Une vieille sentence dit que « la force est l’arme des
faibles ».
C’est tout à fait le cas de l’islam dont la faiblesse tient
à ses bases précaires et à ses innombrables mensonges et contradictions.
L’islam, que
ce soit une religion, une secte ou une idéologie politique ou un peu les trois,
est d’une grande fragilité et d’une grande vulnérabilité à l’analyse et à la
critique. C’est pourquoi il interdit déjà toute forme de critique.
Il ne repose sur rien, il ne contient aucune pensée subtile
ni féconde, il ne répond à aucun besoin ou attente des humains, il est
éminemment aliénant et il est profondément violent.
La violence est en effet souvent l’arme des faibles. Parce
que soit les faibles sont opprimés par de plus forts et n’ont que ce seul
recours pour se défendre et se faire entendre ou soit les « faibles d’esprit »
n’ont aucun argument ni aucune légitimité à faire entendre leurs discours
futiles et il ne leur reste que la violence pour convaincre et soumettre à leur
pensée. C’est la cas de l’islam.
C’est aussi, dans l’histoire de l’humanité, le cas de toutes
les idéologies, sectes, dogmes, religions et partis politiques extrémistes.
L’islam totalement idolâtre et fétichiste
L’islam se veut monothéiste et issu du judéo-christianisme
dont il a emprunté une partie des textes adaptés aux besoins de son fondateur
qui avait lui-même été initié aux christianisme par le moine Bahira de souche
chrétienne.
L’islam affirme ne pas avoir de saint ni aucun personnage
sacré en dehors de Mahomet lui-même, son gourou fondateur…
Pourtant, l’islam est rempli de manifestations fortement
empreintes d’idolâtrie et de fétichisme.
L’islam glorifie et vénère deux villes saintes distinctes,
Médine et La Mecque et revendique Jérusalem comme troisième ville sainte, alors
que le nom de Jérusalem n’apparaît nulle part dans le Coran. Les musulmans
semblent faire une sorte de course aux lieux saints par peur de ne pas être
pris au sérieux, comme tous les « faibles ».
Le Coran est un livre sacré dont la critique, la destruction
ou le blasphème peuvent être punis de mort.
Parmi les animaux, le mouton est l’animal sacré de l’islam.
Le pèlerinage à La Mecque conduit chaque année des millions
de musulmans à venir idolâtrer trois fétiches majeurs :
- La Kaaba, une sorte d’ancien temple païen polythéiste.
- Une pierre noire supposée être tombée de la Lune.
- Une vulve, sexe féminin, en argent massif.
La Kaaba est
un bâtiment construit à l’emplacement d’un ancien temple païen polythéiste et
supposé représenter le centre géographique sacré de l’islam.
La pierre noire n’est en aucun cas tombée de la Lune, ce qui
serait stupide et ascientifique, mais doit être une quelconque roche volcanique
qui a été roulée et polie par la mer ou bien une météorite. Le but suprême de
chaque pèlerin est de toucher de la main la pierre noire…
La vulve en argent massif est le cœur même de l’islam pour
ce qui touche au droit des hommes et des femmes, l’ascendant imposé des hommes
sur les femmes, la fécondité et le sexe qui est la plus grande préoccupation
des hommes musulmans.
Mais l’islam pratique aussi à grande échelle une autre forme
d’idolâtrie inversée, une sorte d’anti-idolâtrie qui en dit long sur
l’importance qu’il attache à certains objets ou symboles qui pourraient lui
porter ombrage et qu’il rejette et parfois détruit avec une grande violence,
comme tous les faibles.
On peut citer tous les lieux, édifices, mausolées, temples,
statues et représentations des autres religions, cultes et rites, y compris les
propres vestiges du passé des saints et grands personnages de l’islam.
On a pu le voir lors de la destruction des statues géantes
de Bouddha en Afghanistan, la destruction de temples et mausolées de saints
musulmans au Mali, la destruction actuelle de tous les édifices religieux
chrétiens au moyen orient et l’idée loufoque de certains dirigeants religieux
de détruire les pyramides d’Egypte.
Aujourd’hui même, des dirigeants de la branche terroriste
Daesh envisagent de détruire La Mecque et de reconstruire ailleurs un autre
centre religieux de l’islam. C’est dire la folie et l’égarement total où cette
secte peut conduire des humains…
Le faible et indigent islam s’en prend aussi aux créatures
vivantes en assassinant et exterminant partout dans le monde les adeptes des
autres religions, mais en s’en prenant également à certains animaux comme les
porcs, les chiens, les singes et parfois les ânes et les chats. Personne ne
sait pourquoi…
La répulsion qu’ils ont pour le porc est complètement
névrotique et représente aussi une sorte d’anti-idolâtrie qui semble donner au
porc une grande importance dans leur vie.
Globalement, l’islam ment donc sur son essence monothéiste
en attachant une grande importance à des choses de nature polythéistes.
Le drapeau de Daesh, par exemple, signifie « Il n’y a de
dieu que Dieu ». Ce drapeau est celui du pseudo état islamique, mais c’est
aussi un étendard religieux qu’ils brandissent comme un objet sacré et donc
comme un fétiche ou une idole…
Si l’islam était une bonne chose pour l’homme, une bonne
religion, il serait naturellement reconnu et admis par tout le monde comme tel.
Mais ce n’est pas le cas.
L’islam n’est pas l’affirmation ni la glorification ni la
mise en avant de la nature humaine, mais l’abaissement, le mépris et
l’avilissement de l’homme par rapport à un supposé dieu et surtout par rapport
aux dirigeants politico-religieux et à leurs lois aliénantes et contraignantes.
L’islam est le mépris et la négation de l’homme, mais aussi
de ce qu’il produit..
Et c’est là que l’on voit la fourberie du monde musulman qui
crache avec mépris sur le diable occidental ou américain et tout ce qu’il
produit qui ne peut être que diabolique, mais qui en fait ses délices et ne
peut plus s’en passer. L’occident à des gratte-ciel, l’islam bâtit des
gratte-ciel.
Le monde arabo musulman ne peut pas se passer de nos
sciences et de nos technologies alors que lui-même en est encore à l’âge de
pierre. Electronique, médecine, automobile, avions, armement, tout est bon.
Le diable occidental fait des merveilles dont ils sont
jaloux et friands…
On peut dès lors affirmer que tous les produits de nos
sciences et technologies sont autant de nouvelles idoles et de nouveaux
fétiches devant lesquels les musulmans se prosternent sans vergogne…
L’islam est incohérent, absurde, invraisemblable et donc
tout naturellement certain d’avoir toujours raison et donc totalement incapable
de se réformer, ce qui serait la reconnaissance de son égarement.
Sa violence est son talon d’Achille. Aujourd’hui, le monde
entier peut voir et entendre la réalité de l’islam et s’en tenir à distance.
L’islam ne pourra pas durer, si grande soit sa violence, sa
haine et ses capacités de guerre. Car l’homme a besoin de paix pour s’élever,
s’épanouir et avancer vers le futur. Or, l’islam ne fait pas avancer ses
populations mais bien au contraire les fait perpétuellement régresser et
s’appauvrir intellectuellement et moralement.
Finalement, la fin de l’islam est peut-être toute proche. De
grandes civilisations, de grands empires ont déchu et disparu brusquement dans
l’histoire de l’humanité et ce sera bientôt le tour de l’islam, au grand
intérêt et bonheur des peuples qui lui sont encore soumis par la peur et la
violence.
Kaaba et idolâtrie
Islam et idolâtrie
Idolâtrie, islamisme et Coran