,
mais aussi la trachée et l’œsophage.
Cette pratique entraîne les conséquences anatomo-physiologiques suivantes :
Cette pratique entraîne les conséquences anatomo-physiologiques suivantes :
- Une régurgitation du contenu de
l’estomac par l’œsophage, lequel se trouve anatomiquement juste à côté de
la trachée.
- L’animal continue de respirer, même très
fort du fait de l’agonie qui peut durer jusqu’à 1/4 h rappelons le, et
inspire ces matières souillées riches en germes de toutes sortes.
- Ces matières inspirées jusqu’aux
alvéoles pulmonaires larguent leurs germes dans le sang d’autant
plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et
que la circulation sanguine, rappelons le, est toujours en cours dans
cette période d’agonie, et même accélérée par le stress au niveau des
organes essentiels.
- Un risque énorme de contamination en
profondeur de la viande est donc encouru.
- On observe de plus, du fait du stress
intense, 2 phénomènes physiologiques qui se conjuguent : la
chute de tous les mécanismes de défense immunitaires, et la concentration
du sang dans les organes essentiels, on peut dire que l’animal
« retient son sang ». C’est un processus naturel de survie qui
entraîne vraisemblablement d’ailleurs une saignée moins bonne
contrairement aux allégations des tenants de cette pratique. Il y a de
plus une forte production de toxines.
- La longueur de l’agonie entraîne enfin
des soubresauts violents accompagnés de défécation et émission d’urine, le
tout éclaboussant toute la zone d’abattage !!!
On voit donc bien les
conséquences pour la sécurité alimentaire des consommateurs.
C’est si vrai que le règlement européen, CEE 853/2004, dans son annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) dit : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « ( avec une dérogation pour l’abattage rituel…).
C’est si vrai que le règlement européen, CEE 853/2004, dans son annexe, chapitre IV intitulé Hygiène de l’abattage, paragraphe 7, alinéa (a) dit : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE « ( avec une dérogation pour l’abattage rituel…).
Le problème est que, selon
des estimations récentes, 50% environ de la viande consommée est maintenant
halal. Car si les musulmans sont encore minoritaires, ils ne consomment
que certains morceaux, et qu’on ne peut laisser perdre le reste de la carcasse.
De plus les industriels trouvent plus simple et plus profitable de n’avoir
qu’une seule chaîne d’abattage : ainsi des bêtes entières qui seront consommées
hors du marché halal sont néanmoins égorgées selon ce rite oriental.
Conclusion : On enfreint le
sacro saint principe de précaution, pour respecter une pratique exotique
irrationnelle, insoutenable sur tous les plans, basée sur une superstition
moyenâgeuse absurde. Dans ces conditions, les actuelles dérogations à la réglementation européenne
permettant l’abattage rituel sont elles acceptables ?
La multiplication des cas de
toxi-infections alimentaires est en tous cas prévisible… et elle touchera
surtout des non musulmans, inconscients de ces risques incontrôlés et dont les
habitudes culinaires les amènent à consommer la viande beaucoup
moins cuite.
Alain de Peretti, Docteur
vétérinaire, pour Novopress France.
«
… S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! (Coran
4.89) »
16 AVRIL 2017
“U 22 Un musulman
ne peut pas quitter l’islam sans s’exposer à être lynché par ses anciens
coreligionnaires, au premier rang desquels ses propres parents ont ce
devoir : « … S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que
vous les trouviez ! Gardez-vous de prendre parmi eux des amis ou des
auxiliaires… (Coran 4.89) » ; « Quiconque se séparera
d’Allah et de son apôtre, Allah lui fera éprouver combien il est terrible dans
ses châtiments. […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah. (Coran
8.12-17) » ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru ― sauf
celui qui y a été contraint ― ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la
mécréance, ceux-là méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment.
(Coran 16.106 ; 2.217) » ; « J’ai bien entendu
l’apôtre d’Allah dire : “Les derniers jours, il apparaîtra de jeunes fous
qui diront de belles paroles mais dont la foi n’ira pas au-delà de leur gorge
et qui quitteront leur religion comme la flèche sort du jeu. Alors, où que vous
en trouviez, tuez-les car celui qui en tuera aura sa récompense le jour de la
résurrection.“ (Récit d’Ali, Bukhari 84.64) » ;
« Ali fit périr par le feu plusieurs personnes et cette
nouvelle parvint à Ibn ‘Abbas, qui dit : “À sa place, je ne
les aurais pas brûlées, car le Prophète a dit : Ne punissez pas par la
punition d’Allah, mais je les aurais cependant bien tuées, car le
Prophète a dit : Si quelqu’un abandonne sa religion, tuez-le.” (Bukhari
4.63,260) »[1]. Le meurtre des apostats, comme
le ddjihad lui-même, sont alors considérés comme une prière en
acte… Les articles 126 du Code Pénal soudanais et 306 du Code Pénal mauritanien
prescrivent la mort de l’apostat et de celui qui invite à quitter l’islam. Le
Code pénal adopté à l’unanimité en 1996 par le Conseil des Ministres arabes de
la Justice prévoit la mise à mort des apostats[2], sanction que le Conseil des Ulémas
marocains n’a abrogée qu’en 2017. Invoquant le Coran (Coran 5.33), les pays
musulmans justifient aujourd’hui encore le meurtre de celui qui critique
l’islam[3] : « Son sang et ses biens
sont licites. (Cheikh jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi, 6.09.2005) ».
Si le refus de la liberté de conscience et l’atteinte à l’intégrité physique
caractérisent une secte et une mafia, faut-il continuer à considérer l’islam
comme une religion ?
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[1] « Le
Prophète d’Allah a dit : “Il n’est pas permis de verser le
sang d’un musulman qui témoigne qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que je
suis l’Envoyé d’Allah, sauf dans ces trois cas : l’époux adultère, le
coupable d’un meurtre et l’apostat qui abandonne la communauté musulmane.” »
(Sahih de Muslim, 3175).
[2] « Article
163 : L’apostat est puni de la peine de mort s’il est prouvé qu’il a
apostasié volontairement et s’y maintient après avoir été invité à se repentir
dans un délai de trois jours. Article 164 : Le repentir de l’apostat se
réalise par le renoncement à ce qui a constitué sa mécréance; son repentir est
inacceptable s’il apostasie plus de deux fois. Article 165 :
Tous les actes de l’apostat après son apostasie sont considérés comme nuls de
nullité absolue, et tous ses biens acquis par ces actes reviennent à la caisse
de l’État. »
[3] Critique
toujours nécessairement assimilée à l’insulte. Cf. L’affaire des
caricatures de Mahomet.
(Extrait de “Interroger
l’islam, 1501 questions à poser aux musulmans).
Nolan,
7 ans, en fauteuil roulant, pour avoir consommé de la viande halal…
14 AVRIL 2017
Le halal est souvent mis en
relation avec la bactérie e. coli.
https://vigilancehallal.com/tag/e-coli/
J’ai été hospitalisé lorsque j’étais nourrisson plusieurs semaines pour avoir été infecté par cette bactérie.
Je m’en suis bien sorti.
Au contraire, le jeune Nolan, 7 ans, est en fauteuil roulant et présente des lésions neurologiques.
https://vigilancehallal.com/tag/e-coli/
J’ai été hospitalisé lorsque j’étais nourrisson plusieurs semaines pour avoir été infecté par cette bactérie.
Je m’en suis bien sorti.
Au contraire, le jeune Nolan, 7 ans, est en fauteuil roulant et présente des lésions neurologiques.
Les risques sanitaires
LES RISQUES SANITAIRES DE
L’ABATTAGE HALAL
L’abattage rituel ne permet
pas une exsanguination satisfaisante
Ainsi qu’il a été dit, dans
l’abattage halal, l’animal, tourné vers la Mecque est égorgé sans
étourdissement par un sacrificateur musulman agréé qui prononce des paroles
sacramentelles. Le cou est tranché jusqu’aux vertèbres, en
sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides pour
que le sang s’écoule, mais aussi latrachée et l’œsophage. Le
procédé est présenté comme assurant une saignée plus complète que l’abattage
standard. C’est un non-sens. Dans l’abattage standard, l’animal,
parce qu’il est étourdi, est immobile et détendu. On procède à une
incision limitée qui ne sectionne que les carotides. On sait parfaitement
aujourd’hui qu’un électro encéphalogramme plat n’est pas synonyme de mort. En
toute logique, l’exsanguination est d’autant plus complète dès lors que
les fonctions vitales de l’animal notamment cardiaques se poursuivent. Par
contre il est établi que l’égorgement à vif provoque chez l’animal dans
25% des cas de « faux anévrismes » qui bloquent
l’effusion de sang.
Une viande mal saignée se corrompt plus vite. C’est donc pour des motifs d’ordre strictement sanitaire que les textes en vigueur prévoient la saisie de la carcasse de tout animal imparfaitement saigné. Mais l’abattage rituel n’est pas concerné…
Une viande mal saignée se corrompt plus vite. C’est donc pour des motifs d’ordre strictement sanitaire que les textes en vigueur prévoient la saisie de la carcasse de tout animal imparfaitement saigné. Mais l’abattage rituel n’est pas concerné…
Mouton égorgé selon la
technique halal. Malgré l’énorme plaie béante, le sang ne coule plus du fait de
la formation de faux anévrismes, il tient fièrement la tête haute dans un
dernier défi, et démontre que la saignée pose problème !
L’abattage rituel a des
effets anatomo-physiologiques dommageables:
- Une régurgitation du contenu de
l’estomac par l’œsophage qui a été sectionné, lequel se trouve
anatomiquement juste à côté de la trachée, coupée elle aussi au même
niveau. (voir la coupe anatomique et la photo ci dessous)
- Durant une agonie qui peut durer jusqu’à
¼ d’heure, l’animal continue de respirer de façon spasmodique très forte
du fait de la section du nerf vague car le cerveau
continue d’être irrigué par les artères vertébrales (voir coupe
anatomique ci dessus) et l’animal ressent une sensation intense
d’étouffement. Par la trachée béante, il inspire
les matières gastriques riches en germes de toutes sortes régurgitées
par l’œsophage.
