vendredi 16 février 2018

Sauvegarde Le blog de Mahomet page 13

Le « prophète »
 Voici des extraits d'un article publié sur le site www.coranix.com, et qui résume assez bien l'histoire de la vie de Mahomet.
Muhammad (ou Mohammed, le « loué » en Arabe) ibn Abd-Allah ibn el-Mottalib est né un premier avril en l’an 569, 570, 571 ou 580  au sein d’un clan appartenant à la tribu des Qoraïchites (ou Koraïchites), un groupe de bédouins dont l’influence commençait à se faire sentir dans toute la péninsule arabique et qui voulait asseoir son pouvoir sur l’ensemble des territoires contrôlés par les Arabes.

Il avait perdu ses parents très tôt. Son père Abd-Allah ibn el-Mottalib, était mort avant sa naissance (ou quand il avait deux mois) et, selon la « Sîra » musulmane (biographie du prophète), il avait perdu sa mère – Amina, fille de Wahib - à l’âge de six ans. Il aurait donc été élevé par son grand-père – Abdel Mottalib – puis par un oncle nommé Abou Tâlib (ou « Taleb »). Sa tribu était influente mais sa famille était pauvre. Il vécut d’abord très chichement, travaillant comme berger puis comme caravanier. Quand il eut treize ans, son oncle l’autorisa à l’accompagner en Syrie. En cours de route, il aurait rencontré un moine nestorien nommé Bahira qui aurait conseillé à son oncle de le prémunir contre les « artifices des juifs ». A son retour, il prendra part à la guerre d’El Fidjar (violation du mois sacré) que sa tribu soutenait contre celle de Benou-Hawazin. Mais là encore, la participation de l’adolescent se réduisit à bien peu de choses : il fut chargé de ramasser les flèches lancées par les combattants.
Vers l’an 594, il se rendit à deux reprises au Yémen et fit, l’année suivante, un second voyage en Syrie pour le compte d’un certain Meïssara, l’homme qui était chargé des affaires d’une riche veuve nommée Khâdidja. Une fois encore, il eut l’occasion de rencontrer des moines chrétiens qui eurent quelque influence sur ses conceptions religieuses.
13)14)
En fait, la mythologue musulmane, n’est – une fois encore – qu’une contrefaçon d’autres mythologies. La plupart des « miracles » et des « faits merveilleux » que l’on imputa à Mahomet se retrouvent dans l’hagiographie des prophètes bibliques et des saints de la chrétienté, voire même de certains dieux du panthéon antique. Ces emprunts et inventions avaient pour but de « gommer » les aspects peu reluisants de la personnalité du prétendu « prophète » et de leur substituer des « vertus » capables de frapper l’imagination des simples et des naïfs. C’est un trait caractéristique de toutes les religions, de toutes les sectes. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre mais avec du miel !

Revenons aux faits authentiques, ceux qui découlent de l’histoire, non de la légende.

Très vite, le rusé Muhammad parvint à entrer au service de Khâdidja, qu’il ne tarda pas à séduire et qu’il épousera peu de temps après (en 596)(. Il a réussi un joli coup car cette femme a hérité de la fortune de son défunt mari, un riche négociant. Elle a au minimum quinze ans de plus que lui mais ce mariage lui procure l’aisance dont il rêvait depuis longtemps. De simple caravanier, le voilà promu « directeur commercial ». A ce stade de notre analyse, on se croirait dans un feuilleton hollywoodien de série B où le jeune cow-boy ambitieux séduit la riche propriétaire du ranch où il a réussi à se faire engager. Une banale histoire de gigolo, en somme. Grâce à Khâdidja, le futur prophète – qui est déjà nanti d’un esprit tourmenté – va pouvoir se consacrer à ses préoccupations politico-religieuses. Il prend alors l’habitude de se retirer, seul, sur la colline de Hirra, proche de la petite bourgade de la Mekke. C’est là qu’il peaufine son « opération révélation » et que, selon la légende, il aurait entendu une voix disant « Parle au nom de ton Seigneur qui t’as créé » (Qoran 96, verset 1). Car, comme il sied à tout bon prophète, les révélations ne lui furent faites qu’à lui seul. Ben voyons !12)

Mahomet, humble bédouin, n'avait pas été élevé comme un prince. Il est donc normal qu'il n'imagina point que dieu puisse lui apparaître en personne, pas même sous la forme d’un buisson en flamme comme ce fut le cas pour Moïse, prince Egyptien. Comme on le voit, Dieu adopte un comportement étrangement « humain », très soucieux des conventions sociales : théophanie pour les princes, envoi d'un subalterne pour les gueux. En fait, à la description que fait Mahomet de sa rencontre avec l’archange Gabriel, l’éternel « dircom » des Etablissements « Dieu et Fils, miracles en tous genres », on s'aperçoit vite que tous les symptomes décrits cadrent parfaitement avec ce que la psychiatrie moderne connait sous le terme de « crise du milieu de la vie », ou « crise de la quarantaine ». Il est donc parfaitement logique que « Dieu », fabriqué par le cerveau du malade qui croit en recevoir les messages, adopte un comportement conforme à ce que le cerveau qui fabrique ce « Dieu » est capable d'imaginer. Le cerveau d'un prince (Moïse) n'aura aucun problème à imaginer être suffisamment important pour que Dieu lui-même se déplace tandis le cerveau d'un humble bédouin (Mahomet) pourra seulement envisager être confronté à un envoyé de Dieu, et non à Dieu lui-même.
Selon MahometGabriel le polyglotte ( lui serait donc apparu après avoir ordonné « iqra » (récite) à plusieurs reprises. Et pour ce qui était de répéter, on pouvait lui faire confiance à Muhammad. Il ne savait d’ailleurs faire que ça, lui le caravanier devenu riche marchand par la grâce de sa puissance de séduction. Passons sur les affabulations qui s’attachent à ses premières « révélations » (comme le coup du manteau). Le prophète fraîchement émoulu descend sur la place publique de la Mekke pour « révéler » le contenu de son premier message. Ce message n°1 constitue la sourate introductive du Qoran (récitation). On y apprend que Dieu est unique et tout puissant, ce qui n’a plus rien d’un « scoop » depuis Akhenaton. C’est aussi ce que disaient les juifs et les chrétiens depuis pas mal de temps. C’est de là que les musulmans tirent leur fameux « Allah Akbar », incantation qui n'est guère diffèrente de ce que peuvent dire les adeptes des autres religions monothéistes (.
On est bien là dans le schéma d’une copie de l’Ancien testament que les « anciens » de la tribu de Mahomet enviaient aux juifs et aux chrétiens, certains de ses parents ayant même adhéré au christianisme qui avait conquis une partie du monde arabe. C’est un peu comme Josuah (Jésus) qui s’inspira de la religion de ses ancêtres (il avait fréquenté l’école rabbinique) pour prêcher son « message » et se faire passer pourle « messie » et le « fils de dieu ».(15)
A partir de ce moment-là, les « visions » se suivent et se ressemblent. Selon les dires (hâdiths) de quelques témoins oculaires (qui étaient présents lorsque Muhhamad prétendit avoir été « visité » mais qui, bien évidemment, n’entendirent point les voix et ne virent aucun archange), le « prophète » entrait en transe et paraissait en proie à des convulsions nerveuses lorsqu’il se disait « visité ». Ce sont là les symptômes de délires comme en présentent certains malades soignés dans les hôpitaux psychiatriques oùquelques pillules quotidiennes suffisent pour empécher « l'ange Gabriel » de « faire des révélations » à un grand nombre de « prophètes ».
Mahomet avait sans doute fini par s’auto-suggestionner, par se convaincre inconsciemment que ses convictions étaient d’inspiration divine. Et il en résultait des crises psychotiques au cours desquelles il « entendait » des voix et « voyait » ce Gabriel dont on lui avait tant parlé au cours de son adolescence.

Les Mekkois, ses compatriotes, lui firent un très mauvais accueil. Ils n’avaient que faire de cet ancien berger qui affirmait parler au nom d’un dieu unique. Comme pour Jésus en Palestine, on répondit à ses imprécations par des rires et des sarcasmes. Cette opposition eut pour effet de renforcer sa rancœur, comme on le voit en lisant le coran, sourate par sourate, verset par verset. Muhammad n’est pas un « gentil » comme Josuah le nazaréen. C’est un bédouin hargneux qui ne tend pas la joue gauche quand on lui soufflette la droite. Ce n’est pas non plus un méditatif désintéressé à la manière du prince Sidârtâ (celui auquel on donnera le titre de « Bouddah »). Il veut le pouvoir et la richesse. Il se met à fustiger les incrédules, à les menacer des terreurs de l’enfer. Dans le même temps, il invente de toutes pièces un « paradis d'opérette » où l’eau coule partout (très important pour les hommes du désert alors que de nos jours l'eau coule en abondance dès que l'on quitte les toilettes...) et où toutes sortes de félicités (parmi lesquelles des vierges aguichantes en pagaille, voir par exemple le chapitre 37 du coran, verset 47) attendent les « heureux élus ». C’est le coup classique de la carotte et du bâton. Un coup d’autant plus facile à monter que personne ne viendra le contredire, ni à propos de l’enfer, ni à propos du paradis. Il ne peut pas prouver qu’ils existent mais on ne peut pas, non plus, prouver le contraire.
Les musulmans ne cesseront d’en rajouter par la suite. C’est ainsi que certainesécoles coraniques enseignent que les « martyrs » (ceux qui meurent en menant la « guerre sainte ») vont tout droit au paradis en emmenant avec eux dix personnes de leur choix. La carotte idéale pour motiver les terroristes en puissance !
Aujourd’hui, il se trouve encore des millions d’hommes et de femmes pour croire à ces balivernes grossières.

Fort curieusement, les musulmans – qui se disent tellement attachés à la lettre ducoran – contestent vigoureusement l’authenticité de l’un des épisodes de la vie deMahomet qui est rapporté par de nombreuses sources anciennes. C’est l’épisode desversets dits « sataniques » au cours duquel Mahomet, désespéré (pour ne pas dire furieux) d’avoir été éconduit et raillé par les Mecquois, aurait été tenté par Satan. Celui-ci lui aurait dicté des versets « pervers », notamment ceux qui faisaient admettre au sein de l’islam trois déesses du panthéon de la Mekke (Lat, Al’Ossa et Manat), présentées comme des intermédiaires entre les hommes et Allah. En apprenant cette nouvelle, les Mecquois se seraient réjouis et auraient accepté d’embrasser la religion de Muhammad. Par la suite, Gabriel serait apparu pour révéler à son « prophète » que ces versets étaient l’œuvre du méchant Satan et lui dicter les « vrais versets », ceux qui figurent dans le coran (sourate LIII : L’Etoile). Les déesses y sont démystifiées et présentées comme n’étant « que des noms », sans puissance, ni réalité. Lorsque les nouveaux versets furent rendus publics à la Mekke, les habitants de la ville se détournèrent définitivement du discours de Mahomet et retournèrent à leur polythéisme originel.
Cet épisode des « versets sataniques » (qui a inspiré Salman Rushdie) est troublant à plus d’un titre. Il se pourrait qu’il corresponde à des faits qui se sont effectivement déroulés à la Mekke, lorsque Mahomet constata que son « message prophétique » ne rencontrait que fort peu d’audience parmi ses compatriotes. Il aurait alors tenté d’édulcorer ce message en y incorporant les fameux « versets sataniques », sortes de compromis subtil entre la religion monothéiste qu’il tentait d’imposer et le polythéisme qui prévalait à cette époque.
Sa ruse ayant fonctionné, il serait alors revenu sur ses déclarations sous prétexte d'un « rappel à l’ordre » par l’archange Gabriel, espérant ainsi à la fois conserver ses nouveaux « fidèles » et les convertir définitivement à sa nouvelle « vraie foi ». Mais le subterfuge se serait retourné contre lui, le ridiculisant définitivement aux yeux des habitants de la Mekke. Cela transparaît dans la sourate LIII qui commence ainsi : « J’en jure par l’étoile qui se couche, votre compatriote n’est point égaré, il n’a point été séduit, il ne parle pas de son propre mouvement. Ce qu’il dit est une révélation qui lui a été faite. L’énorme en force (autrement dit Gabriel), l’a séduit… ». Puis, plus loin : « Le cœur de Muhammad ne ment pas, il l’a vu. Elèverez-vous des doutes sur ce qu’il a vu ?… ».
Ces versets (et d’autres du même genre) sont significatifs d’un personnage que plus personne ne veut croire et qui, en outre (et fort curieusement ), jure sur une étoile ( idolâtrie ?) qu’il n’est point « égaré » (qu’il n’est pas « fou »). Le coran nous indique donc clairement que les habitants de la Mekke, lassés de ses « révélations » et de ses contradictions avaient finis par le considérer comme un malade mental.
On comprend que l’épisode des « versets sataniques » soit gênant pour les musulmans, encore que ce soit le coran, dans son ensemble, qui soit gênant pour eux. Même édulcorées, polies et «arrangées », les « révélations » de Muhammaddemeurent confuses, incohérentes et incongrues. Elles ne résistent pas longtemps à une analyse objective. Et ce n’est certes pas en lançant des « fatwa » à la tête des contestataires et des écrivains lucides que les « docteurs de la foi » s’en sortiront. Bien au contraire, leurs gesticulations ne font qu’accroître les soupçons qui pèsent sur l’islam, même au sein des populations qui n’ont jamais lu le coran.
Les propagandistes de l’islam ont beau se démener pour tenter de nous présenter un «prophète politiquement correct », le coran et l’histoire sont là pour les contredire.
Revenons donc à l’histoire puisqu’elle nous éclaire si bien.
 
 
10 JUILLET 2007
LES SECRETS DE L'ISLAM !
  Par DAVID ABASSI (?)
Les versets Gharanigh
11- Mais dans le Coran, le fait le plus important relatif aux fautes du prophè¨te d'islam se trouve dans les versets Gharanigh. Cela a engendré beaucoup de bruits au début de la révolution d'islam et s'est très peu posé dans l'histoire comme récit historique. Nous avons recours ici à  un livre d'histoire écrit par un savant schiite nommé Mohammad Ibn Djariré Tabari, l'ensemble de cette oeuvre historique était traduit dans la langue éloquente et coulante de persane par Aboul Ghassém Paèandéh et était publié en Iran en 1974, 1983 et 1984
et nous en présentons ici la partie, telle quelle, concernant ce problème et dans laquelle il y va du Satan qui a fait dire au prophète d'islam des versets et des poèmes qui ne furent pas divins et le Coran les a qualifiés de sataniques et les a éliminés :
Avant tout il est à  rappeler que ce problème fut pour une première fois brièvement évoqué dans notre livre " De Mitra à  Mohammad " en 1983, sa reprise dans cet écrit est due à  la nécessité de présenter le maximum de textes, de rapports et de renseignements relatifs au Coran dans l'histoire lorsqu'il s'agit bien de lui.
A propos des versets que le Satan a fait prononcer au Prophète (versets sataniques), Tabari écrit :
" Puisque le prophète d'islam s'est aperçu du fait que la tribu Quoriche est réticente à  son égard et puisque cela lui fut pénible à  supporter, il souhaita que quelque chose vienne de la part Dieu pour les rapprocher à  lui, lorsque cette idée a émergé dan son esprit, Dieu a révélé ces versets :"
"Serment à  cette étoile quand elle se couche, que votre ami ne est pas égaré et n'a pas adhéré au faux et ne parle pas suivant son désir.
(la sourate Nadjm- l'Etoile- les versets de 1 à  3).
Et lorsqu'il arrive à  ce verset que :
Apprenez-moi sur la Lààt, l'Osà et Manààt, cette troisième et dernière idole.

(A ce moment)le Satan lui fait dire que :
Ces idoles sont éminentes et leur intercession est affirmée.
(la sourate Nadjm, les versets 19 et 20)

Lorsque les Quoriche ont entendu la vénération de leurs dieux ( par Mohammad), ils s'en sont réjouis et lorsque Mohammad est, dans son énonciation, arrivé au moment où il fallait prosterner, il a fait la prosternation et les autres qui étaient dans la mosquée, contents de la vénération de leurs dieux par Mohammad, en ont fait autant. Tout croyant ou renégat a prosterné... et quand les Quoriche sont sortis de la Mosquée, ils furent joyeux et disaient : Mohammad a rappelé nos dieux en bons termes et les a traités d'éminents dont l'intercession est approuvée... Alors Gabriel est venu après quelques jours et dit (au prophète d'islam) : O Mohammad ! Qu'as-tu fait ? Tu as énoncé aux gens quelque chose que je n'avais pas apporté de la part de Dieu et tu as énoncé une parole que Dieu ne t'avait pas dite.

Et le prophète d'islam s'est attristé et a eu peur de Dieu, mais l'honoré et glorieux Dieu fut miséricordieux avec lui et a envoyé un verset qui a allégé sa tà¢che et a dit :

"Avant lui aussi, les prophètes avaient des souhaits et le Satan a fait venir leurs souhaits dans leur énonciation".
(la sourate Hadj - le pèlerinage de la Mecque -, le verset 52)

Avant toi, nous n'avons chargé aucun envoyé ni apôtre, sans qu'au moment de leur énonciation le Satan n'y fasse des suggestions. Dieu abroge ce que le Satan a suggéré. (Tarikh al Moulouk va al Rossal - page 880)
Il s'avère donc évident que le prophète d'islam se servait d'accord, de négociation, d'attaques, de batailles, d'offensives, de discours, d'alliance, ou d'admission des religions antérieures à  la sienne, afin de renforcer le camp de l'islam. Comme nous l'avons vu dans les pages précédentes, il a par exemple reconnu les religions telles que le zoroastrisme, le judaà¯sme, le christianisme, l'astrolà¢trie, etc. Ainsi que Tabarie a dit :
Le prophète d'islam, en acceptant l'éminence et l'intercession des idoles des Quoriche, voulait convertir ces derniers en son propre rite, et il a réussi. Car tous les paà¯ens ont prosterné avec lui et ont fait le témoignage (shahadateà¯n). D'autre part, les trois grandes idoles des Quoriche Là¢t, Osà¢, et Manࢠsont les idoles qui se trouvaient dans la Kaaba avant l'émergence de l'islam et le prophète d'islam lui-même avait effectué des tournés de vénération autour de la même Kaaba avec ses idoles et son père en fut le portier. Son grand père et ses oncles avaient des noms composés dont le préfixe fut " servant" et suffixe consistait en le nom d'idoles. Comme Abdé Manaf (qui est le grand ancêtre de Mohammad). Abdé Manaf signifie le servant de la belle idole Manaf, Abdé al •sà¢, signifie le servant de l'•sࢠet Abd al Dar, signifie le servant de la maison d'idoles, la Kaaba.
Le point de vu de Tabari sur le fait que le prophète d'islam aimait sa tribu semble pertinent. En dépit des tous premiers batailles et accrochages avec les Quoriche, à  partir de là , il essaye plus de réconcilier et vivre en paix avec eux que de leur faire la guerre. Il se livre davantage dans des batailles avec des tribus étrangères et les Juifs qu'il ne le fait avec les Quoriche. A titre d'exemple, au moment de la conquête de la Mecque, non seulement il fait quartier à  Abou Sofà¯an, mais il juge son foyer comme la Kaaba et dit :"Quiconque est dans ces deux maisons, aura grà¢ce de la vie." Pourtant, il s'agissait d'Abou Sofà¯à¢n qui n'accepterait jamais l'islam et ne dirait même pas le témoignage ( shahadateà¯n). Or l'on sait que la base de se convertir en islam fut à  cette époque, et elle l'est toujours, de dire deux phrases suivantes :
" Je témoigne qu'il n'y a comme dieu qu'Allah et je témoigne que Mohammad est le prophète de Dieu."(témoignage imité de Zorastre).
Ce jeu de deux phrases subsiste toujours parmi les Schà¯ites et les Sunîtes. Par exemple pour un jeun non musulman qui tombe amoureux d'une fille musulmane il suffit de dire ces deux phrases pour que les parents et... admettent qu'il s'est converti en islam.

