mardi 11 juillet 2017

Peut-on appeler un salafiste un salafiste ? Muhammad vs Meguini : le procès du droit de blasphème

Les frères musulmans dont le CCIF est une officine en France veulent instaurer un totalitarisme théocratique sont des adeptes de la taqyia. En Palestine, ils ont un bras armé, le Hamas. Mais en France, ce serait trop visible. Donc ils utilisent des méthodes plus pacifiques, par exemple l'accusation floue d'islamophobie ou de raicsme lancée systématiquement pour faire taire tous ceux qui critiquent le rôle de l'islam dans les attentats terroristes, pour museler toute critique envers l'islam. Ils profitent également de la collaboration d'idiots utiles ou d'alliés déguisés dans les milieux identitaires et protoracistes d'extrême-gauche (Parti des Indigènes de la République, etc.), ainsi que dans les associations vantant les bienfaits du multiculturalisme et critiquant la laïcité (Ligue de l'Enseignement). 

marwan muhammad meguini ccif islam

Dans le contexte post-Bataclan et sur Twitter, Ahmed Meguini, activiste laïque et président-fondateur de l’association LaïcArt, s’est emporté et a traité, dans un coup de sang, une personnalité islamiste qu’il exècre « d’enfant de putain de salafiste » et de « petite merde ». Pour cela, l’objet de ses mots fleuris, Marwan Muhammad, directeur exécutif du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et professionnel des plaintes en série devant les tribunaux, a intenté une énième action en justice. Mais pas pour n’importe quel motif : injure à caractère racial ! C’était le sens du procès qui a eu lieu au tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre le 6 juin 2017, et dont le délibéré interviendra le 4 juillet 2017.

http://www.causeur.fr/meguini-ccif-muhammad-islam-blaspheme-45057.html


Voir aussi : 



Articles riposte laïque à faire

- reprendre une à une les règles de soumission de l'islam (faire un chapitre pour chacune) - invasion islamique de l'inde à reman...