- Ces matières inspirées jusqu’aux
alvéoles pulmonaires disséminent leurs germes dans le sang d’autant
plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très
mince et que la circulation sanguine se poursuit. Elle est même
accélérée au niveau des organes essentiels par le stress. Les germes
peuvent donc être disséminés dans tout l’organisme et pas
seulement au niveau de la plaie d’égorgement.
- Un risque
grave de contamination en profondeur de la viande est flagrant, raison pour
laquelle un règlement européen stipule (CEE 853/2004, annexe,
chapitre IV intitulé HYGIÈNE DE L’ABATTAGE paragraphe
7, alinéa a) : « LA TRACHÉE ET L’ŒSOPHAGE DOIVENT
RESTER INTACTS LORS DE LA SAIGNÉE ». Malgré quoi l’abattage
rituel est dispensé par dérogation de cette « hygiène »…
D’autres
facteurs compromettent cette « hygiène de l’abattage » :
- Sous l’effet de la souffrance et de la
terreur, l’animal est soumis à un stress intense.
Ce qui déclenche deux phénomènes physiologiques qui se
conjuguent : la chute de tous les mécanismes de défense immunitaire
avec une forte production de toxines, et la concentration du sang dans les
organes essentiels. On peut dire que par un réflexe naturel de survie,
l’animal « retient son sang ». Notons à nouveau que ces
réactions physiologiques pourtant parfaitement connues infirment
totalement l’argument selon lequel l’abattage rituel assurerait
une saignée plus satisfaisante.
- L’animal met longtemps à mourir car son
cerveau continue à être irrigué par les deux artères
vertébrales et le polygone de Willis qui sont un circuit de suppléance en
cas de section des carotides et continue donc à envoyer des stimuli.
L’animal réagit par des soubresauts violents accompagnés de défécation et
émission d’urine qui, mélangés au sang qui gicle, souillent toute la zone
d’abattage et plus particulièrement le piège avec
mentonnière dans lequel l’animal est immobilisé. Les cadences
ne permettent de nettoyer le dispositif entre deux animaux
!
- Non seulement l’étendue de l’entaille
pratiquée met les chairs en contact avec des surfaces de peau
importantes et souvent souillées mais, de plus, lorsque l’animal
s’effondre enfin, c’est à l’intérieur du piège dans l’état
décrit plus haut. Il en est extrait puis
trainé sur le sol souillé avec lequel sa plaie
énorme va forcément entrer en contact. Il est ensuite
pendu souvent encore vivant car on a pas
le temps d’attendre qu’il soit mort…
En résumé, tout dans
l’abattage standard est mis en œuvre pour assurer un maximum d’hygiène :
l’animal est étourdi, il n’est saigné qu’une fois suspendu au moyen d’une
incision restreinte puis l’œsophage est ligaturé. Il n’entre pas en contact
avec le sol. Pareille procédure n’est évidemment possible qu’en raison de
l’inconscience où il a été plongé. Elle est non moins évidemment impossible
dans l’abattage rituel dont ceux qui le réclament s’obstinent, au
mépris de ce que l’on sait aujourd’hui en la matière, à confondre cette
inconscience avec un état létal et, au motif qu’il est impur de manger du
cadavre, exigent d’y déroger.
Force est de constater que
cette « hygiène de l’abattage » à quoi s’attachent à juste titre les
sociétés développées ne fait pas partie des problématiques de l’abattage
rituel. Dans les pays d’où nous vient cette pratique, il est d’usage,
observera-t-on, de laver la viande et de ne la consommer que longuement
bouillie. Reste que, en France, selon des estimations récentes plus de 50%
de la viande proposée au consommateur est issue de l’abattage
rituel ce qui parait tout de même excéder largement les exigences
communautaires. Curieusement, la dérogation, de soi inquiétante, tend donc
à devenir la norme. Sans doute les professionnels y trouvent-ils avantage et
profit. Quitte à refiler à son insu au consommateur ordinaire les morceaux
réputés « impurs » des bêtes égorgées selon ce rite oriental, voire
la bête entière, et à faire 200 victimes par an ainsi que l’a signalé le Dr
Jean-Louis Thillier.
Le principe de précaution
invoqué à tous propos perdrait-il sa pertinence dès lors qu’il s’agit de faire
droit à une pratique présentée comme précepte religieux ? A supposer
qu’il soit convenable qu’un Etat laïque déroge à une loi de santé publique en
faveur d’une religion, le professeur Aldeeb a démontré dans un avis
argumenté qu’il n’y avait là en fait, que la survivance d’une coutume archaïque
qu’aucun texte de référence ne justifiait.
LE SCANDALE EST QUE LES
SERVICES SANITAIRES SONT PARFAITEMENT AU COURANT DES RISQUES ENORMES DE
CONTAMINATIONET CONTOURNENT LE PROBLEME EN DEMANDANT DE FAIRE CUIRE A COEUR LES
STEACKS HACHES .
LA PREUVE CI DESSOUS,
CLIQUEZ SUR LE LIEN :
Décapitée
par sa famille pour avoir quitté l’islam et être devenue chrétienne… (11
JANVIER 2017)
Voici une histoire triste,
qui montre bien ce qu’est une société musulmane, en l’occurrence
l’Égypte : En 2012, à Alexandrie, une musulmane de 22 ans, nommée Marwa A.
E., est répudiée par son mari musulman. Le temps passe et elle tombe amoureuse
d’un voisin, copte, à travers qui elle rencontre le Christ. Elle reçoit le
baptême et épouse ce chrétien. Ils doivent déménager car Allah commande le
meurtre de celui qui quitte l’islam (Coran 4.48 ; 8.11-17)… et l’Égypte est
pleine de pieux musulmans ! Ils vont donc habiter un village lointain,
Tamia, pour s’y cacher. Deux enfants viennent combler le bonheur du foyer,
et Marwa est à nouveau enceinte, de deux mois. Les époux ont la nostalgie de
leur Église à Alexandrie. Ils désirent revoir leurs frères et sœurs
chrétiens et décident d’aller en secret leur rendre visite. Mais Marwa est
reconnue par sa fille issue de sa précédente union après avoir
quitté l’église pour se rendre chez une amie. La fillette, scandalisée de
voir sa mère ne plus porter le hijab, décide de la dénoncer au frère et à l’oncle
de celle-ci. Ceux-ci saisissent Marwa et l’amènent à la maison familiale pour
l’y séquestrer et brutaliser jusqu’à ce qu’elle renonce à sa foi chrétienne.
Mais la chose se divulgue,
et à Tamia les musulmans entrent en colère contre les chrétiens du village en
les accusant d’avoir caché Marwa.
La famille musulmane de
Marwa exige alors comme réparation de leur crime que tous les chrétiens de
Tamia vendent leurs biens dans les dix jours qui suivent et quittent le
village. Le mari chrétien de Marwa ainsi que leurs deux enfants seront épargnés
à conditions que Tamia soit exécutée, comme le demande Allah (Coran
4.89 ; 8.11-17). Le responsable local de la sécurité nationale, le General
Nasser Abed, est chargé de veiller à la bonne réalisation de “l’accord”, et notamment
de sécuriser l’évacuation des chrétiens.
Tous les membres de la
famille de Marwa se saisissent d’elle à l’aube et c’est
sa sœur elle-même qui décapite Marwa, et ce afin de donner une bonne leçon
à toutes les femmes qui voudraient quitter l’islam. Le corps de Marwa est
ensuite jeté dans un terrain vague.
Cet événement témoigne de la
vie ordinaire des convertis en pays musulmans… L’Église est sans pouvoir par
peur des représailles…. Chaque vie est précieuse, aussi l’associationRescue Christians invite-t-elle
les convertis de l’islam se trouvant dans une pareille situation à prendre
contact avec elle afin d’organiser au plus tôt leur départ.
image d’illustration
“Ne craignez rien de ceux
qui tuent le corps et après cela ne peuvent rien faire de plus. Craignez celui
qui après avoir tué le corps peut aussi jeter l’âme en enfer.
Oui, Je vous le dis, celui-là, craignez-le. (Lc 12.4-5)”
La
charia et le processus d’islamisation, par Alain Wagner (5 JANVIER 2017)
Alain Wagner, analyste et
spécialiste de la problématique islamique ainsi qu’activiste de terrain, nous
explique dans cette conférence pourquoi parler d’islam sans connaitre les
caractéristiques de la charia nous condamne à ne rien comprendre à ce qui
arrive à nos pays. Concevoir l’islam comme une religion, ne pas comprendre que
l’islamisation est un processus de nature politique empêche nos sociétés de se
défendre et d’entamer la nécessaire désislamisation de l’Occident.
La
charia ou la vie ?
2 JANVIER 2017
Adel Abou al-Nour el-Sayed,
50 ans, a été accusé d’avoir tué le 2 janvier 2017 dans la ville
d’Alexandrie Youssef Lamei, un Copte de 61 ans. Comme nous le voyons sur le
film de cette vidéo de surveillance, il s’est approché du sexagénaire assis
devant son magasin de boissons et lui a tranché la gorge, a indiqué à l’AFP
Tony Youssef, le fils de la victime qui a assisté à la scène. Sayed, arborant
une longue barbe à la manière des musulmans fondamentalistes, a ensuite affirmé
à la cour pendant le procès qu’il tuerait tous les vendeurs d’alcool s’il le
pouvait, selon des sources judiciaires. (Source)
Un instantané de la
vie des chrétiens en pays devenus musulmans …
Continuons à construire des
mosquées, ces “maisons de la charia”, où est enseignée la religion de
tolérance, de paix et d’amour !