Je raconte deux souvenirs de ce jeu du témoignage.

A Beyrouth j'ai fait la connaissance d'un jeune Espagnol qui disait qu'il vivait chez un clerc musulman, et un jour il m'a invité chez lui. Le clerc musulman qui fut un grand cheikh et avait beaucoup de disciples a dit à  moi et à  ses disciples qu'il avait converti en islam ce jeun homme. Il s'appelait José et la famille du cheikh l'appelait Hossein. Le cheikh lui avait donné une de meilleures chambres de sa maison et à  chaque matin, midi et soir l'on l'appelait pour le venir à  table. Il donnait même l'argent de poche à  José. Lorsque je suis entré dans sa chambre j'ai vu une croix accrochée au mur, une autre sur la table et une troisième sur son cou et il lisait continuellement de la Bible. Tout cela m'a étonné et je lui ai demandé discrètement : " Si tu t'es converti en islam, pourquoi vis-tu toujours en accompagnement de la croix et de la bible... ?
José m'a répondu, souriant : " Non, je ne me suis jamais converti en islam, je suis toujours un Chrétien et en plus un bon Chrétien et serviteur de l'Eglise et actuellement je fais des recherches sur la société islamique pour l'Eglise ". Je lui ai dit : " Comment, donc le cheikh prétend-il devant tout le monde que tu t'es converti en islam et tu ne dis rien ? "
José a dit : " Selon le cheikh je suis Musulman, puisqu'il m'a demandé de dire deux phrases en arabe et je lui ai dit mais, je suis Chrétien pour moi-même. Le fait de dire ces deux phrases ne m'a rien enlevé et m'a été et est même très bénéfique, comme tu le vois, toi-même."
Un deuxième souvenir a trait à  une belle compatriote savante, qui était ma secrétaire, qui m'a appris un jour qu'elle voulait se marier avec un Français et que celui-ci avait accepté de se convertir à  l'islam. Le jour où j'ai vu le jeune homme, je lui ai demandé en plaisantant, s'il voulait devenir musulman pour le mariage. Il m'a répondu : Mon but c'est de me marier avec cette belle. Et il parait que se convertir à  l'islam c'est de dire deux phrases en arabe, pour atteindre cette chère svelte je suis prêt à  lire un livre entier en arabe, donc le fait de dire deux phrases ne m'enlève rien et ne m'ajoute pas non plus quelque chose.
Enfin , même Abou Sofàan n'avait pas dit ces deux phrases et était resté fidèle à  son idolâtrie, mais sa maison fut considérée l'équivalent de la Kaaba.
Et ce fait montre bien l'aspect racial partisan du Prophète et qu'il aimait et vénérait bien la race des Quoriche quelle qu'elle était leur opinion, et comme nous l'avons écrit dans " De Mitra à  Mohammad " il disait aux dignités quorichites qu'en acceptant mon rite je vous ferai posséder les trésors de Madà¢én (capitale perse de l'époque antéislamique).
Les Musulmans conditionnés
Un autre cas du comportement ingénieux du prophète d'islam relève de l'acceptation de l'islam par les habitants de Taéf.

Une fois que le prophète d'islam a encerclé Taéf et fut à  la recherche d'anéantir ses habitants, afin de se sauver la vie, ceux-ci ont accepté de devenir musulman sous trois conditions :

1- Que les habitants de Taéf n'aient pas à  faire le service militaire et faire la guerre sainte à  côté d'autres Musulmans

2- Qu'ils n'aient pas à  payer des impôts (Zakà¢t) au prophète d'islam

3- Qu'ils n'aient pas à  jeûner.

Le prophète d'islam a accepté leurs trois conditions et eux, ils ont accepté l'islam.
Et l'on sait qu'à  la suite des promesses " sous leurs pieds couleront des torrents dans le jardin des délices", lorsque les Arabe sont arrivés à  Khorassan, ils ont dit que c'est le paradis que le Prophète avait promis ; car dans la péninsule arabe, il n'existait que le désert et la siccité, les promesses consistaient donc dans l'eau et les lieux parsemés d'arbres (la forêt = Djà¢nat) et les Houris étaient pour les Arabes, les belles femmes et filles charmantes persanes, babyloniennes, assyriennes et romaines...qu'ils prenaient comme butins à  la suite de leur invasion, les gens devenaient ainsi les serviteurs et esclaves et les Arabes se faisaient maîtres, chefs et propriétaires.
Le prophète d'islam fut tout seul avant la mort
Le prophète d'islam avait tenu la promesse qu'il avait faite. Il avait unifié, avec son monothéisme, les tribus arabes dispersées. Maintenant ce fut le temps de mort et de partir pour faire voler son à¢me de son corps mondain.
Comme c'est écrit, le prophète d'islam eut, à  sa mort, quelques épées, quelques cuirasse, des dinars, un troupeau de chameau, un troupeau de vaches, un troupeau de moutons, quelques chevaux, beaucoup de terres surtout à  Fadak, et un nombre de servantes et esclaves.
Après sa mort, tous les biens du Prophète furent réquisitionnés par Abobakr au profit du trésor public. Parmi eux les terres de Fadak que le prophète d'islam avait offertes à  sa fille Fatéméh. Mais ces terres furent réquisitionnées par Omar, d'o๠a commencé le désaccord de Fatéméh et lui.

A la suite de la conquête de la Mecque et le calme relatif qui existait entre les Musulmans, tout le monde s'occupait de ses affaires pour profiter des fruits lucratifs conquis par l'islam. D'autre part, ce qui importait c'est que tout le monde attendait la mort de Mohammad pour s'emparer de son pouvoir. C'est pourquoi aux derniers temps de sa vie, même ses amis, les plus proches, ne l'écoutaient plus et n'obtempérait pas à  ses ordres militaires ou politiques ni à  ses ordres tout à  fait banals.

Lorsqu'il avait toujours bon pied bon oeil et n'étais pas encore au lit de douleur, ses amis se moquaient de lui et faisaient des plaisanteries grossières avec ses femmes et d'avance les partageaient entre eux. Lorsqu'il a demandé aux Musulmans d'aller à  la guerre sous le commandement d'Assà¢méh, personne ne l'a contracté sous prétexte qu'Assaméh était trop jeune à  cet effet.

Lorsque dans les derniers moments de sa vie il a demandé d'apporter le papier et l'encre pour rédiger un testament écrit, l'on l'a pas écouté en disant qu'il délire.

Lorsqu'il est mort, l'on a laissé son cadavre, et l'on a fait des réunions nocturnes pour désigner son successeur, et ce ne fut qu'Ali et ses enfants qui se sont chargés de l'inhumer.
L'origine de la terreur en islam
L'origine de la terreur politique en islam remonte au Prophète de ce rite. Or, en islam les terreurs politiques s'accomplissaient sous l'ordre de Mohammad en personne, et dans la plupart des cas la terreur s'effectuait par ses proches.

Les premiers terreurs faites par les Musulmans touchaient les guerriers et les poètes s'opposant à  l'islam dont la majorité fut juifs et il y avait quelques femmes parmi eux.

Kaib Ibn Zahir le fameux poète arabe, eut satirisé le prophète d'islam par ses poèmes pénétrants et solides. Comme l'on sait, la poésie fut l'arme la plus redoutable pour l'esprit et même la pensée de l'Arabe, et c'est pour cette raison que le prophète d'islam avait donné l'ordre de le tuer o๠l'on le voit. ( Islamshénasi -Connaissance de l'islam- : Dr. Sharà¯ati)

Il fut assassiné discrètement par l'un des membres de sa famille qui avait adhéré au prophète d'islam.
Abou Afak, poète, Aassࢠfille d'Omaà¯r qui fut une femme de bonne stature et d'une belle voix et poète redoutable, et aussi Kabb Ibn al Ashraf (du coté de mère appartenait aux Juifs de Nasire) qui fut l'un des grands poètes notoires arabes, faisaient tous constamment des satires contre le prophète d'islam et les propageaient dans la ville. Kaab fut plus moqueur que les autres. Lorsqu'il a appris la nouvelle de la victoire de la bataille de Badre, il a dit que c'est du mensonge. Mais lorsqu'il fut sà»r que la nouvelle est vraie il est allé à  la Mecque et sur place il a fait des élégies pour la mort des tués de cette bataille et pleurait pour eux et ensuite il est rentré à  la Médine. Pourtant le prophète d'islam le supportait. Mais Kaab a commis quelque chose qui a fait fulminer la patience des Musulmans et des hommes arabes zélés de cette époque-là  et les a mis en rage. Ce qu'il a fait c'est qu'au début de ces odes satiriques il a fait de [Tashbib] et de poésie érotique à  propos des Musulmanes et lorsque le prophète d'islam a appris cette nouvelle s'est mis en colère et a dit : " Qui m'apporterait la nouvelle de sa mort ? (l'ordre de terreur) Un groupe d'hommes dont le frère de lait de Kaab faisait parti l'ont tué avec ruse.
Assmࢠ(qui fut une poète) et Abou Afk aussi ont été assassinés par leurs proches convertis en islam." (Islamshénassi -Connaissance de l'islam- de Dr. Sharà¯ati ).

Le Coran dont les versets doivent être analysés en fonction de la vie politique révolutionnaire du prophète d'islam, s'est déplacé des messages d'éclaircissement, de tolérance et d'indulgence à  l'égard des non musulmans vers l'état de guerre et d'affrontement.

Dans la première étape o๠le prophète d'islam pensait à  réunir ses disciples, le Coran dit : "
" (le peuple est libre dans le choix de sa religion) ou " (Vous, ayez votre religion et moi j'aurai la mienne). Dans la deuxième étape qui est celle de la lutte armée, il prend une allure offensive et guerrière et ordonne aux Musulmans l'attaque, la défense et la bataille et donne même l'ordre d'attaquer et de faire la guerre pendant les mois interdits en vu de s'emparer des butins.
Faire la guerre, couler du sang et coucher avec les femmes furent leurs principaux préoccupations et amusements et leur honneurs. Et puisque la guerre fut leur plus importante préoccupation ils n'avaient pas des vacances pour cesser de faire la guerre. Comme les élèves et étudiants ont trois mois des vacances scolaires, les Arabes aussi avaient deux mois, Moharam et Safar pour ne pas avoir à  faire la guerre.
Jusqu'ici personne n'a pris en compte ces trois étapes particulières de l'époque du prophète d'islam et nous expliquons cette idée pour la première fois dans l'histoire .

L'islam autorise les Musulmans à  se défendre lorsqu'ils sont attaqués et le Coran permet aux Musulmans de faire la guerre même pendant les mois vacants (Shahr al Haram) avec les non musulmans et de s'emparer des biens de ces derniers. Mais il y a aussi dans le Coran un verset qui qualifie la mort injustifiable d'un individu(qui que à§a soit) d'équivalent de la mort des tous les hommes.
" Ne tuez personne car Dieu a interdit la mort sauf si elle est justifiable".
Et à  la suite de ce verset il explique que si un opprimé est tué, la partie civile a le droit de chà¢tier le mortier.
Et ailleurs, il insiste que si quelqu'un tue expressément et sans raison un croyant (à  n'importe quelle idéologie ou doctrine) il sera brà»lé dans le feu révolutionnaire :"
(la sourate 7, le verset 33).

L'on sait qu'est croyant quiconque a adhéré à  une pensée, une religion, un parti et une opinion. Il n'est pas ici question de croyance, surtout que l'homme est la base de "la pensée islamique d'unité", c'est-à -dire croire à  "l'unité dans l'univers" et " l'univers dans l'unité".
Dans la pensée du prophète d'islam la lutte armée est autorisée tant que l'ennemie ne s'est pas calmé et continue toujours le pilonnage :
" Battez-vous dans la voix de Dieu qui est celle du peuple contre ceux qui se battent contre vous et violent."
(la sourate 4, le verset 71).
Et à  la suite de ce verset, le Coran détermine la responsabilité de tous les Musulmans de l'histoire et précise que tuez le groupe oppresseur et criminel qui est l'assassin de vos enfants et de vos parents, o๠vous le trouverez."
" Tuez-les là  o๠vous les trouverez et chassez-les de là  o๠ils vous ont chassés."

Le Coran ordonne que s'ils vous ont attaqués dans les lieux saints aussi, et ne vous ont pas laissé la paix même dans les hôpitaux et les mosquées, vous aurez le droit d'en faire autant."
Battez-vous avec eux dans le lieu saint (Masdjéd al Haram ), mais s'ils se sont battus contre vous, tuez-les donc que la sanction des oppresseurs est telle."
"Qu'est ce qui vous empêche, vous (les parasites viveurs et conformistes) de vous battre dans la voix de Dieu qui est celle des déshérités, hommes, femmes et enfants ? Ceux qui écrient : " O Dieu ! sauve-nous de ce lieu de tyrannie o๠tout le monde est oppresseur et détermine un sauveur parmi le peuple. "
Les accords du prophète d'islam avec les brigands arabes
En continuité de ces versets violents et radicaux de Djihad ( la guerre sainte) et Défࢠ(la défense) le prophète d'islam a décidé d'attaquer les caravanes des Quoriches pour récupérer les biens réquisitionnés des Musulmans de la Mecque et fortifier la réserve financière de la Médine.
Dans les attaques aux caravanes des Quoriche Abouzar qui fut de la tribu brigand de Ghafar jouait un rôle important dans la programmation des opérations.
Le prophète d'islam a chargé au début son oncle Hamzéh du commandement d'une troupe militaire. Mais les tribus situées tout au long du trajet de la Mecque et la Médine qui furent alliées des Quoriche et profitaient du passage des caravanes des Quoriche ont empêché les offensives des Musulmans. Alors le prophète d'islam a envoyé son cousin germain Sad Ibn Vaghas au commandement d'une troupe au Sahara. Mais cette fois-ci aussi, les Musulmans n'ont pas attaqué les caravanes des Quoriche, quoiqu'ils aient obtenu certains butins dans la bataille avec les tribus situées au bord de la voie. Le Prophète d'islam a décidé de recourir aux moyens intellectuels et à  la négociation politique et faire des accords avec des chefs des tribus habitant au désert, qui auraient été eux-mêmes des brigands ou furent la police des caravanes, afin d'attirer leur intention ; il a réussi dans ce fait et a pu obtenir le soutien d'une partie des chefs de tribu en faisant des négociations et l'élaboration des accords dont : Ghafar, Banou Madlidj, et Banou Damréh. Il a formé une armée plus populeuse que les troupes de Hamzéh de Sad Ibn Vaghas, cette armée est sortie de la Médine en vue d'attaquer les caravanes des Quoriche.
Il faut rappeler qu'Abouzar qui fut de la tribu Ghafar avait un rôle efficace pour créer une alliance entre sa tribu avec le prophète d'islam. La tribu Banou Madlidj qui fut idolà¢tre s'est alliée aussi au prophète d'islam uniquement dans l'intention de s'emparer des butins obtenus dans les brigandages sur les attaques aux caravanes.
Le prophète d'islam a remplacé les termes habituels par de nouvelles formules ayant un trait religieux. L'attaque aux caravanes aux tribus et le brigandage fut nommée Ghazvéh et des biens conquis s'appelaient des butins.
Sauf la première attaque à  la caravane des Quoriche qui fut en revanche des biens réquisitionnés des Musulmans de la Mecque, le prophète d'islam a fait soixante trois Ghazvéhs durant son pouvoir et n'eut qu'une seule guerre défensive, Khandagh, dans les autres Ghazvéhs ce furent les Musulmans qui s'attaquaient aux villes et villages et gagnaient beaucoup de butins.
La première Ghazvéh (attaque militaire)
Enfin, la caravane qui venait vers la Mecque et à  laquelle le prophète d'islam s'est attaqué fut sous le commandement d'Abou Sofîan ; le service d'espionnage des Quoriche l'avait informé pour qu'il change la direction de la caravane afin de ne pas croiser le prophète d'islam. La caravane est arrivée à  la Mecque saine et sauve. Mais les Quoriche sont partis avec une grande armée pour affronter la troupe du prophète d'islam qui fut composée de trois cents treize personnes. La troupe du prophète d'islam qui était venue pour attaquer la caravane fut obligée de faire face à  l'armée des Quoriche. Car si elle rentrait à  la Médine, les Quoriche, malgré qu'ils s'appliquaient aux Musulmans chez eux, auraient détruit et réquisitionné tous les biens et les foyers musulmans de la Médine.

Cette bataille qui fut nommée la grande Badre (les deux attaques échouées furent appelées les Badre un et deux) s'est terminée avec la victoire des Musulmans et Abou Djahl, le commandant des Quoriche qui fut l'un des durs ennemis du prophète d'islam mais aussi beaucoup d'autres dignités de la Mecque dont le fils d'Abou Sofîan et le père de Héndé (l'épouse d'Abou Sofian) furent tués.

Cette guerre qui fut le troisième accrochage militaire de l'islam s'est appropriée le titre de la première guerre régulière du prophète d'islam ; vu son importance, elle demande, à  elle toute seule, un livre. Car elle a eu une influence remarquable dans l'évolution profonde des vieux fondements et des anciennes traditions des Arabes. D'autant que jadis les guerres furent pour se défendre ou prendre la vengeance de ses proches. Mais cette fois-ci dans l'histoire des Arabes les chers [les amis] se sont affrontés et le père tira l'épée sur le fils, le fils sur le père et l'esclave sur le maître etc...
Un dernier mot
Vous, cher lecteur musulman ! Vous avez sans doute trouvé dans cet écrit les thèmes et sujets qui paraissent nouveaux et vous auraient enthousiasmé. Ils vous auraient fait réfléchir à  ces problèmes pendant un bon moment en ouvrant de nouveaux horizons dans votre esprit.
J'insiste sincèrement que je n'aurais jamais voulu déstabiliser la foi et la croyance de qui que à§a soit, bien au contraire, notre objectif consistait à  purifier les fois et croyances, surtout en ce temps, oà¹, à  la suite de l'effondrement du fanatisme, du fondamentalisme religieux et du communisme, l'on sent une place vacante pour une nouvelle pensée moderne dans toutes les sociétés surtout celles des pays islamiques. Il se peut qu'avec la pensée de l'Irfà¢n laà¯que et rationaliste l'on parvienne à  poser une nouvelle croyance fondée sur la raison et la connaissance dans un niveau considérable en vue de créer la société et les individus rationnels inspirés d'Irfà¢n et à  constituer avec les principes de la pureté dans la pensée, dans la parole et dans l'acte, les hommes unis et fidèles pour un demain épanouissant.

 

LES SECRETS DE L'ISLAM !
Qu'est-ce que les sujets tabous ?
Mais qu'est-ce que les secrets non dits, véritablement ? Quels mystères nous seront dévoilés dans ce texte ?
Avant tout, nous parlerons de l'émergence de l'islam, de la compilation du Coran et du vrai personnage de Mohammad et.... bien que dans d'autres écrits comme " Edjtéhad, renouveau dans les idées ", " Religieux et rationalisme " et " De Mitra à  Mohammad "ainsi que d'autres articles et livres, nous ayons beaucoup dit sur les non-dits concernant la religion, le Coran, le Prophète, la chasteté [Esmate], le miracle, Gabriel, la révélation de Dieu, [Vahî] et les conseillers de Mohammad, nous avons, à  présent, et dans le sillage d'une nouvelle découverte qui a inspiré le titre de ce chapitre même, découvert d'autres vérités. Mais une grande partie de ce livre est le résultat de plusieurs années de recherche et d'investigation, de l'étude de milliers de pages et si besoin est, de leur traduction. Certains des sujets de ce livre ont été débattus dés 1978 et jusqu'à  aujourd'hui, avec beaucoup de savants d'islam; chacun d'eux s'est dispensé de continuer de tels débats. Je me contente de rappeler quelques noms.

Certaines parties de cet écrit ont été sujets à  discussion pendant les années qui ont précédé la révolution de 1978, et cela jusqu'en 1980 et 1981, avec des personnages comme :
    Khomeini (fondateur de la République islamique d'Iran),
    Ali Khaménéhi (Guide spirituel de la R.I.I.),
    Hachémi Néjad,

    Mortéza Motahari (ancien Président du Conseil révolutionnaire iranien), Ali Téhérani (Elève de Khomeini, Professeur de beaucoup de personnalités du pouvoir actuel, Chef de Tribunal révolutionnaire pour la région de Khorassan à  la veille de la révolution iranienne),

    Javadi Amoli,
    Bahonar,
    Mofatéh,
    Rabani Shirazi,

    Khalkhali (Premier Chef de Tribunal révolutionnaire iranien et plus communément dénommé le "Boucher de Khomeini"),    et Maître Mohammad Taghi Shariati (Rationaliste depuis plus de 50 ans, n'ayant accepté aucun portefeuille ministériel après la révolution et père du Docteur Ali Shariati mort à  Londres 18 mois avant la révolution).
La seule personne qui m'a aidé à  élargir mon étendue intellectuelle fut le défunt Mohammad Taghi Shariati. Les autres ont détourné la discussion en abordant d'autres sujets ou, tout en confirmant certaines questions, ont préféré les laisser sous silence eu égard à  la situation de l'époque. Il est à  dire que parmi de rares personnalités intéressées par ces questions, comptait Ali Khaménéhi qui, à  l'époque, confirmait une partie des secrets non dits et qui, à  l'occasion de ses cours et de ses discours à  la mosquée Karamatte à  Méchhad, ou lors de ses discussions privées, approuvait leur énonciation tout en regrettant que ce ne soit pas le bon moment... J'ignore, à  présent qu'il détient le pouvoir du plus grand pays islamique, et est assis à  la place de Cyrous et Féréidoun, quelle est donc sa croyance ? Qu'est-ce qui l'empêche de divulguer les secrets non dits ? Quand on se souvient que suite à  certaines de ses paroles, il fut traité d'hérétique et de Bahai [croyant à  Babolah] , alors qu'il était en exil à  Iranshahre.
Il est bien évidemment à  noter que dans cet écrit, je ne prononcerai aucune parole, ni aucune affirmation issues de mon imagination. Mes références seront les contenus des ouvrages dont personne ne peut douter de la crédibilité. Ouvrages qui, d'autant plus, sont publiés en république islamique d'Iran. Tout ce que je raconte provient de ces ouvrages. Ainsi, et pour confirmer mes propos, je ne me référerai pas aux ouvrages relevant de l'Amérique, de l'Israà«l, des Juifs, des Chrétiens, des Bahais ou des renégats, etc... Je prendrai pour témoignage les ouvrages qui étaient et sont tous attestés par les savants d'islam, et sont mêmes écrits par eux.

D'autre part, et pour la première fois, je noterai les références se rapportant aux propos à  la fin des sujets en question, et non à  la fin du livre.
La sagacité et l'ingéniosité du prophète d'islam
Comme nous l'avons noté dans le livre intitulé " De Mitra à  Mohammad ", publié onze ans avant la révolte du prophète d'islam, l'idée de monothéisme et d'unité de dieu existait dans la péninsule arabe, à  Damas et au Yémen. Cette idée était dominante en Iran depuis des années et Zorastre même, en rejetant les démons [Diwhhà¢] (qui furent des dieux dispersés), et en présentant l'Ahoura Mazda, avait donné l'unité aux dieux en les renforà§ant devant l'Ahriman (le Satan). Il importe de dire que l'Allah de Mohammad émane d'Aléh, composé de l'article A, L et Diw qui n'est que le mot Dieu en latin (et signifie dieu); pour le peuple, cela signifiait tout simplement dieu. La tà¢che de Zorastre consistait à  rejeter les dieux d'hier (les Diws, les démons) et à  confirmer son dieu, l'Ahoura Mazda (Ces deux mots signifiant : puissant et savant).

Cela pour dire que le principe d'unification des dieux (Aléh) est une pensée qui est allée de la Perse, vers le Yémen et la péninsule arabe. Le nom d'Allah existait avant Mohammad, la preuve en est que le nom de son père était Abd Allah (esclave et créature de Dieu). En général, pour les Arabes il existait bien un dieu supérieur à  leurs idoles, distinct d'elles, qu'ils considéraient comme le créateur du monde et qu'ils appelaient " Allah ". Allah fut considéré comme un dieu intangible et si lointain d'eux qu'en son absence, ils s'attachaient aux éléments naturels accessibles.

La croyance en Allah est véritablement une vieille croyance chez les Arabes. (Histoire de la littérature de la langue arabe).

Mais Mohammad, grà¢ce à  sa sagacité et son ingéniosité, et à  l'aide de ce que nous allons raconter et dénombrer, a pu obtenir le leadership révolutionnaire et unificateur de son temps, un mouvement dont le fondement fut une imitation de celui de la Perse.
Le Coran, une poésie en style persan
Ce que l'on a appelé le miracle de Mohammad fut son livre et ses paroles. Les paroles que l'on a compilées vingt ans après sa mort s'appellent le Coran (livre à  lire). Nous savons que pour accepter une nouvelle science ou une nouvelle théorie, les savants exigent des raisonnements et des arguments, mais les masses populaires sont dépourvues de fondements intellectuels élevés, quand elles doivent passer leur temps à  travailler et exercer un métier et que, par conséquent, il ne leur reste pas suffisamment de temps pour se consacrer aux études approfondies. Elles attendent donc un miracle de chaque prophète et, même en l'absence de ce dernier, en s'attachant à  sa tombe ou à  ses souvenirs, elles pensent y trouver un remède miraculeux. Donc, un prophète sage et perspicace doit avant tout produire un miracle. Et comme nous le savons, le miracle de Mohammad est son livre, qui est connu comme une parole révélée, nommée le Coran. Les paroles de Mohammad, c'est -à - dire le Coran, surtout les versets de la Mecque, sont accomplies d'une méthode et d'un style qui furent sans précédent dans l'histoire de la poésie arabe et la rhétorique des Arabes.
A cette époque, il y avait de l'élégie, le sonnet, et le quatrain .. dont le rythme métrique fut identique. Mais la poésie persane fut, ainsi que l'on peut le constater dans les Gasses de Zorastre, sans rimes, tout en étant très belle, par exemple à  l'image des poèmes modernes d'aujourd'hui. Les poèmes persans d'avant l'islam furent soit des khosrawani, soit des chansons ou des paroles comme dans la poésie moderne, ils n'étaient ni entièrement en prose ni complètement en vers.

Le prophète d'islam a profité de ce style de poésie persan, surtout des poésies religieuses, pour élaborer la nouvelle religion. L'on trouve même quelques versets du Coran qui sont la traduction arabe de l'Avesta.
Certains versets du Coran sont la traduction des Gattas de l'Avesta.
Outre un bon nombre de symboles et de caractères coraniques qui se rencontrent dans l'ancien rite persan, nous trouvons également dans le Coran la traduction de certains Gasses de l'Avesta
" Lorsqu'au début de l'univers, tu nous as créés, et soufflé de ta nature pour nous offrir la raison, lorsque tu nous as inspiré de la vie." (l'Avesta).

="la sourate 15 - le verset 29" (le Coran) .
"Quelle est la punition de celui qui rend maître le menteur impur?" (l'Avesta)=" la Sourate 9 - le Verset 31" (le Coran) Quel est la sanction de ce malveillant qui ne gagne sa vie qu'en blessant les agriculteurs honnêtes et les animaux ? " (l'Avesta) .

="la Sourate 9 - le Verset 34".
De plus, un des cinq piliers de l'islam, consistant en cinq prières journalières à  des périodes précises de la journée, est une pratique imitée de Zorastre...

L'image employée de Dieu comme étant la Lumière est également reprise des idées de Zorastre..
LES SECRETS DE L'ISLAM !
L'instituteur du prophète d'islam ?! ou Gabriel !?
Mon ami qui n'a jamais vu école ni écriture
est, d'un clin d'oeil, devenu le maître des maîtres (HAFEZ)
    Il faut voir si le prophète d'islam a découvert le talent poétique de la poésie persane du jour au lendemain ou si, comme le témoigne l'histoire de l'islam, et comme cela était confirmé par les savants des trois groupes pré-cités, il y est parvenu en veillant dans la grotte de Harà¢.

    L'on sait parfaitement que Mohammad passait beaucoup de nuits dans la solitude, dans la montagne, et qu'en rentrant un matin, il était fiévreux et dut rester alité pendant plusieurs jours... à  son lever, il fit sa première énonciation poétique. (SOURATE 74).

    Mais quels sont les secrets non dits de Mohammad dans le mont ? Avant tout, il est à  souligner que je ne suis pas opposé à  l'Irfà¢n, la concentration et le recueillement, et au fait d'accéder à  l'impossible à  l'aide d'un esprit pur. Bien au contraire, moi-même et ma famille, étions et sommes depuis longtemps amoureux de l'Irfà¢n et y croyons. Mais pour chaque effet, il existe une cause et chaque connaissance exige un précepteur ; Chaque Mollawi, aurait un Shams de Tabriz. L'on sait que Mollawi fut pendant des années le juge suprême de Ghouniéh CONYA et n'avait jamais fait des poèmes, et n'avait vécu aucun état spirituel émané de l'Irfà¢n, jusqu'à  ce qu'il ait fait la connaissance d'un vieux dépenaillé nommé Shams de Tabriz ; et c'est ce dernier qui suscita une évolution dans l'esprit et l'à¢me de Mollawi. Celui-ci commenà§a à  faire de la poésie dés l'à¢ge de trente cinq ans et créa l'océan poétique précieux que l'on connaît. Ses poèmes sont comme une fontaine, dont la source devient dorénavant fertile, cela sans Shams même.

    Mais qui fut le Shams de Mohammad, devenu lui-même le Shams de millions de gens ?

    Un Persan, que les historiens appellent sous des noms divers, mais dont nous préférons Rouzbéhan.

    A la suite de longs événements, il devient l'esclave d'un Arabe, se trouva à  la Mecque et fit connaissance avec Mohammad.
    Rouzbahan était un érudit et un savant qui connaissait bien toutes les religions persanes, et les avait servi. Pendant un certain temps il fut zoroastrien et mage (Chef religieux de Zorastre), puis s'est libéré du foyer sacré du zoroastrisme et s'est converti au manichéisme et au mazdéisme.

    Après le massacre des mazdéistes en Iran, lui, qui était l'un des leaders intellectuels de cette religion, fuit l'Iran et se réfugia à  l'Eglise. Il se rendit ensuite à  Damas ou en Irak, et fut victime de guerre et prisonnier, par la ruse d'un juif ou d'un Arabe. A cette époque les prisonniers de guerre n'étaient que des esclaves. Il fut vendu dans un des marchés d'esclaves, jusqu'à  se retrouver à  la Mecque.

    Au marché de la Mecque, Rouzbahan fut l'un des esclaves les plus chers. Sa tà¢che ne consistait pas à  exercer des activités physiques mais à  écrire, traduire et enseigner. C'est au cours de ces enseignements qu'il entre en contact avec Mohammad.

    Rouzbahan connaît parfaitement la conjoncture politique de son temps. Il sait qu'en Iran, à  la suite des massacres internes, le fondement du pouvoir impérial est fragilisé. Il se rend compte que les Arabes s'affaiblissent mutuellement, en se querellant par des rivalités tribales, dans le but d'obtenir la gestion de la Kaaba et de la position des idoles. Rouzbahan pressent alors que si quelques éclairés sages et riches énonà§aient, en s'appuyant sur le soutien des vieux, un nouveau message, ils trouveraient l'écho.

    Rouzbahan avait gardé des relations avec le chef de l'Eglise de Damas, Bahira, et son représentant à  la Mecque, Nofel. Bahira avait, depuis bien avant, présagé la prophétie de Mohammad, quand il l'avait connu.
    D'autre part, Nofel, qui est de la famille de Khadijéh, première femme de Mohammad, était très vieux et sur ses derniers jours. Il avait donc depuis quelque temps reà§u de Damas l'ordre de présenter un suppléant.

    Pendant nombre de voyages que Mohammad avait effectués à  Damas, Bahira avait discuté avec lui, et vu dans cet homme la personne la plus convenable qui soit pour remplacer Nofel, et la plus savante pour le représenter à  la Mecque. Il l'avait dit même à  d'autres membres de la Quoriche :

    " Mohammad allait à  Damas en s'accompagnant d'Aboutaléb et de la caravane de Quoriche pour faire du commerce. La caravane est arrivée à  Bosrà¢i de Damas et y rencontra un prêtre nommé Bahira. Ce dernier était un prêtre savant qui était constamment au couvent, o๠l'on apprenait tout son savoir à  propos d'un livre... Bohira interrogea le Prophète (Mohammad) sur certaines choses... le Prophète lui donna des réponses, toutes conformes aux caractères que Bohira avait pressentis... Bohira dit à  Aboutaléb : Amène-le (Mohammad), chez lui, et méfie-toi de l'attitude des Juifs à  son égard, car s'ils l'aperçoivent, et qu'ils savent ce que j'ai su de lui, ils le léseraient, car il a un grand avenir ; amène-le chez lui le plus tôt possible." (l'histoire de Tabarie. Page 83)
    Après cela, Bohira recommanda à  ses proches de bien respecter Mohammad et de l'instruire. Dans la rivalité acharnée qui existait à  l'époque entre les religions monothéistes du judaà¯sme et du christianisme, les Chrétiens essayaient de l'emporter sur les autres.

    Au retour de son premier voyage à  Damas, et à  la suite de la recommandation de Bohira, Nofel qui était l'un des grands chefs chrétiens de la péninsule arabe et qui avait Kadijeh pour nièce, fit des efforts pour que la responsabilité de la caravane commerciale de Khadijeh soit confiée à  Mohammad, et Khadijeh agit ainsi. De cette faà§on, Mohammad eut, plus souvent qu'avant l'occasion de voyager à  Damas, dans le but de contacter Bohira directement.

    Puisque le déclenchement du mouvement de Mohammad était impossible sans soutien financier et puisqu'il avait fait preuve d'honnêteté et de droiture à  l'égard de Khadijeh, et suite à  la proposition de l'oncle de Khadijeh, Mohammad alors à¢gé de 25 ans, se maria avec elle, qui était alors à¢gée d'une quarantaine d'années.

    Lorsque Mohammad énonà§a son premier message, pour Khadijeh, celle-ci s'en étonna.

    Khadijeh s'adressa alors ainsi à  Mohammad : "Où étais-tu, j'ai dépêché mes envoyés à  ta recherche ? Ils sont partis vers la Mecque , et sont revenus."

    Mohammad dit : Je fais de la poésie ou suis au bord de devenir " madjnon".

    Khadijeh dit : Je te confie à  Dieu car il ne te fait pas cela. (L'histoire de Tabarie . page 849)
    C'est à  ce moment là  que Mohammad révéla à  Khadijeh qu'il était élu par la prophétie, et lui lit la sourate "Ya Ayoh al Modasser". Khadijeh, qui avait plus de 55 ans, était très étonnée. Elle prit la main de Mohammad et l'amena chez son oncle, Vraghat Ibn Nofel. Ce dernier confirma alors à  Khadijeh la prophétie de Mohammad. Il dit :

    " Je jure à  Dieu, dont ma vie dépend de la volonté, que tu es le Prophète de cette communauté [•mate]... L'on te refusera, te vexera et te chassera de chez eux , et on te fera la guerre , et si je suis vivant, j'aiderai Dieu." (l'histoire de Tabarie - page 850)

    Une fois que Varagheh eut confirmé Mohammad et lui eut rappelé les dangers à  venir, Khadijeh, la plus riche des femmes de La Mecque, fut la première personne à  prendre la défense de son mari. Parmi les chefs chrétiens qui ont soutenu Mohammad et lui firent une propagande favorable, l'on peut citer Amro Ibn Nofeil.
    Concernant le personnage, la situation et la capacité du prophète d'islam pour la prophétie, il faut savoir qu'il avait tout ce qu'il fallait en vue de cette destinée :

    - Sur le plan tribal, il était issu des Quoriche, la plus haute des tribus arabes, d'autant qu'elle gérait la Kaaba.

    - Du point de vue familial, tous ses ancêtres furent les responsables et les portiers de la Kaaba.

    - Sur le plan financier, il fut, à  la suite de son mariage avec Khadijeh, l'un des hommes les plus riches de son temps.

    - Concernant la sagacité et l'ingéniosité, il possédait le plus jeune esprit révolutionnaire de tous les membres de sa tribu.

    -Du point de vue de sa personnalité et son apparence, c'est un homme de bonne stature, éloquent et populaire.

    En tout cas, derrière les soutiens, les instructions et les investigations, le rôle principal appartenait à  Salman Parsi (Salman de Perse).

    C'est pour cette raison que les premiers poèmes de Mohammad sont faits en style persan. Bien que les savants du premier groupe pré-cité déclarent dans l'histoire que les paroles de Mohammad ne sont pas dues au fait qu'il aurait été un poète, nous avons toutefois vu, dans les pages précédentes, que Mohammad lui-même dit, comme première parole à  Khedijeh, qu'il était devenu poète ou madjnon.

    Un autre point important consiste à  préciser que l'épanouissement littéraire et poétique des Arabes coà¯ncide avec cette période de l'obscurantisme pendant laquelle l'on croyait que tout poète a un "diable qui lui dicte des poésies". Mais dans le langage de Mohammad, ce porteur de chants s'appelle Gabriel, mot hébraà¯que signifiant l'"envoyé de Dieu". La question qui se pose est de savoir comment il est possible que Dieu envoie un envoyé pour son envoyé, c'est-à -dire un prophète pour son prophète ? Pour éclairer les esprits, nous citerons un verset du Coran, énoncé à  la suite d'innombrables rumeurs populaires, et dont le contenu est le suivant :

    " Nous savons bien que l'on dit, qu'un être humain, dont la langue est persane, instruit Mohammad. "(La sourate 16, le verset 103)

    Une autre citation de Mohammad, est connue de tout le monde :
    "Si Abouzar savait ce que sait Salman (Rouzbahan persan) il deviendrait renégat."
    Après des siècles, cette parole pourrait être crédible, d'autant que de jadis à  nos jours, il y eurent beaucoup de croyants et fidèles qui, en raison de leur étroitesse d'esprit, ne pouvaient pas entendre les secrets non dits. Combien d'Abouzar ont donné leur vie, et leur bien, pour de telles pensées, alors que leurs leaders s'en prévalent. Et cette parole de Mohammad, se rapportant à  la compréhension d'Abouzar et de Salman, peut être l'éternel témoignage de l'histoire, et la meilleure preuve générale de nos propos pour ceux qui ne peuvent entendre la vérité.

    L'on ne sait pas exactement à  partir de quand l'on a nommé Rouzbahan, Salman de Perse, mais ce que l'on peut constater, c'est qu'il n'y a pas de grande différence entre Salman et musulman [(mossalman)]. Cela est chargé de sens. Islam, musulman et Slaman proviennent tous de la même origine. Ce n'est donc pas sans raisons que dès que le mouvement de Mohammad s'entame et prend force, la première chose qu'il accomplit, c'est d'acheter Salman (Rouzbahan de Perse) à  son maître , à  un prix astronomique incroyable!

    " Salman fut racheté au prix de trois cent soixante arbrisseaux de palmier et quarante oughiyés (ancienne mesure, équivalent à  7 mésghals ou 35 gramme) d'or, et pour payer ce prix, ses condisciples ont participé."
    Et c'est ainsi que commencent les poèmes de Mohammad, et ils n'ont aucune ressemblance avec l'élégie, le sonnet, ou le quatrain ...
    Les mots sont beaux, magiques, et expriment en petit nombre de grands messages, de telle sorte que beaucoup de personnages importants des Quoriche se convertissent à  l'islam, rien qu'en entendant quelques mots de Mohammad. Les paroles de Mohammad deviennent ainsi le miracle de sa prophétie !! La raison principale de ce phénomène, et du fait que l'on ne trouve plus aucun témoignage de la poésie et des poèmes persans d'avant l'islam, est que les musulmans, lors de leur invasion en Iran, y commettant des massacres ou y faisant des rescapés leurs esclaves, détruisirent également les bibliothèques en les incendiant, afin que personne ne puisse se rendre compte des similitudes entre les poèmes de l'Islam et ceux de la Perse.

    De cette faà§on, puisque la parole de Mohammad fut différente de ce qui existait pendant la période de l'obscurantisme, elle fut considérée comme un miracle.

    Mohammad donna à  son livre un nom différent de ceux que les Arabes donnaient à  leurs paroles, il appela tout son livre " le Coran " , alors que l'Arabe appelait l'ensemble de son livre " la Divan ", et il nomma " la sourate " une partie de son livre, tandis que les Arabes utilisaient le mot " Ghasidéh "(l'élégie, l'ode). De même, il appela " Aà¯éh " (verset) une partie du sourate alors que les Arabes parlaient de la " Béà¯te " (distique). Il mit enfin une distance à  la fin de chaque verset, comme pour des rimes." (Al Etghan -Page 180)
    Les Djinns (démons) rejoignent le prophète d'islam
    - Un jour qu'Omar Ibn Khatà¢b (deuxième successeur de Mohammad après Abou Bakr) était assis dans la mosquée du prophète de l'Islam, un Arabe entra et commenà§a à  chercher Omar ; quand ce dernier le vit, il dit : Cet homme (l'Arabe) est toujours paà¯en et pendant la période de l'obscurantisme, c était un " prêtre des Babyloniens."

    L'Arabe salua Omar et s'assit. Omar lui dit : "T'es-tu converti à  l' islam?"
    L'Arabe dit : " Oui ".

    Omar dit : " Dis-nous quelle était la nouvelle la plus surprenante que ton diable t'ai apportée avant l'islam ?"

    L'Arabe répondit : " Mon diable est venu un mois ou un an avant l'islam et a dit : Tu ne vois pas comment l'affaire des Djinistes a évolué ? "

    - Djobir Ibn Motà¢ém disait : En " Bavané " l'on était assis près d'une idole, et cela, un mois avant la révélation du prophète de Dieu ; on avait sacrifié un chameau, lorsque quelqu'un cria : " Ecoutez la surprise : l'illumination de la révélation est envoyée. L'on nous lance des météorites, et cela, à  cause d'un prophète qui viendra à  la Mecque et qui s'appelle Ahmad ; le lieu de son immigration est la Médine."(le livre d'histoire de Tabari).

    Il est à  noter que le mot " madjnon" vient de "djinn"(démon) et signifie " atteint par le djinn " (atteint par le démon), et non pas fou, car l'équivalent de " fou " en langue arabe est " Mahboule " et non " Madjnon ".

    Pendant la période de l'obscurantisme, les riches et l'élite arabes, qui constituaient la classe supérieure, se répartissaient en quatre catégories :

    1- Les chefs et les leaders de chaque tribu : ceux-ci étaient supérieurs aux autres par le fait qu'ils détenai
 
 
10 JUILLET 2007
Origines de l'Islam
Origine de l'Islam, culte profane du Dieu Lune, dieu des ténèbres et de l'obscurité
Jean 4:1 Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.
Sur certains drapeaux de pays mahométans, et certaines mosquées on peut voir un croissant de lune. Mais qu'est-ce que cela signifie il au juste? On sais que le Ramadan suit la Lune montante et descandante idem pour les mois, etc... Pourquoi tant de référence à la lune ?
 
La Lune symbole de l'obscurité a été depuis longtemps divinisé en opposition au soleil symbole de la lumière....
Il y a un lien évident et étroit entre le dieu lune et Allah !
 
Selon la Tradition en Islam le Sahîh de Bukari 64.48.7, il y avait 360 statuettes représentant autant de divinités au moment où il reconquit La Mecque en 630. dont Baal le seigneur, et maître du lieu, c'était le nom donné par les Sémites de l'Ouest Coran 37.125 Les diverses divinités mentionnées dans le Coran sont: 71.23: Wadd, Suwâ, Yagûth, Yaûq, Nasr, sourate 53.19-20 Manât, al-Lât, Uzza ! Al-Lât était est le féminin d'Allâh. C'était une divinité adorée à La Mecque ! Et ilah (Allah) était adoré préislamiquement sous d'autres noms avant la venue de l'Islam Allah était donc déité païenne vénérée à la Kabba.
 
Les païens arabe à La Mecque adoraient un dieu de la lune appelé Hubal à kabbah. Hubal était le seigneur de kabbah le plus élevé des 360 dieux (cfr http://www.bible.ca/islam/islam-moon-god-hubal.htm). Allah était aussi adoré comme le seigneur de kabbah. Allah n'a jamais été présenté par une idole de nature physique. Hubal semble être l'idole que les arabes païens adressaient leur prières pour Allah. En d'autres mots Allah était Hubal. Mohammed en détruisant les Idoles dont Hubal, les païens n'avaient plus d'idole pour prier et Hubal a été oublié. mais les signes demeurent; comme les croissant de lune, la kabba etc. Des païens auraient prié Allah devant l'image de Hubal. (sources: La Mecque de Mohammed par W. Mongomery Watt; ... ) Le culte de lune a donc été pratiqué en Arabie plus de 2000 av Jésus-christ. La lune en croissant symbole le plus commun de ce culte ! Un apologiste musulman a admis que l'idole d'un dieu Hubal de lune a été placé sur le toit de la Kabba environ 400 ans avant Muhammad. Ceci peut en fait être l'origine de pourquoi la lune en croissant est sur chaque minaret au Kabba aujourd'hui et au symbole central de l'Islam placé sur de chaque mosquée dans le monde entier ! voir aussi source; (Muhammad le prophète, le Hafiz Ghulam Sarwar (Pakistan), le p 18-19, les musulmans saints) Le dieu de lune y est désigné également sous le nom d'ilah.
 
Ce n'est pas un nom propre d'un dieu spécifique simple, mais une signification générique de référence "le dieu". Chaque tribu arabe locale se rapporterait à leur propre dieu tribal local en tant que Al-ilah plus tard, ce nom deviendra Allah ! Quand Mohammed est venu, il a laissé tombé toutes les références du Dieu Hubal, Sourate 41:37. Parmi Ses merveilles, sont la nuit et le jour, le soleil et la lune : ne vous prosternez ni devant le soleil, ni devant la lune, mais prosternez-vous devant Allah qui les a créés, si c'est Lui que vous adorez! .mais Muhammad a maintenu beaucoup de rituels païen et les a redéfinis en termes monothéiste. il est donc clair que l'Islam est dérivé du paganisme qui a par le passé adoré un lune-dieu.
 
Bien que l'Islam soit aujourd'hui une religion dite monothéiste, ses racines tirent ces origines du paganisme. La vénération du dieu de la lune Sin était très répandu et très populaire dans le temps d'Abraham. Il a été demandé à Abraham de quitter Ur des chaldéens le lieu où le dieu de la lune était vénéré et d'aller vers Canaan pour adorer le vrai Dieu. Ur était dans le région de Babylone. Serait-il possible que quand Ismaël a quitté Abraham, il ait adopté ce dieu de la lune qui plus tard a été répandu parmi les Arabes et qui sous Mohammed a été changé pour Allah, l'ancienne divinité préislamique en un dieu unique en copiant ce qu'il avait appris des juifs et des chrétiens? On comprend beaucoup mieux pourquoi les juifs et les chrétiens ont rejeté le dieu "Allah" en tant que faux dieu .Al-Kindi, un des premiers apologistes chrétiens contre l'Islam, a précisé que l'Islam et son dieu Allah ne sont pas venus de la Bible mais du paganisme des Sabéens. Nabonide, dernier roi de Babylone, fut élu et installé en -555 pour régner sur l'empire de Babylone, il était connu comme un adepte du dieu lune Sîn (ou Nanna, ou Suen, etc. suivant la langue ) Ensuite, l'origine Sin le Lune-dieu n'était pas la déité suprême mais que sous l'action de Nabonide dans les temps pré-islamiques Sin est devenu la déité suprême c'est à dire ilah qui s'est transformé en Allah plus tard .
 
Par ailleurs, nous savons que Nabonide a vécu un long séjour en Arabie, et pas n'importe où c'est à dire dans le Hedjaz, où s'élevait un sanctuaire à Sîn, le Lune-dieu . Ceci est la preuve qu' en Arabie, dans la région du Hedjaz (là où se trouve la Mecque et Médine) Sin le Lune-dieu était ilah A propos d'Ismaël et le dieu lune qu'il a transmis aux Arabes. Voici la définition de Ismaélite selon un dictionnaire: Descendant d'Ismaël. Les Ismaélites avaient à la fois du sang égyptien et du sang d'Abraham. Douze princes étaient issus d'Ismaël (Genèse 17.20; 25.12-16) Répartis en autant de clans, les Ismaélites habitaient des colonies ou des camps volants, dans le désert de l'Arabie septentrionale, région comprise entre Havila, l'Egypte et l'Euphrate (Genèse 25.18) Josèphe, Antiquités judaïques, (1.12.4). L'une des tribus devenait occasionnellement sédentaire et se civilisait, tels les Nabathéens. Mais la majorité de ce peuple avait le caractère de ses ancêtres et resta au désert, comme un "âne sauvage" (Genèse 16.12). Les descendants d'Ismaël étaient, comme lui, renommés pour leur habileté à tirer de l'arc (Esaïe 21.17). Les frères de Joseph vendirent celui-ci à des Ismaélites voyageant avec leurs chameaux entre Galaad et l'Egypte. Le texte précise que Joseph fut retiré de la citerne par des marchands Madianites, ils faisaient sans doute partie de la caravane. Le Psaumes 83.7 mentionne les Ismaélites en même temps que les Edomites, les Moabites et les Hagaréniens. Le nom d'Ismaélites désigne, dans un sens plus étendu, les tribus nomades de l'Arabie septentrionale : soit que le nom des Ismaélites, principaux habitants du désert, fût devenu synonyme de celui de n'importe quelle tribu nomade de cette région, soit qu'une ligue, dite ismaélite, eût englobé des tribus d'autres races (Juges 8.24; 7.25; 8.22, 26). Tous les Arabes, à l'instar de Mahomet, se proclament descendants d'Ismaël. Psaume 83:1-18 Cantique. Psaume d’Asaph. O Dieu, ne reste pas dans le silence! Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu! Car voici, tes ennemis s’agitent, Ceux qui te haïssent lèvent la tête. Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse, Et ils délibèrent contre ceux que tu protèges. Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, Et qu’on ne se souvienne plus du nom d’Israël! Ils se concertent tous d’un même coeur, Ils font une alliance contre toi; Les tentes d’Edom et les Ismaélites, Moab et les Hagaréniens, Guebal, Ammon, Amalek, Les Philistins avec les habitants de Tyr; L’Assyrie aussi se joint à eux, Elle prête son bras aux enfants de Lot. Traite-les comme Madian, Comme Sisera, comme Jabin au torrent de Kison! Ils ont été détruits à En-Dor, Ils sont devenus du fumier pour la terre. Traite leurs chefs comme Oreb et Zeeb, Et tous leurs princes comme Zébach et Tsalmunna! Car ils disent: Emparons-nous Des demeures de Dieu! Mon Dieu! rends-les semblables au tourbillon, Au chaume qu’emporte le vent, Au feu qui brûle la forêt, A la flamme qui embrase les montagnes! Poursuis-les ainsi de ta tempête, Et fais-les trembler par ton ouragan! Couvre leur face d’ignominie, Afin qu’ils cherchent ton nom, ô Eternel! Qu’ils soient confus et épouvantés pour toujours, Qu’ils soient honteux et qu’ils périssent! Qu’ils sachent que toi seul, dont le nom est l’Eternel, Tu es le Très-Haut sur toute la terre! Selon ce Psaume, les Ismaélites au moins durant cette période entre l'an 1000 et 400, beaucoup faisait partie des nations qui haïssaient à la fois Dieu et le peuple de l'Alliance. Le psalmiste demande à Dieu d'amener la destruction sur ces nations pour qu'il sachent que Dieu seul est le vrai Dieu. Ceci indique que si les arabes de la Mecque sont les descendants Ismaël, alors le dieu (Allah) préislamique à la Mecque était un faux dieu. Il ne pouvait pas être le même Dieu adoré par les Juifs et les Chrétiens !
 
          Il est des sourates coraniques qui débutent donc par les lettres de l’alphabet qui ne constituant pas un mot. C’est donc le cas de Alif, Lâm, Mîm ! Le Coran a d'autres formulations: il s’agit d’une seule lettre par exemple le Sâd. Par le Coran, au renom glorieux ! ou le Qâf. Par le Coran glorieux, ou encore, Nûn. Par la plume et ce qu’ils écrivent !. D’autres versets, présentent deux lettres : Tâ, Hâ Yâ, Sîn Hâ, Mîm. Ainsi certaines sourates commencent par trois lettres : Alif, Lâm, Râ ou Alif, Lâm, Mîm. Nous retrouvons Alif, Lâm, Mîm" au début des sourates Al Baqarah, Al Imrân, Ar Rûm, Luqmân, Al Ankabût, et As Sajdah. D'autre part, il y a des sourates entammées par quatre lettres : Alif, Lâm, Mîm, Sâd" ou "Alif, Lâm, Mîm, Râ Enfin, certains versets qui comptent cinq lettres. C’est le cas de sourate Mariam : Kâf, Hâ, Yâ, Ayn, Sâd. Donc la question est de savoir si le sin ou le Ra par exemple étaient bien des dieu vénérés en Babylonie et En Égypte puis à la Kabba ! Selon la Tradition en Islam le Sahîh de Bukari 64.48.7, il y avait 360 statuettes représentant autant de divinités au moment où il reconquit La Mecque en 630.
 
