« Je ne suis pas Diam’s. Ni par la naissance, ni par le parcours, ni par la conception de l’islam. J’ai vu le jour en Tunisie, dans un petit village où mon père avait le titre de "cheikh" qui lui conférait une autorité religieuse. Ma mère a passé sa vie enfermée derrière les murs de sa maison et je n’ai aperçu sa chevelure que sur son lit de mort. Vers douze ans, mes sœurs aînées ont été interdites d’école et cloîtrées. Je me suis alors promis d’aller jusqu’au bout de mes études et de ne pas me voiler.
Toutes les questions qui me tracassaient enfant, voilà que je les repose aujourd’hui à une jeune femme convertie à l’islam qui croit bien faire alors qu’elle me fait mal.»
Tunisienne, musulmane, Fawzia Zouari s’adresse avec vigueur et respect à la chanteuse Diam’s, qui incarnait une certaine modernité avant de s’exposer de nouveau au public, mais sous le voile. L’auteur s’engage avec passion en faveur d’un islam des Lumières, intégré dans le pays de la laïcité dont elle défend les valeurs.
Toutes les questions qui me tracassaient enfant, voilà que je les repose aujourd’hui à une jeune femme convertie à l’islam qui croit bien faire alors qu’elle me fait mal.»
Tunisienne, musulmane, Fawzia Zouari s’adresse avec vigueur et respect à la chanteuse Diam’s, qui incarnait une certaine modernité avant de s’exposer de nouveau au public, mais sous le voile. L’auteur s’engage avec passion en faveur d’un islam des Lumières, intégré dans le pays de la laïcité dont elle défend les valeurs.
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« Je ne suis pas Diam’ s. Ni par la naissance, ni par le parcours, ni par la conception de l’islam. J’ai vu le jour en Tunisie, dans un petit village où mon père avait le titre de "cheikh" qui lui conférait une autorité religieuse. Ma mère a passé sa vie enfermée derrière les murs de sa maison et je n’ ai aperçu sa chevelure que sur son lit de mort. Vers douze ans, mes sœurs aînées ont été interdites d’ école et cloîtrées. Je me suis alors promis d’aller jusqu’au bout de mes études et de ne pas me voiler.
Toutes les questions qui me tracassaient enfant, voilà que je les repose aujourd’hui à une jeune femme convertie à l’islam qui croit bien faire alors qu’ elle me fait mal. »
Tunisienne, musulmane, Fawzia Zouari s’ adresse avec vigueur et respect à la chanteuse Diam’s, qui incarnait une certaine modernité avant de s’ exposer de nouveau au public, mais sous le voile.L’ auteur s’ engage avec passion en faveur d’un islam des Lumières, intégré dans le pays de la laïcité dont elle défend les valeurs.
Toutes les questions qui me tracassaient enfant, voilà que je les repose aujourd’hui à une jeune femme convertie à l’islam qui croit bien faire alors qu’ elle me fait mal. »
Tunisienne, musulmane, Fawzia Zouari s’ adresse avec vigueur et respect à la chanteuse Diam’s, qui incarnait une certaine modernité avant de s’ exposer de nouveau au public, mais sous le voile.L’ auteur s’ engage avec passion en faveur d’un islam des Lumières, intégré dans le pays de la laïcité dont elle défend les valeurs.
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