RL : Le 13 décembre prochain se tiendra la journée contre l’islamophobie, dans plusieurs villes européennes, dont Paris, Amsterdam et Bruxelles. Nous y entendrons les requêtes habituelles de ceux qui veulent interdire toute critique de l’islam, voulant que nos législations s’adaptent aux droits de l’Homme en islam, signés au Caire en 1990, qui conditionnent, dans leur article 22, toute liberté d’expression à sa compatibilité avec la charia.
En effet, dans cet ouvrage, l’auteur, Hubert Lemaire, se permet ce que jamais personne n’a jamais osé, à notre connaissance. Ce livre est une bombe, car il ose dénoncer ce qu’est vraiment l’islam (ce qu’il n’est pas le premier à faire), mais surtout la duplicité de nombre de musulmans, leur takiya et leurs mensonges délibérés pour masquer la dangerosité de leur dogme. L’auteur, un paisible grand-père, grand voyageur, n’est absolument pas un militant. Il n’a jamais mis les pieds dans la moindre manifestation avant l’âge de 70 ans. Mais il connaît parfaitement les pays arabes, dans lesquels il a longtemps vécu, et a constaté, tout au long de son existence, les ravages quotidiens que l’Islam, c’est-à-dire le Coran et Mahomet, exercent sur les populations.
Dans ce livre, Hubert ne nous fait donc pas de l’islamo-collabo à la Askolovitch, Plenel, Fourest, et encore moins du Cazeneuve…
Avec lui, pas de discours compassionnel, ni repentant. Il ne fait pas du musulman une victime innocente, il en fait un militant complice des méfaits de son dogme. Comment s’y prend-il ? Alors que, y compris dans les colonnes de Riposte Laïque, en général, les auteurs se contentent d’attaquer le dogme, l’islam, en se montrant fort prudents sur les disciples d’Allah, parfois mêmes présentés comme les principales victimes de l’islam, l’ami Hubert, rompant avec ce politiquement correct, n’y va pas avec le dos de la cuillère, et engueule copieusement (il n’y a pas d’autres mots) les musulmans.
Quel est le détonateur de cette colère qui fera date ? Hubert ne supporte plus l’hypocrisie et les gémissements des pleureuses habituelles et de leurs complices, sur les plateaux de télévision, suite à un attentat ou des assassinats, y compris par la décapitation, commis au nom de l’islam. Il en a marre des Boubakeur, Bouzar, Chebel et autres faux-culs, qui se victimisent à chaque nouveau crime islamique, en nous faisant le coup de « l’islam, religion d’amour, de tolérance et de paix », « Surtout pas d’amalgame, ne confondez pas islam et islamisme », « Pas en notre nom », et autres enfumages classiques nous expliquant que les égorgeurs n’auraient rien compris au message de paix véhiculé par le coran.
Eric Zemmour prétendait, dans « Le Suicide français » déconstruire le discours des déconstructeurs. Hubert a su, dans cet ouvrage, vulgariser un travail de déconstruction de l’argumentaire habituel de ceux que René Marchand appelle les taupes de l’islam. Et le bougre ne fait pas dans la dentelle !
Il n’épargne donc pas les musulmans – ceux qui se réclament du livre sacré – qu’il accuse d’abord de nous mentir, sciemment, sur la réalité de l’islam, pour mieux nous faire accepter sa présence et son développement en Occident. Il a cette phrase très forte, qui explique son coup de gueule violent : « De l’imam le plus médiatisé au simple croyant, ceux qui se prétendent musulmans en occident participent tous à une guerre de conquête, donc au djihad. »
Là est le cœur de sa démonstration : un bon musulman ne peut que souhaiter vivre sur une terre musulmane, dirigée par les règles de la charia, sinon, soit il n’est plus musulman, et c’est soit un apostat, soit c’est un mauvais musulman. Donc, le coup du musulman modéré, on ne la fait pas à notre ami Hubert !
Il cite, avec nombres d’exemples accablants, les dégâts occasionnés, dans les pays musulmans, par l’application des imbécillités de l’islam, et y voient l’explication de la stagnation de ces pays.
Il interpelle les musulmanes, n’en faisant pas, elles non plus, d’innocentes victimes des hommes, mais des rouages essentiels de la propagation du cancer musulman dans nos pays. Il fait savoir clairement à celles qui portent le voile qu’elles n’ont rien à faire sur notre sol, et doivent aller vivre dans un des cinquante-sept pays de l’OCI.
Il interpelle les musulmanes, n’en faisant pas, elles non plus, d’innocentes victimes des hommes, mais des rouages essentiels de la propagation du cancer musulman dans nos pays. Il fait savoir clairement à celles qui portent le voile qu’elles n’ont rien à faire sur notre sol, et doivent aller vivre dans un des cinquante-sept pays de l’OCI.
Naturellement, il reprend nombre de citations d’écrivains célèbres, qui auraient sans doute, s’ils vivaient ce jour, fini devant la dix-septième Chambre correctionnelle de Paris (rappelons que le verdict de la Cour d’Appel de Besançon sur le procès de Christine Tasin, sera rendu ce 4 décembre, suite à sa première condamnation par le tribunal de Belfort, suite à la plainte du procureur Chevrier).
Après avoir copieusement vilipendé les disciples de l’islam, durant tout le livre, les rendant complices des exactions commises au nom de leur dogme (qu’il s’interdit d’appeler une religion), l’auteur les appelle à la révolte, et à s’émanciper de leur livre sacré et de leur prophète assassin. Son objectif apparaît dans le dernier paragraphe du livre : « Aider les musulmans à se réveiller, à comprendre, à s’indigner, à se libérer pour enfin s’échapper de leur islam sans espoir et sans avenir, c’est faire de l’assistance à musulman en danger d’islam ».
Par ailleurs, il cite, en annexe, 400 sourates et versets juridiquement condamnables selon les lois françaises, et s’étonne que les associations dites antiracistes soient silencieuses sur de véritables incitations à la haine et au meurtre contre des groupes de personnes, en raison de leur appartenance religieuse.
Ce livre justifie, par l’audace qu’il faut pour l’écrire et l’éditer, trois citations célèbres de grands auteurs. Jean Jaurès disait : « Le courage, c’est de chercher la vérité, et de la dire ». Quant à Albert Camus, personne n’a oublié sa célèbre phrase : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ».
En page 5, Hubert commence cet ouvrage indispensable pour tous les esprits libres par cette citation de Charles Péguy : « Celui qui sait la vérité et ne gueule pas la vérité se fait le complice des escrocs et des faussaires ».
Nul ne pourra reprocher cela à l’homme libre Hubert Lemaire, ni à Riposte Laïque, qui a édité, en toute connaissance de cause, cet ouvrage de salubrité publique.
Ce livre est disponible dès ce jour, et toute commande effectuée du 1er au 31 décembre sera accompagnée d’un cadeau de fin d’année.
1 exemplaire 16 euros, 2 exemplaires 28 euros, 3 exemplaires 40 euros, 4 exemplaires 50 euros.
Ou envoyer votre commande à Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors.