mardi 31 octobre 2017

Islam et zoophilie

Le sexe est un des thèmes centraux du Coran et de l’islam.



Paradoxe : une morale très rigide encadre les relations entre hommes et femmes et interdit par exemple tout rapports sexuels en dehors du mariage, mais dans le même temps, l’islam permet et encourage des pratiques considérées comme non orthodoxes par la majorité des humains (la polygamie) ou comme immorales et criminelles (la pédophilie, le viol et l’inceste).
Un paradoxe qui perdure depuis 14 siècles, qui condamne l’adultère, l’homosexualité et la zoophilie alors que ces pratiques sont bien plus répandues dans le monde musulman que n’importe où ailleurs.

La raison première en est que le prétendu prophète de l’islam a montré la voie en se conduisant non pas en "vrai" prophète et en étant exemplaire dans tous les domaines, particulièrement en ce qui concerne la sexualité, mais comme un personnage lubrique et un dépravé sexuel.
Sa perversité et son immoralité sont, avec d’autres sujets comme la haine des juifs, le pivot central de sa "prophétie", au point de lui avoir fait imaginer un paradis-lupanar pornographique où les pratiques sexuelles avec les houris, avec les jeunes éphèbes et éventuellement avec les épouses terrestres, sont l’activité principale.

L’argument qui consiste à dire que pour l’époque les pratiques de Mahomet étaient "normales" ne tient pas pour un tas de raisons mais surtout parce que, en tant que prophète autoproclamé, il s’est comporté en crapule, en dément sanguinaire, en dévoyé, en voleur, en violeur ... à l’opposé de toute moralité et à l’opposé de ce qu’on peut raisonnablement attendre d’un "messie" ou d’un "prophète".
Au point de choquer les Arabes païens de la Mecque, notamment lors de l’épisode de son mariage avec son ex-bru Zayneb.

L’argument ne tient pas non plus parce qu’il a laissé cette tradition qui veut que, si le musulman veut mériter le paradis pornographique d’Allah, il lui faut l’imiter dans ses faits et gestes, y compris dans les actions les plus viles, qui s’en trouvent du coup transformées à leurs yeux en qualités morales. 
Les très nombreux cas de viols de petites filles à travers le monde musulman en sont une des preuves irréfutables.
Il est à noter d’ailleurs qu’une grande part de ces viols sont commis par les personnes censées être les garantes de la moralité islamique : les imams !

La perversité de Mahomet a "déteint" sur les musulmans. Rien que de très normal, il est pour eux l’être parfait, le modèle à suivre. 
De plus, les interdits coraniques et la ségrégation entre les sexes ont engendré des frustrations provoquant chez eux des pulsions qui les poussent très logiquement vers les seules solutions capables d’assouvir leurs pulsions :
les pratiques homosexuelles et zoophiles.

Les ulémas, principalement ceux des VIIIe et IXe siècles, ont usé d’un tas de stratagèmes pour rendre licite ce que la tradition avait déclaré illicite et permettre ainsi aux adeptes de Mahomet d’assouvir leur libido effrénée causée par les tabous coraniques.

Alors que la seule relation sexuelle autorisée par le Coran est celle entre le mari et ses femmes, les ulémas ont émis une quantité phénoménale de commentaires et à un degré moindre de hadiths sur les questions sexuelles les plus inattendues, traitant le sujet très sérieusement, en bon "docteurs de la foi". On se retrouve ainsi devant une impressionnante bibliographie traitant de l’activité sexuelle des musulmans.

Concernant la zoophile, comme le Coran ne l’interdit pas de manière explicite, les ulémas en ont profité pour ouvrir une brèche à partir de l’interprétation assez libre du verset 6 de la sourate 23 (traduction Mohammed Hamidullah) :
1. Bienheureux sont certes les croyants, 2. ceux qui sont humbles dans leur Salat,
3. qui se détournent des futilités,
4. qui s’acquittent de la Zakat,
5. et qui préservent leurs sexes [de tout rapport],
6. si ce n’est qu’avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent , car là vraiment, on ne peut les blâmer ; Pour une raison qui m’est inconnue, Hamidullah (comme les autres traducteurs reconnus Blachère et Kasimirski) a ignoré le sens littéral du verset 6, qui aurait dû être traduit ainsi :

Si ce n’est qu’avec leurs épouses ou ce que leurs droites possèdent [ma malakat aymanuhum, "ce qu’ils ont acquis de leur main droite"] ;
A ma connaissance, seul André Chouraqui s’en est approché, traduisant ainsi le verset :
"sauf avec leurs épouses ou avec les esclaves que maîtrise leur droite :
en cela, ils sont exempts de blâme.

A partir de ces versets 23.6 et 70.30, les exégètes vont déduire que l’homme peut avoir des relations sexuelles avec :
1° ses épouses,
2° ses esclaves, y compris les esclaves mâles (le cas le plus connu : celui des eunuques dans l’Empire ottoman),
3° ses animaux, bétail et autres animaux domestiques,
4° même des objets.