فديو ذبح يوسف لمعي في اسكندريه امس _ كاميرات المحل نفسه
2. Et
pendant ce temps, tel ce jeune Anglais devenu musulman croyant bien faire
que de désigner son quartier comme
désormais régi par la charia, les Européens déroulent le tapis rouge
devant l’islam …
3. “—
V 19 Si Allah a « interdit » aux
Juifs « pour prix de leur méchanceté » et du fait
qu’ils détournaient « les autres du sentier
de Dieu […] des aliments délicieux qui leur étaient d’abord permis (Coran
4.158) », est-ce pour la même raison qu’il a interdit aux musulmans le vin
et le porc ?” (Extrait de “Interroger l’islam, 1501 questions à poser aux
musulmans“).
Reportage au sein des
mosquées en Europe… en caméra cachée
26 NOVEMBRE 2016
“Sans
le meurtre des apostats, l’islam n’existerait plus”…
9 OCTOBRE 2016
Pour le Cheikh Al Qaradhâwî,
Président de l’Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas), Membre de
la confrérie des Frères musulmans, Membre du Conseil Européen pour la Recherche
et la Fatwa, et Consultant religieux pour Al Jazeera : “Sans l’assassinat
des Apostats, l’islam n’existerait plus depuis la mort de Mahomet“… Que
les Musulmans prennent donc leur courage à deux mains et n’aient pas peur !
Jésus n’a-t-Il pas dit : “Celui qui cherchera à sauver sa vie, la perdra,
mais celui qui la perdra à cause de Moi et de l’Évangile, la
sauvera. (Mc 8.35)” ?
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Les Fatwas de Qaradhâwî sont
très connues dans le monde arabe grâce à l’émission religieuse qu’il anime
chaque semaine sur la chaine de télévision Al Jazira, « la Charia et la vie ».
Assis derrière un bureau, il prend des questions d’auditeurs, auxquelles il
répond en direct. Près de dix millions d’auditeurs sont ainsi familiarisés avec
ses prêches, sa barbe grisonnante, ses grandes lunettes en écailles et son
chapeau traditionnel rouge et blanc.
Al Qaradhâwî et le président
Morsi, des Frères Musulmans, élu un temps président de l’Egypte.
Tariq Ramadan est le
propagateur des idées de Qaradhâwî en Europe. Il le cite régulièrement et
dans un de ses livres écrit. « Toute personne, musulmane ou
non, qui a étudié les sciences et le droit islamiques contemporains, sait
quelle est la contribution de Yussuf Al-Qaradâwî au débat et combien certaines
de ses propositions juridiques sont novatrices. J’éprouve un profond respect
pour l’homme et le savant et serait le dernier à m’en cacher (Tariq
Ramadan, Aziz Zemouri, Faut-il faire taire Tariq Ramadan ?, l’Archipel,
2005) ». Tariq Ramadan finira par être récompensé de sa dévotion à Qaradhâwî,
outre une chaire dans une université britannique financé par le Qatar, il
obtiendra aussi un poste dans Centre de recherche sur la législation et
l’éthique islamiques (CILE), à la faculté islamique de Doha.
«
Je devais la tuer. Je n’avais pas le choix » (8 OCTOBRE 2016)
« Je ne pouvais pas
laisser passer ça. Je n’arrivais à penser à rien d’autre. Je devais la tuer. Je
n’avais pas le choix. »
Pour expliquer pourquoi il a tué sa soeur Tasleem d’une balle dans la tête parce qu’elle avait épousé un chrétien, le Pakistanais Mubeen Rahju a adopté un ton banal, presque patelin lors de son entretien avec l’Associated Press. Le meurtre remonte à août dernier à Lahore. Le mari de sa soeur avait pourtant accepté de se convertir à l’islam pour faire plaisir à la famille, mais ce n’était pas suffisant. Car – est-il utile de le préciser – Mubeen est musulman.
Rahju note dans l’interview qu’il avait subi des pressions croissantes de la part de ses voisins et de ses collègues afin de réagir convenablement à la situation déshonorante de sa soeur.
Les voisins sont d’ailleurs d’accord : « Je suis fier de cet homme et il a fait ce qu’il fallait en la tuant. Nous ne pouvons pas permettre aux nôtres de se marier en dehors de notre religion. Il a bien agi », a déclaré l’un d’entre eux. Quant au père de la jeune femme, il ne parle que de la honte dont elle a accablé sa famille : sa mort était la seule manière de rétablir l’honneur.
Les chrétiens de Lahore vivent aujourd’hui, plus que jamais, dans la peur.
Pour expliquer pourquoi il a tué sa soeur Tasleem d’une balle dans la tête parce qu’elle avait épousé un chrétien, le Pakistanais Mubeen Rahju a adopté un ton banal, presque patelin lors de son entretien avec l’Associated Press. Le meurtre remonte à août dernier à Lahore. Le mari de sa soeur avait pourtant accepté de se convertir à l’islam pour faire plaisir à la famille, mais ce n’était pas suffisant. Car – est-il utile de le préciser – Mubeen est musulman.
Rahju note dans l’interview qu’il avait subi des pressions croissantes de la part de ses voisins et de ses collègues afin de réagir convenablement à la situation déshonorante de sa soeur.
Les voisins sont d’ailleurs d’accord : « Je suis fier de cet homme et il a fait ce qu’il fallait en la tuant. Nous ne pouvons pas permettre aux nôtres de se marier en dehors de notre religion. Il a bien agi », a déclaré l’un d’entre eux. Quant au père de la jeune femme, il ne parle que de la honte dont elle a accablé sa famille : sa mort était la seule manière de rétablir l’honneur.
Les chrétiens de Lahore vivent aujourd’hui, plus que jamais, dans la peur.
« … S’ils renient,
saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! Gardez-vous de prendre
parmi eux des amis ou des auxiliaires… » (Coran 4.89) ; « Quiconque se séparera
d’Allah et de son apôtre, Allah lui fera éprouver combien il est terrible dans
ses châtiments. […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah. » (Coran
8.12-17) ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru – sauf celui qui y a été
contraint –ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là
méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment. » (Coran 16.106 ; 2.217)
Avis
de recherche et récompense de 1000 € pour « fracasser le crâne » de
Fatima Sally
7 OCTOBRE 2016
Dans ce qui semblerait être
le hall de la gare de l’Est à Paris, une disciple d’Allah le très
miséricordieux a diffusé un « avis de recherche »
contre la jeune fille Fatima Sally qui avait avoué son athéisme et son
apostasie envers l’islam dans une récente vidéo. Dans un médiocre mélange de
langue française et de langue arabe, cette pépite nationale offre 1000 euros de
récompense à qui lui divulguera l’adresse de la jeune Fatima pour « lui
faire payer et lui fracasser le crâne » … Les menaces de mort
sont en principe sévèrement réprimées par la loi mais de celle-ci, cette chance
pour la France déclare :
« Moi j’en ai
rien à foutre de la justice. Moi j’ai toujours été contre la loi ».
De fait, il y a la loi
d’Allah au-dessus des lois de la République : « S’ils renient,
saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez !… (Coran 4.89) »
La
loi d’Allah au pays des Talibans…
5 OCTOBRE 2016
Une jeune fille de 19
ans, Rokhsahana, a été condamnée à la lapidation en Afghanistan, dans
la province de Ghor, pour avoir refusé le mariage que l’on voulait lui
imposer.
Mariée à un homme contre son
gré, elle s’est enfuie avec un autre homme de son âge. La jeune femme avait
voulu fuir avec son amant et a été mise à mort “par des Talibans, des
dignitaires religieux et des chefs de guerre irresponsables” dans une zone
désertique de la province de Ghor, a commenté la gouverneur Sima Joyenda à
l’AFP.
Un châtiment qui rappelle
les heures sombres du régime islamiste ultra-fondamentaliste en Afghanistan. Le
calvaire de cette femme-martyr a été filmé par ses bourreaux. Un enregistrement
insoutenable dans laquelle Rokhsahana est debout dans un trou creusé dans le
sol, d’où seule sa tête dépasse. Un homme vêtu de noir ramasse une pierre et la
lui lance à bout portant. Les autres hommes suivent en récitant la chahada, la
profession de foi musulmane. Abdul Hai Katebi, porte-parole de la gouverneur, a
confirmé l’authenticité de la vidéo qui circule sur Internet.
Sima Joyenda a condamné ce
meurtre et appelé le gouvernement central de Kaboul à “nettoyer” cette zone
sous contrôle des talibans. “C’est le premier incident de ce type dans
cette région et ça ne sera pas le dernier. Les femmes rencontrent des
difficultés dans tout le pays et particulièrement à Ghor”, a-t-elle mis en
garde. Le chef de la police provinciale a confirmé à l’AFP qu’il s’agissait de
la première lapidation survenue dans la région “cette année”.
L’islam
rejette le temps de miséricorde apporté par Jésus (Jn 8.1-11)…
6 SEPTEMBRE 2016
” L’apôtre d’Allah a dit : –
Ô Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors
lapide-la à mort. ” (récit de Zaid ibn Khalid et Abu Huraira, Bukhari XXXVIII
508)
-” L’envoyé d’Allah a dit :
– Quand un homme célibataire commet l’adultère avec une femme célibataire, ils
recevront cent coups de fouet et seront bannis un an. Dans le cas où ils sont
mariés, il recevront cent coups de fouet et seront lapidés à mort. ” (récit de
Ubada ibn as Samit, Muslim XVII 4191)
-”La lapidation est un
devoir envoyé par le livre d’Allah pour les hommes et les femmes mariés qui ont
commis l’adultère si la preuve est établie, s’il y a grossesse ou aveu. ”
(récit d’Abdullah ibn Abbas, Muslim XVII 4194)
– ” L’apôtre d’Allah a
lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam, un juif et sa femme. ”
(récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216)
– ” Quand Ali lapida une
femme le vendredi, il dit : – Je l’ai lapidée selon la tradition de l’apôtre
d’Allah. ” (récit de Ash sha’bi, Bukhari LXXXII 803)
– “Le Prophète a fait
lapider une femme et une fosse a été creusée pour elle jusqu’aux seins. ”
(récit d’Abu Bakr, Dawud XXXVIII 4429)
Encore
une femme lapidée : les musulmans peuvent être fiers !