         On sait aussi que le dieu du coran jurent par plus petit que lui ! Sourate 56:75. Non ! ... Je jure par les positions des étoiles (dans le firmament). Sourate 69:38. Mais non... Je jure par ce que vous voyez, 39. ainsi que par ce que vous ne voyez pas ! Sourate 75:2. Mais non ! , Je jure par l'âme qui ne cesse de se blâmer Sourate 81:15. Non ! ... Je jure par les planètes qui gravitent 16. qui courent et disparaissent ! 17. par la nuit quand elle survient ! 18. et par l'aube quand elle exhale son souffle ! Sourate 90 1. Non ! ... Je jure par cette Cité! Alors que la Bible dit: Hébreux 6:13 Lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, ne pouvant jurer par un plus grand que lui, il jura par lui-même, On sait aussi ce qu'est la kabba il s'agit de d'une pierre cubique que Plotmée décrit dans sa géographie (II siècle de notre Ere ) sous le nom de macoraba, qui est une transcription arabe de = Temple = Mikrâb. Il existait plusieurs sanctuaire ou l'on adorait plusieurs dieux un dieu païen vénéré à Petra selon l'évêque palestinien Epiphane qui vécut entre 315-401 nous en a donné des informations, ce dieu vénéré Petra nous dira t'il avait sa kaabou mot Grec qu'on peu identifier a Ka'aba. Il s'agit dieu Dhu'l sharâ . La fameuse pierre noire (bétyle) de la ka'ba est donc de forme cubique était encastré dans la maçonnerie d'un sanctuaire primitif et païen où l'on adorait nombreuses d'idoles! Les tribus Bédouines avaient coutumes d'y faire des pèlerinages! Mohammed se prend pour un possédé et en montre des signes Sourate 68 :52 versets Pré-Hégire Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.1. Noun . Par la plume et ce qu'ils écrivent ! 2. Tu (Muhammad) n'est pas, par la grâce de ton Seigneur, un possédé. Mohammed était donc t'il Possédé ? IL le dit de sa bouche, mais sur les conseil de Khadija et d'autres et de lui même il dira Allah m'a dit.....Un des verset cité dans le Coran mérite d'être mentionné l'est il par un vrai prophète ou par l'énorme en force ? il s'adjoint a ce que je viens de dire si Mohammed n'était pas possédé son message serait pure mais voilà que Mohammed cite Dieu comme le seigneur de divinité païennes appelé constellation Sirius, constellation de la canicule adoré par les arabes païens. La sourate l'étoile confirme : Sourate 53 :62 versets Pré-Hégire 49. Et c'est Lui qui est le Seigneur de Sirius. Lorsque L'ange se montra a Mohammed (Gabriel selon les musulmans) Mohammed fut épouvanté il pensa qu'il était devenu fou! Il chercha à suicider mais l'ange le prit entre ses deux ailes et l'en empêcha Tabarî II 69 pp.392-393 La première sourate mentionne une partie de cela sourate XCVI v 1-5 Les premières réactions à ses visions sont celles de la crainte te de la démence ! Khadija dit a son mari rassure toi Dieu ne fait pas ans la confusion ! Et bien on ne dirai pas ! Il s'écoulera trois ans avant que Mohammed ne prêche, il faut dire, qu'il a dut s'habituer à sa démence et se contrôler dans sa possession ! Tabari nous rapporte que Mohammed montait souvent sur la montagne pour se précipiter d'en bas mais, à chaque fois l'ange l'en empêcha! Voilà avec ce que nous venons de voir ci haut on peu de faire donc plusieurs opinions très claires ! En conclusion: On sait que suivant les différents peuples arabes, et leur succession, il a été donné différents noms au Lune-dieu : Aglibol (Palmyre, Syrie ), Amm (qataban, Yemen), Nanna ou Nannar (Ur, Irak), Sîn et Hubal (Kaaba, La Mecque, Arabie Saoudite ) Il est donc fort probable que toute l'Arabie par leur descendant adoraient le dieu lune ! D'ailleurs, ceci est prouvé de très nombreuses idoles dont le dieu lune, qui servira de point d'ancrage dans la nouvelle religion de Mohammed ! D'autres part, l'origine de l'Islam tirent ses sources dans la paganisme Mohammed se croit possédé le dieu du coran jure par plus petit que lui tout cela démontre que l'Islam ne vient pas de Dieu le créateur de l'univers et des être humains !

Tous les imams et ayatollahs connaissent l'existence des versets Gharanigh, mais ils n'aiment pas beaucoup en parler (comme on a pu le voir à l'occasion de la fatwa lancée contre l'écrivain Salman Rushdie), car ils montrent que Mahomet n'était qu'un manipulateur et un opportuniste.
 
A propos de ces fameux versets que Satan aurait fait prononcer à Mahomet (versets sataniques), Tabari écrit :
« Puisque le prophète d'islam s'était aperçu du fait que la tribu Quoriche était réticente à son égard et puisque cela lui fut pénible à supporter, il souhaita que quelque chose vînt de la part de Dieu pour les rapprocher à lui ; lorsque cette idée a émergé dans son esprit, Dieu a révélé ces versets :
Serment à cette étoile quand elle se couche, que votre ami ne est pas égaré et n'a pas adhéré au faux et ne parle pas suivant son désir.
(la sourate Nadjm- l'Etoile- les versets de 1 à 3).
Et lorsqu'il arrive à ce verset :
Apprenez-moi sur la Lât, l'Osâ et Manât, cette troisième et dernière idole.
A ce moment-là le Satan lui fait dire que :
Ces idoles sont éminentes et leur intercession est affirmée.
(la sourate Nadjm, les versets 19 et 20)
Lorsque les Quoriche ont entendu la vénération de leurs dieux (par Mohammad), ils s'en sont réjouis et lorsque Mohammad est, dans son énonciation, arrivé au moment où il fallait prosterner, il a fait la prosternation et les autres qui étaient dans la mosquée, contents de la vénération de leurs dieux par Mohammad, en ont fait autant. Tout croyant ou renégat s'est prosterné... et quand les Quoriche sont sortis de la Mosquée, ils furent joyeux et disaient : Mohammad a rappelé nos dieux en bons termes et les a traités d'éminents dont l'intercession est approuvée... »
Plus tard, quand Mahomet reviendra sur ses déclarations païennes, il fera dire à Allah :
"Avant lui aussi, les prophètes avaient des souhaits et le Satan a fait venir leurs souhaits dans leur énonciation".
(la sourate Hadj - le pèlerinage de la Mecque -, le verset 52)

Avant toi, nous n'avons chargé aucun envoyé ni apôtre, sans qu'au moment de leur énonciation le Satan n'y fasse des suggestions. Dieu abroge ce que le Satan a suggéré. (Tarikh al Moulouk va al Rossal - page 880)
Il s'avère évident, encore une fois, que Mahomet se servait d'accords, de négociations, d'attaques, de batailles, d'offensives, de discours, d'alliances, ou d'admissions des religions antérieures à la sienne, afin de renforcer le camp de l'islam. Il par exemple intégré dans son message des fragments mal compris de zoroastrisme, de judaïsme, de christianisme, d'astrolâtrie, etc. Ainsi que Tabari a dit :
« Le prophète d'islam, en acceptant l'éminence et l'intercession des idoles des Quoriche, voulait convertir ces derniers en son propre rite, et il a réussi. Car tous les païens ont prosterné avec lui et ont fait le témoignage (shahadateïn). D'autre part, les trois grandes idoles des Quoriche Lât, Osâ, et Manâ sont les idoles qui se trouvaient dans la Kaaba avant l'émergence de l'islam et le prophète d'islam lui-même avait effectué des tournés de vénération autour de la même Kaaba avec ses idoles et son père en fut le portier. Son grand père et ses oncles avaient des noms composés dont le préfixe fut " servant" et suffixe consistait en le nom d'idoles. Comme Abdé Manaf (qui est le grand ancêtre de Mohammad). Abdé Manaf signifie le servant de la belle idole Manaf, Abdé al •sâ, signifie le servant de l'•sâ et Abd al Dar, signifie le servant de la maison d'idoles, la Kaaba. »


 
 
10 JUILLET 2007
QUI A FALSIFIE LE CORAN ?
Qui a falsifié le Coran, et pourquoi ce titre ? Tout simplement pour  vous faire connaître que le Coran, bien  qu’ayant les traits de génie, les Chiites accusent les Sunnites d’avoir falsifié le Coran  ? Qui a falsifié les écrits du Coran  et les hadith’s sont-ils fiables ? Les musulmans qui dénoncent les divisions entre catholiques et protestants, et qui jugent le canon des écritures pour les uns 66 livres, pour les autres, 73  peuvent-ils critiquer les chrétiens et oublier les accusations qui sont établies sur des preuves flagrantes ?

Les Chiites, légitimistes de l'Islam ont dès le début, soutenu que les successeurs du Prophète devaient être obligatoirement choisis parmi les membres de sa famille. Leur désir ne fut réalisé que relativement tard. Ali ne sera calife qu’après l'assassinat d'Othman et son califat, loin de faire l'unanimité, sera court et violemment contesté. Aïsha, la première, manifeste son opposition et rallie à sa bannière d'anciens compagnons d'Ali. Ce dernier est alors obligé de quitter Médine où il ne trouve aucun appui. Il gagne Koufa, au sud de l'Irak, dont les habitants embrassent sa cause. Il livre là, contre les partisans d'Aïsha, la bataille dite du chameau dont il sort vainqueur. C'est la première guerre civile entre musulmans. Un an plus tard, Ali doit affronter un autre adversaire. Ce dernier n'hésite pas à provoquer Ali. C'est à Suffin que leurs troupes s'affrontent. De nombreux partisans d'Ali refuseront l'arbitrage proposé par Moâwiyya, parmi eux les fidèles qui se posent vraiment en  parti estimant qu'il est le seul successeur légitime depuis la mort du Prophète. C'est à partir de ce moment qu’ils seront appelés Chiites.


Falsification :
Croyances Chiites concernant le Coran : Jabir a rapporté que l'Imam Baqir a dit : Personne ne peut affirmer avoir rassemblé tout le Coran tel qu'il a été révélé par Allah, si ce n'est un menteur. Les seules personnes à avoir entièrement compilé et appris par cœur le véritable Coran étaient Ali ibn Abi Talib et les Imams qui lui ont succédé. (Usul Kafi: 1:228 )


Divisions :
Les commentateurs islamiques affirment : il y n'a que un seul Coran digne de foi, on se rend à l’évidence du contraire. Les Chiites affirment : celui qui a composé le Coran véritable c'est Ali ibn alit tabib Et les Sunnites rétorquent que ce sont eux qui possèdent la vérité. Voici ce qu'affirme le Coran à propos des Chiites et des Sunnites : Les infidèles, parmi ceux qui ont reçu les écritures, ne se sont divisés en deux partis que lorsque est apparu le signe évident sourate 98 v 1 (Ce signe évident serait Muhammad et le Coran) voir verset 2 Donc, les infidèles d'après Allah, se sont les Sunnites et les Chiites, car en fait en relisant l’histoire on se rend compte que la chrétienté était divisée en plus de deux parties, (il existait de nombreuses sectes chrétiennes au 6éme siècle) par contre la maison de Mohammed se scindera, elle, en deux blocs, les partisans de Abû Bakr et ceux d’Ali.
Le véritable Coran ?
On rapporte qu'un homme récitait le Coran en compagnie de l'Imam Ja'far. Le narrateur dit qu'il entendit certains versets, durant la récitation, qui ne correspondaient pas à des versets reconnus. L'Imam Ja'far dit à la personne qui récitait : ne récite pas de cette manière. Récite comme les gens jusqu'à ce que le Mahdi arrive. Quand le Mahdi arrivera, il récitera le véritable Coran et le Coran compilé par Ali, sera de nouveau ramené. (Ibid: 2.622)
Cela n’est pas étonnant qu'un recensement ait été fait et que l'on est brûlé tous les écrits des disciples de Muhammad, après avoir établit un premier corpus, tant il est vrai qu'il y avait d'énormes variantes lors de la composition. Les disciples de Muhammad avaient retenu ou écrit sur divers supports le récit du Coran, mais Omar et Abû Bakr ont fait disparaître les originaux. Ainsi comme l'affirmera l'Imam Ja'far qui ne mâche pas ses mots, le véritable Coran n'existe pas ! Que dit le Coran de ces affirmations et comment les Sunnites, Abû Bakr et Omar ont-ils rusé, après les déclarations d'Ali ? Sourate 1 v101. Quand Nous remplaçons un verset par un autre - et Allah sait mieux ce qu'il fait descendre - ils disent : ‹Tu n'es qu'un menteur›. Mais la plupart d'entre eux ne savent pas. Bien attendu, ce verset est un ajout. En effet, quel stratagème pour expliquer aux disciples qui ne savaient choisir entre Ali et Abu Bakr. Ainsi en ajoutant ce verset, les Sunnites répondent ainsi aux partisans d’Ali qui accusaient Abû Bakr et Omar d'avoir falsifié les versets du Coran. En effet, les disciples d’Ali avaient une autre version sur bien des chapitres !
Ajouts et suppressions :
Allah dit dans la sourate La Famille d'Imran (33) Certes, Allah a élu Adam, Noé, la famille d'Abraham et la famille d'Imran au-dessus de tout le monde  Allamah Ali ibn Ibrahim AI-Qummi un des plus anciens commentateurs Chiites dit, concernant ce verset : L'Imam a dit : La Famille de Mohammed était aussi révélée avec les mots "La Famille d'Imran" se référant aux Compagnons du Prophète, ont retiré ces mots «La Famille de Muhammad» du texte original (Commentaire d'Al-Qummi :308) L'accusation d'avoir retiré ces mots est incompatible avec une éventuelle abrogation de versets. Il est clair que ce commentaire accuse les Compagnons du Prophète d'avoir modifié le Coran. Allah dit dans la sourate Taha (115) En effet, Nous avons auparavant fait une recommandation à Adam ; mais il oublia; et Nous n'avons pas trouvé chez lui de résolution ferme. Il est rapporté que l'Imam Ja'far a dit qu'Allah a révélé ce verset avec les mots suivants : nous avons parlé à Adam de Mohammed, Ali, Fatima, Hassan, Hussain et des Imams, leurs progénitures, mais il (Adam) a oublié. Ja'far a dit encore  Par Allah, ce sont ces mots qui ont été révélés à Mohammed. (Usul Kafi: 1:416)
Quelles accusations graves !
Je pense sincèrement, que les Chiites ont raison, un homme ambitieux comme Mohammed, n'aurait pas laissé l'occasion de se mettre en évidence, mais il est difficile de savoir qui a raison ou qui a tort. Il y a une sourate dans le Coran qui fait dire à Aisa (Jésus) Sourate 61:6 : Je suis l'apôtre de Dieu, disait Jésus, fils de marie, à son peuple. Je viens confirmer le livre qui m'a précédé, et vous annoncer la venue du prophète qui me suivra, et dont le nom est Ahmed Si les Sunnites ont retiré le nom d'Ali etc. Abû Bakr a très certainement ajouté : Et suis venu vous annoncer la venue du prophète dont le nom sera Ahmed !
Allah dit dans la sourate Yusuf (49) Puis, viendra après cela une année où les gens seront secourus par la pluie et iront au pressoir. Dans le commentaire d'AI-Qummi, il est rapporté par l'Imam Ja'far qu'un homme récita ce verset en présence de Ali. Ali dit: Que presseront-ils ? Du vin ! La personne demanda comment il devait lire ce verset. Ali répondit que ce verset avait été révélé comme suit : Puis une année viendra ou les gens recevront une aide généreuse et ou il pleuvra abondamment (Commentaire d'Al-Qummi: 192) Le mot Yâsiroun dans le Coran actuel est à la forme active. D'après le commentaire, il aurait du être lu à la voix passive Yu'saruon pour en modifier le sens. Dans la traduction de Maqbool, il est écrit que ce mot (Yâ'siroun) a été changé de la voix passive à la voix active pour rendre service aux fantaisies des Califes amateurs de vin. (Traduction de Maqbool: 479)
Allah dit dans la sourate Muhammad (9) C'est parce qu'ils ont de la répulsion pour ce qu'Allah a fait descendre. Il a rendu donc vaines leurs oeuvres AI-Qummi rapporte que l'Imam Mohammed Baqir a dit que l'ange Jibreel a transmis le verset comme suit : C'est parce qu'ils découvrirent ce qu'Allah révéla à propos de Ali. C'est alors que les apostats enlevèrent le nom de Ali du Coran. (Ibid: 1011)
Comme je le disais un jour dans un forum musulman sur Internet, on fait dire à la langue arabe ce qu'on veut, tout comme le mot  (Alq) qui une fois signifie, caillot de sang, une autre fois sangsue accrocher ou adhérer, mais naturellement le mot a subit des transformations par des interprétations différentes, pour mieux faire concorder la soi-disant science coranique avec les découvertes récentes ou passées. S'il n'y avait que cela ! L'ange Jibreel annonce à Mohammed : Sourate Jonas (10) v 68. Ils disent : Allah S'est donné un enfant› Gloire et Pureté à Lui ! Il est le Riche par excellence. A Lui appartient tout ce qui est aux cieux et sur la terre. Vous n'avez pour cela aucune preuve. Allez-vous dire contre Allah ce que vous ne savez pas ? Voici ce que dit Gabriel (Jibreel) Luc 2 Matthieu le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé fils du très haut  Il y a donc manifestement contradiction.
Comme le Coran a été écrit après la Bible et que les preuves accablent l'authenticité du Coran, Jésus est bien le Fils de Dieu, il n'y a aucun doute possible, ce n'est pas le cas du message du Coran. On peut affirmer comme les Chiites, qu’Abû Bakr s’est rendu Odieux envers les chrétiens et a changé certains passages en ce qui concerne Jésus christ ! Abû Bakr voulait être le successeur de Mohammed et prendre ses distances envers Ali, mais également les chrétiens pour cela il déformera l’évangile et le coran qui n’avait d’ailleurs pas besoin de cela pour être déjà déformés !

Corriger le Coran ? 