Ils y trouvent également la justification du viol "halal" des captives de guerre, qui étaient transformées en esclaves sexuelles.
D’autant plus légitimé à leurs yeux que Mahomet et ses sbires l’ont pratiqué lors de leurs razzias victorieuses.

Poussées par une soudaine et très inhabituelle tolérance, les quatre écoles du fiqh sunnite en arrivent à un accord unanime :
"La mort n’est pas prescrite pour celui qui commet des rapports sexuels avec un animal". C’est l’avis des fondateurs de ces quatre écoles du fiqh (ensemble des connaissances acquise par l’exégèse du Coran et de la sunna) : 
les imams ibn Hanbal, ach-Chafii, Malik et abu-Hanifa. Il ne s’agit pas de n’importe qui :
ce sont les fondateurs des 4 seules écoles reconnues du sunnisme.

Les ulémas ayant tranché la question, toute une jurisprudence s’est développée, qui a fini par remplacer l’ancienne coutume qui consistait à punir la zoophilie, parfois à la punir de mort.

De nos jours, le "docteur" Ahmad Shafaat, musulman sunnite de renom, donne sa version : en comparant le hadith d’abu-Daoud qui proscrit la peine de mort à l’injonction biblique (Si un homme a des relations sexuelles avec un animal, il doit être mis à mort ; et vous tuerez la bête), il en déduit qu’il "a été emprunté à la tradition juive" et qu’il est donc à rejeter :

"Nous avons montré plus haut que la peine de mort pour la bestialité ne vient pas d’Allah et de son Messager. Alors d’où vient-elle ? La réponse la plus probable est que la peine a été empruntée à la tradition juive. Comparez le "hadith" décrit ci-dessus et ce que la Bible dit. [...] Le parallèle est frappant et, compte tenu du fait que le hadith n’est pas authentique, suggère fortement que certains musulmans ont pris la peine de la tradition biblique et l’on sans vergogne attribué au Prophète de l’Islam".

Autre argument des musulmans, pris d’une singulière autant qu’inaccoutumée bienveillance : les lois qui régissent l’islam sont immuables, sauf celles qui ont été clairement abrogées (principe du mansukh-nasikh). L’abrogation ou la modification d’un texte ne peut venir que des écrits islamiques sûrs et avérés. Donc, si le Coran ou à tout le moins des hadiths sahihs n’indiquent pas clairement la peine à appliquer, aucune peine n’est applicable.

Le résultat : des affirmations, toutes plus délirantes les uns que les autres, et de détails croustillants les plus inattendus, que les musulmans doivent prendre au pied de la lettre plus à cause du désert que représente pour les célibataires la sexualité dans le monde musulman que par attirance pour les animaux.
Là où pour d’autres sujets les hadiths faibles seront systématiquement rejetés (à juste titre ou non), ceux qui concernent la zoophilie vont au contraire être "embellis" et on va essayer de leur donner une respectabilité qu’ils n’ont pas tous. Quelques exemples de hadiths et de commentaires de grands savants de l’islam :
1° « Le hadith prescrivant la peine de mort pour relation sexuelle avec des animaux est une fabrication résultant d’erreurs ou un mensonge incontestable (imam an-Nawawi) ».

2° « Les règles de la purification relatives au zoophile sont identiques à celles des rapports normaux : le bain devient obligatoire lorsqu’il y a introduction du gland de la verge ou de ce qui en tient lieu en cas de perte du gland, par un homme entrant dans les parties génitales d’une femme, d’un animal quelconque, même d’un poisson (Fath al-Qarîb, Révélation de l’Omniprésent, commentaire de jurisprudence musulmane, ibn Qâsim al-Ghazzi) ».

3° « S’il a eut des rapports sexuels avec un animal, cela n’annulera pas son hadj (pèlerinage) (Imam abu Bakr al-Kashani, Badaye al-Sanae tome 2 page 216) ».

4° « Rapporté par Abdullah ibn Abbas : il n’y a pas de châtiment prescrit pour celui qui a des relations sexuelles avec un animal (abu Daoud, 4450 - il contredit son autre hadith qui condamne l’acte) ».

5° « Il a été rapporté par Ahmed qu’un homme vint à lui qui craignait qu’il éjaculerait alors qu’il faisait le jeûne. Ahmed a déclaré : Ce que je vois, c’est qu’il peut libérer le sperme sans ruiner le jeûne, il peut se masturber avec ses mains ou entre les mains de sa femme, si il a un "Ammah" que ce soit une fille ou un petit enfant, elle peut le masturber en se servant de ses mains, et si elle était une non-croyante, il peut dormir avec elle sans lâcher (son sperme) , s’il éjacule en elle, elle devient "illicite" (Ibn Qayyim) ».