6 SEPTEMBRE 2016
Encore une femme musulmane
lapidée en Afghanistan, suppliciée de la manière la plus abjecte au nom d’Allah
le très miséricordieux…
Le même jour, encore un
homme décapité en Arabie saoudite au nom de la charia.
Tous les jours, des hommes
et des femmes assassinés ou enfermés pour avoir insulté l’islam ou l’avoir
quitté. Au nom de la charia. Au nom du prophète parfait.
Encore des hommes amputés au
nom de la charia. Au nom du Coran et du prophète parfait.
Encore des condamnés
fouettés au nom de Dieu, du Coran et de ses dérivés.
Encore des minorités
persécutées, condamnées à mort, encore des juifs assassinés, au nom des mêmes
textes.
Encore et toujours des
petites filles données ou vendues pour être mariées.
Aujourd’hui, je vomis cette
religion et sa loi divine d’une hallucinante cruauté.
Comment est-il possible que
les musulmans, s’ils ont une once d’humanité, ne descendent pas par millions
dans les rues pour hurler leur rejet de ces barbaries? Aucune autre population
ne pratique à cette échelle la culture de l’excuse, l’hypocrisie et le
mensonge.
Comment pouvons-nous les
écouter justifier par d’innommables ergotages ces horreurs? Comment avons-nous
pu accepter que vivent en liberté dans nos sociétés ces innombrables cheiks et
imams qui refusent de condamner la lapidation?
Et tous ces complices des
barbares me donnent la nausée. Ces décérébrés prétentieux qui nous expliquent
que dans la Bible aussi… et dans la Thora… et dans toutes les religions, et gna
gna gna et bla bla bla. Et qui défendent par d’immorales expositions les
multiples vêtements qu’ont inventés les musulmans pour dissimuler le corps de
leurs femmes. Oui, j’affirme qu’entre ces couvertures et la lapidation, il
existe un lien. Il faut éviter que les hommes, les époux, ne tombent dans le
péché de chair dont ces sanctions attestent l’immense gravité.
Parmi ces décérébrés, un
Jacques Neyrinck s’entend dire sans ciller par un Tariq Ramadan que la
lapidation est «inapplicable», parce qu’il faut quatre témoins de l’acte
d’adultère. Que les sanctions divines ne peuvent s’appliquer que dans une
société «juste et équitable». La barbarie oui, mais seulement dans des sociétés
hautement civilisées!
Des centaines de milliers de
musulmans qui sont encore dans leur immense majorité attachés à ces immondes
pratiques déferlent aujourd’hui en Europe sans qu’on exige quoi que ce soit
d’eux…. Sinon aviser le bon peuple de faire très attention à ne pas les
discriminer.
Et critiquer cette
complaisance, c’est honteux? C’est du racisme?
Quand un vrai mouvement
musulman se dressera contre les convictions et pratiques ignobles de ces
textes, je pourrai commencer à croire à quelque chose comme une possibilité de
rapprochement. Mais les seules manifestations que sont capables d’organiser ces
obscurantistes ont pour objet Israël, l’insupportable démocratie qui résiste à
un océan d’antisémitisme et d’inhumanité.
Reproduction autorisée avec
la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.
Le
burqini n’est pas un vêtement, c’est le jihad (23 AOÛT 2016)
Le burqini n’est pas un
vêtement, c’est le jihad
En raison du politiquement
correct et de cette vaste intimidation qu’est l’invention de l’islamophobie,
Yves Daoudal constate que les anti-burkinis ont de piètres
arguments :
“Le débat à propos de
l’interdiction du burqini sur les plages paraît absurde à beaucoup. D’abord
aux libéraux conséquents avec leur idéologie aveugle, pour qui chacun
se vêt et se dévêt comme il veut : il n’est pas plus extravagant d’être
couvert de la tête aux pieds sur le littoral qu’y être nu comme un ver. Aux
libéraux s’adjoignent éventuellement les cathos tradis (et pas forcément
tradis), pour qui le burqini est plus décent que le bikini, n’est-ce pas.
Et l’on doit ajouter les professionnels de la subversion, qui sont
prêts à soutenir tout ce qui peut détruire le conformisme ou supposé tel.
Face à cet alliage pour le
moins hétéroclite, les adversaires du burqini sont incapables d’un
discours cohérent et argumenté. Quand on leur demande la raison de leur
opposition, nombreux sont ceux qui se donnent le ridicule de mettre en
avant « l’hygiène ». Les plus courageux parlent des
« valeurs de la République » (comprenez-moi à demi-mot), et les plus
héroïques évoquent la laïcité. Impossible d’aller plus loin, on sombrerait dans
le péché mortel de l’islamophobie.
Il est manifeste que la
chape de plomb du politiquement correct et du vivre ensemble fait que beaucoup
n’osent même pas penser à la signification du « burqini ». Et les
rares qui y pensent n’osent pas le dire. Mais la raison non formulée de
l’opposition au burqini est fortement imprimée dans l’inconscient, assez
fortement pour que des arrêtés soient pris, et validés par la justice.
Cette raison, il faudrait
tout de même que quelqu’un ose la dire ouvertement. Le burqini n’est
pas un vêtement, de même que le minaret n’est pas un clocher. « Les
minarets sont nos baïonnettes », comme dit le poème cher à Erdogan. Le
minaret est le signe visible de la conquête d’un territoire par l’idéologie
islamique : c’est pourquoi les Suisses ont sagement interdit la
construction de tout minaret sur leur territoire. Or les burqini ne
sont rien d’autre que de petits minarets sur les plages : l’affirmation de
la conquête de ce territoire par l’islam. Et le jour où il y a assez de
« burqinis », on peut chasser les kouffar de la plage devenue halal.
Comme à Sisco, par exemple.
Le burqini aussi, c’est le
jihad, l’effort de conquête dans le sentier d’Allah, qui est une obligation
pour tout musulman, comme le souligne à plusieurs reprises le Coran. C’est si
difficile à comprendre ?Pour certains musulmans, une femme n’a pas le
droit de se baigner sans burkini (apparu il y a peu), l’alternative étant la
plage réservée aux femmes. Impossible en Occident !La vie des fidèles du
Prophète est régie par le halal (licite), le haram (illicite), le makrouh
(répréhensible mais possible). Pour déterminer la catégorie dans laquelle entre
un acte, il faut se reporter au Coran ou aux hadith (commentaires ou actions de
Mahomet rapportés oralement). On ne peut pas contester le Coran, tandis que les
hadith ont des gradations d’authenticité. Certains sont sûrs, d’autre
considérés avec plus ou moins de suspicion. Il existe nombre de contradictions,
entre hadiths, entre versets du Coran (par exemple, sur la mise à mort d’un
apostat). C’est le verset le plus récent qui prime. Mais, parfois, on ignore
totalement la chronologie et, du coup, chacun a son opinion ! On est censé
trouver dans le Coran un avis sur l’intégralité de la vie d’un fidèle, même sur
des inventions qui n’existaient pas du temps de Mahomet ! Les « sages
musulmans » triturent donc les versets et les hadiths afin d’en tirer une
opinion sur un problème moderne. D’où une cacophonie générale. On trouve tout
et son contraire. Par exemple, des muftis libéraux (très peu nombreux !)
affirment qu’une musulmane peut épouser un mécréant du moment qu’il n’est pas
polythéiste (ce qui n’exclut même pas les hindous !), boire de l’alcool
(sans s’enivrer), voire manger du porc !
Au-delà du burkini, la
complexité du halal et du haram
L’opinion majoritaire
interdit de manger de la main gauche (pour ne pas imiter Satan). Le fait d’être
gaucher n’est pas une excuse. Seule la perte d’un membre ou la paralysie permet
de passer outre. Boire un verre d’eau debout plonge les savants dans un abîme
de perplexité. En effet, un verset du Coran l’interdit mais, dans des hadith,
Mahomet se désaltère debout ! On ignore laquelle des deux attitudes est la
plus récente, d’où des discussions sans fin ! L’épilation est haram
(verset coranique !) mais les libéraux l’autorisent si la femme a des
sourcils trop épais, de la moustache ou de la barbe, au grand dam des traditionalistes.
Il est haram, selon le Prophète, de posséder un chien, sauf pour la chasse et
garder son troupeau. Le poil du canidé est pur mais sa bave est impure. Des
extrémistes pensent que regarder la météo est illicite car faire des
prédictions est interdit. Néanmoins, nombre de fatwas décrètent que prévoir le
temps est scientifique, donc permis. Comme représenter des visages est haram,
dessiner est interdit ; mais certains vont plus loin : faire des
photos, lire des BD, regarder des dessins animés, voire la télévision sont
proscrits ! Assurer sa maison ou sa voiture serait illicite car on prend
un pari (interdit en islam) et on doute d’Allah. Si une catastrophe arrive,
Dieu pourvoira à vos besoins ! Et, pour finir, selon un livre édité par la
grande université (réputée modérée) al-Azhar, il est halal de manger un apostat
mort, du moment que vous ne le faites pas cuire ou griller !
La
taqiya ou l’art de la duperie
28
JUILLET 2016
« Un Occidental averti en vaut deux … »
Idéalement, le monde humain
devrait être un monde de parole et de confiance, un monde où l’on puisse
s’appuyer sur une parole donnée.
Malheureusement, l’histoire
nous apprend que tout être humain ou toute idéologie n’est pas à la hauteur de
cet idéal.
À titre d’exemple, Adolf
Hitler parlait de paix alors qu’il se préparait à la guerre.