Allah dit dans la sourate Waqi'ah (29) Et les gens de la droite ; Que sont les gens de la droite ? [Ils seront parmi] des jujubiers sans épines, et parmi des bananiers aux régimes bien fournis. Une personne récita ce verset en présence de Ali. Celui-ci dit que le mot "Talh" n'était pas le bon et que l'on devait lire Tal'a comme dans la sourate Shu'araa. Certains demandèrent pourquoi ils ne changeraient pas le mot pour réécrire le bon. Ali répondit que le temps n'était pas encore venu de le faire car corriger le Coran ne ferait que troubler les gens. Il fut dit la même chose aux Imams, seul l'Imam Mahdi (sorte de messie revenant à la fin des temps) aura le droit de réintroduire le Coran tel qu'il était au temps du Prophète (Ibid: 1067)
Pourtant, c'est ce que firent les amis de Mohammed, qui n'a pas reçu autant de révélations qu'on essaie de faire croire, vous verrez cela plus tard.. Il est intéressant de noter qu’Ali ne cherche pas dit-il à troubler les gens, mais il a tout de même réussit à soustraire plus de 10% de musulmans dans son camp ! La déclaration des Chiites n’est pas un mensonge en ce qui concerne le coran. Si Abû Bakr n’avait rien eu à se reprocher, il n’aurait pas brûlé tous les originaux après avoir réalisé lui et d’autres des versions selon leur convenance. Quand on lit le Coran, on se rend compte que Mohammed n’aurait jamais pu se contredire autant.
Modifications et versets abrogés
Abû Mansur Ahmed Tibrisi, un célèbre savant Chiite du 8ème siècle a écrit: Enumérer les modifications et les oublis de ce type (dans le Coran d'aujourd'hui) deviendrait vite un travail laborieux et pourrait mettre à jour ce que la Taqiyyah (pratique Chiite consistant à cacher la vérité pour des raisons religieuses) m'oblige à ne pas divulguer: les bonnes qualités des amis d'Allah et les défauts de ses ennemis. (AI-Ihtijaj de Tibrisi 1:254) Mullah Muhsin Kashani, un savant Chiite du 11ème siècle fait le commentaire suivant: Il est clair, d'après toutes les traditions et récits de la famille du Prophète, que le Coran que les musulmans possèdent de nos jours, n'est pas le Coran complet tel qu'il a été révélé à Mohammed. Certains versets contredisent même ce qui a été révélé. Parmi les versets qui ont été modifiés ou qui disparurent figurent ceux où apparaissaient les noms d'Ali, "la Famille de Mohammed" et à plusieurs reprises certains ou figuraient les noms d'hypocrites. Plus encore, l'ordre des sourates dans le Coran actuel n'est pas celui qu'avait choisit. Ali ibn Ibrahim (un célèbre commentateur) partage la même opinion sur le sujet. (Tafseer de Saafi: l:32).
C'est bien ce que je présentais, en lisant le Coran qui se contredit d'un verset à l'autre. C'est si évident que l'on a abrogé certains versets. Par exemple : la Sourate Marie v33 le jour ou je suis né le jour ou je mourrais le jour ou je serais ressusciter, voir aussi sourate famille d'Imran verset 52 Et le verset qui abroge ou le verset abroger sourate les femmes 157. et à cause leur parole : Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah. Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié ; ce n'était qu'un faux-semblant ! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude : Ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué (Voilà un exemple de falsification de verset abrogé)
Croyances Chiites concernant les Compagnons du Prophète et Mohammed
Possession 
Le Mullah Mohammed bin Yaqoob Kulaini, le savant de hadiths Chiite, le plus proéminent cite l'Imam Baqir comme ayant dit: Les gens devinrent apostats après la mort du Prophète, sauf trois personnes : Miqdad ibn Aswad, Abu Dharr Ghifari et Salmaan Farsi. continue : Abû Bakr et Omar ne se sont pas repentis avant de mourir. En fait, ils n'ont même pas mentionné ce qu'ils ont fait à Ali. Donc Le Mullah Baqir a aussi écrit: Après avoir entendu quelqu'un parler de Ali, Fatima se plaignit de son mari : c'est un homme avec un gros estomac. Ses mains sont hautes et ses os semblent affaissés. Il a le front dégarni, de gros yeux et montre ses dents tout le temps. De plus, il n'a aucune richesse. (Jilalul Uyoon : 58, dans le chapitre sur Fatima) Le même Mullah Baqir parle d'un rêve que Fatima a fait et établit qu'un démon s'est emparé d'elle : Le rêve que Fatima a fait venait d'un démon qui s'appelle Uhaad. (Ibid: 52)
Il n'y a pas que Fatima qui s'est cru possédée, Mohammed également voir Sourate (68) v 2 Tu (Muhammad) n'est pas, par la grâce de ton Seigneur, un possédé. Sourate 34 Je vous exhorte seulement à une chose : que pour Allah vous vous leviez, par deux ou isolément, et qu'ensuite vous réfléchissiez. Votre compagnon (Muhammad) n'est nullement possédé : il n'est pour vous qu'un avertisseur annonçant un dur châtiment sourate 44/14 Puis ils s'en détournèrent en disant : c'est un homme instruit [par d'autres], un possédé. Comme le disent les Chiites, Fatima elle-même sous la l’emprise de rêves démoniaques prouve que la maison de Mohammed était sous la domination du mal.
Posez-vous cette question A quoi,  reconnaît-on un possédé ? Voilà quelques passages de la Bible  qui  parlent de possessions Marc 9:18  En quelque lieu qu'il le saisisse, il le jette par terre; l'enfant écume, grince des dents, et devient tout raide. J'ai prié tes disciples de chasser l'esprit, et ils n'ont pas pu ! Autre manifestation Matthieu8/32 Lorsqu'il fut à l'autre bord, dans le pays des Gadaréniens, deux démoniaques, sortant des sépulcres, vinrent au-devant de lui. Ils étaient si furieux que personne n'osait passer par-là.
Questions :
Il y a des manifestations qui ne trompent pas, Pourquoi prenait-on Mohammed pour un possédé ?
Qui est à mépriser ?
Le même auteur cite l'Imam Ali-ul-Naqi: L'Imam Ali-ul-Naqi fut questionné sur la façon de reconnaître le groupe Nasibi (ceux qui préfèrent Abu Bakr et Omar à Ali): Est-il suffisant de savoir qu'ils (les Nabis) préfèrent Abû Baker et Omar à Ali et en plus acceptent la légitimité de l'Imamat d'Abû Baker et de Omar ? L'Imam répondit que quiconque pensait ainsi était un Nasibi. (Ibid: 521)Encore une fois, le Mullah Baqir écrit à propos des Nasibis:  Les Nasibis sont pires que des personnes illégitimes. Il est vrai qu'Allah n'a pas créé plus méprisable créature que le chien, mais les Nasibis sont encore plus dégénérés aux yeux d'Allah, que les chiens. (Ibid: 2:516)
Ce n’est pas l’amour entre Sunnites et Chiites ! Est-ce réellement Dieu qui parle ainsi au travers du Mullah Baquir ? Les musulmans prétendent que la religion islamique, est la consolation d'Allah, mais ce que nous lisons ici, prouve qu’il n’en est rien. Bien sur, il y a un milliard de musulmans dans le monde, mais est-ce du au message de Mohammed ? L'Islam s'est conservé par ses états islamiques et sa Charia, et même si l'islam connaît une progression fulgurante comme au Etats-Unis, c'est en dépit de l’écœurement envers une certaine religiosité corrompue, n'apportant aucune solution ! Il n'y a pas que l'Islam qui récolte les fruits tombés par terre, les sectes qui prolifèrent ne sont pas en reste. La Bible l’a prédit : Il viendra un temps ou les hommes ne supporterons plus la sainte doctrine et se donneront une foule de docteur selon ce qui leur plairont d'entendre ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables L'Islam a été fondé sur des schismes, des guerres de clans, des retouches, des ajouts, des sourates abrogées et contradictoires, des invraisemblances, des contes à dormir debout, des histoires apocryphes, talmudiques.
Des mélanges invraisemblables se trouvent donc dans le Coran, et que dire de ces informations chiites qui informent que le Coran est falsifié ! Maintenant nous allons le constater par diverses autres sources,  que le Coran est de sources humaines, diaboliques et non divines et qu'il n'y a dans le Coran aucune science coranique que les hommes ne connaissaient avant la compilation du Coran,  que toutes paroles coraniques n’apportent rien  de plus quand sa paraît juste à ce qu’enseigne déjà la Bible.
Fausse révélation :
Il est une chose que je trouve tout de même invraisemblable, c'est les prétendues révélations données par Dieu à Muhammad, alors que la Bible ne reconnaît pas les sources que nous allons détailler en détails ! Les Arabes adoraient Lât, Uzza et manât, qu'ils croyaient êtres filles d’Allah. Ce qui est troublant ;  c'est le fait que Mohammed cherche un nom propre pour un Dieu unique, et il choisira d'appeler son dieu : Allah !
Tradition islamique concernant Joseph :
Sourate Joseph (youssef) verset 77. Ils dirent: S'il a commis un vol, un frère à lui auparavant a volé aussi. Mais Joseph tint sa pensée secrète, et ne la leur dévoila pas. Il dit [en lui-même] Votre position est bien pire encore! Et Allah connaît mieux ce que vous décrivez
Commentaire: d'après la tradition, Joseph aurait volé, étant enfant, une idole à son grand-père Laban ! On ne trouve pas ce fait dans la Bible et comment un fait traditionaliste non retenu même dans le Talmud pourrait être une parole inspirée ? Les Chiites disent qu’Abû Bakr et Omar ont ajouté,  il se peut que ce soit eux qui ont ajouté cela ! Par exemple une contradiction concernant une autre idole Abraham a-t-il détruit les idoles ? L'histoire d'Abraham, dans la sourate 19:41-49 et sourate 6:74-83, est très différente de ce qui est dit dans la sourate 21:52-59. Tandis que dans la sourate 21, Abraham confronte son peuple violemment et détruit même les idoles, dans la sourate 19, Abraham se tait après que son père l'a menacé de le lapider pour avoir critiqué les idoles. Et non seulement il apparaît comme silencieux, il quitte même l'endroit : lorsqu'il se fut séparé d'eux.
Traditions mythologiques et païennes :
Sourate Al Hijr 17. Certes Nous avons placé dans le ciel des constellations et Nous l'avons embelli pour ceux qui regardent. 18. Et Nous l'avons protégé contre tout diable banni. 19. A moins que l'un d'eux parvienne subrepticement à écouter, une flamme brillante alors le poursuit.
Commentaire: C'est ainsi que les païens d'autrefois, puis les musulmans expliquent les étoiles filantes (météorites)  des pierres contre des démons. Qui a écrit cela Mohammed mal renseigné ou Abû Bakr ?
Tradition talmudique :
Sourate Sad v 34. Et Nous avions certes éprouvé Salomon en plaçant sur son siège un corps informe. Ensuite, il se repentit.
Commentaire: ceci est une allusion à une tradition talmudique, donc non inspirée par Dieu. (Un mensonge) concernant Salomon qui avait l'habitude de laisser chez une de ses femmes son anneau emblème de son pouvoir sur les génies. Un de ces génies s'en empara et se rendit maître du trône de Salomon, et il perdit son royaume et erra sur la terre, jusqu'à ce que l'anneau que le démon avait jeté à la mer fut retrouver par un pécheur, et il lui fit regagner son autorité ! Le Coran puise ses sources un peu tout partout ! Qui a eu les sources nécessaires pour incorporer un récit  non inspiré Mohammed ou Abû Bakr ?
Contradiction évidente :
Récapitulons les points importants cités ci haut, et les différentes preuves qui démontrent que le Coran n’est pas d'origine divine et qu'il n'est en fait que d'origine diabolique.
Rassemblement du Coran :
Jabir a rapporté que l'Imam Bar a dit: Personne ne peut affirmer avoir rassemblé tout le Coran tel qu'il a été révélé par Allah, si ce n'est un menteur ! Le Prophète dit alors : c'est ainsi que le démon m'a envoyé ses deux serviteurs à l'instant Abu Bakr et Omar. Sourate Hajj : 74 Le Mullah Baqir raconte un récit rapporté par l'Imam Zainul Abideen selon lequel un homme vint voir l'Imam et lui demanda de l'informer à propos d'Abû Bakr et de Omar. L'Imam lui dit qu'ils étaient tous les deux (Abû Bakr et Omar) des mécréants. (Haqqul Yaqeen: 551)
Devant de telles preuves, comment les musulmans, pourront-ils affirmer encore, que le Coran est d'origine divine ? Du Schisme qui rejette le Coran d'Abû bak et d'Omar, des Sunnites qui refusent de croire au leader spirituel, Ali et compagnie. Il n’est même pas utile de se questionner sur la valeur spirituelle du Coran. Et si tout simplement, le Coran n'avait été qu'un prétexte pour Mohammed pour s'emparer du pouvoir ? Il n'en a pas profité longtemps, et ainsi dès sa mort les gens de sa maison se dressèrent les uns contre les autres, ses compagnons et ses épouses se divisèrent. Le Coran à la mort de Mohammed ne contenait que les tiers de ce que les musulmans possèdent aujourd'hui ! Mohammed étant illettré selon les musulmans, alors comment aurait-il put connaître ce qu'il y avait dans le Talmud ou sur d’autres choses sans avoir lus quoi que se soit ? Ce ne peut être Dieu qui est l'auteur. En effet, Dieu ne ment point et ne contredit pas sa parole. Comment Dieu peut-il confirmer ce qui ne se trouve pas dans la Bible, et qui ne sont que des histoires légendaires et non spirituelles ? Il s’agit donc bien d’ajouts que les compagnons de Mohammed* firent dans le Coran, après la mort de celui-ci !
*ci bien attendu la source selon laquelle Mohammed était illettré, sinon Mohammed a très bien pu lire cela et rajouté cela dans le coran 

Les amis de Mohammed avaient tout prévu. Voici un verset du Coran qui arrange tout le monde, le style du Coran n'est pas le même partout ! Lorsqu’on lit la Bible, vous savez par exemple que tel livre fut écrit par tel auteur, le style littéraire est une signature infalsifiable, bien que la Bible soit inspirée, il est indéniable que Dieu laisse à l'auteur son style écrit. Nous retrouvons cela dans la Bible. Il est donc indéniable que le Coran a plusieurs auteurs ; qui sont, un ange du ciel, Mohammed lui-même et ces quelques compagnons dont Abû Bakr ! Bien attendu les compagnons de Mohammed écrivirent de leurs propres mains Sourate 3 verset 7. C'est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre : il s'y trouve des versets sans équivoque, qui sont la base du Livre, et d'autres versets sont (allégoriques) et peuvent prêter à d'interprétations diverses. Les gens, donc, qui ont au cœur une inclinaison vers l'égarement, mettent l'accent sur les versets à équivoque, cherchant la dissension en essayant de leur trouver une interprétation, alors que nul n'en connaît l'interprétation, à part Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la science disent : Nous y croyons : tout est de la part de notre Seigneur ! Mais, seuls les doués d'intelligence s'en rappellent.
Commentaire: il devient alors difficile pour les musulmans de discerner ce qui vrai de ce qui est allégorique ! Même si le musulman fait des recherches minutieuses, et arrive à la conclusion que tel passage et allégorique, et que ce passage ne confirme nullement la Thora ou l'injil, le Coran répondra à sa question, car ceux qui l'ont imaginé ont pensé à tout.
Les Différents styles du Coran :
Vous allez vous apercevoir qu'il y a des versets qui se contredisent les uns les autres. Parfois, je citerai un texte de la Bible qui confirme ou annule tel verset, ce qui mettra en lumière les invraisemblances du Coran. En effet, comment le même auteur pourrait-il se contredire sur des points importants ! On peut par une étude sérieuse se rendre compte que le Coran n'a pas été écrit par un seul homme, mais par un groupe de personnages composé de poètes, de scientifiques, d'astronomes et d'astrologues avec des enseignements à la foi bibliques (ancien et nouveau testament), des enseignements apocryphes, et talmudiques. On retrouve aussi des contes profanes, et même des bases religieuses de l'orient ! Plusieurs points ont été énoncés déjà ! Voyons quelques exemples de retouches faites par Omar et Abû Bakr comme le suggère les Chiites et ma propre opinion dans une logique que Dieu ne se contredit pas ! (On a vu cela dans un autre chapitre, mais cela est bon de rappeler les choses )
Exemple à propos de Salomon :
Sourate 2:102. Et ils suivirent ce que les diables racontent contre le règne de Solayman. Alors que Solayman n'a jamais été mécréant mais bien les diables dans cette sourate l'auteur affirme que Salomon ne fut jamais mécréant. (pécheur)Pourtant la Bible affirme que le Fils de David le fut. Salomon aima beaucoup de femmes étrangères. Ses femmes détournèrent son cœur vers d'autres dieux, et son cœur ne fut point tout entier à l'éternel son Dieu comme l'avait été le cœur de David Salomon fit ce qui est mal aux yeux de l'éternel il brûla des parfums sur les hauts lieux 1 Rois 11 verset 8. Dans ce passage de la Bible il est clair que Salomon pécha gravement contre Dieu donc  la sourate est mensongère !
Voici une sourate du Coran qui affirme le contraire de la sourate la Génisse Sourate Sâd verset ( extrait ) 34. Et Nous avions certes éprouvé Salomon en plaçant sur son siège un corps informe. Ensuite, il se repentit,
Commentaire: Comment cette sourate pourrait-être de la plume de l'auteur de la sourate la Génisse, bien que l'auteur de la sourate Sâd utilise une fantaisie talmudique ? Il y a une part de vérité que la Bible ne dément pas, Salomon fut éprouvé, car il pécha contre Dieu  et dût se repentir ! Le livre de l'Ecclésiaste écrit à la fin de la vie du Roi Salomon apporte la preuve que celui ci constata que tout est vanité. La polygamie et l'idolâtrie furent  la cause de sa chute ! 

Salomon par exemple dira les mouches mortes infectent l'huile du parfumeur Eccl 10:1 vanité des vanités tout est vanité 12:10, les mouches mortes représentent le péché l'huile représente les choses de l'Esprit la sainteté, la sagesse, etc. Pour ceux encore qui douteraient que  Salomon ait péché Sourate 3:2 dit : Il t'a envoyé le livre contenant la vérité et qui confirme les écritures qui l'ont précédé. Le Coran dit qu'il confirme donc le récit de Salomon dont 1 Rois 11:8 la Sourate 2:102 Est donc un rajout d'Abû Bakr comme disent les Chiites, les Sunnites ont falsifié le Coran dont 1 Rois 11 verset 8 la Sourate 2 verset 102 Est donc un rajout d'Abu Bakr comme disent les Chiites, les Sunnites ont falsifiés le Coran et il ont raison au vue de ce premier examen !
Si les musulmans prétendent que seul les christianisme détient la palme des sectes, il n’en est rien En islam il y a également nombreuses sectes en voici quelques unes. Pour les Sunnites, les Chiites en sont une .
Les kharijites sont les opposants fanatiques à l'ascension d'Ali au califat. Le kharijisme n'est plus guère aujourd'hui qu’une survivance, mais il garde son intérêt pour la compréhension de l'histoire musulmane, car il est le premier des schismes de l'Islam.
Les ismaéliens, ou septimaniens, sont des chiites extrémistes. Ils limitent à sept les imams légitimes, alors que les chiites, dans leur majorité, en reconnaissent douze
Les qarmates forment une secte qui vit le jour à partir de 877 de notre ère. Elle est à l'origine d'un compagnonnage comportant des grades d'initiation semblables à ceux que l'on trouve dans la franc-maçonnerie occidentale. Gagnant l'Arabie, la secte se transforma en communisme primaire, mais ses excès provoquèrent l'intervention du pouvoir
Les fâtimides Tandis que Hamdân Qarmat prêchait en Mésopotamie, un autre missionnaire ( da’î ) Abu Abd Allah al Chii, arrivé au Maghreb en 895, annonçait l'apparition prochaine de l'imam caché. Le  mahdî  annoncé, Obaïd Allah, arrive en Afrique du Nord et rallie à sa cause quelques Berbères (la tribu des Koutama) et un petit groupe de citadins
Les nosaïris les plus connus actuellement sont les alaouites de Syrie. Ils croient à une trinité formé d'Ali, de Muhammad et de Salman. Cette trinité (?) évoque les triades païennes de l'antique Syrie, mais ce paganisme n'est pas le seul élément; on y trouve aussi un curieux mélange avec les fêtes chrétiennes
LES CONFRÉRIES MUSULMANES A l'Islam officiel, sunnite ou chiite, s'oppose un autre Islam considéré par tous les docteurs de la loi comme dangereux. Cet Islam parallèle, c'est l'Islam mystique, ou " soufi ". Cet Islam des " assoiffés de Dieu ", à la recherche d'une " règle de vie ", c'est également celui des confréries
 