La pédophilie est légitimée par le coran et par le "mariage" de Mahomet avec une gamine de 9 ans, ibn Qayyam se permet d’y ajouter la zoophilie. Un autre imam fait de même : an-Nawawi, qui n’est pas avare de détails dans son long commentaire :
Nos compagnons ont dit que si le pénis a pénétré dans l’anus d’une femme, ou l’anus d’un homme, ou le vagin d’un animal ou son anus alors il est nécessaire de faire al-ghousl (l’ablution majeure) si la pénétration de celui-ci est vivant ou mort, jeune ou vieux, si elle a été faite intentionnellement ou distraitement, si elle a été faite obstinément ou puissamment.
Cela s’applique aussi si la femme place le membre masculin à l’intérieur d’elle tandis que l’homme est endormi, si le pénis est droit ou pas, si le pénis est circoncis ou non circoncis. Toutes ces situations exigent que la personne commettant l’acte et celui sur lequel l’acte est commis doivent se laver, à moins que la personne commettant l’acte ou la personne sur qui l’acte est commis ne soit un jeune mâle ou une femme.
Dans ce cas il ne peut pas être dit que la personne doit se laver, car ils n’ont pas la responsabilité, plutôt il est dit que cette personne est dans un état d’impureté. Si cette personne peut discerner (l’acte sexuel) alors son tuteur peut ordonner qu’il se lave comme s’il ordonnait qu’il exécute l’ablution pour les prières. Car s’il prie sans lavage, sa prière n’a pas été exécutée correctement ; de même s’il ne se lave pas après qu’il atteint la puberté il doit être forcé de se laver. S’il s’est lavé comme un jeune homme et atteint ensuite la puberté, donc il ne doit pas répéter le lavage.

Nos compagnons ont dit qu’une relation sexuelle arrive quand le pénis d’un mâle sain pénètre complètement (un orifice), comme cela a été unanimement convenu. Ainsi, quand le pénis a complètement disparu (à l’intérieur de l’orifice), alors tous les règlements concernant le lavage s’appliquent. Il est unanimement consenti qu’il n’est pas nécessaire que le pénis entier pénètre pour appliquer les règlements de lavage. Si la partie de la tête du pénis pénètre, donc les règlements de lavage ne sont pas imposés comme convenu, sauf par quelque uns de nos étranges compagnons qui ont dit que même dans ce cas tous les règlements de lavage doivent s’appliquer. Cependant, cet avis est faux, rejeté et abandonné.

Si le membre masculin a été coupé et ce qui reste est moins que la longueur de la tête du pénis, alors aucun des règlements de lavement ne s’appliquent. Si le restant du membre est égal à la longueur de la tête du pénis alors le membre doit complètement pénétrer pour que le règlement de lavement soit appliqué. Si le restant du membre est plus grand que la longueur de la tête du pénis alors il y a deux avis célèbres pour nos compagnons. Le plus correct est que si la partie qui pénètre est égale à la longueur de la tête du pénis, alors les règlements pour le lavage s’appliquent. L’autre avis est qu’aucun des règlements pour le lavage ne s’applique jusqu’à ce que la longueur restante entière du pénis ne pénètre complètement et Allah sait mieux.

Si un homme enveloppe une gaine autour de son membre masculin et éjacule ensuite à l’intérieur du vagin d’une femme, donc il y a trois avis de nos compagnons. Le plus célèbre est que l’homme doit se laver. Le deuxième est qu’il ne doit pas se laver parce qu’il a éjaculé à l’intérieur de la gaine. Le troisième est que si la gaine est épaisse et empêche l’orgasme et l’humidité (dans le vagin) alors le lavage n’est pas nécessaire, autrement c’est nécessaire et Allah sait mieux.

Si une femme insère (dans son vagin) le pénis d’un animal, elle doit faire al-ghousl et si elle insère un pénis coupé (thakaran maktu) il y a deux avis ; le plus correct est qu’elle doit se laver.





L’important, c’est de faire le ghousl, pour que "la prière soit correctement exécutée" !

On fait des pieds et des mains pour défendre les plus vils penchants qu’introduisent le coran et la sunna, cela résume parfaitement toute la spiritualité de l’islam !

Les statistiques confirment que les frustrations sexuelles conduisent les musulmans à des comportements anormaux et souvent criminels (pédophilie et culture du viol notamment). Les statistiques Google révèlent que les musulmans sont les "clients" les plus assidus des sites de pornographie, en particulier de zoophilie, de pédophilie et de viol. Quelques exemples :
- Les Iraniens ont le plus grand nombre de visite de "sites immoraux" durant le jour d’Achoura, qui est la fête de jeûne qui purifie de tous les péchés de l’année précédente ! 

- Le Pakistan est numéro 1 dans les recherches pédophiles, zoophiles et de viol.
Voici les recherches les plus courantes : "child sex", "rape sex", "rape video", "pedophilia vidéo", "animal sex", "camel sex", "dog sex", "pig sex", "horse sex". 

- La recherche avec les mots "pig sex" donne les résultats : le Pakistan arrive en tête, l’Égypte est 2e, la Malaisie est 4e et l’Indonésie 7e. De quoi surprendre quand on sait l’aversion des musulmans pour le porc.

« Ô les croyants, ne déclarez pas illicites les bonnes choses qu’Allah vous a rendues licites » (coran, 5.87)

La zoophilie : un autre aspect bien méconnu de l’islam, cette immense escroquerie qui se prétend religion alors qu’elle n’est que la plus vaste des escroqueries inventées par les humains.


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Source :Aqveyli N-Jerjer 
crédit: © kabyle.net

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