L’humanité a payé un fort
prix pour avoir refusé de prendre au sérieux le « Mein Kampf »
d’Adolf Hitler, ainsi que les nombreux gestes (avant même la Deuxième Guerre
mondiale) qu’Hitler posa, qui indiquaient que l’idéologie nazie était beaucoup
plus que des mots sans réelle portée.
Or étonnamment, les hadiths
(paroles et actions attribuées à Mahomet) rapportent que le prophète désigné de
l’islam savait également faire preuve de tromperie pour arriver à ses fins.
De ce « modèle »
proposé par le coran est née la doctrine de la taqiya, où la
tromperie est justifiée dans le but de faire avancer l’islam.
L’usage plus que discutable
de la parole chez Mahomet
Cité en
« exemple » par plusieurs juristes et dirigeants musulmans, Mahomet
utilisa le mensonge afin d’arriver à ses fins :
- Selon la tradition musulmane, Mahomet appela au meurtre un Juif du nom de Kab bin Arshaf car ce dernier se moquait de lui, contestant sa qualité de prophète.
- Or, un dénommé Muhammad bin Maslama répondit à l’appel de Mahomet afin d’exaucer sa volonté. Muhammad bin Maslama demanda à Mahomet s’il était permis de mentir à Kab bin Arshaf afin de lui tendre un piège. Mahomet donna son accord. De plus, Mahomet félicita bin Maslama quand ce dernier lui apporta la tête de Kab bin Arshaf.
- Pour Mahomet, tromperie et jihad (guerre
« sainte » selon l’islam) allaient de pair, soit pour se
défendre, soit pour attaquer : le prophète désigné de l’islam étant
notamment un guerrier.
Entre 600 et 900 hommes membres de la tribu Banu Qurayza furent décapités dans le marché de Médine. Toute femme et tout enfant prépubère de cette tribu juive furent réduits à l’état d’esclave. La tradition rapporte que Mahomet prit pour femme une membre de cette tribu. - Yasser Arafat cita souvent les tactiques
et stratégies de Mahomet afin de justifier son comportement. On apprit que
Yasser Arafat coordonnait des actes de terrorisme alors qu’il parlait de
paix.
Alors que l’Occident
valorise la transparence, la doctrine de la taqiya justifie la
tromperie
Dans la foulée de Mahomet,
le « prophète » désigné de l’islam, la taqiya est
une doctrine qui autorise tout musulman à faire usage de tromperie afin de se
défendre ou afin de répandre l’islam.
La taqiya selon
des penseurs musulmans
Les Occidentaux ont du mal à
admettre qu’une telle doctrine puisse exister. Et pourtant, les autorités dans
l’islam sont nombreuses à en faire la promotion :
- Selon Abu Hamid Ghazali,
« Il est permis de mentir si le but à atteindre est louable ». (Ahmad ibn Naqib al-Misri, The Reliance of the
Traveller : A Classic Manual of Islamic Sacred Law, trans. Nuh
Ha Mim Keller (Beltsville, MD: Amana, 1997), sec. 8.2,
p. 745)
- Selon Kdmus al-shanca, la
« taqiya est voile pour le croyant, et celui qui n’a pas
de taqiyan’a pas de religion. » (Encyclopedia of Islam, 1st ed, s.v. “Taqiya”
(Djumayyil, Kdmus al-shanca, pp. xiii, 127-28)).
- Al-Tabari (d. 923),
exégète renommé du coran qui fait figure d’autorité dans le monde
musulman, écrit à propos du coran 3,28 : « Si vous (les
musulmans) êtes sous leur autorité (celle des infidèles (ou
non-musulmans)), craignant pour vous-mêmes, comportez-vous loyalement,
avec votre parole, à leur égard, alors que vous
entretenez intérieurement de l’animosité à leur égard ».
- Une autre autorité dans l’islam, Ibn
Kathir (1373), toujours à propos de la sourate 3,28 du coran,
invite le musulman à faire preuve de duplicité à l’égard du non-musulman
s’il est dans une situation où il doit se protéger : « Sachez
sourire à ces personnes (les non-musulmans)alors que votre
cœur les maudit. »
La taqiya selon
des spécialistes non-musulmans de l’islam
De plus en plus de
non-musulmans s’intéressent à l’islam, non pas parce qu’ils trouvent cela
particulièrement intéressant, mais afin de faire la lumière sur cette idéologie
:
- Un spécialiste de l’islam Raymond Ibrahim l’affirme : « La taqiya est en réalité une volonté de tromperie du musulman à l’égard du non-musulman. »
- Robert Spencer explique dans son livre « The Complete Infidel’s Guide To The Koran » qu’il existe une morale utilitaire dans la théologie islamique qui considère que « tout ce qui est dans l’intérêt des musulmans et de l’islam est bon, et tout ce qui cause du tort à l’islam et aux musulmans est mauvais. » Voilà pourquoi, il est permis et même conseillé de mentir pour répandre l’islam.
- Dans son excellent ouvrage intitulé
« Battle
for our minds », Michael Widlanski affirme que
faire usage de supercherie afin de faire du tort à un ennemi est mentionné
dans le coran et les hadiths (les traditions orales à propos de Mahomet).
Dans son mode offensif, la taqiya consiste à « mentir pour la cause
d’Allah ».
Un Occidental averti en vaut
deux …
Quatre mots arabes
pourraient amener le monde entier à être soumis à
l’islam. L’Occident ne peut se payer le luxe de méconnaître leur
signification et leur implication.
Ces mots sont : taqiya (déjà
mentionné), tawriya, kitman et muruna.
Chacun de ces mots décrit
un style différent de duperie utilisée par des musulmans, et
ce, dans la foulée d’une parole attribuée à Mahomet : « La guerre est
tromperie » (Bukhari, Vol. 4, Livre 52, No. 268).
Le coran affirme que
« la ruse appartient à Allah, en totalité » (Sourate 13,42) et
qu’Allah « est le plus habile à fomenter un complot »
(Sourate 8,30).
Bref… Allah complote,
Mahomet complote… il n’est donc pas étonnant que des musulmans inspirés par ces
« modèles », complotent à leur tour, et ce, en toute bonne
conscience.
De fait, pour certains, la
tromperie est devenue une forme d’art et une seconde nature.
Si l’Occident entend
combattre efficacement l’agenda des islamistes, il est impératif d’être averti
que cet « art du mensonge » existe bel et bien dans l’islam.
Un Occidental averti en vaut
deux …
Taqiya (la suite…)
Plus précisément,
la taqiya est une forme de dissimulation de l’identité du
musulman; une dissimilation au service d’une « autodéfense »; une
forme de mensonge afin de protéger soit l’islam, soit le musulman.
- Selon la loi islamique, « Il est
admis de mentir si le but poursuivi est admissible. Mentir est obligatoire
si l’objectif à atteindre est obligatoire » (Umdat al-Salik,
« La dépendance du voyageur », Para r8.2).
- Selon la sourate 3,28 : « Que
les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de
croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins
que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».
Tawriya
Tawriya signifie
« dissimulation » et pourrait être défini comme étant
l’« inventivité dans l’art du mensonge ».
Selon cette doctrine, il est
licite de rompre l’intention d’un serment dans la mesure que n’est pas rompue
la lettre du serment (« La dépendance du voyageur », sections o19.1
et o19.5).
Qu’est-ce à dire ?
Exemple no 1 :
Imaginons qu’un musulman nie
que le dernier verset de la première sourate du coran rabaisse les juifs et les
chrétiens pour la raison que c’est une supplication que les musulmans font 17
fois par jour afin de les garder à l’abri de la voie des « égarés qui
encourent la colère d’Allah » …
Ce musulman pourrait
répondre que la première sourate ne mentionne pas les juifs ou les chrétiens.
Ce musulman pratiquerait la tawriya, parce que bien que le dernier
verset ne mentionne pas explicitement les juifs et les chrétiens, ce musulman
sait très bien que le terme « égaré » se réfère à eux.
Exemple no 2 :
Le souhait « Je te
souhaite le meilleur » venant de la part d’un musulman à
l’intention d’un non-musulman, en réponse à un « Joyeux Noël » ou à
un « Joyeuses Fêtes » par exemple, veut dire dans l’esprit de plusieurs
musulmans : « Je te souhaite que tu te convertisses à l’islam. »
Kitman
Un musulman exerce le kitman quand
il ne dit qu’une partie de la vérité, ce qui a pour effet, très
souvent, de déformer entièrement la vérité.
Exemple no 1 :
L’exemple le plus commun
consiste à ce qu’un musulman affirme que le terme jihad réfère
principalement ou uniquement à une lutte interne, à un combat spirituel contre
le mal.
Or, le coran fait usage du
terme jihad et de ses dérivés environ 59 fois. Et sur ces 59 fois, 16 mentions
pourraient possiblement faire référence à une lutte interne alors que la
majorité des autres mentions font référence à une « guerre sainte »,
et ce, dans la foulée de ce que le « prophète guerrier » (Mahomet) a
exercé selon les hadiths et la sira.
Exemple no 2 :
Une autre forme très commune
de kitman est de citer uniquement les passages pacifiques du
coran, sachant bien que ces passages furent abrogés par des versets
belliqueux :
- « Nulle contrainte en religion ! » (Sourate 2 :256) (sourate plus ancienne)fut abrogée par
- « Désirent-ils une autre religion que celle d’Allah, alors que se
soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et sur
terre, et que c’est vers Lui qu’ils seront ramenés? »
(Sourate 3,83) (sourate plus récente)
- « Autorisation est donnée à ceux
qui sont attaqués (de se défendre) – parce que vraiment ils sont lésés; et
Allah est certes capable de les secourir » (Sourate 22,39)
(sourate plus ancienne)
fut abrogée par
« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (Sourate 9,5) (sourate plus récente)
Muruna
Muruna signifie
« faire usage de flexibilité » afin de se mêler à l’ennemi et à son
entourage. C’est l’arme suprême pour l’infiltration.