          @Coproduit 2003 MPEMF-ACTES-(29)
 
 
10 JUILLET 2007
Les lieux"saints" de l'islam
Dès les VIIème-VIIIème siècles, Jean Damascène qualifiait l'islam de secte.
Effectivement, l'islam fut une secte (qui reprit le canon judéo-chrétien en le détournant dans un sens plus violent et plus partisan), et Mahomet fut son gourou. Avant tout, un gourou doit se faire obéir: « Obéissez à Allah, obéissez au Messager, et prenez garde! Si ensuite vous vous détournez... alors sachez qu'il n'incombe à Notre messager que de transmettre le message clairement. » (5:92)
Et moi qui croyais que le Messager n'était qu'un simple "annonceur", un homme comme les autres... Il peut avoir des relations sexuelles avec toute femme de la secte.
Allah dit à Mahomet : " O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants. " (Sourate 30/49-51)
Ce privilège unique qu'a Mahomet, lui qui aime beaucoup les femmes comme il le dit dans un hadith, lui qui avait un appétit sexuel unique, il en profitera bien.
Il épousera Zaynab, la femme de son fils (ce qui est interdit aux autres hommes), grâce à une recommandation d'Allah.
Il épousera Aïcha, 9 ans.
Comme l'écrit Tabari : "Malgré le fait qu'Aïcha fut la fiancée de quelqu'un d'autre, et que son père Abou Bakr s'opposait à son alliance avec le Prophète, celui-ci convainquit tout le monde et fit son alliance avec Aïcha. Elle fut donc fiancée à 6 ans et mariée à 9 ans."
Pour le reste, la vie de Mahomet fut très agréable. Il est au milieu de ses disciples, et au moment opportun, arrive la communication d'Allah.
Le "prophète" frétille et exprime ses commandements : ... Elle revint donc sur ses pas, retrouvant l'Envoyé d'Allah qui était chez moi, en train de dîner, un morceau de gigot entre les mains. Elle entra et dit:
"O Envoyé d'Allah! Je suis sortie et Omar m'a dit telle et telle chose". Elle (Aïcha) ajouta: "Aussitôt, il reçut la révélation (de la sourate Al -'Ahzâb, verset 59), puis revint à son calme – pendant tout ce temps le morceau de gigot était encore dans ses mains - et dit: Allah vous a autorisé à sortir pour satisfaire votre besoin naturel. (Hadith 4034 dans le Sahîh de Muslim)
L'impôt révolutionnaire, la zakat (à ne pas confondre avec la saddaquat qui est l'aumône), est dédié à la croissance de la secte. C'est la première source de richesse pour Mahomet. Toute tribu vaincue doit acquitter la zakat si elle veut survivre. L'argent a une importance inouïe en islam ; le dépenser au lieu de le mettre dans les caisses de la secte est un péché malin : « car les gaspilleurs sont les frères des diables ; et le Diable est très ingrat envers son Seigneur. » (17:27)
Mahomet, ce "saint" homme, a naturellement la haute main sur le butin : « Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager."
Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants. » (8:1)
A une autre époque, Mahomet ne réclamait qu'un cinquième du butin... « Et sachez que, de tout butin que vous avez ramassé, le cinquième appartient à Allah, au messager, à ses proches parents, aux orphelins, aux pauvres, et aux voyageurs (en détresse), si vous croyez en Allah et en ce que Nous avons fait descendre sur Notre serviteur, le jour du Discernement : le jour où les deux groupes s'étaient rencontrés, et Allah est Omnipotent ). » (8:41)
Menace de châtiment, à présent! Un des malfaiteurs de la secte a pris une part du butin, qui revient normalement à Mahomet : « N'eût-été une prescription préalable d'Allah, un énorme châtiment vous aurait touché pour ce que vous avez pris [de la rançon]. » (8:68)
Le produit de la rapine redistribué en partie par Mahomet : « Mangez donc de ce qui vous est échu en butin, tant qu'il est licite et pur. Et craignez Allah, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Pour amasser du butin, il faut des razzias, bien sûr. Mahomet s'associe donc à des brigands. Voici les versets qu'il prononce pour galvaniser ses troupes et étendre sa domination : « Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu'Allah vous prescrite. Et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] car vous retourneriez perdants. » (5:21) « Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent. » (9:39) « Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s'ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu'ils oeuvrent. » (8:39)
La guerre ne cessera donc que quand la seule religion sera celle d'Allah. Il n'y aura de paix que quand les païens cesseront d'être païens...
Quand on vous dit que les musulmans pratiquent un djihad défensif : les idées des païens sont une provocation aux yeux des musulmans, donc les musulmans les exterminent ou les convertissent de force, c'est normal, non?
Pour s'assurer la victoire, il faut faire peur aux éventuels apostats. L'islam est une secte dont on ne peut sortir qu'en risquant sa vie : S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez (Sourate An-Nisa', IV.89).
Mahomet cherche enfin à discréditer les religions qui pourraient lui faire de l'ombre : Les Chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Dieu. Qu'Allah les anéantisse! Ils sont tellement stupides. (At-Tauba, IX.30).
Et on sait ce qu'il dit des Juifs. La péninsule arabique doit être purifiée de leur présence, et la Résurrection arrivera après la mort des Juifs...
L'islam est d'ailleurs proche des sectes apocalyptiques. Le Mahomet racontait n'importe quoi à ses disciples soumis et inquiêts (cela devait être un grand plaisir pour lui) : que le Jugement dernier arriverait après certains signes (comme le fait que le soleil se déplacerait du couchant au levant!)...
Les mahométans fanatiques guettent anxieusement l'arrivée de ces signes.
Avec tout cela, on comprend que le métier de prophète musulman ait fait des émules. Après la mort de Mahomet, des dizaines de prophètes se sont déclarés, aux quatre coins de la péninsule arabique. Tous voulaient mener la vie de pacha du roué Mahomet...
 
 
9 JUILLET 2007
Dans ce qui suit, je vous propose une série de hadiths authentiques de Boukhari, Mouslim, Daoud, Malik, etc... Il s'agit de citations de Mahomet lui même ou de ses proches. Ces hadiths, généralement méconnus, ont été authentifiés par les rédacteurs des Sahihs, mais ne sont pas mis en avant par les théologiens de l'Islam. Ils révèlent des choses étonnates, souvent choquantes, de la part de celui qui prétent être l'envoyé de Dieu.

C'est seulement presque deux générations après la mort de Mahomet que l'on s'est intéressé a recueillir des témoignages sur sa vie, et c'est seulement 2 siècles après sa mort que l'on a rédigé le premier recueil !

Lorsque on cite un hadith du type de ceux que je vous propose ici les musulmans diront qu'en fait il est "daîf, c'est à dire peu fiable.

Al-Boukhari mort en 870 AP- JC a pu recueillir plus de 600 000 hadiths ; mais seuls moins du tiers étaient a ses yeux authentiques. il ne résolut de consigner dans son oeuvre canonique majeure L'AUTHENTIQUE (Al-Sahih) que 7300 hadiths, dont 4000 seulement ne sont pas des doublets.

Muslim quand à lui, affirme qu'il a compilé son ouvrage Al Sahih parmi un total de 300 000 hadiths." pour n'en retenir que 4000.

Je ne suis ni Islamophobe, ni Arabophobe. Si les musulmans ont été trompés, c'est par crédulité, superstition ou peur de déplaire à Dieu. Pas de propos racistes sur ce blog.

Vous serez surpris de les lire....


" Le Prophète a dit :
- J’ai regardé le paradis et j’ai trouvé que les pauvres gens formaient la majorité des habitants; j’ai regardé en enfer et j’ai vu que la majorité des habitants étaient des femmes. " (récit d’Imran bin Husain, Bukhari LIV 464)



" L’apôtre d’Allah a dit :
- S’il y a un signe maléfique quelque part, c’est dans la femme, le cheval ou la maison. " (récit de Sahl bin Sad Saidi, Bukhari LII 111)


" Khadija est morte trois ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aisha qui était une fillette de six ans; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage. " (récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236)


" Mon oncle a présenté à l’apôtre d’Allah le cas d’une personne qui pensait avoir lâché un pet durant la prière. L’apôtre d’Allah a répondu :
- Il ne doit pas abandonner la prière, à moins qu’il n’entende un bruit ou qu’il sente quelque chose. " (récit d’Abbas bin Tamin, Bukhari IV 139)


" Le Prophète a dit :
- Bailler vient de Satan et si quelqu’un baille, il doit contrôler le plus possible son bâillement parce que s’il fait "ha" alors Satan se moquera de lui. " (récit d’Abu Huraira, Bukhari LIV 509)



D'après `Abd-Allah ibn `Umar (qu'Allah soit satisfait des deux),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: "O femmes! Faites l'aumône et sollicitez plus fréquemment le pardon d'Allah, car je vous ai vu former la majorité des réprouvés de l'Enfer". Une femme -parmi elles ayant l'esprit judicieux- s'exclama: "Et pourquoi cela, ô Envoyé d'Allah?". - "C'est, répondit-il, que vous multipliez vos malédictions et vous êtes ingrates envers vos époux. Je n'ai vu parmi les êtres faibles en intelligence et en religion personne qui, mieux que l'une de vous, fasse perdre l'esprit à un homme sensé". - "En quoi, reprit-elle, ô Envoyé d'Allah, consiste le défaut de notre intelligence et de notre religion?". - "Le témoignage de deux femmes équivaut à celui d'un homme... Voilà pour le défaut de l'intelligence, répliqua le Prophète, et quand elles ont leurs menstrues, les femmes ne cessent-elles pas de prier et de jeûner des nuits durant?... Eh bien! Voilà pour celui de la religion".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 114



Selon 'Abû Hurayra (que la paix soit sur lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) dit: "Soixante-dix mille de ma Communauté entreront au Paradis sans jugement". Un homme dit alors: "O Envoyé d'Allah! Invoque Allah pour que je sois l'un d'eux". - "Seigneur, s'écria le Prophète, fais qu'il soit parmi eux!". Un autre homme se leva et dit: "O Envoyé d'Allah! Invoque Allah pour que je sois l'un d'eux". Mais, l'Envoyé d'Allah lui répondit: "`Ukâcha t'a devancé".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 317


D'après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Vous contenteriez-vous d'être le quart des habitants du Paradis?". Et nous (en signe de réjouissance) de faire le takbîr (dire Allah est Grand). - "Vous contenteriez-vous d'être le tiers des hôtes du Paradis?". Nous fîmes de nouveau le takbîr. - "J'espère, ajouta-t-il que vous serez la moitié des hôtes du Paradis. En effet, les musulmans ne sont au milieu des polythéistes que comme un poil blanc sur la peau d'un taureau noir ou comme un poil noir sur la peau d'un blanc taureau".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 324


D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Quand l'un de vous se réveille, qu'il aspire l'eau par ses narines trois fois; puis qu'il la rejette à chaque reprise; car le diable passe la nuit sur son nez".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 351


D'après 'Abû Qatâda (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Ne tenez pas votre verge de la main droite en urinant; ne vous essuyez pas de la main droite après la satisfaction des besoins naturels et ne respirez pas dans le vase (en buvant)".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 392


D'après 'Anas (qu'Allah soit satisfait de lui),
un bédouin se mit à uriner dans la mosquée; quelques gens se précipitèrent alors sur lui, mais le Prophète (pbAsl) s'écria: "Laissez-le et ne l'interrompez pas". Quand l'homme eut fini d'uriner, le Prophète ordonna un seau d'eau et le versa sur l'endroit souillé.
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 427


Le récit de `A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle):
D'après `Alqama, un homme passa la nuit à la maison de `A'icha. Au matin, quand il se réveilla, il se mit à laver ses habits (car il avait eu des pollutions nocturnes). L'ayant vu, `A'icha lui dit: "Si tu vois la tache, lave-la; sinon, asperge d'eau l'endroit (que tu crois souillé) de tes habits. Je me souviens encore d'avoir frotter à sec les taches (de l'éjaculation) des habits du Prophète (pbAsl) qui alla ensuite prier; vêtu de ces mêmes habits".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 434


D'après 'Umm Sulaym (qu'Allah soit satisfait d'elle),
J'interrogeai l'Envoyé d'Allah (pbAsl) de ce que la femme doit faire si elle voit un songe érotique, tout comme l'homme. - "Si elle éjacule, répondit le Prophète, elle devra se laver". Eprouvant un peu de honte, je demandai au Prophète: "Est-ce que la femme éjacule?". - "Oui, répliqua le Prophète, sinon grâce à quoi son enfant lui ressemblerait-il. Le liquide émis par l'homme (le sperme) est épais et blanchâtre, tandis que celui de la femme est fluide et jaunâtre. La ressemblance (de l'enfant à l'un de ses parents) dépend alors de celui des deux liquides qui atteint l'utérus le premier".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 469


D'après Jâbir ibn `Abd-Allah Al-'Ansârî (qu'Allah soit satisfait de lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: "J'ai reçu cinq faveurs que personne n'avait reçues avant moi. Chaque prophète antérieur a été envoyé à un peuple spécifique, alors que moi, j'ai été envoyé à l'humanité entière. Les butins m'ont été rendus licites tandis qu'ils ne l'étaient pas pour les autres. Toute la terre m'a été offerte comme moyen de purification et un lieu de prière. Tout homme donc, surpris n'importe où par l'heure de prière, peut l'accomplir où est-ce qu'il se trouve. On m'a accordé la victoire (sur l'ennemi) en lui inspirant la terreur à une distance d'un mois de marche. Enfin, j'ai reçu la faveur d'intercéder".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 810



D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: "Je fus distingué d'entre les prophètes par six faveurs (qu'Allah m'avaient accordées): J'ai eu le don de la parole exhaustive quoique brève. J'ai reçu la victoire grâce à l'effroi (jeté dans les cœurs de mes ennemis). Le butin m'a été rendu licite. Toute la terre m'a été offerte comme moyen de purification et un lieu de prière. J'ai été envoyé à l'humanité entière. Enfin, je suis le dernier des prophètes".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 812


D'après 'Anas ibn Mâlik (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Quand l'un de vous est en prière, il est en conversation confidentielle avec son Seigneur. Qu'il ne crache donc pas devant lui, ni à sa droite, mais à sa gauche, sous son pied gauche".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 856


D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
aussitôt que le second appel à la prière fut fait, nous nous dressâmes et nous arrangeâmes nos rangs avant que le Prophète (pbAsl) ne soit sortit de chez lui. Puis, le Prophète (pbAsl) vint se mettre à son lieu de prière; et avant qu'il fasse le takbîr (pour entamer la prière), il se souvint qu'il ne s'était pas encore purifié à la suite d'une cohabitation avec sa femme. - "Restez à vos places", nous dit-il. Puis, il rentra chez lui, fit ses ablutions majeures (ghusl) et retourna à nous, en ayant la tête encore ruisselante d'eau. Il prononça alors le takbîr et nous présidâmes dans la prière.
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 950


D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: L'Enfer se plaignit au Seigneur en disant: "O Seigneur, je me dévore moi-même (sous l'effet de la chaleur et du froid excessifs)!". Le Seigneur lui autorisa alors de pousser deux souffles, un en hiver et un autre en été. C'est de celui-ci qu'émane la grande chaleur, et de celui-là qu'émane le grand froid que vous en souffrez.
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 977


Jâbir ibn `Abd-Allah (qu'Allah soit satisfait des deux) a dit:
Nous étions avec le Prophète (pbAsl), lorsqu'il nous demanda de lui donner à boire. Un homme lui dit alors: "O Envoyé d'Allah! Peut-on te donner à boire du nabîdh?". - "Oui", répondit-il. L'homme partit et revint avec un verre plein de nabîdh. L'Envoyé d'Allah (pbAsl) dit alors: "Pourquoi ne l'as-tu pas couvert ne fût-ce qu'avec un petit bâton?" Puis il en but.
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 3753


D'après Jâbir (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "(Quand la nuit tombe), couvrez les vases, attachez les ouvertures des outres, fermez les portes, éteignez les lampes, car le démon ne peut pas dénouer les outres, ni ouvrir les portes, ni découvrir les vases. Si l'un de vous ne trouve pour couvrir son vase qu'un petit bâton qu'il mit en travers (sur le vase) en invoquant le nom d'Allah, qu’il le fasse; car, une souris pourrait mettre le feu à une maison".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 3755


D'après Ibn Abbâs (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Quand l'un de vous a mangé, qu'il ne s'essuie pas les mains avant de les avoir léchées ou fait lécher par quelqu'un d'autre".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 3787


D'après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Vous contenteriez-vous d'être le quart des habitants du Paradis?". Et nous (en signe de réjouissance) de faire le takbîr (dire Allah est Grand). - "Vous contenteriez-vous d'être le tiers des hôtes du Paradis?". Nous fîmes de nouveau le takbîr. - "J'espère, ajouta-t-il que vous serez la moitié des hôtes du Paradis. En effet, les musulmans ne sont au milieu des polythéistes que comme un poil blanc sur la peau d'un taureau noir ou comme un poil noir sur la peau d'un blanc taureau".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 324


D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: "Quand l'un de vous se réveille, qu'il aspire l'eau par ses narines trois fois; puis qu'il la rejette à chaque reprise; car le diable passe la nuit sur son nez".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 351


Le récit de `A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle):
D'après `Alqama, un homme passa la nuit à la maison de `A'icha. Au matin, quand il se réveilla, il se mit à laver ses habits (car il avait eu des pollutions nocturnes). L'ayant vu, `A'icha lui dit: "Si tu vois la tache, lave-la; sinon, asperge d'eau l'endroit (que tu crois souillé) de tes habits. Je me souviens encore d'avoir frotter à sec les taches (de l'éjaculation) des habits du Prophète (pbAsl) qui alla ensuite prier; vêtu de ces mêmes habits".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 434


`A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
Quand l'une des nous avait ses menstrues et que l'Envoyé d'Allah (pbAsl) désirait entretenir des rapports sexuels avec elle, il lui ordonnait de s'envelopper d'un 'izâr (sorte de pagne ajusté autour des reins au-dessus du nombril).
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 440


D'après 'Umm Sulaym (qu'Allah soit satisfait d'elle),
J'interrogeai l'Envoyé d'Allah (pbAsl) de ce que la femme doit faire si elle voit un songe érotique, tout comme l'homme. - "Si elle éjacule, répondit le Prophète, elle devra se laver". Eprouvant un peu de honte, je demandai au Prophète: "Est-ce que la femme éjacule?". - "Oui, répliqua le Prophète, sinon grâce à quoi son enfant lui ressemblerait-il. Le liquide émis par l'homme (le sperme) est épais et blanchâtre, tandis que celui de la femme est fluide et jaunâtre. La ressemblance (de l'enfant à l'un de ses parents) dépend alors de celui des deux liquides qui atteint l'utérus le premier".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 469