La justification de ce type
de tromperie est la sourate 2,106 : « Si Nous abrogeons un verset
quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou
un semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est Omnipotent? »
Un musulman peut ne pas
respecter certains commandements du coran dans la mesure où il se livre à la
poursuite d’un « meilleur commandement ».
De fait, les musulmans qui
travaillent à l’avancement de l’islam peuvent ainsi s’écarter temporairement
des lois islamiques pour ne pas effrayer le non-musulman, pour l’amadouer et
gagner sa sympathie afin de le convertir à l’islam ou encore afin d’infiltrer
diverses institutions où les non-musulmans sont majoritaires.
Voici quelques exemples de
la pratique de la muruna par un musulman afin de passer
inaperçu, afin de se mêler aux non-musulmans en vue de l’infiltration, du jihad
et de l’avancement de l’islam :
- Se raser
- Porter des vêtements à l’occidentale
- Boire de l’alcool
- …
Quelques exemples :
- Les musulmans et pirates de l’air de
9/11 visitaient des clubs de danseuses ainsi que des bars alors qu’au même
moment ils suivaient des cours de pilotage aux États-Unis pour commettre
des actes terroristes.
- Marier un non-musulman ou se comporter
comme un non-musulman de manière à ce que son véritable agenda passe
inaperçu…
Plusieurs Américains croient que Huma Abedin, une assistante d’Hillary Clinton, a épousé Anthony Weiner, un membre du congrès et juif, afin d’accroître sa crédibilité en matière de sécurité et ainsi infiltrer les plus hauts niveaux de l’administration américaine.
Tout récemment, d’autres membres du congrès, dont la républicaine Michele Bachman, ont laissé entendre qu’Huma Abedin pourrait être reliée au groupe islamiste des Frères Musulmans. De fait, le passé d’Huma Abedin ainsi que ses liens avec des associations islamistes en inquiètent plus d’un.
En conclusion
Les implications de ces
tactiques de duperie sont énormes pour les sociétés occidentales.
Les musulmans qui pratiquent
les diverses formes de tromperie (taqiya, tawriya, kitman ou muruna)
sont difficiles à reconnaître, car ils ne montrent aucun signe indiquant qu’ils
nous trompent. De fait, ils croient appliquer ce qu’Allah leur demande afin de
contribuer à l’avancement de l’islam (et sa charia) en Occident.
Plus que jamais, la
vigilance est de mise pour les Occidentaux …
Il en va de la survie de la
civilisation occidentale et de ses valeurs fondamentales.
Lapidation
d’une jeune femme au nom d’Allah le très miséricordieux
31 MAI 2016
“Quant à Jésus, il alla au
mont des Oliviers.
Mais, dès l’aurore, de nouveau il fut là dans le Temple, et tout le peuple venait à lui, et s’étant assis il les enseignait.
Or les scribes et les Pharisiens amènent une femme surprise en adultère et, la plaçant au milieu, ils disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ? »
Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol.
Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! »
Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol.
Mais eux, entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu.
Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. »
De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. »
Les Pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n’est pas valable. »
Jésus leur répondit : « Bien que je me rende témoignage à moi-même, mon témoignage est valable, parce que je sais d’où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez pas d’où je viens ni où je vais.
et s’il m’arrive de juger, moi, mon jugement est selon la vérité, parce que je suis pas seul ; mais il y a moi et celui qui m’a envoyé ; et il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable.
Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé. »
Ils lui disaient donc : « Où est ton Père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles au Trésor, alors qu’il enseignait dans le Temple. Personne ne se saisit de lui, parce que son heure n’était pas encore venue.
Jésus leur dit encore : « Je m’en vais et vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Où je vais, vous ne pouvez venir. »
Les Juifs disaient donc : « Va-t-il se donner la mort, qu’il dise : «Où je vais, vous ne pouvez venir» ? »
Et il leur disait : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.
Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. (Évangile selon saint Jean 8.1-24) “
Qui peut venir APRES le
Christ, sinon l’Antichrist ?
Le
miséricordieux Allah commande de lapider les adultères
27 JANVIER 2016
Que serait-ce s’il n’était
pas miséricordieux ?!!
“Quant à Jésus, il s’en alla
au mont des Oliviers.
Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner.
Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? »
Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre.
Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. »
Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre.
Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu.
Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » (Évangile selon saint Jean, 8.1-11)”
Mais voilà ce qu’a apporté
“le dernier des prophètes” :
La CEDH a déclaré la charia
incompatible avec le respect des droits de l’homme
19 JANVIER 2016
Par un arrêt du 31 juillet
2001, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a déclaré la charia
incompatible avec le respect des droits de l’homme.
QUI EN PREND ACTE EN EUROPE
?
Par un arrêt du 31 juillet
2001, la Cour, statuant sur la validité de l’interdiction
par la Cour constitutionnelle turque d’un parti islamique, le Refah Partisi
(Parti de la Prospérité), exaltant des valeurs conformes à la charia, a
entériné la dissolution.
La Cour a jugé que ces
valeurs étaient en contradiction avec celles prônées par la Convention
européenne des droits de l’homme de 1950 : « La
Cour estime que dans la présente affaire, les sanctions infligées aux
requérants peuvent raisonnablement être considérées comme répondant à un
« besoin social impérieux » pour la protection de la société
démocratique, dans la mesure où les responsables du Refah Partisi, sous le
prétexte qu’ils donnaient au principe de laïcité un contenu différend, avaient
déclaré avoir l’intention d’établir un système multi-juridique fondé sur la
discrimination selon les croyances, d’instaurer la loi islamique (la Charia)
qui se démarque nettement des valeurs de la Convention et avaient laissé
planer un doute sur leur position quant au recours à la force afin d’accéder au
pouvoir et, notamment, d’y rester » (www. echr.coe.int)
Arrêt confirmé par la Grande
chambre de la Cour européenne des droits de l’homme : 13 février 2003
Extraits :
• La Cour rappelle que la
liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des
assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention.
Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus
essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais
elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les
sceptiques ou les indifférents.
• Il y va du pluralisme –
chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de
pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou
non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
• Par ailleurs, dans une
société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même
population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de
limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le
respect des convictions de chacun
• Selon la Cour,
dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester
une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de
cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés
d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
• Nul ne doit être autorisé
à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou
détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
• la Cour partage l’analyse
effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia
avec les principes fondamentaux de la démocratie.
• A l’instar de la Cour
constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les
dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère
stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le
pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des
libertés publiques.
• Il est difficile à la fois
de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de
soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque
nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de
droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes
dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie
privée et publique conformément aux normes religieuses.
Arrêt Refah Partisi (Parti
de la prospérité) et autres c. Turquie (requêtes nos 41340/98,
41342/98, 41343/98 et 41344/98) – Cour européenne des droits de l’homme,
Strasbourg, 13 février 2003. Extraits : (…)
123. Or la Cour
partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la
charia avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils
résultent de la Convention :
« 72. A l’instar de la
Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement
les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère
stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme
dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés
publiques. La Cour relève que, lues conjointement, les déclarations en question
qui contiennent des références explicites à l’instauration de la charia sont
difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie,
tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout. Il est
difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits
de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque
nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de
droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans
l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée
et publique conformément aux normes religieuses.(…) Selon la Cour, un parti
politique dont l’action semble viser l’instauration de la charia dans un Etat
partie à la Convention peut difficilement passer pour une association conforme
à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la Convention. »
124. La Cour ne
saurait perdre de vue que des mouvements politiques basés sur un fondamentalisme
religieux ont pu par le passé s’emparer du pouvoir politique dans certains
Etats, et ont eu la possibilité d’établir le modèle de société qu’ils
envisageaient. Elle considère que chaque Etat contractant peut, en conformité
avec les dispositions de la Convention, prendre position contre de tels
mouvements politiques en fonction de son expérience historique.
125. La Cour observe
aussi que le régime théocratique islamique a déjà été imposé dans l’histoire du
droit ottoman. La Turquie, lors de la liquidation de l’ancien régime
théocratique et lors de la fondation du régime républicain, a opté pour une
vision de la laïcité confinant l’Islam et les autres religions à la sphère de
la pratique religieuse privée. Rappelant l’importance du respect du principe de
la laïcité en Turquie pour la survie du régime démocratique, la Cour considère
que la Cour constitutionnelle avait raison lorsqu’elle estimait que le
programme du Refah visant à établir la charia était incompatible avec la
démocratie (paragraphe 40 ci-dessus). (…)
128. Poursuivant ce
raisonnement, la Cour écarte la thèse des requérants selon laquelle empêcher un
système multijuridique de droit privé au nom de la place spéciale réservée à la
laïcité en Turquie équivaudrait à établir une distinction défavorable aux
musulmans qui voudraient vivre, dans leur vie privée, selon les rites de leur
religion.
Elle rappelle que la liberté
de religion, y inclus la liberté de la manifester par le culte et
l’accomplissement des rites, relève d’abord du for intérieur. La Cour souligne
sur ce point que le domaine du for intérieur est tout à fait différent de celui
du droit privé, ce dernier concernant l’organisation et le fonctionnement de la
société tout entière.
Personne ne conteste devant
la Cour qu’en Turquie chacun peut suivre dans sa sphère privée les exigences de
sa religion. En revanche, la Turquie, comme toute autre Partie contractante,
peut légitimement empêcher que les règles de droit privé d’inspiration
religieuse portant atteinte à l’ordre public et aux valeurs de la démocratie au
sens de la Convention (par exemple les règles permettant la discrimination
fondée sur le sexe des intéressés, telles que la polygamie, les privilèges pour
le sexe masculin dans le divorce et la succession) trouvent application sous sa
juridiction. La liberté de conclure des contrats ne saurait empiéter sur le
rôle de l’Etat consistant à organiser d’une façon neutre et impartiale
l’exercice des religions, cultes et croyances (paragraphes 91-92 ci-dessus).