D'après 'Umm Salama (qu'Allah soit satisfait d'elle),
Je vins trouver l'Envoyé d'Allah (pbAsl) et lui demandai: "O Envoyé d'Allah! Certes, Allah ne se gêne pas de la vérité. Eh bien! La femme doit-elle se laver si elle voit un songe érotique?". - "Oui, répondit le Prophète (pbAsl), à condition qu'elle s'aperçoive de l'éjaculation". - "O Envoyé d'Allah! La femme éjacule-t-elle?". - "Oui, répliqua le Prophète, sinon, grâce à quoi son enfant lui ressemblerait-il?".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 471


D'après `A'icha (qu'Allah soit satisfait d'elle),
Fâtima bint 'Abî Hubaych vint dire au Prophète (pbAsl): "O Envoyé d'Allah! Je souffre d'écoulements de sang en dehors de mes menstrues et je n'arrive pas à me purifier, dois-je renoncer à la prière?". - "Non, répondit le Prophète, ce sang provient d'une veine, il ne s'agit pas des menstrues. Quand tu es indisposée, cesse de faire la prière et une fois cette période terminée, lave-toi et fais la prière".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 501


'Umm Hâni' bint 'Abî Tâlib (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
"L'année de la conquête (de La Mecque), je me rendis chez le Prophète (pbAsl) et le trouvai en train de faire ses ablutions majeures, tandis que sa fille Fâtima le dérobait aux regards à l'aide d'une robe".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 509


D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui),
le Prophète (pbAsl) a dit: Les israélites se lavaient tout nus, les uns regardant les parties intimes des autres; tandis que Moïse (Mûsa) (que la paix d'Allah soit sur lui) se mettait à l'écart pour se laver. - "Par Dieu, dirent les israélites, ce qui empêche Mûsa de se laver parmi nous, c'est qu'il a une varicocèle". Un jour que celui-ci était allé se laver, il posa ses vêtements sur une pierre. Celle-ci s'empara de ses vêtements et s'enfuit et Mûsa de se mettre à sa poursuite, en criant: "Pierre, mon vêtement! Pierre, mon vêtement!". La pierre s'arrêta et c'est alors que les israélites purent voir les parties intimes de Mûsa; ils dirent alors: "Par Dieu! Mûsa n'a aucune infirmité". Il (Mûsa) reprit son vêtement et se mit ensuite à frapper la pierre. 'Abû Hurayra ajouta: "Par Dieu! Ces coups imprimèrent sur la pierre six ou sept marques".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 513


Voici maintenant une série de Hadiths particulièrement choquants:

“ Des gens avaient pris les chameaux du Prophète, les avaient montés et avaient apostasié. Ils ont tué le berger de l’apôtre d’Allah qui était un croyant. Il a envoyé des gens à leur poursuite et ils ont été pris. Il leur a fait couper les mains et les pieds et enlever les yeux. C’est à ce moment que le verset concernant
le combat contre Allah et le Prophète a été révélé. ” (récit de Abdullah ibn Umar, Dawud XXXVIII 4356)


“ (Abu Juhaifa) a demandé (à Ali) :
- Qu’y a-t-il d’écrit sur ce papier (le Coran) ?
Il répondit :
- Les règles du prix du sang, de la libération de prisonniers et le jugement selon lequel aucun musulman ne devra être tué pour avoir tué un infidèle. ” (récit d’Abu Juhaifa, Bukhari LII 283)


“ Il a entendu l’apôtre d’Allah dire : [...]
- Si quelqu’un regarde secrètement dans votre maison sans votre permission, que vous lui jetez une
pierre et que ses yeux sont crevés, il n’y a aucune condamnation de cela. ” (récit d’Abu Huraira,
Bukhari LXXXIII 26)


“ L’apôtre d’Allah a dit :
- Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors lapide-la à mort. ” (récit de Zaid ibn Khalid et Abu Huraira, Bukhari XXXVIII 508)


“ Au temps de la période d’ignorance préislamique, j’ai vu une guenon entourée par un grand nombre de singes. Ils étaient en train de la lapider, parce qu’elle avait commis un acte sexuel illégal. Moi aussi, je l’ai lapidée. ” (récit d’Amr ibn Maimun, Bukhari LVIII 188)

“ Deux hommes se disputaient en présence de l’apôtre d’Allah. L’un d’eux dit : [...] - Mon fils est un ouvrier au service de cette personne et il a commis un acte sexuel illicite avec sa femme. Les gens ont dit qu’il devait être lapidé mais je l’ai racheté avec cent moutons et une jeune esclave.[...]
L’apôtre d’Allah dit :
- [...] Je vais rendre mon jugement selon les lois d’Allah : les cent moutons et la jeune esclave doivent t’être rendus.
Il infligea à l’homme cent coups de fouet et l’exila pour un an. Unais Al-Aslami reçu l’ordre d’aller voir la femme du deuxième homme; elle confessa le crime et fut lapidée à mort. ” (récit d’Abu Huraira et Zaid bin Khalid, Bukhari LXXVIII 629)


“ Une femme de Juhaina vint voir le Prophète car elle était devenue enceinte à cause d’un adultère. Elle dit :
- J’ai fait quelque chose qui mérite un châtiment, donc inflige-le moi.
L’apôtre d’Allah appela son maître et dit :
- Traite-la bien et amène-la moi quand elle aura accouché.
C’est ce qu’il fit. L’apôtre d’Allah prononça ensuite son jugement, ses vêtements furent attachés autour d’elle et il ordonna qu’elle soit lapidée. Il pria ensuite sur son cadavre. ” (récit d’Imran ibn Husain, Muslim XVII 4207)


“ Le Prophète a fait lapider une femme et une fosse a été creusée pour elle jusqu’aux seins. ” (récit d’Abu Bakr, Dawud XXXVIII 4429)

“ Un juif avait tué une fille pour prendre ses bijoux en argent. Elle fut amenée au messager d’Allah alors qu’elle était encore en vie. Il lui demanda :
- Est-ce que un tel t’a tuée ?
Elle indiqua d’un signe de la tête :
- Non.
Il lui demanda pour la seconde fois et elle répondit de nouveau par un signe de la tête :
- Non.
Il demanda une troisième fois et elle dit "Oui" par un signe de la tête et le messager d’Allah ordonna qu’on lui écrase la tête entre deux pierres. ” (récit de Anas, Muslim XVI 4138)


“ Le verset " la punition de ceux qui déclarent la guerre à Allah et à son apôtre et qui les affrontent de toutes leurs forces pour semer la discorde sur la terre est l’exécution, la crucifixion, la mutilation d’une main et d’un pied de côtés opposés ou l’exil de cette terre, la punition la plus clémente " a été révélé au sujet des polythéistes. Si l’un d’entre eux se repent avant sa capture, cela n’empêche pas d’appliquer
les peines prescrites qu’il mérite. ” (récit de Abdullah ibn Abbas, Dawud XXXVIII 4359)


“ On demanda à l’apôtre d’Allah son avis sur le cas d’une jeune esclave, si elle était vierge et si elle avait commis un acte sexuel illicite. Le Prophète dit :
- Si elle a commis un acte sexuel illégal, fouette-la, et si elle l’a refait, refouette-la, et si elle l’a refait une troisième fois, alors revends-la même en échange d’une corde. ” (récit d’Abu Huraira et Zaid ibn Khalid, Bukhari XXXIV 363)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Gabriel est venu et a dit : " Celui qui meurt dans la communauté sans associer rien à Allah entrera au paradis. "
[...] Le messager d’Allah a ajouté :
- Même s’il commet l’adultère et le vol. ” (récit d’Abu Dharr, Muslim I 171)


“ Quand le soir fut venu, Gabriel vint à lui et il [le Prophète] lui dit :
- Tu m’avais promis de venir hier soir.
Il dit :
- Oui mais nous n’entrons pas dans une maison où il y a un chien ou une image.
Le lendemain matin, il ordonna qu’on tue les chiens, y compris ceux qui gardent les vergers, mais il fit épargner les chiens qui protègent les grands terrains. ” (récit de Maimuna, Muslim XXIV 5248)


“ Le Prophète d’Allah ordonna de tuer les chiens et nous avons même tué un chien qu’une femme avait ramené du désert. Après cela, il interdit de les tuer en disant :

- Limitez-vous seulement à ceux qui sont noirs. ” (récit de Jabir ibn Abdullah, Dawud XVI 2840)


“ Le messager d’Allah a ordonné de tuer les chiens et il a envoyé des hommes aux quatre coins de Médine pour que les chiens soient tués. ” (récit d’Ibn Umar, Muslim X 3810)

“ Il entendit le Prophète faire un sermon et dire sur sa chaire :
- Tuez les serpents et tuez Dhu-at-Tufyatain (un serpent avec deux lignes blanches sur son dos) ainsi qu’ "albatross" (un serpent avec une queue courte et mutilée) parce qu’ils détruisent la vue et font avorter. [...]
Mais plus tard, il [le Prophète] interdit de tuer les serpents qui vivent dans les maisons. ” (récit d’Ibn Umar et Abu Lubaba, Bukhari LIV 518)


“ Un aveugle avait pour femme une esclave, enceinte, qui insultait et dénigrait le Prophète. Il le lui avait interdit mais elle ne cessait pas. Il la réprimandait mais elle n’abandonnait pas cette habitude. Une nuit, elle commença à calomnier et injurier le Prophète. Alors il prit un poignard, le plaça sur son ventre, appuya et la tua. Un enfant qui sortit d’entre ses jambes fut sali par le sang qui était là.
Quand vint le matin, le Prophète apprit cela. [...] Le Prophète dit :
- sois mon témoin, il n’y aura pas de représailles pour le sang de cette femme. ” (récit d’Ibn Abbas, Dawud XXXVIII 4348)

“ L’apôtre d’Allah a dit :
- Sache que le paradis est à l’ombre des épées. ” (récit d’Abdullah ibn Abi Aufa, Bukhari LII 73)


“ Le messager d’Allah a dit :
- La guerre est une ruse ” (récit de Jabir, Muslim XIX 4311)


“ L’apôtre d’Allah a dit :
- Le butin est devenu légal pour moi. ” (récit de Jabir ibn Abdullah, Bukhari LIII 351)


“ Le Prophète d’Allah, quand on lui demandait si les femmes et les enfants des polythéistes pouvaient être tués pendant les raids nocturnes, dit :
- Ils en sont. ” (récit de Sab ibn Jathlama, Muslim XIX 4321)


“ Une femme vint voir le Prophète et se présenta à lui (pour se marier). Il dit :
- Je ne suis pas en manque de femmes ces temps-ci.
Alors un homme dit :
- Marie-la avec moi.
Le Prophète lui demanda :
- Que possèdes-tu ?
Il répondit :
- Je n’ai rien.
Le Prophète dit :
- Donne-lui quelque chose, même une bague en fer.
Il dit :
- Je n’ai rien.
Le Prophète lui demanda :
- Quelle proportion du Coran connais-tu ?
Il dit :
- Beaucoup.
Le Prophète dit :
- Je la marie avec toi à cause de ce que tu connais du Coran. ” (récit de Sahl, Bukhari LXII 72)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Il n’est pas licite pour une femme qui croit en Allah et dans le dernier Jour de voyager plus d’un jour et une nuit sans un homme qui soit son tuteur. ” (récit de Malik, Muwatta LIV 37)


“ Le Prophète a dit :
- Une nation qui se donne comme chef une femme ne connaîtra jamais la réussite. ” (récit d’Abu Bakr, Bukhari LXXXVIII 219)


“ Ibn Umar rapporte qu’il avait divorcé de sa femme alors qu’elle avait ses règles. Umar en parla à l’apôtre d’Allah et il dit :
- Reprends-là puis divorce quand elle sera pure ou enceinte. ” (récit de ibn Umar, Muslim IX 3479)


“ L’apôtre d’Allah a dit :
- Le mariage d’une femme qui se marie sans le consentement de ses tuteurs est nul. ” (récit de Aisha, Dawud XI 2078)


“ Un homme est venu voir le Prophète et dit :
- J’ai trouvé une femme belle et de haut rang, mais elle ne donne pas naissance à des enfants. Dois-je me marier avec elle ?
Il dit :
- Non.
Il revint le voir mais il le lui interdit à nouveau. Il vint une troisième fois et le Prophète dit :
- ةpouse des femmes qui sont aimantes et prolifiques, que je puisse submerger les autres peuples grâce à vous. ” (récit de Ma’qil ibn Yasar, Dawud XI 2045)

“ Une fille ansari s’était mariée, elle était devenue malade, ses cheveux étaient tombés et elle avait l’intention de se mettre des faux cheveux. Ils ont demandé au Prophète, qui a dit :
- Allah a maudit la femme qui allonge artificiellement les cheveux et celle dont les cheveux sont allongés. ” (récit d’Aisha, Bukhari LXXII 817)


“ L’apôtre d’Allah a dit :
- Nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Asia, femme de Pharaon, et Marie, fille d’Imran. Et sans aucun doute, la supériorité d’Aisha sur les autres femmes est comparable à celle du tharid sur les autres plats cuisinés. ” (récit d’Abu Musa, Bukhari LV 623 et 643; le tharid est un plat composé de pain et de viande)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Je me suis installé devant la porte du feu de l’enfer et la majorité de ceux qui entraient étaient des femmes. ” (récit de Usama ibn Zaid, Muslim XXXVI 6596)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Parmi les habitants du paradis, les femmes formeront une minorité. ” (récit de Imran ibn Husain, Muslim XXXVI 6600)


“ Les choses qui annulent les prières ont été mentionnées devant moi. Ils disent :
- La prière est annulée par les chiens, l’âne et la femme (s’ils passent devant les personnes en prière).
Je dis :
- Vous nous considérez comme des chiens.
J’ai vu le Prophète prier alors que je me trouvais dans mon lit entre lui et la Qibla. Chaque fois que j’avais besoin de quelque chose, je m’esquivais, parce que je ne voulais pas lui faire face. ” (récit d’Aisha, Bukhari IX 490)


“ Aucun d’entre vous ne devra fouetter sa femme comme il fouette un esclave et ensuite avoir des rapports sexuels avec elle dans le reste de la journée. ” (récit d’Abdullah ibn Zamra, Bukhari LXII 132)

“ Le Prophète a interdit que l’homme fasse ses ablutions avec l’eau laissée par une femme. ” (récit de Hakam ibn Amr, Dawud I 82)

“ Le Prophète a dit :
- Après moi, je n’ai pas laissé de calamité plus douloureuse pour les hommes que les femmes. ” (récit de Usama ibn Zaid, Bukhari LXII 33)


“ Quand je me suis marié, l’apôtre d’Allah est venu me voir et m’a dit :
- Avec quelle genre de femme t’es-tu marié ?
J’ai répondu :
- Avec une matrone (une femme déjà un peu âgée et non vierge).
Il a dit :
- Pourquoi ? Tu n’as pas de goût pour les vierges et pour les caresses ?
Jabir continue :
L’apôtre d’Allah a dit :
- Pourquoi ne t’es-tu pas marié avec une jeune fille pour que tu puisses jouer avec elle et elle avec toi ? ” (récit de Jabir ibn Abdullah, Bukhari LXII 17)


“ Les Bani An-Nadir et les Bani Quraiza se sont battus entre eux; le Prophète exila donc les Bani An- Nadir et permit aux Bani Quraiza de rester sur place (à Médine) ne leur prenant rien jusqu’à ce qu’ils s’attaquent au Prophète de nouveau. Il tua alors leurs hommes et distribua leurs femmes, enfants et leurs biens parmi les musulmans mais certains vinrent voir le Prophète qui leur accorda la sécurité et ils se convertirent à l’islam. Il exila tous les juifs de Médine. C’était les juifs des Banû Qainuqa, la tribu
d’Abdallah ibn Salam, les juifs des Banû Haritha et les autres juifs de Médine. ” (récit d’Ibn Umar, Bukhari LIX 362)


“ Alors que nous étions à la mosquée, le Prophète vint et dit :
- Allons voir les juifs.
Nous sommes sortis et nous sommes allés à Bait ul Midras. Il leur dit :
- Si vous vous convertissez à l’islam, vous serez saufs. Vous devez savoir que la Terre appartient à Allah et à son apôtre et je veux vous expulser de cette terre. Donc, si quelqu’un parmi vous possède des biens, il a le droit de les vendre, sinon, vous devez savoir que la Terre appartient à Allah et à son apôtre. ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari LIII 392 et LXXXV 77)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Ne saluez pas les juifs et les chrétiens avant qu’ils ne vous saluent et quand vous les rencontrez sur les routes, forcez-les à passer sur la partie la plus étroite. ” (récit d’Abu Huraira, Muslim XXVI 5389)


“ Le messager d’Allah a dit :
- Un groupe des Banû Israël était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats. ” (récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524)


“ Quand l’apôtre d’Allah est parvenu au crépuscule de sa vie, il a mis son "Khamisa" sur son visage et
quand il a eu chaud et la respiration difficile, il a dit :
- Qu’Allah maudisse les juifs et les chrétiens parce qu’ils ont construit des lieux de culte sur les tombes de leurs Prophètes. ” (récit d’Aisha et Abdullah ibn Abbas, Bukhari VIII 427)


“ Le messager d’Allah a dit :
-Quand arrivera le jour de la résurrection, Allah fournira à chaque musulman un juif ou un chrétien et dira : "c’est ton remplaçant dans le feu de l’enfer." ” (récit d’Abu Musa, Muslim XXXVII 6665)


“ Le Prophète a dit :
- Si seulement dix juifs avaient cru en moi, tous les juifs auraient cru en moi. ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari LVIII 277)


“ Un enfant juif était au service du Prophète et est tombé malade. Le Prophète est venu le voir et lui a
dit :
- Convertis-toi à l’islam.
Et il s’est converti à l’islam. ” (récit d’Anas, Bukhari LXX 561)
“ L’apôtre d’Allah a dit :
- La peste est un moyen de torture qui a été envoyé à un groupe de juifs. ” (récit d’Usama ibn Zaid,Bukhari LVI 679)


“ Une juive insultait et dénigrait le Prophète. Un homme l’étrangla jusqu’à ce qu’elle meure. L’apôtre d’Allah déclara qu’il n’y avait pas de prix à payer pour son sang. ” (récit d’Ali ibn Abu Talib, Dawud XXXVIII 4349)

“ Un homme dit :
- Apôtre d’Allah, j’ai une jeune esclave et je retire mon pénis d’elle parce que je ne veux pas qu’elle soit enceinte [...] Les juifs disent que retirer son pénis est comme enterrer des filles vivantes.
Le Prophète dit :
- Les juifs ont dit un mensonge. Si Allah a l’intention de créer, tu ne peux pas y échapper. ” (récit d’Abu Saïd al Khudri, Dawud XI 2166)

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