(…)
130. La Cour
considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad
(dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la
domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la
plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la
terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir
politique. Dans tous ces discours, l’éventualité et la possibilité
d’avoir « légitimement » recours à la force afin de surmonter divers obstacles
sur le chemin politique envisagé par le Refah pour accéder au pouvoir et y
rester ont été mentionnées.
131. Par ailleurs, la
Cour fait sien le constat suivant de la chambre :
« 74. (…)
S’il est vrai que les
dirigeants du [Refah] n’ont pas appelé dans des documents gouvernementaux à
l’usage de la force et de la violence comme moyen politique, ils ne se sont pas
concrètement désolidarisés en temps utile des membres du [Refah] qui
soutenaient publiquement le recours potentiel à la force contre des politiques
qui leur étaient défavorables. Dès lors, les dirigeants du [Refah] n’ont pas
supprimé l’ambiguïté caractérisant ces déclarations quant à la possibilité de
recourir aux méthodes violentes pour accéder au pouvoir et y rester (voir,
mutatis mutandis, l’arrêt Zana c. Turquie du 25 novembre 1997, Recueil
1997-VII, p. 2549, § 58). » (…)
PAR CES MOTIFS, LA
COUR, À L’UNANIMITÉ,
1. Dit qu’il n’y a pas
eu violation de l’article 11 de la Convention…
QUI EN PREND ACTE EN EUROPE
?
Le témoignage de Mona Walter
29 DÉCEMBRE 2015
Mona Walter est
venue en Suède de la Somalie en tant que réfugiée de guerre. Elle avait 19 ans.
Elle est heureuse de rejoindre une nation européenne moderne avec des droits
égaux pour les femmes à ceux des hommes, dit-t-elle. Comme toute jeune femme
musulmane, qui arrive en Suède, elle fréquente sa communauté et se rend
fréquemment à la mosquée. Aujourd’hui, elle livre un véritable introduction à
l’islam…
Play Video
Elle a dit être née dans
l’islam, sans savoir ce qui était réellement dans le Coran. Plus tard dans la
vie, elle est allée en Suède en tant que réfugiée de la guerre et est devenue
active dans la vie islamique. Elle a commencé à lire le Coran et a été
absolument consternée par ce qu’elle a trouvé. « Allah est un dieu
haineux, et Muhammad était un être humain dégoûtant».
« Ce Dieu a une
haine féroce. Il est sur la haine et tuant ceux qui sont en désaccord avec
l’islam », dit-elle dans la vidéo. « Il est à conquérir.
Muhammad était immoral. Il était un homme sanguinaire. Il était un homme
terrible » : «Les musulmans peuvent le découvrir dans sa
biographie : Ce qu’il a fait pour les juifs, comment il violé des femmes,
comment il a tué des gens. Je veux dire, qu’il a tué tous ceux qui n’étaient
pas d’accord avec lui », a- t-elle expliqué.
« Je ne savais pas
qui était Mohammed. Je ne savais pas qui était Allah. Lorsque, je les ai
découverts, je fus bouleversée, triste et déçue », se souvient-elle.
Walter a découvert le Dieu
du Coran, un Dieu qui hait, et que l’Islam n’est pas une religion de paix.
LE CHRISTIANISME, UNE
NOUVELLE PERSPECTIVE
Après avoir découvert, ce
qui est réellement l’Islam, découragée, Mona Walter a
quitté l’islam et est devenu une athée, jusqu’au jour où un membre de la
famille l’a encouragée à lire la Bible. Elle se souvient encore de la première
fois qu’elle a lu [Matthieu 5:44], où Jésus dit : « Aimez vos ennemis
et priez pour ceux qui vous persécutent ».
Elle est allée voir le
pasteur Fouad Rasho de « Angered Alliance
Church », un immigré syrien qui ministre les anciens musulmans en
Suède : « Elle a commencé à croire au Christ et elle est venue vers
moi. Et ce fut le début de sa confiance », dit le pasteur. Quand elle
a accepté Christ, Walter dit qu’elle se sentait
« très heureuse » et « remplie de joie » ajoute le
pasteur, et sa vie va changer :
« C’était très
étrange que je découvre + l’amour de ses ennemis +, parce
que dans l’Islam est catégorique, qu’ il faut tuer ses ennemis : + Tuez
votre ennemi et aussi quiconque refuse l’Islam +. Mais
Jésus-Christ est tout-à-fait différent, il prône l’amour, la paix, le pardon et
la tolérance », dit-elle.
IL FAUT AIDER À SAUVER LES
MUSULMANS AVEC LA VÉRITÉ
Walter,
dit le que le seigneur Jésus-Christ lui a donné un fardeau pour les musulmans
qui ne connaissent pas encore la vérité sur l’Islam. Et elle a commencé à
étudier davantage et davantage le Coran, à copier des versets du Coran et les
distribue dans la rue aux femmes musulmanes, espérant avoir plus d’arguments
pour les convaincre.
« Parfois, elles
écoutent et parfois elles deviennent très en colère, et je dis aux femmes
musulmanes : + Vous savez que votre mari a le droit de vous battre si
vous ne lui obéissez pas ? + Et elles répondent : + Non, le
Coran ne dit pas cela +. Et j’enchaîne : + Oui, le Coran le
dit + ».
« Je pensais qu’on
leur donnant l’information à propos de Mahomet et d’Allah,
tel qu’ils sont dans le Coran, ce Dieu de l’Islam qui hait, qui tue, qui
discrimine les femmes, qu’elles prendront, peut-être, conscience de faire un
choix de quitter cette religion », a-t-elle expliqué.
« Et, c’est dans
cette Suède politiquement correcte et de droit de l’homme, que j’ai été
attaquée par des musulmans, pour avoir simplement répété, ce qui est écrit dans
le Coran. Je suis appelée + islamophobe + par des musulmans,
et oui [ils me disent], + que, vous avez été achetée +, + que, vous
êtes le nègre de maison + », dit-elle.
Elle a également été traitée
de raciste. Walter continue d’avertir les autorités,
que le radicalisme islamique est une menace sérieuse en Suède, et demande que la
société suédoise se soucie davantage sur les femmes emprisonnées ou lapidées à
cause de l’Islam.
« Les Suédois disent : +
Oh ! Nous sommes en Suède ; Nous avons la liberté de religion, en même temps,
ils oublient, que les femmes musulmanes n’ont pas la liberté de religion, elles
vivent sous la terreur de la loi d’Allah, et non sous la loi qui ressemblerait
à celle de la Suède ».
« Les Suédois
croient à la liberté religieuse, en même temps, ils oublient que dans l’Islam,
les musulmans ne disposent pas de liberté de religion, tant pour les femmes
musulmanes que pour le reste de la société », a fait valoirWalter.
Walter vit
sous des menaces de mort et se déplace parfois avec la protection de la police
suédoise. Elle nous a montré les zones musulmanes autour de Göteborg, mais a dû
prendre la précaution de mettre sa robe de musulmane. Elle croit, également, si
elle montre son visage, elle sera reconnue et serait attaquée :
« Je ne peux jamais
aller dans ces zones, si je ne suis pas habillée comme je suis, car, je ne
sortirais pas en vie », dit-elle.
« Je veux ajouter
par ailleurs, que les musulmans sont normalement de bonnes bonnes comme tout le
monde », a-t-elle poursuivi. « Mais le problème, après avoir
lu, régulièrement, le Coran, ils deviennent une machine à tuer ».
« Ces soi-disant + ISIS +,
+ El Shabab + ou + Boko Haram +, ne
sont ni des extrémistes, ni des fanatiques comme le font croire les
hommes politiques et les médias occidentaux. Ils sont justes de très bons
musulmans, qui ont une pratique exacte de la religion : Ils suivent les
enseignements de l’Islam (le Coran et les Hadiths). Ils prennent en modèle les
faits, gestes et l’enseignement du prophète Muhammad, comme le
demande le Coran. Tout ce qu’ils font, ils le font parce que Mahomet l’a fait
et l’Islam le demandé de le faire en imitant Mahomet ».
Walter utilise
maintenant des vidéos, dans lesquelles, elle apparaît directement en
s’adressant aux musulmans, afin de répandre son message. Et elle dit, qu’elle
n’est pas prête d’arrêter, même si sa vie est en danger.
NOTE :
Mona Walter est
sur une mission. Sa mission est d’informer à plus de musulmans possibles,
qu’ils sachent, ce qui est dans le Coran, avant d’ajouter : Si, plus de
musulmans sauront ce qui est dans le Coran, plus ils quitteraient l’islam.
Elle consacre maintenant sa
vie à dénoncer l’islam pour ce qu’il est vraiment. Elle utilise des vidéos et
apparitions parlant à répandre son message du Christ. Elle a été attaquée, avec
des gens appelant son islamophobe et raciste de dire aux gens ce qui est
vraiment dans le Coran.
Nous avons besoin de plus de
femmes courageux, comme Mona. Et nous avons certainement besoin de garder son
couvert dans la prière.
“Le voleur et la voleuse, à
tous deux coupez la main ! (Coran 5.38)” Allah est miséricordieux !
19 DÉCEMBRE 2015
« Le voleur et la
voleuse,à tous deux coupez leurs mains, en rétribution pour ce qu’ils ont
réalisé, comme intimidation de la part d’Allah. Allah est fier et sage.
(Coran 5.38) ». Et si le présumé coupable récidive, c’est
l’amputation du pied opposé à la main amputée (Coran 5.33). Le Code pénal
adopté à l’unanimité par le Conseil des Ministres arabes de la Justice prévoit
de couper les mains du voleur (article 153)
Âmes sensibles ou mineur
s’abstenir
Pourquoi la chariah ? (7
DÉCEMBRE 2015)
Pour cacher sans doute leur
honte ; des musulmans diront que Coran 4.15 traite des adultères et non des cas
de viols.
Or, à la vérité, le texte ne
mentionne pas plus l’adultère que le viol, puisqu’il parle “d’action infâme”,
de « turpitude », expressions pouvant désigner toutes sortes d’actes, et que la
charia utilise pour traiter aussi bien des cas d’adultère que de viol. Une
épouse violée sera facilement accusée d’adultère, c’est à dire sera déclarée
consentante… et devra donc taire le crime qu’elle a subi si elle ne veut pas
encourir le châtiment prévu pour les adultères… à moins que l’on présente pour
elle quatre témoins attestant qu’il s’agit d’un viol ! Hena Begum, 14 ans, a
été violée dans le district de Shariatpur, au centre du Bangladesh, la nuit du
30 janvier 2010, par son cousin Mahbub, âgé de quarante ans. Alertés par les cris
de la victime, la femme de Mahbub et son frère s’en sont pris à l’adolescente
et l’ont battue, jusqu’à ce que des membres de la famille d’Hena viennent à son
secours. Le violeur à été condamné à verser une amende et à recevoir 200 coups
de fouet en public, peine réduite ensuite à 100 coups, tandis que la victime a
été condamnée à subir 100 coups de fouet en public pour « participation au
crime ». Elle en est morte au soixantième coup, le lundi 1er février.
On pourrait citer
malheureusement d’autre cas, comme celui de Amina Al Filali, jeune marocaine
âgée de seize ans, obligée, d’épouser son violeur qui la battait, a préféré se
donner la mort en ingurgitant de la mort aux rats le 9 mars 2012… ou celui de
ce jeune couple de fiancés dont la jeune femme le 26 septembre dernier, a été
violée par deux policiers tunisiens, et suite à la plainte qu’ils ont déposée,
a été convoqué par un juge d’instruction tunisien pour une confrontation où la
jeune femme a été « entendue en tant qu’accusée du délit d’atteinte à la pudeur
». La procédure inspirée de la charia transforme la victime en accusée, pour la
terroriser et l’obliger à renoncer à ses droits.
Exécution
d’une femme en Arabie saoudite
1 DÉCEMBRE 2015
Exécution publique en Arabie
saoudite d’une femme pour un meurtre dont elle s’est jusqu’au dernier instant
de sa vie déclarée innocente.
Un
Tunisien parle de la charia au quotidien
1 DÉCEMBRE 2015
M. Salah Zeghidi,
responsable tunisien de la Ligue des Droits de l’homme, et membre fondateur de l’A.C.T.D.L (Association culturelle tunisienne pour la défense de la laïcité)…
nous parle de la charia…
responsable tunisien de la Ligue des Droits de l’homme, et membre fondateur de l’A.C.T.D.L (Association culturelle tunisienne pour la défense de la laïcité)…
nous parle de la charia…
Un
prêtre irakien traité par la religion de paix d’amour (30 MAI 2015)
“les chrétiens ne sont
qu’impureté ! (Coran 9.28)”
« Les mécréants,
frappez-les au cou ! (Coran 47.4) »
“Qu’Allah tue les chrétiens
! (Coran 9.30)”
Lapidation
d’un couple accusé d’adultère (10 JANVIER 2014)
MAHOMET ORDONNE DE LAPIDER
LES FEMMES…
1)“ Le Prophète a fait
lapider une femme et une fosse a été creusée pour elle jusqu’aux seins. ”
(récitd’Abu Bakr, Dawud XXXVIII 4429)
2)“ L’apôtre d’Allah a dit :
– Ô Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors
lapide-la à mort. ”
(récit de Zaid ibn Khalid et
Abu Huraira, Bukhari XXXVIII 508)
Et cela six siècles après la
venue du Christ…
“Quant à Jésus, il alla au
mont des Oliviers.
Mais, dès l’aurore, de nouveau il fut là dans le Temple, et tout le peuple venait à lui, et s’étant assis il les enseignait.
Or les scribes et les Pharisiens amènent une femme surprise en adultère et, la plaçant au milieu,
ils disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ? »
Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol.
Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! »
Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol.
Mais eux, entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu.
Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. »
De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. »
Les Pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n’est pas valable. »
Jésus leur répondit : « Bien que je me rende témoignage à moi-même, mon témoignage est valable, parce que je sais d’où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez pas d’où je viens ni où je vais.
et s’il m’arrive de juger, moi, mon jugement est selon la vérité, parce que je suis pas seul ; mais il y a moi et celui qui m’a envoyé ;
et il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable.
Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé. »
Ils lui disaient donc : « Où est ton Père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles au Trésor, alors qu’il enseignait dans le Temple. Personne ne se saisit de lui, parce que son heure n’était pas encore venue.
Jésus leur dit encore : « Je m’en vais et vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Où je vais, vous ne pouvez venir. »
Les Juifs disaient donc : « Va-t-il se donner la mort, qu’il dise : «Où je vais, vous ne pouvez venir» ? »
Et il leur disait : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.
Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. (Evangile selon saint Jean 8.1-24) »
Mais, dès l’aurore, de nouveau il fut là dans le Temple, et tout le peuple venait à lui, et s’étant assis il les enseignait.
Or les scribes et les Pharisiens amènent une femme surprise en adultère et, la plaçant au milieu,
ils disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère.
Or, dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Toi donc, que dis-tu ? »
Ils disaient cela pour le mettre à l’épreuve, afin d’avoir matière à l’accuser. Mais Jésus, se baissant, se mit à écrire avec son doigt sur le sol.
Comme ils persistaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! »
Et se baissant de nouveau, il écrivait sur le sol.
Mais eux, entendant cela, s’en allèrent un à un, à commencer par les plus vieux ; et il fut laissé seul, avec la femme toujours là au milieu.
Alors, se redressant, Jésus lui dit : « Femme, où sont-ils ? Personne ne t’a condamnée ? »
Elle dit : « Personne, Seigneur. » Alors Jésus dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, désormais ne pèche plus. »
De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. »
Les Pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même ; ton témoignage n’est pas valable. »
Jésus leur répondit : « Bien que je me rende témoignage à moi-même, mon témoignage est valable, parce que je sais d’où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez pas d’où je viens ni où je vais.
et s’il m’arrive de juger, moi, mon jugement est selon la vérité, parce que je suis pas seul ; mais il y a moi et celui qui m’a envoyé ;
et il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable.
Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé. »
Ils lui disaient donc : « Où est ton Père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Il prononça ces paroles au Trésor, alors qu’il enseignait dans le Temple. Personne ne se saisit de lui, parce que son heure n’était pas encore venue.
Jésus leur dit encore : « Je m’en vais et vous me chercherez et vous mourrez dans votre péché. Où je vais, vous ne pouvez venir. »
Les Juifs disaient donc : « Va-t-il se donner la mort, qu’il dise : «Où je vais, vous ne pouvez venir» ? »
Et il leur disait : « Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde.
Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. (Evangile selon saint Jean 8.1-24) »
Allah
commande le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.11-17)
29 JUIN 2012
“Pardonnez-moi. Je suis un
très mauvais journaliste car je vais vous parler de quelque chose que j’ai lu
mais que je n’ai pas vu. Très exactement que je n’ai pas voulu voir car cette
vidéo est sur Internet et elle a été diffusée à la télévision égyptienne dans
l’émission « Egypt Today » animée par le journaliste
égyptien Tawfiq Okasha visiblement mal à l’aise à l’idée de
devoir diffuser ce document abominable. Tawfiq Okasha est
considéré par Raymond Ibrahim du Gatestone Institute,
comme un journaliste libéral. Il est révulsé par ce document et demande aux
téléspectateurs : « Est-ce cela l’islam ? ». Mais réponse est :
oui ! c’est aussi cela l’islam… L’égorgement méthodique d’un jeune
musulman tunisien converti au christianisme pour « apostasie » n’est pas
une abomination qui ne se produirait qu’une fois tous les trente-six du mois
dans les pays musulmans. Nous en avons évoqués un bon nombre sur ce blogue et
dans mon précédent
post de ce jour je signalai plusieurs égorgements de chrétiens par les
islamistes à Homs (Syrie). Ceux qui estiment devoir regarder cette horreur
n’auront qu’à se connecter à la source indiquée ci-dessous, mais je ne mettrai
pas cela en ligne et j’ai arrêté de voir cette vidéo à moins d’une minute. Pour
ceux qui ne supporteront pas de voir l’insupportable, voici la description
qu’en fait Raymond Ibrahim :
Play Video
« Un jeune homme apparaît
maintenu à terre par des hommes masqués. Sa tête est tirée en arrière et il a
un couteau sur la gorge. Il ne se débat pas et semble résigné à son sort.
S’exprimant en arabe, un locuteur ou “narrateur”, qui n’apparaît pas à l’écran,
psalmodie plusieurs prières et supplications musulmanes, la plupart condamnant
le christianisme qui, à cause de la Trinité, est qualifiée de foi
polythéiste : “Qu’Allah soit vengé de l’apostat polythéiste”, “Allah, fais
triompher ta religion, rends-la victorieuse des polythéistes”, “Allah, défais
les infidèles par la main des musulmans” ; “Il n’y a pas d’autre dieu
qu’Allah et Mahomet est son messager”.
Alors, aux cris de “Allahu
Akbar !” – ce qui veut dire “Dieu est grand” – l’homme qui tient le
couteau sur la gorge de l’apostat commence à la lui trancher, tandis que la
victime semble calmement susurrer une prière. Il faut presque deux minutes de
découpage au couteau pour détacher la tête du chrétien de son tronc, tête qui
est alors élevée au milieu des cris et des slogans de victoire ».
Le journaliste Tawfiq
Okasha demande à ses téléspectateurs si c’est cela l’islam ? Moi
j’ai répondu. À vous de le faire – et de le faire savoir !
Prions pour ce martyr qui a
été égorgé pour avoir refusé de renier le Christ. Prions aussi – je sais que
cela sera plus dur – pour ses bourreaux.”
Daniel Hamiche